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insécurité - Page 727

  • 91 % des Français soutiennent les policiers. Le gouvernement agira-t-il enfin ?

    Depuis trop longtemps, malgré les appels au secours répétés, la situation sur la voie publique n’a cessé de se dégrader.

    Alors que le mouvement de mécontentement des policiers oscille entre récupération gouvernementale et persistance des intéressés, un récent sondage vient confirmer le large soutien que les Français apportent à leur police. En effet, selon un sondage exclusif IFOP pour Atlantico, 91 % de nos compatriotes estiment que les récentes manifestations sont justifiées, dont 60 % tout à fait justifiées.

    Ce chiffre très élevé, en dehors du fait qu’il n’est pas sans rappeler les 94 % de soutien obtenus par les forces de l’ordre lors des manifestations de 2001, s’explique autant par la bienveillance des Français envers cette corporation que par une forte demande sécuritaire. Il traduit également, à n’en pas douter, la crainte de l’ensemble de la population française de voir la situation intérieure du pays dégénérer jusqu’à déclencher des émeutes meurtrières, voire une guerre civile.

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  • Prisons radicalisées : la panique, par Caroline Parmentier

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    Ils sont complètement paumés. Après nous avoir dit que c’était ce qu’il y avait de mieux, le gouvernement abandonne son dispositif phare de lutte contre la radicalisation en prison avec ses unités spécialisées qui regroupaient les islamistes dangereux. Au contraire maintenant, total revirement, on va les isoler.

    Il faut dire que l’expérimentation menée depuis un an s’est terminée le 4 septembre dernier par la sanglante tentative d’égorgement d’un maton à Osny, l’une des vitrines du programme gouvernemental. Les deux principaux syndicats de surveillants, l’UFAP-UNSA et FO Pénitentiaire, avaient réclamé l’arrêt immédiat des frais à Osny, Fleury-Mérogis, Fresnes et Lille Annœullin où se multiplient les tentatives de mutinerie et de prises d’otages. Le ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, vient d’annoncer qu’il fermait ces cinq unités dédiées. Curieusement, l’effet pervers de ces regroupements de bêtes fauves ne leur avait pas sauté aux yeux.

    La réalité c’est que la déradicalisation à grand renfort « de psychologues, de conseillers d’insertion et d’intervenants extérieurs » ne marche absolument pas. Au contraire elle rendait encore plus furieux ces fanatiques qui n’avaient qu’une idée : égorger les kouffars qui voulaient leur faire renier leur folie religieuse.

    Au lieu d’expulser dans leur pays d’origine tous les étrangers détenant un titre de séjour qui se rendent coupables de délits ou de crimes (si cela avait été le cas, l’attentat de Nice n’aurait pas eu lieu), tous ceux qui sont en situation irrégulière et tous les étrangers fichés pour leur proximité avec l’islamisme radical et les interdire de territoire, on va garder à nos frais ces centaines de djihadistes comme autant de bombes à retardement. Ils vont désormais être répartis en France et isolés. Facile à gérer pour l’administration pénitentiaire quand la surpopulation carcérale atteint des records.

    Précision rassurante : c’est l’effet de masse qui a poussé le garde des Sceaux à changer de méthode. La Chancellerie redoute dans les semaines qui viennent « une déferlante des détenus terroristes » dans les prisons françaises : « En ce moment, les services incarcèrent une demi-douzaine de personnes par semaine ».

    Le budget consacré à la sécurisation des prisons est passé de 30 millions en 2016 à 58 millions d’euros en 2017 (contre 17 millions en 2015). Aujourd’hui qu’on les décapite, c’est la tête des surveillants de prison et des policiers qu’il s’agit de sauver.

    Caroline Parmentier : Article et dessin parus dans Présent daté du 27 octobre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Les consignes du ministère préserver le désordre public

    Lu dans Minute :

    6a00d83451619c69e201b8d23189f9970c-250wi.png"lundi 17 octobre, pour la première fois en France, une salle de shoot a ouvert ses portes aux drogués, quatre ans après que la décision en avait été prise lors d’une réunion interministérielle à une époque (décembre 2012) où le premier ministre s’appelait Jean-Marc Ayrault. Ce lieu de défonce a été aménagé à l’hôpital Lariboisière, dans le Xe arrondissement de Paris, sur le modèle des dizaines de centres semblables ouverts en Suisse – pays pionnier en la matière –, aux Pays-Bas – où ça pue le shit à tous les coins de rue –, en Allemagne, en Norvège, au Luxembourg et même en Espagne.

    Le mardi précédant l’ouverture, Marisol Touraine, ministre de la Santé à l’origine de la loi autorisant la débauche, et Anne Hidalgo, maire socialiste de la capitale, s’étaient rendues sur place pour se féliciter d’une telle innovation, qui est supposée « favoriser l’entrée des usagers de drogues dans un processus de réduction des risques » et, selon Jean-Jacques Urvoas, le ministre de la Justice, « réduire les nuisances et troubles à l’ordre public » ! Moyennant quoi le garde des Sceaux vient de donner pour consignes, comme on va le voir, de surtout préserver le désordre public que cette salle de shoot va engendrer… [...]

    Datée du 13 juillet 2016, cette circulaire est relative à l’ouverture des « premières salles de consommation à moindre risque, espace de réduction des risques par usage supervisé » (c’est le nom politiquement correct des salles de shoot). En jouant habilement sur les mots, elle invite les procureurs à définir autour des salles de shoot un périmètre où les camés seront intouchables : « Aux abords de la structure réglementée, seules les personnes fréquentant les salles de consommation pourront bénéficier, non d’une extension d’immunité pénale, mais d’une politique pénale adaptée. » Mais encore ? Dans ce même document, au chapitre des « contrôles de police réalisés aux abords des salles », on comprend que cela veut dire… que les policiers devront regarder ailleurs : «Dans ce périmètre défini par les procureurs de la République, la poursuite des personnes se rendant à la structure pourra être considérée comme inopportune »! Et comment détermine-t-on si le gars qui se trimbale avec de l’héroïne dans la poche se rend à la « structure » ou passe juste dans le coin ? Mystère ! D’ailleurs, d’après une indiscrétion du journal « Le Monde », « les policiers ont en outre reçu pour instruction du procureur de la République de Paris de tolérer les usagers de drogue aux abords de la salle » de l’hôpital Lariboisière, ce qui aura au moins pour avantage de leur éviter de perdre du temps en procédure puisque celle-ci ne peut que finir, comme ils en ont déjà l’habitude, dans la poubelle du Palais de justice… Conséquence de cette « tolérance » ? Dans ce périmètre (qu’il appartiendra au procureur de la République de délimiter sur sa carte – est-ce que je mets aussi les numéros impairs ? Et cette ruelle adjacente, je l’intègre ou je l’intègre pas ?), où la police n’interviendra donc pas, les dealers et toxicos des quartiers voisins vont rappliquer, puisqu’ils bénéficieront de l’immunité accordée aux « clients » de la salle de shoot [...]"

    Michel Janva

  • Manifestations policières : l’impasse de Cazeneuve

    La révolte qui gronde chez les fonctionnaires de la police nationale revêt un caractère particulier qui met le gouvernement, et en première ligne Bernard Cazeneuve, dans une situation inédite.

    En effet, si le mouvement de protestation des policiers, le 17 octobre à Paris, semble avoir pris de court le ministère de l’Intérieur, sa particularité tient au fait qu’il s’agit d’une initiative lancée délibérément en dehors de toute représentation syndicale.

    Ce désaveu peut s’expliquer par deux reproches adressés par les policiers à leurs syndicats : celui de passer plus de temps à s’entre-déchirer qu’à défendre leurs intérêts, et celui d’être coresponsables de la situation qui est aussi la leur, en ce qu’ils gèrent collectivement avec l’administration, par le biais des commissions administratives paritaires, le fonctionnement de la police nationale.

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  • Syrie : Avertissement de Moscou !

    Débat avec la participation de Fabrice Beaur, expert pour l’ONG EODE depuis Moscou, Laurent Ozon, analyste des questions internationales depuis Paris, ainsi que Bahar Kimyongur, journaliste depuis Bruxelles.
    Source: presstv.ir
  • Saint-Bauzille (34) : démission de tout le conseil municipal et action mercredi !

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    Richard Roudier Porte-parole de la Ligue du Midi

    « La seule liberté qui reste à un élu pour ne pas accepter une décision qu’il considère prise sans concertation, injuste et inéquitable, c’est de démissionner », c’est ainsi que la première adjointe de la mairie de Saint-Bauzille-de-Putois, Elisabeth Thérond, justifie sa décision dans un communiqué de presse dénonçant les oukases du Préfet de l’Hérault. Suite à la démission du maire Michel Issert annoncée en fin de matinée le vendredi 21 octobre, l’élue a réuni l’équipe municipale, vendredi à 18 heures, avant de rendre publique cette décision le lendemain, le samedi 22.

    En moins de 24 heures, l’intégralité du Conseil municipal de Saint-Bauzille-de-Putois a décidé de démissionner par solidarité avec l’ancien édile. Ce qui fait que ce sont les dix-huit élus du Conseil municipal qui ont dénoncé l’absence de concertation du Préfet Pouëssel, qui a refusé d’entendre les soucis et les souhaits de la population. Dans la journée de dimanche on apprenait qu’un autre maire de la Communauté de commune de Ganges-Sumène aurait annoncé son intention de démissionner, laissant peut-être présager une réaction en chaine qui pourrait ne pas s’arrêter aux limites du canton.

    Cette “affaire dans l’affaire” ne va pas renforcer le prestige du dit préfet car elle impliquerait, à la brève échéance de 2 mois, la tenue d’une nouvelle élection avec pour conséquence un vote protestataire inévitable. Dans le cas où la population souhaiterait sanctionner ce déni de démocratie en boudant le scrutin (en ne présentant pas de liste), la gestion de la commune passerait alors sous la tutelle du préfet en gestion directe, rappelant les pratiques du “Second Empire”. Rappelons que le vote populiste dans cette région des Basses Cévennes se situe selon les communes entre 25 et 45 % et que selon les experts, on serait encore loin du “plafond de verre”.

    saintbauzillesansmigrantsFace à la morgue du préfet qui n’a apporté aucune réponse concrète aux exigences de la population énoncées lors de la réunion du jeudi 20 octobre, le collectif des mamans de Saint-Bauzille appelle à une manifestation pacifique le mercredi 26 octobre à 17 heures. Rendez-vous devant le “snack” avec des poussettes, des casseroles, des cuillères en bois et des sifflets.

    Se mobiliser pour vaincre. Demain il sera trop tard!

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le fondamentalisme chrétien ne conduit pas à la violence mais à la sainteté

    Dans son numéro d'octobre de In Altum, la Famille Missionnaire de Notre-Dame propose une synthèse à destination des plus jeunes du Texte de la Commission Théologique Internationale (2014) intitulé Dieu Trinité, Unité des Hommes – Le monothéisme chrétien contre la violence :

    "Si on en croit nos médias et nos « têtes pensantes », le monothéisme est source de violence : il s’oppose à tout progrès humain et, en voulant imposer SA vérité, il génère fondamentalisme et intolérance, ennemis de notre liberté…

    En comparaison, le polythéisme est jugé tolérant et l’athéisme mieux encore : avec lui, pas de Dieu qui nous divise ! Il suffit pourtant de voir où nous ont conduits les 2 grands systèmes athées du siècle dernier, le nazisme et le communisme, et aujourd’hui la dictature du relativisme… Si celle-ci est plus confortable (j’ai raison, tu as raison, nous avons tous raison !) elle ne nous mènera jamais à la paix : on justifie ainsi l’indifférence, voire la défiance réciproque et cela décourage en tous cas de s’engager pour la vérité puisqu’on prétend qu’elle n’existe pas…

    Derrière le terme générique de « monothéisme », c’est bien souvent le christianisme qui est visé. C’est pourquoi la CTI a voulu clarifier la théorie selon laquelle il existe un lien nécessaire entre monothéisme et guerre de religion, en montrant combien la violence au Nom de Dieu est au contraire la plus grande perversion de la foi en Dieu. Comme le disait récemment le Pape François : « Tuer au nom de Dieu est satanique  ».

    En parcourant l’Histoire du Salut, on découvre que Dieu, à travers un peuple choisi, cherche à faire alliance avec tous les hommes. Sans tomber dans un dualisme « Dieu de l’Ancien Testament = Dieu de violence »/ « Dieu du Nouveau Testament = Dieu d’amour », les pages les plus dures de l’AT – châtiments divins, ordres d’extermination … – doivent être relues en comprenant :

    d’une part la pédagogie divine qui « affine » peu à peu son peuple en tenant compte de la logique des peuples du moment, de leurs conditionnements humains (et on peut admirer la force de l’éducation divine qui permet peu à peu de dépasser la violence et de purifier la foi !). On perçoit alors la grande miséricorde de Dieu qui accepte et désire faire de l’homme son interlocuteur.

    d’autre part du style littéraire propre aux auteurs de l’Ancien Testament, plus libre que celui de nos récits proprement historiques, visant à accentuer l’intervention divine dans l’histoire. On attribue à Dieu des événements qui peuvent être le simple fait des hommes.

    Avec Jésus, Dieu manifeste pleinement sa réponse à la violence : Il livre sa vie en sacrifice… Au jardin des Oliviers, Jésus interdit à ses disciples toute violence ; Il se livre Lui-même mais demande que ses disciples soient épargnés… Cela ne l’empêche pas d’être ferme dans le témoignage rendu à la Vérité mais Il interdit le conflit sanglant avec le parti hostile en remettant sa vie entre les mains de Dieu et en intercédant même pour ses bourreaux.

    Il nous montre l’exemple : si la Révélation ne se défend pas par la violence, elle ne doit pas non plus être reniée  !

    Alors NON, le christianisme n’est pas violent : regardons l’exemple de nos martyrs (vitrail du martyre des carmélites de Compiègne) ! C’est même l’unique chemin pour vaincre la tentation de la domination grâce au double commandement qui le fonde : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu et tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Le fondamentalisme chrétien ne conduit pas à la violence mais à la SAINTETÉ"

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Répartition des migrants : La révolte qui vient – par Jérôme Gerber

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    Source : Les Identitaires – « Répartition des migrants : La révolte qui vient »

    Saint-Gaudens, Saint-Brévin les Pins, Decazeville, Forges les Bains, Trégunc ou encore Saint-Denis-de-Cabannes sont quelques-unes des centaines de communes françaises concernées par l’accueil des « migrants » permettant ou tentant ainsi de désengorger la tristement célèbre « jungle de Calais ». Si certains édiles locaux se sont portés volontaires pour accueillir ces milliers de clandestins, beaucoup d’autres se retrouvent dans des situations plus que difficiles, malgré l’engagement du gouvernement pour que « cette opération se déroule dans une démarche de dialogue et de concertation préalable et en tenant compte de la capacité d’accueil mais aussi des conditions économiques, sociales et financières des communes ».

    En effet, l’état n’ayant consulté que rarement les élus locaux, refusant même la tenue d’un référendum populaire comme à Allex dans la Drôme, et encore moins la population, première concernée par ces mesures, les maires se retrouvent en première ligne face aux mécontentements de leurs administrés d’un côté et la pression exercée par les préfets, représentants légaux de l’état de l’autre.

    Comme l’a si bien dit Christian Abrard, sous-préfet de la Loire :

    « La décision est prise, donc ce n’est pas un marchandage. Nous disons simplement au maire : présentez-nous des projets, nous les prendrons en compte en priorité ».

    Nous sommes bien loin des démarches de dialogue et de concertation proposées par l’état qui, se rendant bien compte du peu d’enthousiasme soulevé par la politique gouvernementale auprès des populations, tente un passage en force. Peut-être pense-t-il, comme Bertold Brecht, que « le peuple a par sa faute perdu la confiance du gouvernement. Il convient donc pour le gouvernement de dissoudre le peuple et d’en élire un autre ».

    On pourrait être démoralisé et se croire désarmé face à cette situation qui semble inéluctable. Pourtant à Sisco cet été, ce sont des pères de famille qui sont montés en première ligne pour défendre des jeunes du village pris à partie par des racailles. L’affaire fit beaucoup de bruit, tant de bruit qu’on ne peut s’empêcher de faire une relation de cause à effet quant à la décision de l’état de ne pas obliger la Corse à accueillir des migrants. La Corse sera donc la seule région de métropole « sans migrants » !

    À Saint-Denis-de-Cabannes dans la Loire, ce sont les mères de familles qui ont interpellées le sous-préfet de Roanne venue tenter lors d’une réunion d’apaiser les inquiétudes des centaines d’habitants présents. Les incidents de janvier dernier à Cologne sont encore dans tous les esprits, les vraies questions sont enfin posées :

    « Nos enfants peuvent-ils traîner dans la rue, ils ne risquent rien ? Moi j’ai peur des vols, des viols… Qui va satisfaire leurs besoins sexuels ? (ceux des migrants) », crient des mères de famille légitimement inquiètes pour leurs enfants lors de la réunion de Saint-Denis-de-Cabannes.

    À chaque réunion publique, malgré la présence minoritaire de militants d’extrême-gauche, le pays réel se déplace en nombre ne voulant plus subir ce remplacement forcé, imposé par une caste politique décalée de la réalité. Des manifestations spontanées et apolitiques s’organisent sur tout le territoire rassemblant des centaines de personnes comme à Pierrefeu, Allex ou encore Forge-les-Bains. Mais face à la volonté de l’état, face au système et face aussi, parfois, à une volonté de récupération électoraliste, ces mères et pères de famille se sentent souvent seuls, désorganisés, voire abandonnés.

    Il devient clair face à cette volonté de nos « élites » de nous imposer ce grand remplacement que seule la volonté du peuple fera plier le système. Autrement dit la peur d’événements immaîtrisables, d’une révolte populaire. Mais si « la république gouverne mal, elle se défend bien » d’autant qu’elle se méfie de cette France bien élevée qui commence à perdre patience.

    C’est à nous, militants, anciens militants, cadres politiques formés et aguerris, connaissant et maîtrisant les règles de l’Agit-pro et de la communication politique de composer cette première ligne de pères de famille comme le disais très justement Cyril Raul dans un article précédent. Être le fer de lance de ces groupes de citoyens qui face à l’urgence se rassemblent pour tenter d’inverser le cours de l’histoire, se battant pour leur village, leur famille, leur terre, leur héritage.

    Hic et Nunc. Ici et maintenant, avec les nôtres.

    Jérôme Gerber

    http://fr.novopress.info/201226/repartition-des-migrants-la-revolte-qui-vient-par-jerome-gerber/#more-201226

  • Rééduquer les masses contre la superstition égalitariste et son rejeton antiraciste

    L’Occident, c’est-à-dire le monde européen et anglo-américain, s’est délibérément enivré du poison de l’égalitarisme au nom d’un utopisme qui confine, désormais, au nihilisme. On ne peut nier que c’est là le produit d’une sécularisation malheureuse et hérétique du christianisme, sur plus de quatre siècles, qui a fait le lit du virus socialiste.

    Quiconque s’intéresse au cas français peut contempler les ravages de la superstition égalitariste, car c’est bien d’une superstition rageuse qu’il s’agit. Ce principe, faux de bout en bout, a ouvert la voie aux pires démagogues bourgeois qui ont progressivement remplacé l’ancienne aristocratie tout en singeant son penchant pour la fossilisation sociale. Peu importe la créolisation complète de la France –  et de l’Europe – pour peu que ces escrocs en retirent leurs dividendes annuels. Pire : c’est devenu un article de foi.

    Quand une classe politique subordonne l’avenir de son peuple au point de le mener à l’anéantissement complet, la voie révolutionnaire devient incontournable. Et généralement celle empruntée.

    L’homme ouest-européen est aujourd’hui un parfait crétin qui s’aveugle volontairement sur les réalités humaines les plus élémentaires et les plus irréductibles. Le fanatisme religieux qui aiguillonne toujours la bourgeoisie croulante qui préside aux destinées de la France arrime chaque jour davantage ce pays aux profondeurs de l’Afrique.

    Cette destruction du bon sens est observable partout. Il y a deux générations, un paysan gaulois dépourvu de certificat d’études comprenait d’instinct l’immensité qui le séparait d’un nègre. Aujourd’hui, une croûte de vieux bavards surnageant sur 71 ans de paix, opérant à tous les niveaux de la vie intellectuelle, répandent leurs insanités sur l’heureux développement que constituerait à leurs yeux le mélange du sang européen avec celui de toutes les peuplades puantes du tiers-monde. De l’Afghanistan au Congo, de la Colombie aux marges de l’Irak.

    La plus grande tâche qui se place devant nous est celle du réapprentissage des réalités raciales. Je suis à ce titre un athée militant de la superstition égalitariste. Ce mythe s’articule sur des pulsions particulièrement tenaces parce que primitives et émotionnelles. Mais plus tenaces sont les réalités que ce mythe prétend abolir.

    Parallèlement, je suis donc un optimiste résolu en ce sens que l’arrogance des demi-marxistes occidentaux adeptes de l’islamo-négrification de l’Europe doit nous rappeler qu’ils ont les yeux plus gros que le ventre. La vieille race européenne qui s’étend sur tout l’hémisphère nord – en plus de l’Océanie et de parts de l’Amérique du Sud – disposent d’atouts colossaux, malgré une politique migratoire – donc raciale – parfaitement destructrice.

    Mais si les dommages sont significatifs, ils ne le sont pas au point changer les lois de la nature voulues par le Créateur.

    Nous devons travailler inlassablement au réveil de nos populations pour qu’elles redécouvrent la boussole sans laquelle il n’est pas de navigation possible en ce monde. Cette boussole, c’est celle de l’inégalité de potentiel et de réalisation des individus comme des groupes humains. Il a fallu bien des combats intellectuels et politiques – et de morts – pour que chacun finisse par admettre que la terre est ronde. Il n’en va pas différemment des réalités raciales et culturelles.

    Cette réalité doit servir d’étoile polaire à un ensemble politique qui reste à édifier. Le point faible de cet édifice est l’Europe péninsulaire tandis que l’imbécilité nord-américaine pousse la Russie dans les bras des Chinois. Nos querelles d’arrière-boutique, en Europe, nous ont ramené au rang de nains géopolitiques, offrant à des pays économiquement sous développés comme la Turquie orientalo-asiate des leviers exorbitants.

    La fumisterie qu’est la superstition des droits-de-l’homme, qui codifie toute l’escroquerie, parvient à convaincre jusqu’à des docteurs ou des ingénieurs de ce qu’un aborigène est leur égal, malgré ses 60 points de QI !

    A la différence de nombre de tenants de cette superstition destructrice, j’ai eu le privilège de fréquenter cette humanité archaïque sortie des déserts d’Australie et de devoir assurer l’entretien de leurs chambres d’hôtel gracieusement offertes par le prolétariat anglo-saxon de ce pays, sous l’égide éclairée des puritains convertis à l’antiracisme. Il suffit de voir une de ces tribus déféquer dans ses lits et manger à même le sol pour comprendre, en moins de 10 minutes, qu’on ne comble pas 60 000 ans avec des chèques et des bons sentiments.

    La raison et la sagesse ne gouvernent plus l’Europe, seulement une litanie sans fin d’émotions de communiantes. Cette pâtisserie sentimentale a aboli le sens commun et met en confiance le barbare afro-musulman qui croit soudainement pouvoir revendiquer des droits sur nous.

    Quand ce simulacre prendra fin, Mohammed et Mamadou tomberont soudainement du haut de leurs illusions. Ces masses, gouvernées par leur psychologie infantile, ont déjà perdu la tête à l’idée alléchante et naïve de ce qu’ils seraient sur le point de nous dominer. De la complainte poussive de la victime les voilà hurlant leurs récriminations, préalables à l’émeute meurtrière.

    Il ne faudra pas grand chose pour que la déconvenue soit au rendez-vous et que les espoirs de fainéantise éternelle ne fondent comme neige au soleil. Le pullulement de cette basse humanité au cœur de l’Europe n’est du qu’aux subsides colossaux que leur accorde l’oligarchie dégénérée qui gouverne les démocraties occidentales.

    L’anarchie continuant de se répandre, les efforts du fanatisme antiraciste finiront par épuiser tous leurs effets au sein des masses. Nos efforts pour en finir avec la terreur antiraciste seront progressivement couronnés de succès à mesure que la réalité et le bon sens conforteront nos avertissements.

    Paradoxalement, nous devons avoir la patience de ceux qui voient plus loin que les hystériques de notre époque. L’effondrement du système actuel comme de ses valeurs préfigure de la victoire de nos conceptions.

    http://borislelay.com/index.php/2016/09/08/reeduquer-les-masses-contre-la-superstition-egalitariste-et-son-rejeton-antiraciste/

  • Des migrants ont agressé des jeunes femmes russes, ils sont à l'hôpital

    Une cinquantaine de migrants du Sud-Est de l'Europe et d'Afghanistan ont agressé des jeunes femmes russes dans une boîte de nuit russe. Mais à la différence de l'Union européenne, l'histoire a eu lieu à Mourmansk et les hommes russes ont défendu leurs femmes.
    Résultat, après avoir agressé ces femmes, on recense 18 migrants à l'hôpital et 33 au centre de détention avec "un brûlant désir de rentrer chez eux".

    Lire l'article intégral en anglais.

    http://www.oragesdacier.info/