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insécurité - Page 510

  • La France, « une des plus grandes menaces mondiales contre la liberté d’expression » pour un professeur de droit américain

    Jonathan Turley, professeur de droit à l’Université George Washington, a récemment lancé un vibrant avertissement aux amoureux de la liberté d’expression. Pour lui, la France dirigée par Emmanuel Macron représente une menace mondiale.
    Voici une partie de sa tribune au journal The Hill, traduit par le site Fdesouche.

    Alors que nos politiciens aux États-Unis peuvent applaudir Macron comme des idiots, la plupart des Américains sont de fervents partisans de la liberté d’expression. C’est dans notre sang. Cependant, sans se laisser décourager, Macron et d’autres en Europe s’apprêtent à imposer unilatéralement le contrôle de la parole sur Internet avec de nouvelles législations en France et en Allemagne. Si vous pensez qu’il s’agit d’une question européenne, détrompez-vous.

    Macron et son gouvernement tentent d’éliminer unilatéralement les pensées haineuses sur Internet. Le Parlement français a adopté une nouvelle loi qui donnerait aux entreprises comme Facebook et Google seulement 24 heures pour supprimer les propos haineux de leurs sites, sous peine d’une amende de 1,4 million de dollars par violation.

    Les Français et les Allemands n’essayent plus de convaincre les États-Unis de renoncer à leur liberté d’expression. Ils se sont rendus compte qu’ils n’ont pas à le faire parce qu’en imposant de lourdes amendes, les grandes entreprises seront forcées de censurer la parole selon des normes mal définies.

    La décision des Européens frappe dans l’angle mort de la Constitution des États-Unis. Le Premier Amendement fait un excellent travail pour empêcher les actions du gouvernement contre la liberté d’expression, et la plupart des lois qui restreignent la liberté d’expression en Europe seraient inconstitutionnelles aux États-Unis. Cependant, bien que protégés contre Big Brother, nous sommes complètement vulnérables devant Little Brother, composé de sociétés privées qui ont un large pouvoir sur la réduction et le contrôle de la parole à travers le monde.

    (…) Ces lois criminalisent la liberté d’expression selon des normes vagues faisant référence à l’« incitation à la haine » d’autrui fondée sur la race ou la religion.

    (…) Le résultat de ces lois mal définies est prévisible. Un récent sondage a révélé que seulement 18 % des Allemands estiment pouvoir s’exprimer librement en public. Plus de 31 % ne se sentent même pas libres de s’exprimer en privé parmi leurs amis. Seulement 17 % des Allemands se sentent libres de s’exprimer sur Internet, et 35 % déclarent que la liberté d’expression est limitée à de petits cercles privés.

    Les Nations Unies renouvellent également leurs appels à faire de la diffusion de « propos haineux »un type de crime international. Les pays musulmans veulent que le blasphème soit inclus, et Israël veut que l’antisémitisme soit criminalisé. Même dans notre propre pays, des politiciens comme Howard Dean et divers universitaires ont déclaré que les propos haineux ne sont pas protégés par le premier amendement. La députée Frederica Wilson a demandé que des gens soient « poursuivis » pour s’être moqués de membres du Congrès. Un récent sondage a révélé que la moitié des étudiants aux États-Unis ne croient pas que la propagande haineuse devrait être protégée.

    La triste ironie est de voir la France prend la tête des pays visant à restreindre la liberté d’expression. Autrefois bastion de la liberté, la France est aujourd’hui devenue l’une des plus grandes menaces mondiales contre la liberté d’expression.

    Texte repris du site Polémia

    https://fr.novopress.info/

  • L’Allemagne admet avoir « totalement » perdu la trace de 160 djihadistes revenus de Syrie

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    […]

    Un nouveau rapport des renseignements publié par le gouvernement allemand révèle que sur les 1 000 Allemands qui s’étaient déplacés pour rejoindre les rangs du groupe islamiste, 350 sont revenus.

    Certains d’entre eux se trouvent dans des prisons allemandes, d’autres attendent d’être jugés, mais d’autres ont pu rentrer en Allemagne et y disparaitre.

    Parmi ceux qui ne sont pas revenus, certains sont décédés, d’autres sont incarcérés dans des prisons kurdes en Syrie et en Irak.

    Le rapport indique que les rapatriés [les revenants] pourraient poser un risque de sécurité important.

    […]

    …certaines de ces personnes ayant l’expérience du combat et prêtes à commettre des actes de violence, indique le rapport.

    […]

    « Leur capacité à se déplacer discrètement dans les pays occidentaux, prédestine les revenants à planifier et à commettre des attentats dans leur pays d’origine. »

    Un grand nombre des attaques qui ont frappé les pays occidentaux ces dernières années ont été perpétrées par des personnes qui ont juré allégeance à l’État islamique.

    […]

    « Un grand défi pour la Justice allemande »

    Une Allemande, identifiée sous le nom de Jennifer W., est actuellement jugée en Allemagne, accusée d’avoir commis des crimes de guerre en tant que membre de l’État islamique.

    Elle aurait acheté une fille yézidi de cinq ans comme esclave avant de l’enchaîner à l’extérieur et de la laisser mourir de soif sous l’effet de la chaleur.

    Des milliers de femmes et de filles yézidies ont été vendues comme esclaves à des membres de l’Etat islamique lorsque les combattants ont envahi leur pays d’origine, le nord de l’Irak.

    L’adolescente allemande Linda Wenzel, qui s’est enfuie de son domicile pour rejoindre l’Etat islamique, a été capturée par des soldats irakiens après que le groupe ait perdu son emprise sur la ville de Mossoul.

    En 2018, un tribunal de Bagdad l’a condamnée à six ans de prison.

    Steve Alter, un porte-parole du gouvernement allemand, a déclaré que le gouvernement avait du mal à traduire en justice les anciens soldats de l’Etat islamique.

    Juger d’anciens combattants en Allemagne s’est avéré difficile par le passé, en raison de l’exigence d’un certain nombre de preuves, tel que des photos ou des comptes de réseaux sociaux, exigé par le droit allemand.

    Le parlement allemand a adopté une législation permettant la déchéance de citoyenneté pour les Allemands ayant la double nationalité s’ils rejoignent des milices terroristes étrangères.

    L’Allemagne a été la cible d’un certain nombre d’attaques menées ces dernières années par des personnes prêchant allégeance à un État islamique.

    En juillet 2016, Mohammad Daleel, un réfugié syrien âgé de 27 ans, a perpétré un attentat-suicide devant un bar à vin dans la ville d’Ansbach.

    En décembre de la même année, Anis Amri, un demandeur d’asile tunisien, a lancé [dans la foule] un camion dans un marché de Noël à Berlin, faisant 12 morts et 56 blessés.

    Quatre jours plus tard, il a été tué lors d’une fusillade avec la police près de la ville de Milan en Italie.

    Frank Jensen, qui écrit sur le extrémisme pour le journal allemand Der Tagesspiegel, a déclaré à Fox News que chaque détenu devait faire l’objet d’une enquête approfondie en Syrie ou en Irak avant de pouvoir être jugé en Allemagne.

    « Le terrorisme islamiste est un danger énorme en Allemagne et beaucoup de gens ne veulent pas qu’ils reviennent », at-il déclaré.

    […]

    Traduction Fdesouche d’un article de The Scottish Sun

    http://www.fdesouche.com/1236499-lallemagne-admet-avoir-totalement-perdu-la-trace-de-160-djihadistes-revenus-de-syrie

  • Boutiques pillées par des supporteurs algériens : le Rassemblement National réclame des mesures pour éviter “une humiliation nationale !”

    12/07/2019 – FRANCE (NOVOpress)
    Après la victoire de l’Algérie contre la Côte d’Ivoire en quart de finale de la Coupe d’Afrique des nations, des supporters de l’Algérie ont fêté la victoire sur les Champs-Élysées.

    Des affrontements ont éclaté entre supporters et forces de l’ordre. Sur l’avenue de la Grande-Armée, deux magasins ont été pillés.

    La demi-finale opposera l’Algérie au Nigeria dimanche prochain. Afin d’anticiper le risque de nouveaux incidents, le Rassemblement National demande d’interdire les Champs-Elysées aux supporters algériens.

    Dans ce communiqué de presse intitulé “14 Juillet et match de l’Algérie : Christophe Castaner doit éviter une humiliation nationale“, il est notamment possible de lire ceci :

    Ce dimanche 14 juillet à 21h00 se jouera la demi-finale de la Coupe d’Afrique des Nations, opposant l’Algérie au Nigéria. Les deux derniers matchs de l’Algérie au cours de cette compétition ont été le prétexte à des débordements et à des scènes de véritables émeutes dans toute la France, et notamment sur les Champs-Elysées.
    Loin de n’être que des manifestations de joie de simples amateurs de football comme le décrivent la plupart des commentateurs, il s’agit de véritables démonstrations de force dont l’objectif est de signifier ostensiblement une présence massive et un rejet de la France.

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  • Grand reportage : il y a un an était imposé le 80 km/h… un fiasco et une facture salée !

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    Pour ses lecteurs, Boulevard Voltaire initie une série de reportages approfondis sur les grands sujets d’actualité.

    Le 1er juillet 2018, les premiers panneaux de limitation à 80 commençaient à fleurir sur le bord des routes. Un an plus tard, opération nulle, rétropédalage, retour à la case départ : nombre d’entre eux ont été déboulonnés, remisés et oubliés… Retour sur un fiasco politique, social et financier !

    https://www.bvoltaire.fr/grand-reportage-il-y-a-un-an-etait-impose-le-80-km-h-un-fiasco-et-une-facture-salee/

  • Forte hausse de la délinquance à Paris : les étrangers mis en cause

    Forte hausse de la délinquance à Paris : les étrangers mis en cause

    Les instructions de la nouvelle directrice de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) sont destinées à faire cesser la hausse de la “délinquance d’acquisition” (cambriolages, vols à la tire…). Dans une note diffusée le 17 juin aux chefs de la police parisienne, Valérie Martineau détaille :

    “Les six premiers mois de 2019 révèlent une évolution défavorable de la petite et moyenne délinquance”. “Notre action doit être guidée par un principe simple : obtenir des résultats significatifs.”

    Plusieurs infractions sont particulièrement dans le collimateur des policiers parisiens : les atteintes volontaires à l’intégrité physique, les violences conjugales, les vols violents et les cambriolages. ”

    Tous les indicateurs sont dans le rouge selon un cadre de la préfecture. Selon le Canard Enchaîné, citant les statistiques de la Préfecture de police, les atteintes aux biens ont augmenté de 16,4% sur les cinq premiers mois de l’année, comparées à la même période en 2018. Les atteintes volontaires à l’intégrité physique grimpent de +10,7% dans le même laps de temps.

    Un haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur estime que l’afflux d’étrangers n’y est pas pour rien :

    La proportion d’étrangers mis en cause augmente clairement, notamment dans la délinquance du quotidien, comme les vols à la tire. Beaucoup sont en situation irrégulière dans l’Hexagone.”

    https://www.lesalonbeige.fr/forte-hausse-de-la-delinquance-a-paris-les-etrangers-mis-en-cause/

  • Le bébé cobra est un danger mortel sitôt sorti de l’œuf !

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    Pieter KERSTENS

    Quand Madame Belloubet, Garde des Sceaux, prétend que les adolescents de moins de 13 ans seraient « irresponsables pénalement »,(car effectivement ce sont leurs parents qui sont alors responsables de tous les actes de leurs enfants), soit elle ignore la réalité, soit elle fait preuve d’angélisme ou alors elle considère ses concitoyens comme des imbéciles. S’il est exact que l’enfant jusqu’à 3 ans est incapable de discerner le Bien du Mal, ou le Bon du Mauvais, il ressent quand même la différence entre la douleur et la douceur du bien-être. Mais à partir du plus jeune âge et dès 4-5 ans, les enfants sont réceptifs et capables de distinction, ce qui a conduit certains dirigeants, nombre de responsables et chefs politiques dans le monde, à embrigader et à séparer les enfants de leurs parents, afin de les endoctriner et formater leurs esprits à diverses idéologies, hors de toute morale.

    Notre devoir de mémoire nous impose les souvenirs des « Pfimfe » et « Hitlerjugend » de la Seconde Guerre mondiale et des enfants-soldats africains lors des conflits tribaux pré ou postcoloniaux comme au Kenya avec la révolte des Mau-Mau, au Nigéria en 1968, au Congo ex-Belge ou en Somalie avec les milices Al-Chabab, par exemple. En Extrême-Orient, quand les Khmers Rouges ont envahi Phnom-Penh le 17 avril 1975, toutes les gôches européennes se sont extasiées devant la jeunesse des bataillons communistes, composés de soldats de 10-18 ans qui, par la suite ont démontré leurs capacités meurtrières à éliminer plus de 2 millions de leurs parents, à coups de pelles et de faucilles, sans aucune hésitation, au nom de l’Angkor Vat, réelle dictature sanglante de Pol Pot et de Khieu Samphan. Pas une manifestation, pétition ou condamnation de ces barbaries par les prétendus « démocrates » ou « humanistes » qui, aujourd’hui encore, se posent en donneurs de leçons et injurient les opposants à leurs utopies, chimères et idéologies nauséabondes.

    Lors de mon premier séjour à Damas en 2014, j’ai eu le privilège de regarder une vidéo produite par Daesh dans laquelle une petite fille de 7-8 ans était embrigadée, dans un camp de formation militaire destiné aux enfants, et qui déclarait tranquillement, avec un joli sourire, que son plus beau rêve serait de pouvoir tuer un « croisé » (un infidèle chrétien).

    Alors quand j’entends les adeptes du Droit de l’Hommiste, les Bisounours de la Justice et tous les défenseurs des assassins et meurtriers mineurs nous déclarer que ces enfants sont « irresponsables » et « victimes » de la société qui les avait persécutés ou frustrés, je leur réponds fermement et avec détermination qu’il faut mettre ces crapules hors d’état de nuire, longtemps. En permanence, ils ont eu le choix de leur décision avant de passer aux actes.

    Depuis des décennies, les favelas au Brésil sont des couveuses de haine, des maternelles du crime, des écoles pour délinquants diplômés et constituent des gisements fertiles pour les études des criminologues et juristes du monde entier. Partout sur notre Planète, les conflits aussi ont engendré le recrutement d’adolescents et d’enfants qui deviennent de réels prédateurs irrécupérables, car devenus totalement étrangers aux valeurs de civilisation ou réfractaires à toute forme de discipline, de respect ou de civisme, quelque soient leurs milieux familiaux et origines ethniques.

    Le dernier bilan de la délinquance pour le premier trimestre 2019, publié mi-avril, laisse apparaître une très sérieuse augmentation des crimes et délits (plus de 700 agressions par jour) en hausse de 7% par rapport au 1er trimestre 2018. Idem pour les vols à la tire (41.709 faits soit + 16,4%), les vols à la roulotte (67.562, soit + 4,7%), les menaces et chantages (33.259 soit + 4,9%), les viols (5.739 faits, soit + 19,4%), les cambriolages (94.516 faits, soit + 2,4%) et cela uniquement sur les 3 premiers mois de 2019, et seulement pour les procédures signalées aux parquets, car beaucoup d’affaires ne donnent lieu à aucune plainte ! 

    Selon Alain Bauer, professeur de criminologie au CNAM :

    « La justice peine à s’adapter à l’exigence d’une réponse rapide et efficace sur un certain nombre de difficultés identifiées depuis longtemps, comme le trafic de stupéfiants, source de nombreux phénomènes de délinquance. (…) La France est un cas atypique avec une augmentation rapide de la violence ces dernières années et des vols du fait de bandes extraordinairement professionnelles, prédatrices et venues de l’étranger. »

    Face à l’anarchie qui gagne, que font alors les voyous, les médias dits d’information et que fait le gouvernement ?

    Les voyous jubilent. Les avocats des « grands frères » (les caïds) ont transmis leur diagnostic : le ministre Castaner -modèle Cazeneuve- aboie à la télé mais ses morsures sont légères. Tout va bien, on continue ! Parce que ce gardien de l’Ordre affirme aussi : « la prison est criminogène ! »Applaudissements dans les banlieues…où les multirécidivistes pullulent.

    Et les médias en remettent une couche : c’est mal de politiser les faits divers. Ils édulcorent et minimisent. La sécurité des Français passe au second plan et sous la loi du silence.

    Quant au gouvernement, lui, il récite la même rengaine en vogue depuis des années : « inadmissible…intolérable…insupportable…inacceptable… » et préfère en revenir au réchauffement climatique et aux Gilets Jaunes, graves sujets plus préoccupants. Mais plus grave encore serait qu’à la suite des gilets jaunes, succèdent les gilets pare-balles !

    Pour la mise hors d’état de nuire des délinquants juvéniles, il fut une époque où existaient des structures spécialisées : les maisons de redressement, baptisées les « hauts murs », établissements chargés de la rééducation des jeunes délinquants. Pourquoi les avoir supprimés ? Parce que nos « humanistes » aveuglés par les dogmes des Lumières et pétris par des utopies progressistes nous ont imposé leurs lois liberticides et d règlements interdisant la moindre contestation de leurs erreurs que nos concitoyens payent fort cher et même souvent de leur vie.

    Qu’ils soient Djihadistes, terroristes, criminels ou délinquants, majeurs ou mineurs, hommes ou femmes, européens ou eurasiens, salafistes ou hindouistes, végétariens ou claustrophobes, les coupables doivent subir un juste châtiment, être condamnés et emprisonnés. Pas de pitié pour les sauvageons, la racaille et la crapule qui polluent notre quotidien.

    « La vie pour les innocents. La mort pour les assassins »

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  • Affaire de pédophilie dans le clan Clinton ? – Journal du mercredi 10 juillet 2019

    Nouvelle affaire de pédophilie aux Etats-Unis.
    Le milliardaire, Jeffrey Epstein, a été arrêté pour des accusations de “trafic sexuel” de mineurs.
    Une affaire qui fait ressurgir l’affaire du Pizzagate lors de la dernière campagne présidentielle étasunienne.
    Quand la Coupe d’Afrique des Nations se déroule en France
    Alors que la Coupe d’Afrique des Nations se déroule actuellement en Egypte, la compétition suscite de nombreuses réactions en France dans les communautés d’origine africaines.
    Des réactions de joie qui se transforment comme bien souvent en scènes d’émeutes.
    Ville d’Orange : un monument hommage à la Terreur
    Mardi, le maire d’Orange a inauguré une statue en hommage aux victimes de la Terreur de la révolution française.
    TV Libertés est allé à la rencontre de l’édile vauclusien et de l’artiste à l’origine de l’oeuvre.

    L’actualité en bref

  • Un symbole : la France condamnée… par le terroriste Abdeslam

    Salah Abdeslam est le seul rescapé du commando islamiste qui, le 13 novembre 2015, a tué 131 personnes, et en a blessé 413 autres. Il a obtenu la condamnation de la France par le tribunal administratif de Versailles. Une condamnation certes symbolique. Mais un crachat de plus sur notre pays.

    L’Etat de droit est une bien belle chose, et loin de nous l’idée d’en fustiger le principe, mais certaines circonstances exceptionnelles plaident parfois pour une mise entre parenthèses. La déclaration de guerre de l’Etat islamique, les centaines de victimes, en France, les dizaines de milliers de morts dans le monde, ne correspondaient-ils pas à une telle situation ? Nos politiques nous ont dit que nous étions en guerre. Mais le prestigieux tribunal administratif de Versailles ne l’a pas entendu de cette oreille et, par une décision du 24 mars 2017, a donc donné raison au tueur.

    L’assassin, qui est incarcéré à Fleury-Mérogis, avait attaqué l’Etat sur ses conditions de détention, et il avait gagné la somme symbolique de 500 euros, les juges ayant estimé que la vidéosurveillance installée dans sa cellule reposait sur une loi qui n’était pas encore votée.

    Le plus extraordinaire, dans cette affaire, c’est qu’on ne connaît ce jugement qu’aujourd’hui, à l’occasion de la parution du Journal de Frank Berton (sans lien apparent avec Germaine Berton, la tueuse anarchiste de 1923), l’avocat d’Abdeslam.

    La sentence était tellement incroyable, tellement scandaleuse, tellement susceptible de choquer les Français, voire d’orienter leurs votes, qu’elle est apparemment restée secrète jusqu’à ce que, au détour d’une page de ce livre paru en avril 2019, un journaliste du Figaro découvre cette décision, rendue en mars 2017 mais restée inconnue ! Mars 2017, rappelez-vous : nous sommes alors à un mois exactement du premier tour de la présidentielle. Une telle information, divulguée à cette date, aurait pu orienter, au moins marginalement, le vote des Français. Ce type de décision a en effet le don d’irriter fortement. Alors, quelle est l’hypothèse ? Un manque de curiosité des chroniqueurs judiciaires de la totalité des grands médias ?

    Le silence sent la manipulation d’information

    Le silence fait à l’époque sur cette décision de justice par la classe politico-médiatique sent la manipulation d’information à plein nez. Alors qu’elle était tout entière mobilisée contre une présence de Marine Le Pen au second tour, cette condamnation de la France au profit du pire des tueurs aurait pu faire l’effet d’une bombe. Mais on le voit bien : rendue publique trente mois plus tard, l’information n’est guère commentée que sur un plan technique, juridique, et ne soulève donc pas d’émotion.

    Mais il n’y a pas que la dimension immorale de la condamnation de la France qu’il faut retenir, dans ce dossier. Il y a aussi le fait que la vidéosurveillance a pour but de prévenir toute tentative d’évasion, quand ce risque existe. Ce qui signifie que, dans le cas d’Abdeslam, le risque existait, et qu’à bien comprendre la décision de justice, nous aurions dû prendre ce risque d’une évasion, plutôt que de commettre la « terrible » infraction à l’Etat de droit.

    Notons enfin que de malheureux militants identitaires sont parfois condamnés à payer plusieurs milliers voire plusieurs dizaines de milliers d’euros pour de pacifiques occupations de chantiers de mosquées ou de locaux du PS, tandis qu’on fait droit aux demandes financières d’un assassin de la pire espèce.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 9 juillet 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Paris : une marche des “mutilés gilets jaunes” qui “ne lâcheront rien”

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    400 personnes ont défilé dans le calme dimanche à Paris pour dénoncer les “mutilations policières” et réclamer l’interdiction des lanceurs de balle de défense (LBD) et de certaines grenades lacrymogènes “inutilement dangereux”.…

    https://fr.novopress.info/214704/paris-une-marche-des-mutiles-gilets-jaunes-qui-ne-lacheront-rien/
  • Des policiers en correctionnelle pour violences illégitimes

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    Le procureur de la République de Paris, Rémy Heitz, l’a assuré : certains des policiers mis en cause pour des violences illégitimes à l’occasion des manifestations des gilets jaunes seront jugés. Et le chef du parquet parisien d’ajouter qu’à ce jour, une soixantaine de procédures étaient bouclées.

    Bien entendu, côté policier, ces déclarations ne sont pas passées inaperçues. Et certains syndicats de police sont déjà montés au créneau, dénonçant « la tournure politique » de ces déclarations (Unité SGP Police-FO). Ou encore la volonté de jeter « en patûre sur la place publique » les forces de l’ordre (Alliance police nationale). Rappelons, pour mémoire, que, depuis le 17 novembre 2018, date de la première manifestation des gilets jaunes, près de 2.500 manifestants ont été blessés, dont certains gravement, ainsi que 1.700 membres des forces de l’ordre.

    Rappelons, également, que de nombreux participants à ces manifestations ont fait l’objet de jugements « expéditifs » dans le cadre de procédures en comparution immédiate. Et qu’ils ont été nombreux à se voir condamner à des peines de prison ferme avec, pour certains, des mandats de dépôt délivrés en fin d’audience.

    Jamais le nombre des gardes à vue n’avait été aussi important, ni celui des interpellations en amont des manifestations. La répression mise en œuvre à l’occasion de ce vaste mouvement populaire fut sans doute une première depuis des décennies.

    Dans ce contexte, l’action des forces de l’ordre a parfois été d’une rare violence. Souvent dépassées à cause de stratégies et de décisions tactiques inadaptées – en particulier lors des mouvements de décembre 2018 et janvier 2019 -, elles furent parfois livrées à elles-mêmes et contraintes d’utiliser des moyens disproportionnés aux agressions subies. Ainsi, l’utilisation abusive des LBD (lanceurs de balle de défense) ou de grenades de désencerclement contribua à de nombreuses blessures qui, dans un autre contexte, auraient pu être évitées. Aujourd’hui sonne donc, pour un certain nombre de policiers, l’heure de rendre des comptes. Ils devront expliquer pourquoi, comment et dans quelles circonstances ils ont pu être amenés à faire usage d’une force dont les juges diront, in fine, si oui ou non elle était proportionnée aux circonstances.

    Pour cela, les magistrats devront tenir compte de plusieurs éléments. Tout d’abord, du contexte juridique dans lequel se sont situées les actions. Était-on dans le cadre d’une manifestation devenue un attroupement illégal ? La menace physique qui pesait sur les policiers et les gendarmes était bien réelle et immédiate : les actions mises en place par les forces de l’ordre étaient-elles proportionnées à ces menaces ? Ensuite, les actions individuelles dont il sera question lors de ces procès étaient-elles commandées ou pas par une autorité légitime ? Car une question de fond restera en arrière-plan : l’autorité chargée du maintien de l’ordre, en l’occurrence le ministre de l’Intérieur, a-t-elle bien pris toutes les mesures nécessaires pour éviter les débordements qui ont été observés au fil des mois et des manifestations ? Les ordres qui ont été donnés en ces circonstances étaient-ils adaptés à la réalité du terrain et à la menace qui pesait sur l’ordre public ? Enfin, la hiérarchie policière en charge de la mise en œuvre de ces ordres a-t-elle été à la hauteur des événements ? Toutes ces questions n’exonéreront pas forcément les policiers incriminés, qui restent en toutes circonstances pénalement responsables de leurs actes. Mais elles devront être posées afin d’éclairer le comportement de ceux auxquels il serait trop facile, aujourd’hui, de faire porter un chapeau trop grand pour eux.

    Olivier Damien

    https://www.bvoltaire.fr/des-policiers-en-correctionnelle-pour-violences-illegitimes/