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insécurité - Page 503

  • Djihadistes jugés en Irak : l’ONU accuse la France de les condamner à mort par procuration !

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    On savait, depuis le procès de Saddam Hussein, qu’il ne suffisait pas de changer de régime pour rendre la justice plus équitable en Irak. Jusqu’à présent, on ne s’en souciait guère, comme si le nouveau gouvernement, établi avec l’aide des Américains, avait droit d’office à l’indulgence internationale. Mais quand il s’agit de juger des djihadistes français et qu’ils peuvent être condamnés à mort, voilà que la conscience universelle se réveille. C’est ainsi qu’Agnès Callamard, rapporteur spécial de l’ONU sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires, vient, dans un courrier de six pages, d’interpeller le gouvernement d’Édouard Philippe.

    Dans un entretien au Figaro, elle dénonce le comportement de la France, qu’elle accuse d’« avoir bafoué les droits de l’homme et les conventions internationales ». Elle explique que « des personnes qui étaient détenues en Syrie […] ont été extradées en Irak où elles encourent la peine de mort grâce au soutien actif ou passif des autorités françaises ». Elle souligne l’hypocrisie de la France qui, en ne jugeant pas les accusés sur son territoire, accomplit une condamnation à mort « par procuration ».

    Ces accusations, aussi excessives soient-elles, ne sont pas dénuées de fondement. Quand Jean-Yves Le Drian déclare, devant l’Assemblée nationale, que « contrairement à ce qu’ [il entend] ici et là, le procès est équitable », on se demande s’il sait vraiment comment l’on pratique la justice en Irak ou s’il se moque du monde. Il faut une certaine hypocrisie pour soutenir que « les adultes détenus en Irak doivent être jugés par la justice irakienne », dès lors qu’elle se déclare compétente, tout en précisant que « la France est opposée, par principe, en tout temps et en tout lieu, à la peine de mort ».

    Mais, s’il est hypocrite, c’est surtout parce qu’il ne reconnaît pas que la France ne dispose pas des moyens juridiques pour juger, sur son territoire, ses ressortissants partis combattre en Irak ou en Syrie. Bien qu’ils aient délibérément trahi la France, qui est théoriquement en guerre contre le terrorisme, le gouvernement souhaite s’en débarrasser en respectant en apparence ses principes, en gardant les mains propres et en laissant à d’autres le soin de se salir.

    Le courage et l’honnêteté voudraient que, comme en temps de guerre, des tribunaux, fussent-ils spéciaux, dans le respect des droits de la défense, jugent ces terroristes qui sont des ennemis de la France et leur appliquent des peines maximales et incompressibles. Il eût fallu aussi mettre au point des accords pour expulser les binationaux dans leur pays d’origine et déchoir les autres de la nationalité française pour crime de haute trahison.

    Rien n’est plus odieux que ces Tartuffes des droits de l’homme qui sont plus soucieux des coupables que des victimes et jouent au « Monsieur Propre ». Leur costume d’« honnête homme » cache mal la réalité de leur cynisme et de leur lâcheté. Quand on pense que l’État a été condamné à verser 500 euros de dommages et intérêts à Salah Abdeslam, membre des commandos du 13 novembre 2015, sous prétexte que la vidéosurveillance portait une atteinte excessive à la vie privée de l’intéressé, on se demande si nos institutions ne marchent pas sur la tête !

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/djihadistes-juges-en-irak-lonu-accuse-la-france-de-les-condamner-a-mort-par-procuration/

  • L’Espagne a peur, suite à la recrudescence de viols par des migrants

    policia.jpgL’Espagne a peur. En moins d’un mois plusieurs viols ont été commis dans différentes provinces.
    En moins d’un mois plusieurs viols ont été commis dans différentes provinces et notamment dans deux villes principales, dirigées par des maires de gauche et d’extrême gauche, très favorables à l’accueil des migrants clandestins, qu’ils soient mineurs ou adultes, et dont certains quartiers ont été transformé en d’authentiques ghettos.
    A Bilbao, une jeune fille de 18 ans a été violée en groupe, dans un parc, par des mineurs clandestins d’origine algérienne.
    Quatre d’entre eux ont été libérés par le tribunal, relâchés après avoir déclaré qu’ils avaient violé une jeune fille de 18 ans, sous la menace d’une arme à feu, et sont sortis en riant, criant et se moquant ouvertement des journalistes présents et des passants.
    Cela a choqué et provoqué la colère d’une partie de la population, qui subit depuis des mois les agressions, les vols et les viols de ces migrants clandestins, mineurs ou adultes, d’origine maghrébine pour la grande majorité.
    Par la voix de son président, Santiago Abascal, le Parti Vox a manifesté publiquement son indignation et sa colère, après cette libération : « Ils devraient êtres chargés de chaines et mis dans un avion pour l’Algérie, afin d’y purger leurs condamnations et ne jamais revenir en Europe, et ils sont de nouveau dans nos rues, en train de rire, et la dictature socialiste ne se préoccupe que de la xénophobie, c’est dégoûtant. »
    Toujours à Bilbao, dimanche dernier, à la sortie du métro, un jeune homme de 22 ans a été agressé et dépouillé de son portefeuille et de son portable, par deux racailles, dont l’une âgé de 27 ans, qui l’ont ensuite entraîné, sous la menace d’un couteau, vers le marché aux poissons, dans la rue Iturribide, à Otxarkoaga, devenu l’un des quartiers les plus sensibles de la ville basque, où ils l’ont obligé à leur pratiquer des fellations, selon le quotidien « El Correo ».
    A Barcelone (Catalogne), c’est encore un maghrébin qui a agressé et volé une femme âgée de 87 ans qui se déplaçait en fauteuil roulant, afin de lui arracher son collier en or et s’est enfui en courant.
    Cela s’est passé vers 18 h 30, dans le quartier « Sant Vicenc del Raval ».
    Deux policiers catalans, « Los Mossos », qui le suivaient depuis un moment l’ont appréhendé quelques dizaines de mètres plus loin.
    Il était déjà connu des autorités pour de nombreux vols.
    Actuellement, selon les services de police, plus de 20 agressions quotidiennes sont enregistrées à Barcelone. Un chiffre jamais atteint auparavant dans cette ville.
    Après Barcelone, c’est Bilbao, actuellement le chemin le plus sûr vers la France, qui est devenue l’une des villes les plus vulnérables d’Espagne, à cause de cette migration clandestine incontrôlée, et acceptée par les socialistes qui gouvernent momentanément.
    Le viol tout récent d’une jeune femme, sur la plage de Cullera, à quelques kilomètres au sud de Valence, par deux mineurs clandestins, a soulevé une émotion considérable également dans cette province qui accueille à bras ouverts les migrants clandestins.
    Les services de police signalent que les provinces les moins menacées par les agressions, vols et viols commis par cette invasion migratoire, sont les provinces andalouses, celles du sud de la péninsule où justement débarquent les migrants et la raison est que tous ces migrants poursuivent leur pénétration vers le nord et que c’est à partir des provinces de Murcia, Alicante et, surtout, Valence, Barcelone et, à présent, la province basque, qui sont les plus menacées.
    © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

  • La Colline du crack à Paris : L’enquête de TV Libertés

    Au début du mois de Juin, TVLIBERTÉS publiait une enquête sur la « Colline du crack » à Paris. une vidéo choc à revoir !

    Drogue, violence, immigration clandestine, dans le Nord de Paris,à la Porte de La Chapelle, cumule tous les problèmes. Alors que la Mairie d’Anne Hidalgo reste visiblement impassible, TVLibertes est allé sur le terrain, au cœur de la colline du crack pour montrer ce que les pouvoirs publics aimeraient que vous ne sachiez pas! Un reportage glaçant et exceptionnel.

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-colline-du-crack-a-paris-lenquete-de-tv-libertes

  • Milliardaire, délinquant sexuel et ami des puissants, Jeffrey Epstein est mort en prison

    Je me dois de citer ma source principale, le Néerlandais Robert Jensen, qui officiait sur la chaîne néerlandaise RTL 5 avant d’être débarqué pour des raisons politiquement correctes : l’Europe médiatique politique(ment) correcte semble une réalité, cependant que l’Europe politique patauge dans ses limbes.
    Dans l’une des ses récentes productions (12 juillet), Jensen souleva un lièvre concernant le milliardaire américain Jeffrey Epstein. 
    Les médias ne manquent pas une occasion se souligner la proximité du milliardaire (accusé de pédophilie) avec Donald Trump : cousu de fil blanc, lorsque l’on sait la nature de la guerre livrée à l’encontre de ce dernier par ses adversaires. 
    Epstein, l’ami de nombreux grands noms… 
    À Palm Beach, tout le monde le connaît : l’un de ses plus grands amis est l’ancien président Bill Clinton. 
    Un conte de fées, donc, jusqu’en 2005 : le FBI s’intéresse à lui et les rumeurs de pédophilie surgissent. 
    Il se servait, selon le FBI, de rabatteurs pour débusquer de très jeunes filles qu’il rétribuait. 
    En 2008, il reconnut la pédophilie, mais très bizarrement, la très puritaine Amérique ne le condamna qu’à 18 mois, dont treize effectués. 
    Quelque chose ne collait pas : connaissant peut-être trop de choses sur des gens puissants, bénéficiait-il de protections haut placées ? 
    Certaines anciennes victimes, choquées par la légèreté de la peine, poursuivirent les procédures jusqu’à ce qu’un juge rouvre récemment le dossier. 
    C’est ainsi que le milliardaire fût arrêté à la descente de son B727 privé en provenance de Paris, le 6 juillet 2019, et qu’il croupissait depuis en prison. 
    Suite à de nouvelles perquisitions, de nouvelles preuves de pédophilie furent trouvées.
    Robert Jensen note qu’à l’évocation de l’affaire, les médias de gauche américains évitent soigneusement le nom de Clinton, pour ne retenir que celui de Trump… 
    À noter que le journal néerlandais de gauche Volkskrant évoque, le 10 août, les amis « riches et puissants » d’Epstein, parmi lesquels « Bill Clinton et Donald Trump », alors que le quotidien français Le Figaro, plus royaliste que le roi apparemment, évoque, lui, « l’ancien proche de Donald Trump »
    Ce dernier déclara, récemment, ne plus avoir de contact depuis une quinzaine d’années.
    Toujours est-il que Bill Clinton, si l’on en croit une enquête de la journaliste Conchita Sarnoff citée par Jensen, semble avoir été plus proche d’Epstein, et ce, jusqu’à une date bien plus récente : apparemment, il voyagea jusqu’à 27 reprises dans l’avion d’Epstein, surnommé aussi « Lolita Express », et on vous laisse deviner pourquoi… 
    L’on se souvient d’un président Clinton soutenant mordicus n’avoir jamais eu de relations sexuelles avec une certaine assistante Lewinsky… 
    Il peut donc aisément soutenir aujourd’hui n’avoir emprunté qu’à quatre reprises le « Lolita Express », dans lequel voyageaient aussi de nombreuses jeunes filles.. 
    Or, la journaliste d’investigation Conchita Sarnoff, témoignages et documents prouvant les mensonges de Clinton, soutient publiquement le chiffre de 27 voyages…
    Mais voici qui règle définitivement les soucis éventuels de certains amis, dont Clinton : ce samedi 10 août 2019, Epstein a été retrouvé pendu dans sa cellule. 
    On n’ira pas jusqu’à dire « fort à propos ». 
    Silvio Molenaar

  • Incivilités ? Non : malfaisance

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    Deux cent quarante-huit homicides au cours des mois de mai, juin et juillet. Les causes de ce terrible inventaire sont multiples, mais l’une se rapporte notamment à l’augmentation drastique des violences intrafamiliales.

    Ce bilan, aussi lourd qu’il soit, ne fait pas oublier la quotidienneté de ces élus, de ces maires, qui devient de plus en plus stressante et menacée. Intimidations, harcèlement, insultes, violences, ils sont assaillis dans leur commune et jusque chez eux.

    Cette « pitié » pour les maires a été suscitée par l’homicide – apparemment involontaire ? – dont Jean-Mathieu Michel, maire de Signes, dans le Var, a été victime alors qu’il intervenait auprès de deux personnes déposant illégalement des gravats sur un chemin de la commune.

    Comme il se doit, le président de la République est intervenu pour appeler à être « sans complaisance et ferme » à l’encontre des « incivilités » et de la dégradation « du sens de l’État de la nation »” (Morandini).

    Incivilités est un mot faible alors qu’il s’agit, à l’évidence, de transgressions multipliées qui dépassent, et de très loin, la violation d’un savoir-vivre municipal et social pour projeter une lumière désastreuse sur l’état de notre France et de notre civilisation.

    Ce n’est plus seulement une affaire de politesse mais de malfaisance, et user du terme adoucissant d’incivilités à ce sujet est réducteur, alors, il est vrai, qu’il est parfois appliqué à des délits graves que la mansuétude a besoin de déguiser.

    Nous savons bien que ce vœu présidentiel de lutte « sans complaisance et avec fermeté » va demeurer lettre morte et qu’il rejoindra la longue liste des virtualités volontaristes.

    La tristesse politique ne tient pas qu’à cela.

    Mais surtout à l’étonnement absurde, régulièrement formulé, face, tout à coup, à l’irruption de désordres violents, d’attitudes agressives, de colères antisociales et de fureurs humaines dans tel ou tel service public, au sein de telle ou telle institution, à l’encontre de telle ou telle fonction d’autorité et de pouvoir, comme s’il en existait une seule, un seul qui soit épargné, comme si globalement le désastre n’était pas partout et le cours de cette déplorable évolution pas irréversible !

    Aussi, réclamer de la « pitié » pour les maires, focaliser sur eux laisserait entendre qu’il y aurait encore des oasis de tranquillité démocratique et d’espaces protégés alors que, précisément, la tragédie est qu’il n’y en a plus et que la République semble avoir baissé les bras et ses armes légitimes dans le combat opératoire qu’elle aurait à mener.

    Si elle-même n’avait pas masqué son impuissance, aboulie, résignation en droits, garanties, prétextes, soutien des minorités triomphantes et révérence lâche à l’égard des forces haineuses qui la détestent.

    Pourquoi les élus seraient-ils épargnés, puisque plus rien ni personne ne l’est et que le pouvoir se contente de déplorer ce à quoi il n’a plus la capacité de résister ?

    Extrait de : Justice au Singulier

    Philippe Bilger

    https://www.bvoltaire.fr/incivilites-non-malfaisance/

  • Les Gilets jaunes réclament la démission de Christophe Castaner. Il est «dangereux»

    gilets jaunes.jpgInlassablement, les Gilets jaunes manifestent pour le 39e samedi d'affilée en pleine période estivale. Les manifestants réclament la démission de Christophe Castaner et entendent maintenir la pression avant la rentrée.
    Ils ne comptent pas lâcher l'affaire. Des centaines de Gilets jaunes sont encore une fois mobilisés ce 10 août pour la 39e semaine consécutive afin de faire entendre la voix des Français les plus défavorisés.
    Les manifestants, réunis pour la plupart à Paris, réclament la démission du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, et l'arrêt immédiat de la «répression d'État». Ils exigent également, comme chaque samedi, la baisse des taxes sur les produits de première nécessité, un meilleur pouvoir d'achat, plus de justice fiscale et sociale, et l'instauration du référendum d'initiative citoyenne.

  • L'Espagne a peur car l'insécurité ne fait que s'aggraver !

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    L’Espagne a peur. En moins d’un mois plusieurs viols ont été commis dans différentes provinces et notamment dans deux villes principales, dirigées par des maires de gauche et d’extrême gauche, très favorables à l’accueil des migrants clandestins, qu’ils soient mineurs ou adultes, et dont certains quartiers ont été transformé en d’authentiques ghettos.

    A Bilbao, une jeune fille de 18 ans a été violée en groupe, dans un parc, par des mineurs clandestins d’origine algérienne.

    Quatre d’entre eux ont été libérés par le tribunal, relâchés après avoir déclaré qu’ils avaient violé une jeune fille de 18 ans, sous la menace d’une arme à feu, et sont sortis en riant, criant et se moquant ouvertement des journalistes présents et des passants.

    Cela a choqué et provoqué la colère d’une partie de la population, qui subit depuis des mois les agressions, les vols et les viols de ces migrants clandestins, mineurs ou adultes, d’origine maghrébine pour la grande majorité.

    Par la voix de son président, Santiago Abascal, le Parti Vox a manifesté publiquement son indignation et sa colère, après cette libération : « Ils devraient êtres chargés de chaines et mis dans un avion pour l’Algérie, afin d’y purger leurs condamnations et ne jamais revenir en Europe, et ils sont de nouveau dans nos rues, en train de rire, et la dictature socialiste ne se préoccupe que de la xénophobie, c’est dégoûtant. »

    Toujours à Bilbao, dimanche dernier, à la sortie du métro, un jeune homme de 22 ans a été agressé et dépouillé de son portefeuille et de son portable, par deux racailles, dont l’une âgé de 27 ans, qui l’ont ensuite entraîné, sous la menace d’un couteau, vers le marché aux poissons, dans la rue Iturribide, à Otxarkoaga, devenu l’un des quartiers les plus sensibles de la ville basque, où ils l’ont obligé à leur pratiquer des fellations, selon le quotidien « El Correo ».

    A Barcelone (Catalogne), c’est encore un maghrébin qui a agressé et volé une femme âgée de 87 ans qui se déplaçait en fauteuil roulant, afin de lui arracher son collier en or et s’est enfui en courant.

    Cela s’est passé vers 18 h 30, dans le quartier « Sant Vicenc del Raval ».

    Deux policiers catalans, « Los Mossos », qui le suivaient depuis un moment l’ont appréhendé quelques dizaines de mètres plus loin.

    Il était déjà connu des autorités pour de nombreux vols.

    Actuellement, selon les services de police, plus de 20 agressions quotidiennes sont enregistrées à Barcelone. Un chiffre jamais atteint auparavant dans cette ville.

    Après Barcelone, c’est Bilbao, actuellement le chemin le plus sûr vers la France, qui est devenue l’une des villes les plus vulnérables d’Espagne, à cause de cette migration clandestine incontrôlée, et acceptée par les socialistes qui gouvernent momentanément.

    Le viol tout récent d’une jeune femme, sur la plage de Cullera, à quelques kilomètres au sud de Valence, par deux mineurs clandestins, a soulevé une émotion considérable également dans cette province qui accueille à bras ouverts les migrants clandestins.

    Les services de police signalent que les provinces les moins menacées par les agressions, vols et viols commis par cette invasion migratoire, sont les provinces andalouses, celles du sud de la péninsule où justement débarquent les migrants et la raison est que tous ces migrants poursuivent leur pénétration vers le nord et que c’est à partir des provinces de Murcia, Alicante et, surtout, Valence, Barcelone et, à présent, la province basque, qui sont les plus menacées.

    Nous venons d’être informés du viol d’une jeune fille à Bénidorm, l’une des villes les plus touristiques d’Espagne, sur la Costa Blanca, par cinq jeunes « Français », paraît-il ! Nous attendons d’autres précisions sur l’origine de ces voyous ! 

    http://magoturf.over-blog.com/2019/08/l-espagne-a-peur-car-l-insecurite-ne-fait-que-s-aggraver.html

  • Une mère de famille condamnée : le problème du retour des djihadistes subsiste

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    On peut trouver la sanction trop forte ou trop faible, selon le point de vue qu’on adopte. Une femme de 37 ans, qui avait séjourné pendant neuf mois en Syrie avec ses enfants, âgés de 9, 7 et 5 ans, a été condamnée à sept ans de prison. Après l’attentat de Nice, elle avait rejoint les combattants djihadistes. Pour fuir son mari, un Italien converti à l’islam, violent et jaloux, selon son avocat. « Un départ préparé, dissimulé et pensé comme définitif », estime le tribunal. Jugez-en plutôt.

    Revenue en Turquie, puis expulsée en Italie et incarcérée en France en vertu d’un mandat d’arrêt, elle était en possession de documents officiels d’Ahrar al-Cham, un groupe terroriste salafiste. Sur son téléphone, on a trouvé des photos de propagande djihadiste, d’enfants morts et d’enfants soldats. Avant son départ, elle avait vidé les comptes bancaires de ses enfants et détruit son téléphone portable, ce qui accrédite la thèse de la préméditation. Apparemment, elle n’était pas partie faire du tourisme.

    Sa version est tout autre. Elle voulait rejoindre « un combattant » avec qui elle entretenait des relations sur Internet et qu’elle a épousé dès son arrivée sur le sol syrien. Un roman à l’eau de rose, en quelque sorte. Ce que plaide aussi son avocat : « C’est un homme qu’elle rejoint, pas une idéologie, pas un groupe », a-t-il déclaré, sa cliente n’étant coupable que d’« avoir mis ses enfants en danger ». Le tribunal a d’ailleurs accordé un euro de dommages et intérêts aux trois enfants, « traumatisés par ce long séjour en Syrie ». Pas cher payé.

    Qu’on estime le jugement trop sévère ou trop indulgent, force est de constater qu’il occulte de nombreux aspects du problème. La dépêche AFP ne dit rien de ce qu’il adviendra des enfants. Seront-ils confiés à l’ancien père ? Placés dans une famille d’accueil ? Soumis à un suivi médical et psychologique ? Plutôt que de se soucier du sort de leur mère, c’est au devenir de ses enfants, victimes du fanatisme, qu’il faudrait songer.

    On peut regretter, aussi, l’absence de réaction des autorités publiques. Si la peine, assortie d’une période de sûreté des deux tiers, est supérieure aux réquisitions du parquet, qui avait demandé six ans, que deviendra la détenue à sa sortie de prison ? De nationalité italo-marocaine, restera-t-elle en France ? Lui remettra-t-on ses enfants ? Continuera-t-elle d’être d’être surveillée et contrôlée ? On entrevoit, à partir de ce cas particulier, les problèmes posés par le retour, en France, de familles de djihadistes.

    Il faut dénoncer, également, l’hypocrisie d’une politique qui combat officiellement le terrorisme islamique mais entretient des relations amicales avec des pays dont chacun sait qu’ils ont soutenu ou soutiennent, directement ou indirectement, des mouvements terroristes. Ce n’est pas demain la veille ! En attendant, nos dirigeants se contentent de réagir au jour le jour, en fonction des circonstances. Ou de faire semblant d’agir. Ils ne gouvernent pas, ils bricolent.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/une-mere-de-famille-condamnee-le-probleme-du-retour-des-jihadistes-subsiste/

  • Les chiffres inquiétants de la criminalité en France

    gyrophare-de-police.jpgSelon les informations du Figaro, les crimes ont connu une très forte augmentation au printemps 2019. La guerre des clans explique en partie cette tendance.
    La chronique des faits divers n’en finit plus d’exposer des crimes et assassinats en tout genre. Une tendance confirmée par les derniers chiffres du ministère de l’Intérieur.
    Comme le révèle Le Figaro ce mercredi 7 août, le nombre d’homicides, qui comprend également les coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort, a explosé de 16 % lors du dernier trimestre. 248 crimes ont ainsi été commis entre le 1er mai et le 31 juillet 2019. « Quelque 101 faits d’homicides ont été enregistrés en juillet 2019, après 75 en juin et 72 en mai », indiquent au Figaro les statisticiens de Beauvau.
  • Faut-il les appeler "antifascistes" ?

    6a00d8341c715453ef0240a4c1ad61200b-320wi.jpgL'essor prodigieux de l'illettrisme, conséquence des carences de l'éducation monopoliste étatique confère une importance grandissante aux batailles de mots et aux maquillages des faits. Nous pouvons le constater tous les jours et dans tous les domaines.

    Organe officiel de Boboland, le quotidien Le Monde joue, certes, un rôle central dans cette manipulation verbale et dialectique.

    Or, ce 6 août il mettait en ligne, bien en évidence sur son site, un étrange papier intitulé : "Le parquet de Paris s’oppose à la libération du militant antifasciste Antonin Bernanos." L'article précise que celui-ci, depuis le 18 avril : "a été mis en examen pour 'violences en réunion n’ayant pas entraîné d’incapacité' et 'vol avec violences ayant entraîné une incapacité supérieure à 8 jours' puis incarcéré.[1] Comme souvent dans les colonnes de ce journal, cela partait d'une dépêche de l'AFP. Provenance réelle de l'information : anonyme, comme trop souvent.

    On ne cherchera pas ici à démêler le vrai du faux. Il s'agit en effet d'une affaire judiciaire actuellement couverte par ce que l'on ose encore appeler, défense de rire, "secret de l'instruction" [2]. On s'emploiera encore moins à accabler un garçon qui doit pour l'instant avoir suffisamment d'ennuis. Il est question de "vol et violences". On verra bien à l'audience, si l'affaire vient un jour devant un tribunal. On notera qu'il s'agit d'une bagarre avec des adversaires relevant de ce que la novlanque médiatique désigne désormais sous le vocable d'ultradroite.

    Dans le texte, assez cafouilleux pour donner la certitude, pas seulement l'impression, d'une hypocrisie totale, on découvre une nouvelle affaire révélatrice d'un réseau international de violence.

    Malgré certaines similitudes d'apparence, il convient d'abord de ne pas trop vite confondre les "antifas" et les "black blocs".

    Sous cette dernière appellation, qui, faut-il le préciser n'inspire à votre serviteur aucune sympathie particulière, s'avancent en fait des partisans de l'anarchie. Sans doute une structure discrète les ramifie-t-elle. Ils se définissent cependant eux-mêmes sans référence à aucune organisation. Mais ils agissent en fonction d'un modus operandi assez précis : la constitution d'un "bloc noir", faussement spontané sans doute, bien huilé et savamment programmé, mais qui ne se revendique d'aucune direction. Ils cassent tout, c'est vrai. En revanche, gare à la CGT quand elle marche sur leurs plates-bandes. Le camarade Martinez a failli en faire les frais, personnellement et physiquement le 1er mai dernier à Paris[3] lorsqu’il a cherché à les devancer dans le noyautage des "gilets jaunes", leurs homologues [originellement plus ou moins ressentis comme] "de droite" (?).

    Avec les "antifas", il s'agit d'une autre extrême gauche. Se réclamant, en apparence, d'une lutte impitoyable contre les groupuscules racistes ou néo-nazis, ils n'ont fait, à partir de 1985, que ressusciter une invention du Komintern, un produit d'appel lancé par Dimitrov en 1935, lors du 7e congrès à Moscou de l'Internationale communiste, sous l'appellation "d'antifascisme"[4].

    Une historiographie complaisante fait remonter les "antifas" à l'Angleterre décadente des années 1970. L'épicentre en réalité se situait alors en Allemagne de l'Est, d'où partaient encore les consignes soviétiques[5] en direction de plusieurs pays d'Europe occidentale, dont la France.

    L'antifascisme à Berlin était tellement à l'ordre du jour que c'est sous ce prétexte que fut érigé en 1961 un certain "mur de protection antifasciste", heureusement tombé en 1989.

    Sans doute le fascisme italien, dès son apparition en 1919 et sa marche sur Rome de 1922 a connu, jusqu'en 1943, ses admirateurs et ses adversaires, ses succès et ses excès, ses obligés et ses ennemis mortels, etc. Mais on doit rappeler que son chef est mort en 1945 et que tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à la reconstitution de son parti tombe sous le coup du Code pénal italien.

    Les prétendus "antifas" se révèlent en réalité, par leurs méthodes, des imitateurs zélés du "squadrisme" des chemises noires. Nos technocrates de la communication ne devraient pas hésiter à les appeler tout simplement des "fascistes de gauche". Ils se bagarrent avec des garçons, certainement sincères, et dont j'avoue ici qu'ils me sont infiniment moins antipathiques, mais dont on se demande parfois, d'ailleurs, s'ils ne pourraient pas être qualifiés de "communistes de droite". Les uns et les autres fréquentent les mêmes costumiers. L'affaire Méric l'a tragiquement prouvé.

    Les appeler antifascistes ne relève pas seulement de l'erreur sémantique. Il s'agit d'une manœuvre caractéristique du manichéisme politiquement correct. Pas étonnant, estimera-t-on, de la part du Monde et de l'AFP. Les gens qui acceptent de leur reconnaître cette appellation les soutiennent en tant que bras armé du camp des bons et désignent leurs ennemis comme les méchants du film. Ça suffit. Basta.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] cf. article "Le parquet de Paris s’oppose à la libération du militant antifasciste Antonin Bernanos"
    [2] L'article 11 du Code de procédure pénale dispose toujours [version juin 2000] : "Sauf dans le cas où la loi en dispose autrement et sans préjudice des droits de la défense, la procédure au cours de l'enquête et de l'instruction est secrète. Toute personne qui concourt à cette procédure est tenue au secret professionnel dans les conditions et sous les peines des articles 226-13 et 226-14 du code pénal."
    [3] cf. "1er-Mai : Philippe Martinez contraint de quitter momentanément la manifestation parisienne à cause des black blocs"
    [4] Imposture qui se révélera pendant la guerre d'Espagne. Lire Orwell "Hommage à la Catalogne".
    [5] Rappelons que c'est à Berlin-Est qu'un certain Vladimir Vladimirovitch Poutine fit ses premières armes d'agent du KGB.

    https://www.insolent.fr/2019/08/faut-il-les-appeler-antifascistes-.html