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insécurité - Page 507

  • Gilets jaunes: une information judiciaire ouverte pour violences policières à Toulon

    police.jpgLe procureur de la République de Toulon a récemment ouvert une information judiciaire après qu'un commandant de police avait été filmé, en janvier, en train de frapper un homme en marge d'une manifestation de gilets jaunes. 
    Un commandant de police avait été filmé en janvier en train de frapper un homme en marge d'une manifestation de gilets jaunes à Toulon: six mois après, une information judiciaire a été ouverte, a indiqué ce vendredi le parquet de Toulon.
    "J'ai saisi un juge d'instruction pour violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique", a indiqué à Bernard Marchal, procureur de la République de Toulon, confirmant une information du journal Libération.
    Cette saisie "contre X" vise des violences commises le 5 janvier par le commandant de police Didier Andrieux, responsable par intérim des forces de police locales, filmé par des gilets jaunes en train de procéder à l'interpellation musclée d'un homme. Les images, le montrant en train de lui asséner des coups au visage alors que l'individu semblait maîtrisé par ses collègues policiers, avait provoqué la polémique sur les réseaux sociaux.
    [...]
    En savoir plus sur bfmtv.com

  • Quand les médias cachent les violences des migrants, quelqu’un doit en parler

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    Tout comme en France et dans la plupart des pays européens, en Espagne également, des ordres sont donnés afin que les médias en général et plus particulièrement les chaînes de télévision s’abstiennent de fournir des informations sur les identités et, surtout, les origines des auteurs des crimes, agressions violentes, viols, vols, etc. afin de ne pas stigmatiser les migrants clandestins, qu’ils soient mineurs ou adultes, qui représentent un pourcentage très élevé de cette délinquance agressive.

    Ainsi, par exemple, la chaîne espagnole « Telediario 6 » a occulté la nationalité des voyous qui ont violé en groupe, à Manresa (Catalogne) une jeune fille de 17 ans qui elle-même les avait désigné à la police catalane comme étant quatre maghrébins.

    Et ce n’est pas la première fois que cette chaîne, véhiculant une idéologie d’extrême gauche, omet d’informer correctement.

    Cette jeune fille avait commis l’imprudence de se laisser convaincre, par l’un des clandestins rencontré au cours de la soirée, de le suivre dans l’appartement qu’il occupait, 17 rue de Aiguader, et c’est vers trois heures du matin que lui-même et trois complices, âgés de 18 à 25 ans, ont abusé d’elle sexuellement.

    Nombreuses sont les provinces espagnoles qui se trouvent confrontées à cette insécurité à cause des très nombreux mineurs isolés clandestins, d’origine maghrébine, qui sévissent dorénavant en toute tranquillité.

    Le responsable de la police nationale de la province d’Aragon vient d’affirmer qu’entre trois heures et quatre heures vingt du matin ses services ont été alertés à plusieurs reprises pour des vols avec violence, notamment à Zaragosse, dans le quartier de San Pablo.

    Quatre mineurs ont menacé d’un couteau une jeune fille, avenue Goya, pour lui voler son portable. Deux autres mineurs clandestins venaient de commettre plusieurs agressions violentes rue Saint-Vincent de Paul et une patrouille a pu interpeller deux mineurs à l’instant où ils allaient dérober un mobile à un adolescent, rue Aguadores.

    Vers 4 h du matin ce fut une dernière victime, pour cette même nuit, qui a été rouée de coups, également pour lui voler son portable.

    Les policiers recherchaient également cinq mineurs auteurs de nombreuses agressions et vols, sur deux adolescents qui rentraient chez eux.

    Dans la région de Valence, à Jativa, ce sont deux marocains de 25 et 31 ans qui ont été arrêtés par la police nationale après avoir abusé sexuellement d’une jeune fille, après avoir procédé à des attouchements.

    Nous avons déjà eu l’occasion, hélas, d’informer sur cette nouvelle délinquance qui frappe la péninsule ibérique depuis ces cinq dernières années, à Murcia, Llorca, Malaga et dans toute l’Andalousie. A présent cela s’étend à toutes les provinces et notamment dans le nord-est, qui est devenu le chemin le plus direct vers la France.

    Mattéo Salvini a sauvé momentanément l’Italie, qui a dû subir une délinquance identique durant des années, mais qui sauvera l’Espagne ? Tous les regards se tournent vers VOX.

    Quant à la France, nous venons de le constater ces derniers jours avec les « supporters » algériens, il est à craindre qu’il ne soit déjà trop tard !

    © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

    https://www.alterinfo.ch/2019/07/17/quand-les-medias-cachent-les-violences-des-migrants-quelquun-doit-en-parler/

  • Pourquoi ce silence médiatique sur le scandale sexuel en Italie ? Parce que cela touche le Parti Démocrate et des activistes LGBT ?

    Pourquoi ce silence médiatique sur le scandale sexuel en Italie ? Parce que cela touche le Parti Démocrate et des activistes LGBT ?

    De Xavier Eman dans Présent :

    Vous n’en avez entendu parler ni à la radio ni à la télévision, pourtant l’Italie est actuellement secouée par un scandale particulièrement grave et sordide. En effet, une trentaine de personnes, dont des médecins, des travailleurs sociaux et des politiciens du Parti démocrate (équivalent transalpin du Parti socialiste), ont été interpellées, soupçonnées d’avoir manipulé des enfants pour les soustraire à leurs parents et les vendre à des foyers d’accueil où certains auraient été abusés sexuellement.

    Ce sont les carabiniers de Reggio Emilia, dans le nord de l’Italie, qui ont mis au jour ces agissements criminels. Un véritable système de « traite d’enfants » mis en place notamment par certains services sociaux en lien avec des associations dites de « protection de l’enfance ». Les différents protagonistes utilisaient des prétextes mensongers ou fallacieux pour retirer des enfants à leur famille biologique et les « plaçaient » ensuite – moyennant rétribution bien sûr – auprès de certains de leurs « amis » et autres « connaissances ».

    C’est une augmentation anormale du nombre d’enfants « retirés » – souvent au prétexte d’agressions sexuelles inventées de toutes pièces – qui a alerté les autorités policières qui ont décidé d’ouvrir une enquête en août 2018. Celle-ci vient donc d’aboutir avec la mise au jour de ce véritable réseau criminel qui n’hésitait pas à falsifier des rapports d’assistantes sociales, à insérer des allusions sexuelles dans des dessins d’enfants, et même à fabriquer de faux souvenirs de maltraitance et d’abus divers au cours de véritables séances de « lavage de cerveau ».

    Les enfants manipulés, ainsi conduits à s’éloigner voir à détester leurs parents, étaient ensuite confiés à des « foyers d’accueil » (par exemple : un propriétaire de sex-shop ou encore l’ex-partenaire homosexuelle d’une des psychologues mises en cause…) où un certain nombre d’entre eux ont subi des agressions sexuelles, bien réelles cette fois. Deux cas de viol au moins ont déjà été établis. Cet ignoble système aurait rapporté des centaines de milliers d’euros à ses instigateurs.

    Au-delà des faits particulièrement atroces, c’est aussi le traitement médiatique de l’affaire qui choque de nombreux Italiens, ou plus exactement l’absence de traitement médiatique car c’est une véritable omerta qui entoure encore aujourd’hui ces faits. Ce silence gêné des « gros » médias s’explique par le profil des personnes impliquées : des élus du Parti démocrate – dont le maire de Bibbiano, Andrea Carletti –, des activistes LGBT, des thérapeutes et des membres du « monde associatif »… […]

    https://www.lesalonbeige.fr/pourquoi-ce-silence-mediatique-sur-le-scandale-sexuel-en-italie-parce-que-cela-touche-le-parti-democrate-et-des-activistes-lgbt/

  • Retour sur les violences de "supporteurs" (?) algériens : Robert Ménard pose la bonne question...

    "Ces supporters de l’Algérie sont-ils des Français de cœur ou des Français de CAF ?" 

    17'26 de bon sens, à écouter ici (désolé pour la publicité d'introduction) :

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/07/24/sur-tv-libertes-robert-menard-pose-la-bonne-question-6165993.html#more
  • Procès des assassins des jeunes Scandinaves : vive les juges marocains !

     Passionnées de nature et de randonnées, Louisa Vesterager Jespersen, 24 ans, et Maren Ueland, 28 ans, ont été tuées à l’arme blanche dans leur sommeil.

    Nul n’a pu oublier l’horreur intégrale, inimaginable, engendrée par la découverte, le 17 décembre 2018, au Maroc près du village d’Imlil, base principale pour rejoindre le mont Toubkal, point culminant de l’Atlas, des corps de deux jeunes touristes scandinaves : Louisa Vesterager Jespersen, une étudiante danoise de 24 ans, et son amie Maren Ueland, une Norvégienne de 28 ans.

    Ce matin du 17 décembre 2018, deux randonneurs français faisaient la macabre découverte. Elles avaient été violées, torturées – l’une portait les traces de 23 coups de couteau, l’autre 7 – puis finalement décapitées. Vision insoutenable filmée par un des assassins, qui a circulé sur les réseaux sociaux, ainsi qu’une autre montrant leur allégeance à l’EI (État islamique). La vidéo du meurtre montre un homme en train d’égorger l’une d’entre elles, sa compagne à ses côtés, toutes deux baignant dans une mare de sang ! On n’ose imaginer le calvaire et les souffrances endurées par ces deux jeunes femmes, avant de mourir, la mort devenant alors une délivrance…

    Comment des êtres humains peuvent-ils se comporter de la sorte envers d’autres êtres humains ? Qui plus est, deux si jolies jeunes femmes.

    L’explication réside pour une bonne part dans la lecture du Coran, guide suprême des musulmans qui incite au combat, à la vengeance, à la violence, telle la sourate 4 verset 84 :

    « Combats donc dans le sentier d’Allah, tu n’es responsable que de toi-même, et incite les croyants (au combat). Allah arrêtera certes la violence des mécréants (chrétiens et juifs). Allah est plus redoutable en force et plus sévère en punition ».

    Sans oublier le fait que les garçons sont initiés très jeunes à l’égorgement rituel :

    Peut-on dès lors s’étonner de la violence et de l’absence d’émotion d’individus habitués, j’ai envie de dire encouragés, à faire fi de la souffrance d’autrui ? Cela semble évident. Il est permis de se poser des questions sur la nocivité évidente du Coran sur des esprits faibles, incapables de raisonnement et de sens critique. À l’instar de Mein kampf, le Coran devrait être interdit !

    Il suffit de lire quelques sourates et versets, ou encore les hadiths, pour comprendre que, prétendre l’islam  une religion d’amour, de tolérance et de paix est une vaste foutaise. Cela ne prend plus !

    Les médias ont coutume, à chaque attentat ou presque, pour minimiser les faits, de qualifier les coupables de « déséquilibrés ». Mais à bien y réfléchir, n’y a-t-il pas une part de vérité qu’il faut rechercher dans le Coran ?

    Cela n’est pas dans nos habitudes, mais cette fois il convient de doublement féliciter le gouvernement chérifien pour sa réactivité dans l’arrestation et le jugement des trois bourreaux âgés respectivement de 25, 27 et 33 ans, jugement prononcé le 18 de ce mois : la peine de mort.

    Je vais sans doute recevoir une avalanche de critiques, voire pire, du « camp du Bien » mais par avance je précise que je m’en moque et que, oui, je suis pour la peine de mort dans certains cas, et bien évidemment dans celui-ci. Ils mériteraient la même mort que celle qu’ils ont donnée.

    Encore une fois bravo à la justice marocaine. Nos magistrats feraient bien de s’en inspirer. Les Français sont exaspérés d’avoir une justice qui n’en est plus une. Une justice qui marche « sur la tête ». À force, elle finira bien par se casser la figure !!

    Oriana Garibaldi

    https://ripostelaique.com/proces-des-assassins-des-jeunes-scandinaves-vive-les-juges-marocains.html

  • Suicides dans la police : ne serait-il pas temps que syndicats et administrations se mettent d’accord ?

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    À l’instar de l’année 1996, au cours de laquelle pas moins de 70 suicides de policiers avaient été dénombrés, l’année 2019 risque fort de compter parmi les plus sombres. Avec les nouveaux suicides, ces derniers jours, de deux policiers, l’un dans le Pas-de-Calais et l’autre dans le Gard, ce sont désormais pas moins de 41 fonctionnaires de police qui ont mis fin à leurs jours depuis le 1erjanvier. Et, une nouvelle fois, syndicats et ministère de l’Intérieur se renvoient la balle quant aux raisons qui présideraient à ce phénomène au sein de l’institution policière.

    D’après les statistiques disponibles, 30 à 50 policiers se suicident chaque année en France. Ces chiffres, qui ne représentent que des moyennes, attestent de ce que les autolyses qui touchent cette corporation sont de près de 40 % supérieures à la moyenne nationale. Pourtant, si cette situation est connue depuis longtemps par les différents partenaires concernés, l’administration rechigne toujours à faire la lumière sur ces faits largement préoccupants.

    Même si les conclusions, déjà anciennes, du sociologue Émile Durkheim relatives aux modalités du passage à l’acte lors du suicide ont pu être en partie remises en cause, il reste établi que le phénomène n’a rien d’univoque. En effet, dans son ouvrage consacré au suicide publié en 1897, le père de la sociologie moderne avait déjà émis un certain nombre d’hypothèses accréditant l’idée que si le suicide était bien un fait social, c’est-à-dire inhérent aux sociétés humaines, il pouvait s’expliquer de multiples manières. De ce fait, et malgré quelques nuances spécifiques à chaque cas d’espèce, se suicider devenait non pas une fatalité mais l’aboutissement d’un processus éminemment personnel. A priori, le suicide des policiers n’échappe pas à cette règle. Et les facteurs susceptibles d’y conduire sont faciles à identifier dès lors que l’on admet qu’ils sont le plus souvent à la fois personnels, c’est-à-dire qu’ils s’inscrivent dans une histoire de vie, mais également qu’ils sont corrélés par un vécu professionnel hors normes.

    Ainsi, le message porté par les syndicats de police, même s’il est en partie réel et vérifiable, ne saurait expliquer à lui seul le passage à l’acte suicidaire. De la même manière, celui défendu par l’administration policière selon lequel le suicide serait une affaire exclusivement personnelle ne résiste pas plus à l’analyse. Mais à travers ces positionnements de principe, il est facile de déterminer les enjeux de chacun. Les premiers sont tentés de se servir du phénomène comme d’un levier qui permettrait d’obtenir des avancées corporatistes. La seconde espérant, quant à elle, qu’une éventuelle enquête approfondie sur ce sujet remettra en question un mode de management interne largement dépassé.

    Pourtant, dans l’intérêt des policiers eux-mêmes, syndicats et administration auraient toutes les raisons de s’entendre pour faire la lumière sur ce qui s’apparente maintenant à une véritable hécatombe. Seule une enquête épidémiologique sérieuse et indépendante pourra déterminer les véritables causes qui conduisent de plus en plus de policiers (mais aussi un certain nombre de gendarmes) à mettre fin à leur vie dans des conditions dramatiques. Une telle procédure permettrait de trouver les solutions qui s’imposent en termes d’organisation du temps de travail, de reconnaissance, de conditions d’exercice du métier de policier et de mesures sociales aujourd’hui indispensables. Mais cela nécessite une réelle volonté de transparence de la part du ministre de l’Intérieur, dont les actes posés jusqu’à maintenant pour lutter contre le suicide dans la police sont encore bien insuffisants.

    Olivier Damien

    https://www.bvoltaire.fr/suicides-dans-la-police-ne-serait-il-pas-temps-que-syndicats-et-administrations-se-mettent-daccord/

  • LA GUERRE D’ALGERIE N’EST PAS FINIE !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    « Jamais deux sans trois », nous apprend un dicton. Par trois fois, au prétexte que l’Algérie s’est qualifiée aux éliminatoires et à la finale de la coupe africaine des nations, une partie de la jeunesse algérienne, pardon «…française », s’est déversée dans les rues de nos principales villes pour clamer sa joie et, accessoirement pour certains, commettre vols et déprédations, ainsi qu’ attaquer les forces de l’ordre. Ces dernière, il faut bien le constater, ont réagi bien plus mollement que contre les « Gilets jaunes » : point de flash ball ni de matraquages, seulement des gaz lacrymogènes lancés contre les émeutiers. Le pouvoir, qui est tétanisé lorsqu’il s’agit de l’Algérie, avait-il donné des ordres de « modération » à ses « prétoriens 

    Des stigmates non effacés

    Depuis l’indépendance de l’Algérie en juillet 1962, les stigmates de la guerre qui nous a été imposée à partir de la Toussaint 1954, sont toujours aussi « saignants » si je puis dire.

    En effet, la Guerre d’Algérie n’est pas finie. D’un côté, on continue de stigmatiser l’oeuvre coloniale française, - et le Président Macron, lorsqu’il était candidat, rappelez-vous, était à la manœuvre en dénonçant depuis Alger, les prétendus « crimes contre l’humanité » commis par notre pays -, de l’autre le FLN, qui  n’a jamais reconnu les massacres des harkis, les assassinats et les enlèvements de Pieds noirs. (Notamment à Oran, le jour même de la proclamation de l’indépendance).

    S’il n’est pas question dans cette chronique de revenir sur la pseudo indépendance d’El Djézaïr, - mal gouvernée, elle crève sous sa manne pétrolière qui va en s’épuisant, tout le monde le sait -, mais de dénoncer les collabos qui polluent nos médias et qui peuplent les allées du pouvoir politique et médiatique français. L’occasion nous en est donnée par les scandaleuses manifestations de ces maghrébins d’origine algérienne, notamment dans les rues de Paris, symboliquement le 14 juillet au soir. Que je sache, les Sénégalais, qualifiés eux aussi pour la finale gagnée par les Fennecs, ne sont pas descendus sur la voie publique pour crier leur joie et en profiter, au passage, pour démontrer sinon leur haine, tout au moins leur hostilité au pays qui les abrite, les éduque et les nourri !

    Car, redisons-le, en raison de lois iniques, tous les maghrébins d’origine algérienne, de quelque générations qu’ils soient, sont considérés comme étant « français », - entre guillemets pour moi -, en raison du lieu de leur naissance, c’est-à-dire la France. (Utilisons une amusante métaphore champêtre : comme si un lapin, né dans un poulailler, allait pondre des œufs frais !). C’est l’infect jus solis, le droit du sol qu’il faudrait supprimer et remplacer par le jus sanguinis, le droit du sang : « être Français, cela s’hérite ou se mérite » ! Car tous ces pseudos Français descendant dans la rue, couverts de drapeaux algériens ou le brandissant, n’expriment rien d’autre que leur amour pour une équipe qui est réellement la leur, pas le onze tricolore.

    « Français » quand ça les arrange ?

    Après tout, pourquoi pas ? Mais alors, dans ces conditions, pourquoi sont-ils « Français » ? Pour les avantages que pourraient procurer, à l’étranger, la possession d’un passeport de notre belle république, pour la soupe, les aides sociales diverses et variées ? Comme le disait en toute franchise et sans animosité un supporter Marseillais des Fennecs interrogé sur une chaine d’infos en continu, je cite de mémoire, « ce drapeau est historique, on l’a dans le cœur ! ». Dans ces conditions, pourquoi ces messieurs-dames ne quittent-ils pas ce pays, la France, la Gaule, qui n’est pas le leur ? Pourquoi ne renoncent-ils pas à cette nationalité dont ils vomissent le pays, la distribuant entre parenthèses, TROP généreusement ? Et il se trouve des parlementaires, notamment la sénatrice Esther Ben Bassa par exemple, du groupe écolo, pour stigmatiser à la télévision les défenseurs d’une France française, comme sa collègue de Marseille, socialiste, d’origine maghrébine dont j’ai oublié le nom, ainsi qu’un anonyme député LREM du Val de Marne, qui s’indignait que l’on puisse stigmatiser ces supporters. Eh bien oui, n’est-ce pas, quoi de plus naturel, de plus normal, que des « Français » supportent, parfois dans la violence et même dans l’homicide,* la victoire d’une équipe étrangère ? Combien de pseudos journalistes se sont engouffrés dans cette brèche, en s’indignant que des Français « de souche », comme on dit, et pas uniquement membres d’ailleurs du Rassemblement national, puissent trouver anormal que des « compatriotes », parait-il, soutiennent des footeux étrangers ?

    Un pouvoir normal se poserait la question de la double allégeance et de la double nationalité. J’ai déjà eu l’occasion de citer cet exemple : ma cousine qui s’est mariée il y a plus de 50 ans avec un Italien, pouvait à la fois voter pour Sarkozy, et pour Berlusconi, - nul n’est parfait -, c’était son choix. Elle vient ENFIN, de renoncer à sa nationalité française et, désormais, ne voter qu’en Italie… (Pour Salvini j’espère !). Les Franco-algériens sont les seuls, les seuls supporters à descendre dans la rue et à manifester, surtout bruyamment, violemment, agressivement, la victoire de ceux qui sont, en fin de compte, comme le disait le  « jeune » marseillais interrogé sur C-News ou LCi, je ne sais plus, « du même sang ! ». C’est lui qui utilisait cette formule très « racialiste ». Il serait temps que l’on considère, une bonne fois pour toutes, que la guerre d’Algérie n’est pas terminée, qu’elle se poursuit sur notre sol sous d’autres formes.

    « Vérité et réconciliation » ?

    Tant qu’une commission mixte d’historiens objectifs, - dur, dur de les trouver -, ne sera pas mise sur pied officiellement et conjointement pour explorer toutes les zones, - ombres et lumières confondues -, de l’histoire franco-algérienne, dans un esprit type « vérité et réconciliation » à la sauce «  Mandela », rien de serein ne sera possible dans les relations, d’une part entre Français de souche et immigrés algéro-descendants et, d’autre part, entre les républiques française et algérienne. Pour ma modeste part, et je ne suis pas un « Pied noir », je considère que le fossé est toujours trop profond entre nos deux pays pour qu’une relation normale et apaisée puisse s’établir entre Paris et Alger, comme c’est peut-être le cas entre Paris et Rabat, Paris et Tunis. Tout le reste n’est que littérature. Il y a certes, nos intérêts économiques et géostratégiques bien compris qui comptent, - et Alger est un partenaire incontournable -, mais nous ne pouvons pas, PLUS, passer par pertes et profits toutes les humiliations, toutes les avanies que nous subissons de la part de ces gens-là.

    Qu’ils balayent d’abord devant leur porte ! A mon sens, c’est à ces conditions-là que nous pourrions avoir des relations diplomatiques très amicales, à défaut d’être jamais fraternelles.

    *A l’heure où ces lignes sont écrites, il semblerait qu’un universitaire guinéen, considéré par méprise comme étant un supporter sénégalais, ait été brutalement « effacé » du monde des vivants ! (Sources : chaines d’infos en continu).

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Des péages sur les routes nationales : une (mauvaise) idée qui fait son chemin

    Des députés LREM militent pour que des tronçons de nationale soient concédés aux groupes autoroutiers. Oubliant que le privé n’a pas fait la preuve de son efficacité. Par Éric Vernier et L’Hocine Houanti* (The Conversation)

    Les vacances approchent et vous vous apprêtez, comme de nombreux Français, à prendre la route. Et, qui sait, peut-être allez-vous vous-même emprunter les nationales pour éviter le coût trop élevé des péages ? Sauf que votre tactique risque de devenir inutile dans les mois à venir. En effet, les nationales pourraient bien être à leur tour privatisées.

    Ainsi d’après La Lettre A du 5 juin 2019, « des amendements au texte de loi d’orientation des mobilités, actuellement examiné à l’Assemblée nationale, vont autoriser l’État à faire entrer des dizaines de kilomètres de routes nationales dans le régime concessif, à la grande satisfaction des groupes autoroutiers ».

    Une idée fait donc son chemin depuis au moins 2015, portée par les sociétés d’autoroutes et reprise depuis par des députés LREM et le gouvernement : privatiser les routes nationales et installer des péages. Ce projet est notamment relayé dans les médias et au niveau politique par l’Institut européen de recherche militant pour la liberté économique et la concurrence fiscale (Iref), un think tank français. Or, plusieurs écueils apparaissent, mettant en avant des contradictions inhérentes à la construction sociale même de la France.

    L’usager-payeur, un principe absurde

    Deux théories principales sont mobilisées pour analyser la privatisation : les théories néo-institutionnelles des organisations et l’économie institutionnelle de la réglementation. Elles développent un argumentaire en faveur des privatisations construites sur deux idées complémentaires : la gouvernance classique notamment par le contrôle par le marché des capitaux ou encore la menace de liquidationqui fait défaut aux entreprises publiques. Dans le même sens, la théorie de l’agence stipule que l’actionnariat privé dispose de plus d’outils de contrôle de la gouvernance que l’actionnariat public qui n’est pas engagé financièrement.

    C’est oublier que l’efficacité des politiques de privatisation reste mitigée. Certes, certains auteurs ont démontré une amélioration de la performance des entreprises à la suite de leur privatisation comme au Mexique ou sur l’emploi. Cependant, des chercheurs, comme Joel T. Harper qui a travaillé sur des entreprises tchèques en 2001, ont pu conclure que l’amélioration des résultats est plus expliquée par le secteur d’activité et le degré de concurrence que le changement du statut de l’entreprise. L’expérience des pays africains, notamment avec les fameux plans d’ajustement structurel, est très parlante. Les conséquences socio-économiques sont importantes et se traduisent par des fermetures d’entreprises et des licenciements massifs mettant des familles entières sans revenu de survie. Dans le cas algérien, entre 1994 et 1998, 1 010 entreprises publiques ont dû fermer et plus de 500 000 emplois ont été supprimés.

    Dans nombre de ces pays africains, le secteur privé compétitif n’a pas pu émerger à cause notamment des spécificités sociopolitiques lourdes : bureaucratie, corruption généralisée, monopole de la « mafia » politico-financière sur les secteurs stratégiques, prédominance du marché parallèle. Certains pays africains ont même fait un retour vers les nationalisations dans les grands services publics comme l’eau, l’électricité, les télécommunications ou encore les chemins de fer ou la sidérurgie (Tanzanie, Namibie…) Sur un autre continent, la privatisation de l’électricité au Chili a entraîné des coupures d’approvisionnement pendant plusieurs mois, ce qui a affecté les entreprises elles-mêmes. En Grande-Bretagne, la privatisation de l’électricité a été accompagnée d’une hausse en quatre ans de 20 % des factures en défaveur des consommateurs.

    Les raisons, au-delà de la recherche de la rentabilité optimale pour financer les dividendes des actionnaires, se trouvent dans la philosophie même des entreprises privées qui gèrent les biens et services publics comme des biens privés. L’autre problème posé par la privatisation concerne les salariés. Ces derniers sont perçus comme un simple facteur de production qu’il faut payer le moins cher possible et qui demeure facilement licenciable et flexible à tous les niveaux.

    Le lien entre, d’une part, privatisation des routes et, d’autre part, efficacité et rentabilité n’est donc pas si clair.

    Les autoroutes, sources de disputes

    Les profits des sociétés d’autoroute sont très élevés, autour de 17 % du chiffre d’affaires, un rendement exceptionnel. Et ces bénéfices ne cessent d’augmenter : 20 % en dix ans. Cette augmentation sera encore plus importante sous l’effet du rattrapage accordé par l’État entre 2019 à 2023 à la suite du gel des tarifs décidé en 2015 par Ségolène Royal, ministre de l’Écologie et signé par Emmanuel Macron, ministre de l’Économie.

    Cette manne financière ne présage pourtant pas en contrepartie d’un bon entretien des réseaux, à l’exemple du reste du continent. L’Europe dispose de 80 000 kilomètres d’autoroutes, dont une minorité est privatisée : l’Italie, l’Espagne, la Grèce, le Portugal et partiellement la Croatie. Les résultats sont plus qu’édifiants. En Italie, le réseau est vieillissant et manque cruellement d’investissement et d’entretien. En quatre ans, une dizaine de ponts, dont celui de Gênes, se sont écroulés dans le pays.

    Les Portugais se détournent des autoroutes considérées trop chères et inaccessibles.

    D’autres pays européens disposent d’autoroutes gratuites à l’exemple de l’Allemagne. Dans ce modèle, c’est l’impôt acquitté par l’ensemble des citoyens qui assume indirectement les coûts des autoroutes.

    « UN OPÉRATEUR PRIVÉ QUI OPTERAIT POUR UNE TARIFICATION OPTIMALE EST CONDAMNÉ À LA FAILLITE »

    La théorie des parties prenantes intègre la notion d’externalités (retombées positives ou négatives d’une action). Or, la libre circulation gratuite dégage de nombreuses externalités positives qu’il ne faut pas négliger : bien-être des personnes favorable à la productivité, élargissement du bassin d’emploi permettant de trouver la bonne personne pour le bon poste, élévation du niveau de connaissances…

    L’enjeu économique primordial des privatisations, du point de vue de l’intérêt général, est l’efficience dans la gestion des actifs en assurant leur transfert du secteur public marchand vers la sphère privée. Or, la justification d’un interventionnisme de l’État dans la sphère économique et industrielle, voire la propriété publique d’entreprise, trouve son essence dans les défaillances du marché déjà démontrées notamment en 1929 et en 2007. Certaines situations, comme les monopoles naturels (activités à coûts fixes importants à l’exemple du rail, de l’électricité, des routes…), sont autant de scénarios qui favorisent le rôle économique des États.

    Les coûts fixes importants et l’accumulation des différentes charges (entretien des rails et des routes, par exemple) font qu’un opérateur privé qui opterait pour une tarification optimale est condamné à la faillite. L’équation est très simple pour l’opérateur privé : soit il fixe lui-même ses prix au détriment du bien-être collectif, soit il sera dans l’incapacité de couvrir ses frais.

    Ce constat ne justifie pourtant pas toutes les nationalisations notamment celles d’entreprises qui opèrent dans des marchés concurrentiels. C’est la somme des intérêts contradictoires de toutes ces parties prenantes qui doit être mesurée pour une véritable évaluation de l’efficacité des politiques de privatisation. Et le modèle français a toujours porté l’attention sur cet équilibre entre toutes les parties.

    Un concept incohérent

    Cependant, le « paiement à l’usage » généralisé mettrait fin au contrat social pour un unique contrat : le contrat marchand. Dans une période socialement et économiquement difficile, notamment avec le mouvement des Gilets jaunes qui est né du sentiment d’injustice fiscale et de l’excès du coût des trajets en voiture, vouloir faire payer encore plus le trajet domicile-travail relève de la provocation.

    Nous voyons ici l’incohérence d’un tel concept. Car la privatisation des routes amènerait irrémédiablement l’État à devoir subventionner ces trajets pour alléger le budget des Français les plus modestes. Une nouvelle usine à gaz, plus coûteuse que le bénéfice de la privatisation, serait créée et enrichirait un peu plus les sociétés d’autoroutes par une compensation payée par le contribuable. Nous tomberions une fois de plus dans le principe de la socialisation des pertes et de la privatisation des profits. Apparaît donc la question de la compatibilité républicaine et de l’acceptabilité citoyenne du prix. Et, au-delà, celle d’un monde où tout deviendrait marchand.

    *Éric Vernier est directeur de la chaire commerce, échanges & risques internationaux — ISCID-CO, université du Littoral-Côte-d’Opale, Chercheur au LEM (UMR 9221), université de Lille ; L’Hocine Houanti est professeur d’économie, Excelia Group — UGEI.

    Source : Le point

    https://www.patriote.info/actualite/economie/des-peages-sur-les-routes-nationales-une-mauvaise-idee-qui-fait-son-chemin/

  • Le bras de fer se poursuit entre les États-Unis et l’Iran

    Le bras de fer se poursuit entre les États-Unis et l’Iran

    D’Antoine de Lacoste sur Boulevard Voltaire :

    Chaque jour, la tension monte entre Washington et Téhéran. Après le drone américain abattu par les Gardiens de la révolution iraniens (on ne sait, d’ailleurs, toujours pas avec certitude si ce drone était ou non dans les eaux iraniennes), c’est maintenant un drone iranien qui a été détruit. C’est, en tout cas, ce qu’affirme Donald Trump. Les Iraniens démentent, mais selon Le Figaro, une source militaire française confirme la version américaine. Quelques jours auparavant, la marine iranienne avait arraisonné un pétrolier « étranger » qui se livrait à de la « contrebande de pétrole ».

    Au-delà de cette pittoresque bataille de drones et de pétroliers, on peut se demander jusqu’où ira ce bras de fer entre les deux ennemis – car il faut bien les appeler ainsi.

    Les Américains tentent de créer une coalition internationale qui enverrait des navires de guerre dans le détroit d’Ormuz afin d’escorter les pétroliers. Plusieurs « tankers » ont, en effet, été arraisonnés ou endommagés par des attaques à l’origine incertaine, et Trump voudrait saisir cette occasion pour sensibiliser les Européens à la sécurité de l’approvisionnement du pétrole.

    C’est peu de dire que ces derniers ne saluent pas cette idée avec beaucoup d’enthousiasme. Même les Anglais, fidèles valets de Washington en maintes occasions, ont manifesté une réticence immédiate. Certes, ils viennent d’arraisonner un pétrolier iranien près de Gibraltar et de faire prisonnier son capitaine, mais de là à envoyer sa flotte dans le détroit d’Ormuz face à l’Iran ! La France n’est pas, non plus, enthousiaste et l’Allemagne n’existe pas militairement.

    L’idée des Européens est toujours la même : sauver l’accord nucléaire signé après tant d’effort. C’est louable, mais on ne voit pas bien ce qui pourrait faire revenir Donald Trump sur sa décision de dénoncer cet accord en 2018. Ils ont également manifesté leur désaccord sur l’alourdissement des sanctions américaines. Elles provoquent le marasme économique dont toute la population iranienne souffre, renforcent le clan des durs et affaiblissent le président Rohani, artisan de l’accord nucléaire et dangereusement fragilisé aujourd’hui.

    Les Européens ont également eu l’idée, intéressante, de contourner ces sanctions en créant un système de troc qui permettraient aux entreprises européennes de ne pas faire de transactions en dollars et d’éviter, ainsi, des amendes astronomiques. Ils ont malheureusement été incapables de mettre en œuvre cet outil qui n’est qu’une coquille vide. Alors, à quoi sert l’Europe ? Cette question cent fois posée reste toujours d’actualité…

    Trump ne parvient pas, non plus, à convaincre ses alliés locaux (hormis Israël et l’Arabie saoudite). Les Émirats arabes unis, par exemple, en première ligne face à l’Iran, n’ont aucune envie d’expérimenter la fiabilité des missiles iraniens.

    Coincé entre sa rhétorique anti-iranienne et les volontés bellicistes de Bolton et Pompeo, ses deux principaux conseillers, Trump est aujourd’hui dans une impasse diplomatique. Mais Téhéran aussi : le peuple iranien en a assez des restrictions et de l’absence de liberté, en particulier les femmes. Le mouvement « Sans le voile » s’étend et inquiète les mollahs qui durcissent la répression.

    Les diplomates ne sont plus écoutés et, en l’état actuel des contraintes de chacun, ni Téhéran ni Washington n’ont intérêt à calmer le jeu. Dans ce contexte, tout dérapage peut provoquer la guerre.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-bras-de-fer-se-poursuit-entre-les-etats-unis-et-liran/

  • Simon Roche (Suidlanders) : « Nous nous attendons à une guerre civile en Afrique du Sud » [Interview]

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    Une guerre civile est-elle à venir en Afrique du Sud ? 
    C’est en tout cas ce que pensent de nombreux blancs, de plus en plus victimes d’une politique raciale folle menée contre eux par le gouvernement de la nation « arc-en-ciel ». 
    Première cible des autorités noires ? 
    Les fermiers blancs.

    Il y a deux ans déjà, nous avions interrogé Suidlanders, ONG de protection des blancs en Afrique du Sud, qui entend sensibiliser, notamment dans le monde blanc, sur le risque de génocide des blancs dans le pays de Nelson Mandela
    Simon Roche, représentant de l’organisation, mène actuellement en cette année 2019 une nouvelle tournée, aux USA puis bientôt en Europe, pour faire connaitre son organisation et les menaces qui pèsent sur les blancs en Afrique du Sud, dans l’indifférence générale en Europe, dont les autorités semblent avoir sombré, sur cette question comme sur d’autres, dans un aveuglement, volontaire, idéologique, au choix…

    Un entretien qui fait froid dans le dos concernant la situation en Afrique du Sud, et qui confirme les conclusions de l’excellent reportage, Farmlands, réalisé par Lauren Southern à ce sujet.
     


    Breizh-info.com : Que représente votre organisation désormais en Afrique du Sud ? 
    Simon Roche (Suidlanders) : Je représente Suidlanders — suidlanders.org — qui est une organisation de protection civile constituée en vertu des dispositions des Protocoles additionnels de 1977 aux Conventions de Genève de 1949 qui prévoient expressément que les groupes ethniques identifiables doivent se préparer à agir pour protéger le bien-être des civils en cas de conflit armé qui menace ces civils. 
    Comme vous l’imaginez probablement vous-même, nous nous attendons à une guerre civile en Afrique du Sud.
    Une guerre civile qui, inévitablement, se déroulera notamment via des critères ethniques, raciaux.
    Breizh-info.com : Nous sommes en juillet 2019. Quelle est la situation actuelle en Afrique du Sud ?
    Simon Roche (Suidlanders) : La situation en Afrique du Sud n’est pas bonne et elle s’aggrave. Notre fournisseur national d’électricité est en faillite, ce qui a entraîné de longues pannes de courant au cours des dernières années. 
    Les 44 stations de pompage d’eau qui fournissent de l’eau à la province de Gauteng  (12 % du PIB de l’Afrique) sont toutes détruites.
    Il y a exactement dix ans, notre monnaie valait 1/6 d’un dollar des États-Unis ; aujourd’hui, elle vaut 1/15e. 
    La valeur de TOUTES les terres agricoles du pays a chuté de 32 % (ce chiffre a été vérifié par notre parlement) en seulement 5,5 mois après que le président ait annoncé que le gouvernement allait commencer à exproprier les propriétés des Blancs sans compensation.
    Qu’il s’agisse d’éducation, de santé, d’administration gouvernementale, de logement, d’assainissement, etc., il en va de même.
    Breizh-info.com :  Il semblerait que les meurtres et les viols augmentent, contre les blancs dans votre pays, est-ce vrai ?
    Simon Roche (Suidlanders) : Oui, c’est vrai, surtout les attaques sur les fermes parce qu’elles sont éloignées et vulnérables. 
    Il y a eu une recrudescence soudaine des attaques et des meurtres dans les exploitations agricoles depuis le lendemain de nos élections nationales du 8 mai de cette année. 
    Mais la situation était mauvaise bien avant. 
    Et cela même si le gouvernement refuse de publier des statistiques sur les meurtres de fermiers.
    Selon l’Institut d’études de sécurité, le taux est de 145 meurtres pour 100 000 fermiers. 
    Afriforum, une organisation d’activistes et de lobbyistes, dit qu’il y en a environ 130 pour 100 000. Le Dr Gregory Stanton de World Genocide Watch affirme qu’il s’agit de 120 pour 100 000. 
    À titre de comparaison, le taux d’assassinats en France est de 1,35 pour 100 000 ; et le taux national d’assassinats en Afrique du Sud est de 35,9.
    Je ne suis pas un fermier, mais on m’a déjà tiré deux fois dessus. 
    Il y a quelques années, mon père a été contraint de s’agenouiller, prêt à être exécuté à l’occasion d’un vol de voiture, mais le pistolet s’est enrayé et les agresseurs sont montés dans sa voiture et sont partis, Dieu merci. En 2013, mon fils de douze ans a été violemment agressé alors qu’il rentrait de l’école ; la mère de mes enfants a été victime d’une double effraction et sa voiture a été dérobée deux fois. Tout cela uniquement dans ma famille proche. 
    Pouvez-vous imaginer cela ?
    Breizh-info.com :  En Europe, beaucoup de gens et de politiciens disent que les Blancs en Afrique du Sud ne sont pas légitimes dans ce pays et qu’ils doivent être punis pour l’apartheid. Que pensez-vous de ça ?
    Simon Roche (Suidlanders) : C’est peut-être vrai, mais dans ce cas, le peuple zoulou doit aussi être puni pour le génocide presque complet des Bushmen (San) dans les montagnes du Drakensberg (même à ce jour, tous les plus beaux exemples d’art rupestre Bushmen se trouvent dans les montagnes du Drakensberg, mais il n’y a plus de Bushmen). 
    N’oubliez pas non plus que la première rencontre entre les Bantous noirs (je ne parle pas du peuple autochtone San & Khoi) et les Blancs a eu lieu à la fin de 1777 — exactement 125,5 ans après l’arrivée des Blancs en Afrique du Sud, car les Noirs n’avaient jamais réussi à traverser la rivière Great Fish.
    Par conséquent, au moins 40 % de l’Afrique du Sud n’appartient pas légitimement au peuple noir (encore une fois, je ne parle pas du peuple autochtone)
    Les gens devraient également garder à l’esprit que l’Afrique du Sud était un pays très peu peu peuplé avec une population totale d’environ 2 000 000 d’habitants au milieu des années 1800 (toutes ces statistiques sont faciles à vérifier) et les rois noirs étaient donc très heureux de vendre leurs terres aux blancs. 
    C’est un fait, et peu importe si cela gène les politiciens de l’hémisphère nord occidental.
     
    Breizh-info.com : À nouveau, vous venez en Europe pour quelques mois présenter votre organisation et votre combat. Pourquoi ?
    Simon Roche (Suidlanders) : Nous voulons sensibiliser l’opinion à ce qui se passe réellement en Afrique du Sud afin de contourner la censure médiatique autour du mensonge qui entoure la « Nouvelle nation arc-en-ciel d’Afrique du Sud »
    D’une manière générale, nous pensons que la rhétorique des dirigeants noirs concernant une possible guerre civile et un génocide des Blancs doit être prise très au sérieux. 
    Les Afro-Africains noirs ne font pas de menaces en l’air, cela ne fait pas partie de leur schéma mental.
    Par conséquent, il est important que les blancs originaires d’Europe, c’est-à-dire les principales cibles des assassinats, et principales victimes de l’expropriation des terres et de la politique de discrimination positives, et ainsi de suite, s’unissent pour se protéger et envisager un avenir serein. C’est aussi simple que cela. 
    Si vous êtes une cible définie, ne devriez-vous pas au moins vous défendre ? 
    Et peut-être même vous préparer à vous défendre activement ?
    Breizh-info.com : Est-il possible que les Blancs et les Noirs vivent ensemble, en Afrique du Sud ?
    Simon Roche (Suidlanders) : Il n’y a aucune possibilité de cohabitation harmonieuse et égale entre Blancs et Noirs tant les cultures sont si différentes. 
    Cela sera toujours le cas (à l’exception de quelques personnes qui s’assimilent) et seuls un enfant ou un idéaliste qui ne vivent pas dans le monde réel pourraient croire l’inverse. 
    Nos ancêtres, les vôtres et les miens, n’étaient pas les idiots que les libéraux croient qu’ils sont.
    Propos recueillis par YV
    Crédit photo : DR
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