
Un communiqué du MNR :
Après la décapitation d'un enseignant qui avait montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, notre président a déclaré : « ils ne passeront pas » !
Cette formule, datant de la bataille de Verdun en 1916, s'appliquait à un ennemi organisé en armée sur un front connu. Mais actuellement, « ils » sont déjà passés partout, avec la complicité de nos autorités qui n'en finissent pas d'introduire chez nous des immigrés dangereux, et de favoriser le développement de l'islam, « religion de paix et d'amour » (!).
Pourquoi accueillons-nous des « réfugiés » venant d'un pays (la Tchétchénie) qui n'a aucun lien avec la France ? Serait-ce parce que ce sont des opposants au président russe ?
D'autre part, en dépit des déclarations du Conseil Français du Culte Musulman (« les musulmans de France sont horrifiés par ce crime abject »), réaffirmons que l'islamisme a sa racine dans l'islam.
Quand nos hommes politiques comprendront-ils qu'en favorisant l'islam, ils facilitent le développement de l'islamisme, et donc du terrorisme ?
Ce 21 octobre était prévu dans la soirée, une cérémonie d'hommage à la 267e victime du terrorisme islamique en France. On allait rassembler 400 invités, triés sur le volet, dans la cour de la Sorbonne, haut lieu, réel ou supposé, de la culture française, de l'université française, et même nous dit-on, le mot revient en boucle dans tous les discours : de la république.

Ce 20 octobre, à l'Assemblée nationale, le Premier ministre Castex s'est étrangement irrité face aux questions légitimes que lui posait le président du groupe parlementaire de droite Damien Abad. Cette confrontation, à elle seule, illustre malheureusement les doutes que l'on peut formuler quant à la détermination du pouvoir à combattre l'islamo-terrorisme.


