insécurité - Page 512
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La Turquie d'Erdogan est une menace : ouvrons les yeux de nos compatriotes.
Manœuvres d'intimidation contre une frégate française en Méditerranée, actes de piratages, incursion de ses bâtiments en mer Egée et survol par ses chasseurs F-16 des Iles helléniques nécessitant la mise en alerte de la flotte grecque... La marine turque multiplie les provocations et teste les capacités - et surtout la volonté -de résistance européennes.Dans le même temps, la Turquie, méthodiquement, met en place un à un les éléments de la reconstruction de l'empire ottoman: économiques - coopération renforcée avec la Tunisie et de nombreux pays d'Afrique - religieux et communautaires - omniprésence dans les Balkans, menaces sur l'Arménie, transformation de Sainte Sophie en mosquée, messages explicites en direction du Hamas et, plus largement du monde arabo-musulman, visant à affirmer son leadership face a Israël (promesse d'Erdogan de "libérer" la mosquée Al Aqsa de Jérusalem) et plus globalement celui du monde sunnite - militaires - déploiement de ses forces en Syrie et en Libye (80 000 hommes équipés de chars Léopard et de drones de combat), livraison d'équipements et mise à disposition de cohortes de mercenaires aux rebelles islamistes - humains - présence de millions de ressortissants turcs étroitement encadrés par le pouvoir d'Ankara sur le sol européen, en Allemagne et en France principalement. -
Stéphane Ravier rend hommage à Axelle, morte après avoir été traînée pendant 800 mètres.
Le sénateur du Rassemblement national a tenu à rendre hommage à la jeune Axelle, morte dans des conditions effroyables. L'élu attend une réaction de la part du gouvernement.
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Tabassé à coups de barre de fer pour avoir demandé le silence
Nicolas, père de famille de 35 ans, s’est réveillé après 15 jours de coma handicapé à vie. Un voisin témoigne de cette agression sauvage, qui s’est déroulée le 19 mai à Brest :
«Ce soir-là, j’étais dans mon lit devant la TV, lorsque j’entends la porte d’entrée de l’immeuble qui claque. Quelques secondes plus tard, j’entends des bruits sourds violents. Je devine qu’on est en train de casser la porte vitrée. Je me lève et vois mon fils, devant l’œilleton de notre porte d’entrée, les yeux écarquillés. Il me fait signe de la main de reculer. Nous restons dans le salon et au son des bruits, nous comprenons que c’est très grave. Au début, je pensais à une bagarre entre dealers, mais j’entends une voix masculine appeler à l’aide : “au secours, aidez-moi !“. Je comprends qu’une victime innocente se fait agresser et j’appelle la police, qui a déjà reçu d’autres appels d’habitants de la cité. Je les supplie de faire vite : j’entends l’homme hurler et les fracas de son corps tomber à répétition contre ma porte. Il va mourir.
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Près de 70% des Français affirment se sentir souvent ou de temps en temps en insécurité
Selon un sondage Odoxa réalisé après l’agression et la mort d’un chauffeur de bus à Bayonne début juillet, la mort d’une jeunefemme à Lyon le week-end dernier, ou les coups de feu à Nice mardi, les Français se sentent de moins en moins en sécurité depuis six mois. 68% d’entre eux disent se sentir souvent ou de temps en temps en insécurité. Ce sentiment atteint même des niveaux records depuis quatre ans.
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L’insécurité en France n’est pas qu’un sentiment, c’est une réalité !
Une gendarme écrasée par une voiture conduite par un récidiviste, un jeune poignardé par un toxicomane, un conducteur de bus battu à mort par des marginaux, une jeune femme trainée au sol par une voiture pendant plus de 800 mètres… Au début du mois de juillet, des agressions d’une rare sauvagerie à Aiguillon, Bayonne et Sarcelles ont de nouveau mis en lumière l’existence d’une autre France. Une France que le journaliste Laurent Obertone appelle « la France Orange mécanique ». Ces faits divers tragiques s’inscrivent dans un contexte plus général marqué par l’augmentation de la délinquance et le laxisme des autorités. L’analyse des informations disponibles à ce sujet conduit à un constat évident : le gouvernement assure de moins en moins la sécurité des citoyens.
Cela devient une habitude : à chaque fois que des leaders politiques dits « populistes » commentent un attentat terroriste ou une agression sauvage, les belles âmes de gauche et du centre crient à la tentative de « récupération » pour glaner des électeurs. Les agressions à Sarcelles, Aiguillon et Bayonne n’ont pas échappé à la règle. Pourtant, les faits divers qui émaillent l’actualité sont révélateurs d’une réalité cruelle : notre pays est de moins en moins sûr. Les réponses qu’apportent les autorités à la délinquance ne sont pas à la hauteur. Les chiffres que nous présentons en témoignent.
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Barbarie, massacre, lynchage : Macron a parlé d' "incivilités", et... ça ne passe pas !
Il est absolument impossible de reprendre l'intégralité du raz-de-marée d'indignation et de révolte suscité par le scandaleux "incivilités" macronien pour parler de la mise à mort quasi quotidienne, dans des circonstances de plus en plus souvent atroces, d'honnêtes citoyens français. Demain, ce sera nous ! Par la folie migratoire criminelle du Système, qui laisse entrer en France n'importe qui depuis près de cinquante ans, nous sommes 66 millions de condamnés potentiels, en danger vingt quatre heures sur vingt quatre, sept jours sur sept et trois cent soixante cinq jours par an !
Voici cependant quelques uns des messages postés depuis ce scandaleux "incivilités"...
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Pour un Conseil de Défense sécuritaire.
Emmanuel Macron réunira vendredi un énième Conseil de Défense afin d'étudier la mise en place de mesures supplémentaires en cas d'aggravation de la crise sanitaire, demain, après demain ou à la Saint Glinglin...En revanche, pas de Conseil de Défense pour traiter en urgence de l'ensauvagement d'une France livrée à la violence de la racaille. Pas de Conseil de Défense pour prendre les mesures qui s'imposeraient pour enrayer la montée fulgurante de la barbarie qui ensanglante le pays. Pas de Conseil de Défense pour mettre au pas ceux qui crachent leur haine de la France et des Francais. Pas de Conseil de Défense pour en finir avec les trafics des maîtres allogènes des cités. Pas de Conseil de Défense pour extirper des caves des banlieues où elles sont entreposées les armes de guerre qui demain tueront les nôtres. Pas de Conseil de Défense pour préparer la riposte la plus sévère à l'explosion des banlieues qui approche. Pas de Conseil de Défense pour rétablir l'ordre public. Pas de Conseil de Défense pour définir les conditions d'un arrêt total de l'immigration et organiser le retour de ceux qui ne doivent plus rester sur notre territoire national.Le coronavirus circule, c'est entendu... On le dit en tout cas. Mais le crime, la violence brute, la volonté de détruire, de brûler, de blesser et de tuer, galopent et se répandent dans les rues de nos villes et nos campagnes. Sans masques. -
Incendie de la cathédrale de Nantes : le message lamentable de la Ligue de défense noire africaine
Dans les réactions faisant suite à l’incendie de la cathédrale de Nantes, l’unanimité dans les hommages a été brisée par le message lamentable publié sur les réseaux sociaux par la Ligue de défense noire africaine (LDNA).
« Oh ! Feu sur la cathédrale de Nantes ? La cathédrale payée par les négriers nantais par l’argent de la traite-esclavage ? Qu’a fait l’église catholique pour empêcher la déshumanisation de nos ancêtres ? Pas un sermon ni une bulle du pape François pour les Nègres ! Même si vos curés en Louisiane achetaient et revendaient nos ancêtres déshumanisés ! Pétris de votre négrophobie patristique, vous avez pas seulement gardé le silence mais vous avez participé à notre déshumanisation ! La seule voie honorable : le christianisme tout entier se dissolve de lui-même… »
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Stéphane Ravier (RN) au sujet du meurtre d’Axelle Dorier : “Pour Emmanuel Macron, les abominations commises sont des incivilités”
Au micro de Boulevard Voltaire, le sénateur Stéphane Ravier évoque le meurtre à Lyon de la jeune Axelle Dorier et y voit un “insupportable terrorisme au quotidien”.
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L’homme qui accuse Adama Traoré de l’avoir violé en prison a été indemnisé
Adama Traoré était visé par une plainte pour viol, deux mois avant son décès, déposée par son ancien codétenu de la prison d’Osny (95). Selon la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions (CIVI), les faits seraient bien établis, l’ancien codétenu d’Adama Traoré ayant été indemnisé, rapporte notamment le Figaro:
« Le 6 septembre 2016, deux mois après la mort d’Adama Traoré, son codétenu à la prison d’Osny avait dénoncé des faits d’agression sexuelle. Il avait confié aux enquêteurs avoir été contraint, plusieurs fois par jour, de lui pratiquer des fellations, alors que ce dernier le menaçait à l’aide d’une fourchette. Le 28 décembre 2018, le jeune homme avait finalement saisi la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions (Civi) de Pontoise pour obtenir l’indemnisation de son préjudice. Réunie en décembre 2019, la Civi a rendu sa décision le 12 mars 2020. Le codétenu d’Adama Traoré a été indemnisé, la Civi établissant les faits d’agression sexuelle. »