L’affaire Mila – à l’origine, une vulgaire empoignade de cours de récréation – a été abondamment commentée et de nombreux masques sont déjà tombés, à commencer par celui du délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri.
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Affaire Mila : les masques sont tombés !
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Les islamistes sont-ils si puissants en France ? Mila ne trouverait pas de lycée “dans lequel sa sécurité serait assurée”, selon son avocat
Valeurs actuelles – Menacée de mort pour sa critique, notamment, de l’islam, l’adolescente serait à ce point en danger qu’aucun établissement ne pourrait, pour l’heure, l’accueillir.
Les islamistes sont-ils si puissants, en France, qu’on ne puisse protéger leurs cibles ? C’est ce que laissent penser les propos de Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo, mais aussi de la jeune Mila. Cette dernière, qui a ouvertement critiqué les religions, et notamment l’islam, a dû renoncer à être scolarisée dans le lycée qu’elle fréquentait. Pire encore : menacée, et notamment de mort, elle ne trouverait pas d’établissement capable d’assurer sa sécurité.
« Parce qu’on ne sait pas comment assurer sa sécurité. Le ministère de l’Éducation s’en préoccupe, le rectorat s’en préoccupe, essaie de trouver des solutions – je ne mets nullement en cause leur bonne volonté -, mais le fait est qu’on n’arrive pas à trouver un établissement dans lequel la sécurité de cette jeune fille serait, aujourd’hui, assurée », a expliqué Richard Malka au micro de BFM TV, jeudi 29 janvier, estimant que « c’est quand même vertigineux ».
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« Humiliés depuis 40 ans par les racailles et les émeutiers des « quartiers », contre lesquels ils ont ordre de ne pas intervenir, les policiers se défoulent sur les gilets jaunes et les Français moyens sur les routes : c’est méprisable mais c’est humain…
Sur le Système mondialiste et immigrationniste, son projet, sa propagande, ses traîtres, ses collabos, ses dissidents
La classe dirigeante organise l’invasion de l’Europe afin d’accroître son pouvoir et ses profits. Elle est soutenue par les « progressistes », qui imaginent que la disparition des frontières rendra le monde meilleur. La conjuration des salauds et des imbéciles…
Ils pleurent les victimes des attentats mais restent immigrationnistes… Ne rien vouloir changer aux causes… Larmoyer sur les conséquences…
Sur les politiciens, la sphère politico-administrative, la gauche, la droite, la classe dominante
(le marché du street art arrive à maturité) Dans les sociétés décadentes, on appelle « art » ce qui auparavant faisait sourire, ou soupirer…
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Tant de morts tus dans une guerre qui est la nôtre
On ne dénombre pas suffisamment les morts des armées alliées à celle de la France dans la guerre qui nous oppose aux djihadistes au Sahel. Et pourtant pas une semaine sans que le Mali ne pleure la mort de nombreux soldats ou gendarmes tués par ceux qui nous haïssent et que nos soldats, dont 2 ont été blessés vendredi, chassent dans une guerre au prix humain très fortement élevé :
Dix-neuf militaires maliens ont été tués et cinq blessés tôt dimanche matin 26 janvier lors d’une attaque de grande ampleur de présumés djihadistes contre un camp de gendarmes dans le centre du pays, a indiqué l’armée malienne, en faisant état d’un bilan encore provisoire. «Le poste est sous contrôle #FAMa (Forces armées maliennes, NDLR). Le ratissage en cours. L’avion militaire malien sur zone. Le bilan provisoire est de 19 morts 5 blessés, du matériel endommagé et ou emporté», ont indiqué les FAMa sur Twitter.
https://www.lesalonbeige.fr/tant-de-morts-tus-dans-une-guerre-qui-est-la-notre/
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Les nouvelles dimensions de la Terreur islamiste, par Jean-Gilles Malliarakis
Les trois formes de périls islamo-terroristes évoquées dans notre précédente chronique[1] ne se séparent qu’en apparence. Toutes trois menacent, en effet, sinon d’une manière parfaitement égale, du moins d’une façon très actuelle et très convergente la France et l’Europe. Elles se manifestent sur les terrains sociologique, militaire et géostratégique : montée d’une violence intérieure intrinsèque et préoccupante ; affrontement direct en Afrique sahélienne avec les émules locales des réseaux internationaux ; confrontation en Méditerranée orientale avec un islamisme qui s’affirme et cherche à s’organiser en tant que puissance globale.
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Mila, 16 ans, menacée de mort et de viol pour avoir critiqué l’Islam, poursuivie pour provocation à la haine ?
Dans une vidéo tournée en direct samedi 18 janvier sur les réseaux sociaux, Mila, 16 ans, se filme en train de chanter. Elle se fait alors draguer ouvertement. La jeune fille repousse les avances et se fait insulter. Traitée de raciste, Mila s’emporte et critique la religion du jeune homme :
“Je déteste la religion, le Coran, il n’y a que de la haine là-dedans”.
En quelques heures, sa vidéo fait le tour des réseaux sociaux et déclenche un déferlement de haine. La jeune fille, scolarisée en seconde dans le nord de l’Isère, reçoit des milliers de menaces de mort et de viol. Son adresse et le nom de son établissement sont dévoilés.
Depuis lundi 20 janvier, Mila ne va plus au lycée. Elle a porté plainte et le parquet de Vienne a lancé une enquête. Marlène Schiappa brille par son silence.
La justice a décider d’investiguer sur les propos de Mila, qu’elle estime être de l’« incitation à la haine raciale ».
Et contre la “chanson” de France inter qui insulte les chrétiens ? -
Clément Armato : « Dans les universités, la minorité d’ultra-gauche impose ses idées par la violence et la censure »
Une conférence à Sciences Po Lille devait réunir l’avocat Charles Consigny et Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction à Valeurs actuelles. La conférence a finalement été annulée par la direction de l’université.
Au micro de Boulevard Voltaire, Clément Armato dénonce la pression exercée par les syndicats étudiants d’extrême gauche tels que la FSE (Fédération syndicale étudiante), issue de l’UNEF.
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Meurtre raciste et silence médiatique
Par Guillaume Bernadac
Il y a les bonnes victimes et celles dont la presse parle peu ; en considérant les responsables du drame ci-dessous, il est facile de comprendre pourquoi. Mamadou-Lamine Diedhiou est videur au bar Le Styl transformable en boîte de nuit, situé 5, Grande-Rue à Besançon. Le 23 avril 2017, ce Sénégalais de 35 ans arrivé en France en 2011, marié, sans histoire, qui prévoyait de quitter son métier de videur pour un nouveau départ, est mortellement blessé parce qu’un de ses collègues avait refusé quelques minutes plus tôt l’entrée à un individu alcoolisé.
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Cinq ans de silence : De la France Charlie à la France charia
Cinq ans après l’attentat contre Charlie Hebdo, les tueries au nom de l’islam continuent, comme à Villejuif, le 3 janvier et à Metz le surlendemain. Entre lâcheté et compromission, nos élites reculent toujours plus devant l’islamisme.
Morne commémoration. Le cœur n'y est pas, les slogans habituels non plus. Il y a cinq ans, la France entière (ou presque) était Charlie. Elle est de plus en plus Charia.
À coups de morts, d'anathèmes, de censure et d'autocensure, les assassins de Charlie Hebdo ont gagné. Entre « les coupeurs de têtes et les coupeurs de langue », (Alexandre Del Valle), le délit de blasphème s'étend non seulement à l'islam, que plus personne - à commencer par Charlie, et on les comprend - n'ose encore caricaturer, mais même à l'islamisme, que nos supposées élites s'ingénient à cacher sous le tapis.
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Mandat d’Emmanuel Macron : une atmosphère violente inédite
Le mandat d’Emmanuel Macron est affecté depuis trop longtemps par un climat de violences, d’intimidations, de menaces, de contestations multiformes et d’une totale absence de respect pour les institutions et les représentants de la France officielle. Je continue à estimer que cette atmosphère est inédite car on a beau rappeler que d’autres Présidents ont été, eux aussi, parfois en butte à des atteintes discutables, elles demeuraient ponctuelles et n’avaient rien à voir avec le ciblage permanent qui vise les ministres – certains annulent leur venue ou les cérémonies prévues -, et plus gravement le président de la République, voire le couple présidentiel, même s’il convient de ne pas surestimer la nature de ces incidents.