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insécurité - Page 502

  • Zones sensibles de non-droit en France : le plan !

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    L’ de notre pays est maintenant un phénomène avéré, au point que même la classe politique et médiatique s’en émeut, à défaut de proposer des solutions. Nonobstant les mesures économiques, d’insertion sociale, d’éducation et de prévention qui restent indispensables, une reconquête sécuritaire des zones sensibles de non-droit par la puissance publique s’impose, préalable nécessaire à un retour à la sérénité dans ces zones. Il n’y a pas d’autre solution que de mettre hors d’état de nuire les bandes de délinquants qui ont bénéficié de trop de bienveillance jusqu’à présent.

    C’est un chantier qui demande un plan et des modes d’action précis ainsi que des mesures d’exception circonscrites dans le temps et dans l’espace s’apparentant à un état d’urgence. Les Français y seront favorables dans leur très grande majorité. Ce plan devrait, de mon point de vue, être proposé sans délai afin de prendre date de l’inaction du gouvernement devant la dégradation de la situation.

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  • Qui sont les sauvages ? par André Bercoff

    Il ne se passe pas un jour sans que, un peu partout dans le royaume, les balises de l’effondrement se manifestent avec la régularité d’un métronome. André Bercoff, journaliste et essayiste, décrypte la polémique autour de la notion d’«ensauvagement».

    La canicule n’est plus seulement atmosphérique : elle devient, de plus en plus, cosa mentale. Tout se passe comme si le confinement n’était plus physique mais intégré, intériorisé, appliqué dans les têtes. Cependant que l’on nous demande, que l’on exige, d’observer les gestes barrières, le quotidien charrie des pelletées entières de tabassages, de crimes, de délits, de viols, de vols et autres violences qui ne soulèvent même plus l’indignation des médias et de l’opinion publique, les uns et l’autre affairés à l’unique objet de leurs ressentiments : la température.

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  • Affaire Augustin : la réponse cinglante de l’Action française

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    On a parfois l’impression qu’il est devenu plus criminel de nommer certains maux que de les commettre…

    Le mouvement nationaliste et royaliste fondé en 1898 a publié un communiqué lapidaire, suite aux torrents de boue qui se sont déversés sur lui et sur Augustin. « Alors qu’Augustin faisait remarquer à des jeunes gens qu’ils étaient en train d’importuner des jeunes filles, l’un au moins de ces jeunes gens a décidé de l’attaquer par derrière en lui portant un coup à la tête. Puis Augustin a été ramassé, plus tard, la mâchoire brisée, les dents cassées et les cervicales déplacées », rappelle le mouvement, dans son communiqué. Une remise au point qui fait écho aux 21 jours d’ITT prescrits au jeune homme.

    Mais l’ ne s’arrête pas là. « Comme Augustin est blanc, français et de droite, comme ses agresseurs sont maghrébins (comme les jeunes filles à qui Augustin voulait venir en aide, sans attendre une hypothétique intervention d’une hypothétique police de proximité tentant hypothétiquement de faire respecter les chimériques lois de Marlène Schiappa), certains mettent en doute le fait qu’Augustin soit à l’hôpital, d’autres lui dénient le droit d’intervenir, d’autres enfin considèrent que frapper un militant de droite est en soi une bonne chose. »

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  • Augustin et les hyènes, par Etienne Defay

    Nos lecteurs n’auront pas oublié Augustin. Ce jeune homme de 17 ans qui s’est fait lyncher tandis qu’il protégeait des jeunes filles d’une poignée de racailles. On sait désormais qu’il ne faut surtout pas intervenir dans une bagarre ! Après cette agression, des messages ont fleuri sur les réseaux sociaux réclamant certes justice pour l’adolescent mais aussi des voix aigres, dissonantes, malhonnêtes, des hurlements de chacal en somme qui remettent en question la version du jeune homme en se basant notamment sur un témoignage anonyme présenté comme celui d’une des filles. Ces dernières se sont carrément moquées du jeune homme en racontant partout que les racailles qui les importunaient étaient en réalité des connaissances et qu’Augustin s’était mêlé de ce qui ne le regardait pas.

    Sautant sur l’occasion, l’inénarrable Huffington Post s’est empressé de dénoncer une agression « qui fait bondir la droite et l’extrême droite ». Manœuvre rhétorique classique qui voudrait faire croire que si vous vous choquez de cette agression, vous êtes nécessairement un dangereux nazi.

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  • Le mal, c’est la haine de soi !

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    Le vandalisme a comme d’habitude régné autour des Champs-Elysées hier soir après le match Bayern-PSG. Ce type d’événement est tellement récurrent qu’il n’étonne plus. Il fait désormais partie du paysage national. Il semble normal, presque traditionnel que l’avenue française la plus connue dans le monde entier et dont les images devraient attirer les touristes devienne l’épouvantail au coeur d’un pays infréquentable, où la sécurité n’est plus assurée.

    Pourtant, cet épisode n’est pas anodin. Il condense l’effondrement de notre pays, le désastre total de sa politique. Sur le plan économique, il est essentiel que notre pays attire les touristes et les capitaux. Il est donc primordial que son image soit positive en alliant une sécurité efficace, un dynamisme des activités attractif et une beauté des lieux séduisante. Or, au sein même de ce qu’on appelle le « triangle d’or », des bandes de sauvages ont détruit une douzaine de magasins et une quinzaine de voitures. Que doit penser le Chinois, le Japonais, l’Américain ou n’importe quel Européen de cette voiture qui brûle dans la nuit au milieu d’une foule surexcitée ? Parce qu’un match de football opposait à Lisbonne deux entreprises de spectacle sportif qu’on qualifiera d’internationales, une fois de plus, des scènes d’émeutes, des saccages se sont déroulés à Paris ! A Münich, siège de l’équipe victorieuse, rien de tel : on a fêté la victoire. A Paris, victoire ou défaite, on casse !

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  • Avec Marion Maréchal, les masques tombent !

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    France Info, ce soir, le journaliste annonce doctement dans son micro qu’il est « difficile pour la droite d’exister en cette période de crise sanitaire, alors elle axe son discours sur le thème de la sécurité ». L’insécurité en France ne serait qu’un sentiment ? Qu’un argument de la droite pour faire parler d’elle ? C’est ce qu’il semble convenu de penser et de dire dans les médias mainstream ou dans les beaux quartiers dans lesquels il est de bon ton de cacher ces « incivilités » que l’on ne saurait voir.

    À l’inverse, d’autres n’ont que faire du langage médiatiquement correct et n’ont pas peur de dénoncer cette occultation des faits ou de « choquer les belles âmes ». Ainsi , interviewée cette semaine par Azur TV, déplorait que l’on « mange du Covid matin, midi et soir » et que l’on ne fasse plus de politique depuis six mois, tout en entretenant une certaine forme d’angoisse. « Dans le même temps où la maladie ne tue plus, on va vers des mesures de plus en plus drastiques. »

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  • Il sera toujours plus confortable d’épingler le distrait qui a oublié son masque que le dealer au sein de son quartier.

    Il sera toujours plus confortable d’épingler le distrait qui a oublié son masque que le dealer au sein de son quartier.

    Extrait d’une tribune de Christian Vanneste :

    “(…) Les policiers pourront donc taxer les « clients » solvables mais seront impuissants devant l’activité des zones où leur présence réclame des opérations d’ampleur considérable. Et il sera toujours plus confortable d’épingler le distrait qui a oublié son masque que le dealer au sein de son quartier.

    Lorsqu’on passe des technocrates aux idéologues, c’est le mot lui-même qui effarouche. Qui dit ensauvagement dit sauvage, et qui dit sauvage commence à sentir le soufre du racisme. Les faits ont beau être têtus et aligner des auteurs qui ne s’appellent ni Philippe, ni Mélanie, ni Thomas, ni Axelle, car ce sont les prénoms des victimes, l’antiracisme inquisiteur refuse ce terme sourdement discriminant. Lorsqu’un crime met en lumière une partition ethnique de notre société, parce que justement des ethnies différentes, et non des races, ont des cultures différentes, et donc des comportements différents, un rapport différent à la violence, notamment, la novlangue progressiste édulcore : ce sont des incivilités, commises par des « jeunes », victimes de conditions sociales défavorables. Ce sont les victimes de la colonisation à la fois comme descendants de colonisés et comme « indigènes » colonisés en France même.

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  • En attendant le match PSG/Bayern de Munich.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Il fut un temps où l'équipe de football de Paris n'était pas qatarienne.
    Un temps où les victoires sportives se fêtaient dans la liesse populaire sans que les commerçants ne redoutent violences, incendies et pillages.
    Un temps où le mot "sauvagerie" n'évoquait que le comportement exotique de quelques peuplades lointaines de l'Empire.
    Un temps où les Champs Elysées étaient, le jour comme la nuit, là plus belle avenue du monde dans la sécurité, la tranquillité, l'esthétique et la bonne humeur françaises.
    Un temps où il n'existait pas de couvre feu de fait pour les braves gens et où les femmes étaient courtisées mais respectées.
    Un temps, il est vrai, où la mise en garde de  Hegel - "L’erreur la plus fatale pour un peuple est d’abandonner ses caractères biologiques" - ne se posait même pas.
  • Suisse : des citoyens promettent « de faire justice » en s’attaquant aux groupes de délinquants maghrébins et à ceux « qui les protègent »

    Délinquance à Neuchâtel: des individus promettent de faire justice

    […]

    « Nous sommes fiers, organisés et en colère. Nous avons la capacité d’être dangereux pour ceux qui troublent à ce point la paix sociale »

    peut-on lire sur les dizaines d’affichettes placardées cette semaine en ville de Neuchâtel.

    Les auteurs de la missive ne sont pas encore formellement identifiés, mais la police neuchâteloise a déjà intercepté une vingtaine de personnes qui, ces deux derniers week-end, ont passé à tabac certains délinquants qui ont semé le trouble cet été dans la cité lacustre et qui se promènent assez ouvertement en ville.

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  • L’été meurtrier – La voiture, une nouvelle arme pour tuer en France, par Paul Vermeulen

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    Les actes se suivent et se ressemblent : des conducteurs sans permis, sans assurance, parfois sans papiers, souvent alcoolisés ou drogués percutent des personnes qui se trouvent au mauvais endroit, au mauvais moment. Retraités, femmes, enfants. Ils tuent aussi des policiers en essayant d’échapper à des contrôles routiers. Dernière occurrence dramatique en date ? Jeudi 13 août 2020 à Saint Malo, un policier a été volontairement percuté par le conducteur d’une voiture – et non par « un véhicule ». Les voitures ne tentent pas de tuer d’elles-mêmes, elles sont l’outil de tentatives meurtrières et c’est bien la récurrence de ces actes criminels qui inquiète. Ces actes ne sont pas le fait de chauffards. Un chauffard est un individu qui conduit mal, ne sait pas conduire, ne respecte pas le code de la route ou bien multiplie les fautes de conduite. Là, les victimes percutées le sont par des assassins à la voiture, nouvelle arme d’une violence extrême.

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