insécurité - Page 502
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Pierre Cassen ne se laisse pas impressionner par "l'affaire des otages"
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La nouvelle faute de Macron : l’accueil des otages !
Deux officiers mariniers du commando Hubert, les maîtres Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, ont été tués au Burkina Faso en délivrant des touristes enlevés au Bénin.
Honneur à ces soldats morts au combat.
Mais l’irresponsabilité de ces touristes qui ne pensent qu’à leur safari dans des zones infestées de terroristes justifie-t-elle la mort de nos soldats : NON !
Ces irresponsables savaient qu’ils entraient dans une zone classée rouge par le ministère des Affaires étrangères français, leur guide a été criblé de balles.
Dans ces conditions, il n’est pas acceptable que le président de la République aille les accueillir à l’aérodrome de Vélizy-Villacoublay ; ils ne le méritent pas, ils sont responsables, par leur inconscience coupable, de la mort de nos soldats tombés en véritables héros !
Monsieur le Président de la République, c’est une faute de les accueillir !
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L’indécence d’Emmanuel Macron
Le Président de la République a osé aller accueillir à Villacoublay les deux irresponsables, indirectement responsables de la mort de nos deux soldats pour avoir passé outre les recommandations du Ministère des Affaires Etrangères.
On ne sait pas qui a financé le Falcon de retour, mais c’est certainement nos impôts. Une pétition circule demandant à ce que ces deux énergumènes paient une rente à vie aux familles de nos deux soldats. Et que les deux ex-otages présentent des excuses publiques pour leur inconscience.
Vous pouvez aussi écrire ou téléphoner à l’Élysée. Il semble que ce genre de messages n’arrêtent pas depuis ce matin.
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Morts pour la France ou pour sauver deux irresponsables ?
Il y a les jeunes mariés qui, pour leur voyage de noces, rêvent de soleil, plage, cocotiers, farniente, en deux mots, d’une douce tranquillité. Et il y a les autres, ceux qui ont besoin de piment. C’est le cas du couple de Français qui avait opté pour un safari en Afrique, au Bénin, pays pourtant déconseillé aux vacanciers en raison de la présence de groupes djihadistes. Pris en otages puis libérés grâce à l’intervention de l’armée française – par des soldats d’élite appartenant au commando Hubert -, ils sont sains et saufs. Mais pas Cédric de Pierrepont, ni Alain Bertoncello.
À 18 ans, Cédric entre dans la Marine nationale. À 19, il intègre la spécialité de fusilier marin et termine major sur 47 au brevet élémentaire. À moins de 21 ans, il réussit le « stage commando » et poursuit sa brillante ascension en étant promu second maître (l’équivalent de sergent). Il obtient, ensuite, son brevet d’aptitude technique fusilier marin commando et, à 26 ans, devient nageur de combat. Il rallie donc le commando Hubert, où il exerçait en tant que chef de groupe depuis 2018. En outre, il avait reçu quatre citations et, entre autres médailles, celle de la médaille d’or de la Défense nationale. Il meurt à 33 ans.
À 20 ans, Alain entre aussi dans la Marine nationale et, tout comme son camarade, il choisit, à 21, la même spécialité dont il réussira les épreuves la même année. À 26 ans, il devient nageur de combat et rejoint, lui aussi, le commando Hubert. Missions de défense des intérêts maritimes français, opérations extérieures (Qatar, Levant, Sahel), lui aussi avait été cité et décoré de plusieurs médailles, dont également celle d’or de la Défense nationale. Il meurt à 28 ans.
Voilà ces deux jeunes hommes au mental et aux compétences hors du commun. Dont le ministre des Armées Florence Parly loue le « sacrifice qui nous dépasse tous ». Ah oui, cela nous dépasse, nous, d’envoyer au casse-pipe deux brillants officiers mariniers du prestigieux commando Hubert, et cela, pour récupérer deux touristes en mal d’aventure, inconscients ou ignares de la situation du pays ! Car, enfin, si les maîtres de Pierrepont et Bertoncello sont entrés dans la Marine nationale en toute connaissance des risques mortels encourus, ils s’y sont engagés avant tout pour combattre, donc pour vaincre !
Ils seraient également « morts pour la France ». « Morts pour la France » ou morts pour sauver deux pékins qui n’auraient jamais dû se trouver là ? Partis en safari dans le parc de la Pendjari, qui plus est au nord encore plus risqué, précisément là où ils ont été enlevés en même temps que leur guide qui a été tué. Les fusiliers marins n’ont, évidemment, pas eu l’ordre de sauver la France – madame Parly manque singulièrement de mesure – mais de sauver la vie des professeurs en lune de miel Patrick Pique (51 ans) et Laurent Lassimouillas (46 ans), qui se sont trouvés de leur plein gré en terre étrangère, connue pour ne pas être spécialement sûre.
Des morts pour la France, donc, dont les familles seront sans doute, plus tard, reçues par le président de la République. En attendant, ce samedi soir, Emmanuel Macron, accompagné d’un aréopage constitué de Florence Parly, de Jean-Yves Le Drian et de François Lecointre, chef d’état-major des armées, accueille en personne les chanceux inconscients à Villacoublay. Des héros malgré eux, en somme…
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Le prix du sang
Anne-Sophie Chazaud*
L'homofestivus est partout chez lui...avec le sang des autres.
Afin d'aller secourir deux hommes otages, Messieurs Picque et Lassimouillas qui avaient cru bon d'aller célébrer leur voyage de noces en batifolant dans une zone hautement déconseillée par le Quai d'Orsay depuis plusieurs mois pour cause de terrorisme islamiste, deux commandos de Marine, Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, parmi l'élite de l'armée française, sont morts.
Il est normal d'aller secourir les ressortissants français en danger partout où ils se trouvent. Il serait normal ensuite d'interroger ces "homos festivus" sur leur degré de responsabilité dans la situation que leur propre insouciance a créée, voire de leur faire payer les dommages, étant entendu que pour les parents des deux militaires, c'est la condamnation à la douleur à perpétuité.
Là où l'on dévisse complètement dans l'indignité, c'est quand on apprend que le chef de l'Etat les recevra en grande pompe à l'aéroport de Villacoublay, comme s'ils étaient des héros, alors que par leur comportement stupide et irresponsable ils ont mis en péril et causé indirectement mais clairement la mort de deux de nos concitoyens parmi les plus valeureux.
Mais, dans le fond, le bobo mondialiste, l'adulescent hors sol, le branchouille inclusif qui pense que la planète entière est son terrain de jeu et que l'homme par nature est bon, ne constitue-t-il pas une bonne définition et une parfaite connivence avec ce qu'incarne, aussi, la non-pensée macronienne?
Dans ces conditions, après tout, il est normal que tout ce petit monde se retrouve, en vie.
(*) Journaliste (Causeur, Marianne, etc) - Le titre est de la rédaction
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/05/11/le-prix-du-sang-6150175.html
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Aveuglement des «bien-pensants» face à l’islam
La tuerie anti-musulmane de Christchurch en Nouvelle-Zélande, survenue il y a six semaines environ, le 15 mars dernier, a causé cinquante morts et des dizaines de blessés
Elle a suscité un élan d’horreur planétaire.Le tueur, a-t-on lu, était un être abject, abominable, à éliminer au plus vite.
Il incarnait des idées à rejeter et à éliminer.
Quand bien même il se disait écologiste, rejetait explicitement le conservatisme, et se disait surtout hostile aux migrations et à la surpopulation, il a été présenté comme un «conservateur».
Nombre de juifs et de chrétiens ont affirmé aussitôt leur solidarité avec les musulmans.La tuerie anti-chrétienne qui s’est produite le 21 avril au Sri Lanka a été bien plus meurtrière, puisqu’il y a plus de trois cents morts et plus de cinq cents blessés, certains dans un état très grave, mais l’élan d’horreur a été moins important.
Les tueurs (car, cette fois, il y en avait plusieurs) n’ont pas été insultés et traînés dans la fange.
Leurs idées n’ont pas été fustigées, mais traitées avec précautions: pendant plusieurs heures, alors qu’il était absolument flagrant, au vu du mode opératoire, qu’il s’agissait d’une tuerie islamique, le mot «islam» n’a pas même été prononcé.
Lorsqu’il l’a été, il a été accompagné de circonlocutions évoquant un groupe bien particulier lié à l’État islamique.
Dire que cela a été une attaque anti-chrétienne, alors que c’était tout aussi flagrant, ne s’est fait qu’avec réticence.
Des dirigeants politiques ont même publié des communiqués désignant des «gens qui célébraient Pâques».
D’autres ont parlé d’attaques «contre des églises et contre des hôtels», comme si c’étaient surtout les bâtiments qui avaient été visés.
Le moins qu’on puisse dire est que les autorités religieuses musulmanes sont restées très discrètes.
Cette différence est terriblement significative.
La tuerie de Christchurch attaquait des musulmans sur un territoire occidental, et elle ne pouvait qu’être immédiatement condamnée par tous les «bien-pensants» du monde occidental.
Elle ne pouvait qu’être utilisée pour s’en prendre à tous ceux que les «bien-pensants» du monde occidental ciblent en général, fût-ce en pratiquant des amalgames abusifs.
La tuerie du Sri Lanka était gênante pour les «bien-pensants» du monde occidental: elle donnait le très mauvais rôle à des musulmans, et les victimes étaient des gens envers qui les «bien-pensants» éprouvent de l’indifférence, voire du dédain.
Elle donnait une image très négative de l’islam et montrait que des musulmans pouvaient tuer des gens pour la seule raison qu’ils ne sont pas musulmans.
Cette différence est effroyable et inquiétante.La «bien-pensance» qui sévit dans le monde occidental propage un aveuglement qui permet à l’islam de se répandre sur la planète.
Elle ment sur l’islam dans le cadre de cet aveuglement, en dépeignant celui-ci comme imprégné d’un esprit de paix et de fraternité, alors qu’il est un dogme guerrier incitant au meurtre et au massacre, et que ses victimes chaque année se comptent par milliers sur toute la surface de la terre.
Elle se fait ainsi complice des crimes et des massacres déjà commis et de ceux qui se produiront dans le futur.
Elle fait tout pour occulter ce qui devrait alarmer. Les chrétiens sont aujourd’hui le groupe religieux le plus persécuté du monde. Ce qui s’est passé au Sri Lanka est une horreur, mais des scènes d’horreur semblables se produisent sans cesse dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne, en particulier au Nigéria. Les Coptes, dont la présence en Égypte préexiste à l’émergence de l’islam, sont fréquemment massacrés.
Des pays tels que l’Irak et la Syrie ont subi une véritable épuration ethnico-religieuse anti-chrétienne. En Europe, églises, basiliques et cathédrales sont saccagées, profanées, incendiées par centaines chaque année. Tous les pays d’Europe où des communautés musulmanes nombreuses se sont implantées ont vu émerger des zones de non-droit qui sont en réalité des zones musulmanes autonomes.
Il est difficile de ne pas penser que la «bien-pensance » qui sévit dans le monde occidental cherche le pire et est imprégnée d’un amour vénéneux pour la haine et la destruction. L’arrêter dans ses basses œuvres relève maintenant de l’extrême urgence.
Guy Milliere
Tribune reprise de les4verites.com
https://fr.novopress.info/214495/aveuglement-des-bien-pensants-face-a-lislam/
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Cambriolages, croix gammées, « nique la France »… : Quand les migrants algériens basés à Paris viennent écumer le village de Montigny (77)
Les interpellations de migrants algériens, venus depuis Paris en train pour commettre des cambriolages à Montigny-sur-Loing, se succèdent.
Depuis plusieurs semaines, le commissariat de Moret ne cesse d’effectuer des interpellations en flagrant délit de cambriolage à Montigny-sur-Loing.
« Il s’agit d’équipes de migrants algériens basés à Paris qui se passent le mot, indique une source policière. Le village est facile d’accès, avec sa gare et ses pavillons tout proches. Les délinquants viennent en train, volent, puis repartent aussitôt ».
Placés 48 heures en garde à vue, ils ont tout cassé dans leur cellule, badigeonnant les murs avec leur sang, en inscrivant des croix gammées. (…)
« Ils tambourinaient sur les portes et se tapaient la tête contre les murs en hurlant « Nique la France ! ». Nous avons dû les casquer et les menotter, indique-t-on au commissariat. Leur état d’excitation était impressionnant, j’ai rarement vu ça ».
Assistés d’un interprète en langue arabe, les suspects ont décliné plusieurs identités fantaisistes, correspondant en fait à des personnages de fictions et de bandes dessinées algériennes. Ils ont par ailleurs refusé de se soumettre aux prélèvements d’empreintes.
L’un d’eux se prétendait mineur, mais les multiples radios de des os et de sa mâchoire l’ont contredit.
Au final, les clandestins ont été remis en liberté avec une convocation au tribunal correctionnel pour le mois de février 2020. Par ailleurs, une obligation de quitter le territoire français leur a été notifiée.
Voici quinze jours, deux autres Algériens – dont un mineur isolé – avaient été appréhendés à Montigny-sur-Loing pendant un cambriolage. Le mineur, dirigé vers l’Aide sociale à l’enfance, a depuis disparu dans la nature. Quant au majeur, il est censé repartir dans son pays d’origine…
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Le califat est mort, mais pas son calife : il nous promet une guerre d’usure.
Antoine de Lacoste
Après la débâcle de l’Etat islamique ...
La fin du califat en Syrie et en Irak ne signifie pas la fin de Daech, loin s’en faut. Pour ceux qui en douteraient, le sympathique Abou Bakr al-Baghdadi s’est rappelé à notre bon souvenir par une vidéo de 13 minutes suivie d’un enregistrement de 6 minutes.
Dans ces documents enregistrés courant avril, dans un lieu inconnu bien sûr (mais très probablement en Syrie ou en Irak), il évoque la bataille perdue de Baghouz et ses nombreux militants tués. Cela ne semble pas l’affecter outre-mesure, car « la guerre d’usure » qu’il nous annonce va, selon lui, s’étendre largement dans l’espace et dans le temps. Pour une fois nous sommes d’accord : le fléau du djihadisme n’en est qu’à ses débuts et ses exploits barbares se multiplieront assurément.
Le bon calife [Photo au temps de sa « splendeur »] se réjouit d’ailleurs des attentats anti-chrétiens commis au Sri-Lanka, preuve que la vidéo est très récente. Il annonce également le ralliement de plusieurs cellules situées au Mali, au Burkina-Faso, en Somalie, en Afghanistan et en Turquie. Le fait est déjà bien connu pour ces trois pays africains (nos militaires en savent quelque chose pour les deux premiers). En ce qui concerne l’Afghanistan, on a en effet pu observer ces derniers mois une activité soutenue de nouveaux groupes ayant fait allégeance à Daech. Composés de combattants aguerris, dont un certain nombre viennent directement de Syrie, ils se sont attaqués aussi bien à la piteuse armée afghane qu’aux talibans, avec qui ils sont évidemment en concurrence directe.
C’est d’ailleurs cette nouvelle menace qui a poussé les Américains à entreprendre des négociations avec les talibans. Trump veut en effet quitter ce pays où l’échec américain est total mais un départ immédiat de leurs 15 000 hommes entraînerait une chute presque immédiate du régime corrompu et discrédité qu’ils ont mis en place. Alors des discussions ont lieu depuis plusieurs mois entre talibans et Américains afin de préparer un futur accord de paix. Inquiets de la teneur d’un éventuel accord précipité, les Russes ont invité à Moscou, le 25 avril, les dits-talibans et de nombreuses personnalités politiques afghanes non issues du gouvernement. Les Américains ont été bien sûr très mécontents de cette rencontre mais ils n’ont guère le choix : c’est la Russie qui est voisine de l’Afghanistan, et non l’Amérique. En attendant, Daech se renforce sur le terrain.
Il est plus surprenant que Baghdadi ait cité la Turquie où l’Etat islamique fait moins parler de lui depuis un certain temps. Erdogan a du souci à se faire.
Baghdadi est donc vivant et, apparemment, en bonne santé. Cela ne change en réalité pas grand-chose : les morts de Ben Laden et de Zarkaoui ont immédiatement été comblées sans affecter les capacités opérationnelles des groupes qu’ils ont créés.
La menace islamiste, on le sait maintenant, n’est pas intacte, mais croissante. Ce que nous avons vécu en Europe n’est rien à côté de ce qui nous attend.
Beaucoup de Baghdadi sont déjà chez nous.
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Les femmes victimes de l’islamisation de la France. Dans le silence de Marlène Schiappa
Marlène Schiappa est bien silencieuse. Elise, 29 ans, portait une jupe dans le XIXe arrondissement. A la station Botzaris, le chauffeur du bus refusa d’ouvrir la porte. Il redémarra et repartit sans elles. Quelques mètres plus loin, le feu passa au rouge. Elise se mit alors à courir pour comprendre pourquoi. Et là, cet homme répondit: «tu n’as qu’à bien t’habiller» en regardant les jambes d’Elise que sa jupe laissait découvrir.
En rentrant, la jeune femme raconta sa mésaventure à son père, le poète Kamel Bencheikh. Cet homme n’hésite pas à dénoncer les barbus qui dans sa ville natale de Sétif ont vandalisé la statue de la femme nue de la fontaine Ain El Fourara réalisée en 1898 par le sculpteur français Francis de Saint-Vidal.
Jeannette Bougrab commente dans Le Figaro :
Deux journalistes du Nouvel observateur, avaient déjà révélé que des conducteurs de Bus, de métro et de RER refusaient de s’asseoir sur un siège occupé antérieurement par une femme, pire «certains s’enferment à clé dans les locaux réservés au personnel, interdisant aux femmes d’y entrer. D’autres traitent de «sale pute» celles qui ont le malheur de porter une tenue, selon leurs critères, un peu trop provocante». Cet article avait été publié le lendemain de l’attentat du Bataclan faisant plus de 90 morts, le 13 novembre 2015. L’un des trois assaillants Samy Amimour avait travaillé pendant presque deux années à la RATP au fameux dépôt du 93, en Seine Saint-Denis où il était affecté. Ce site traîne toujours cette mauvaise réputation d’abriter des «barbus».
Plus que jamais on devait être capable de tirer des conséquences quand des salariés ou agents musulmans radicaux témoignent de cette hostilité à l’endroit des femmes. Mais comment faire quand le licenciement d’un chauffeur de bus de Clermont-Ferrand qui refusait de serrer la main à ses collègues féminines a été jugé «sans cause réelle et sérieuse» par le conseil des prud’hommes? La juridiction condamna même l’employeur à verser une indemnité de 27.000 euros à son ancien salarié.
Devant l’indignation soulevée par le comportement de cet agent à l’encontre d’Elise et son amie, la RATP a décidé d’entamer une procédure disciplinaire à l’encontre de ce conducteur qui selon la Régie travaille depuis quatre ans dans l’entreprise et qui «n’a aucun antécédent dans son dossier» et «n’a jamais eu à faire l’objet d’observation ou de sanction quant à son comportement». Ces éléments laissent à penser en réalité qu’il ne se passera sans doute rien.
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Européennes : secousses au sommet – Journal du lundi 6 mai 2019
Européennes : secousses au sommet
La République en Marche prend l’eau. Depuis l’annonce de Nathalie Loiseau comme tête de liste, le parti présidentiel semble sur la mauvaise pente pour les élections européennes. Les sondages plaçant le Rassemblement National en tête s’enchaînent et le Républicain, François-Xavier Bellamy, semble dans une dynamique favorable.
Harcèlement moral : Orange sur le banc des accusés
Sale temps pour Orange. Dix ans après une importante vague de suicides de salariés, l’opérateur téléphonique et ses anciens dirigeants doivent répondre de harcèlement moral institutionnel… Un procès qui ne devrait pas être tenu éloigné bien longtemps du contexte politique avec la crise sociale des Gilets Jaunes.
Iran : coup de billard à trois bandes pour les Américains
Alors que de nouvelles tensions agitent la Palestine et le Liban, les Etat-Unis déploient un porte-avions dans la région menaçant directement Téhéran. Une manoeuvre militaire en forme de provocation que nous explique le consultant international Richard Labévière.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/europeennes-secousses-au-sommet-journal-du-lundi-6-mai-2019