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insécurité - Page 942

  • Les valeurs chrétiennes peuvent-elles lutter contre le pouvoir de l’argent et la violence en Corse ?

    Libres propos d’Estelle Massoni, responsable du Front National de la Jeunesse en Corse
    Il y a quelques semaines déjà, le pape François condamnait fermement en Sardaigne le système qui consiste à idolâtrer l’argent sous toutes ses formes au détriment du genre humain. Un discours fort,prononcé courageusement sur une île proche de la Corse. En entendant ces quelques phrases, la responsable politique locale que je suis, militante du Front National de la Jeunesse, ne peut que s’interroger, dans une société où la laïcité républicaine devient elle-même une religion s’imposant à tous comme un véritable dogme. Cette interrogation, toute naturelle en terre de Corse, bercée depuis des siècles par la tradition chrétienne, porte en elle un signal fort : les valeurs chrétiennes telles que défendues par le pape sont-elles à même de modifier sur l’île le rapport à l’argent ? Existe-t-il encore sur la base de ce message religieux, une nouvelle manière de reconsidérer le rapport à l’autre et ainsi lutter contre la précarité, le chômage ou l’assistanat.
    Comme l’a d’ailleurs souligné le pape dans son intervention, le travail est vecteur de dignité. Or, nous assistons aujourd’hui à la perversité d’un système social et fiscal qui appauvrit le travailleur, notamment celui des classes moyennes. Dans le même temps, par tout un panel de subterfuges, ce même système abrutissant et pervers pousse le jeune à opter pour des choix de vie non plus basés sur l’ambition, l’abnégation et le dépassement de soi mais plutôt pour de l’attentisme, du clientélisme et une perte de confiance préjudiciable à l’épanouissement personnel et collectif.
    Ainsi, ce code moral et philosophique qui était jadis porté par des valeurs morales et chrétiennes, est passé à la trappe, avili par le pouvoir corrupteur de l’argent facile, un rapport à la monnaie qui parfois fait oublier sa propre dignité, sa nature humaine. Sur notre île peuplée de près de 350.000 habitants, le constat de cette perte de valeurs est alarmant. Départements touchés de plein fouet par un nombre croissant d’avortements, la Haute-Corse et la Corse du Sud se placent dans le haut du classement pour le nombre d’interventions médicales ou thérapeutiques pratiquées dans ce domaine. De même, alors que les grandes surfaces se développent sur l’île, participant d’un rouleau compresseur mondialiste uniquement basé sur la consommation et appauvrissant l’artisan ou le petit commerçant, la précarité augmente sans cesse. Il n’est que de voir fleurir bon nombre d’actions caritatives portées par diverses associations comme « les Restos du cœur ». Méconnue, mal connue, cette précarité insidieuse dont le Corse bien souvent, dans une fierté toute naturelle, n’ose porter à la connaissance des différents services publics est bien présente. Une pincée de charité chrétienne, un questionnement altruiste pourraient évidemment faire prendre conscience aux grands patrons et chefs d’entreprises que les leurs souffrent, souffrent d’une concurrence déloyale venue parfois d’ailleurs, souffrent d’une fiscalisation outrancière où RSI et autres charges salariales continuent de pleuvoir tandis que les marchés sont de moins en moins nombreux et la sous-traitance rendue difficile par une mise en concurrence déloyale.
    Oui effectivement, comme le dit le pape François, l’argent corrompt. Pour ne reprendre que quelques lignes de son discours en Sardaigne, « pour préserver ce système idolâtre, on abandonne les plus faibles, les vieux, ceux qui n’ont nulle part où loger. On est en train de parler d’une euthanasie dont on tairait le nom », on est bien obligé de constater que la spéculation et le profit sont devenus, au cours du temps, des valeurs plus fortes que celle de la charité.
    Une charité qui bien ordonnée commence par soi-même, par le fait de s’occuper des siens qui souffrent, par le fait de limiter ses propres profits en embauchant et en payant notre propre jeunesse en souffrance, un moyen incontournable de lutter contre l’oisiveté pourvoyeuse de violence.
    Estelle Massoni
    Source: Nation presse info

  • Panorama des 30 pays les plus christianophobes 2/2

    L'Aide à l'Eglise en détresse (AED) dresse le tableau de la situation des chrétiens entre 2011 et 2013 dans les 30 pays les plus christianophobes. En voici une traduction (le rapport étant rédigé en anglais) :

    Les pays où les persécutions ou l'oppression contre les chrétiens sont extrêmes :

    • Erythrée : forte dégradation. Persécution reforcée début 2013 avec l'arrestation d'au moins 191 chrétiens. Entre 2 000 et 3 000 chrétiens continuent de subir torture ou mauvais traitements en prison.
    • Afghanistan : forte dégradation. La seule église officielle encore debout a été détruite en mars 2010. Les personnes engagées dans des associations humanitaires chrétiennes ont été expulsées pour prosélytisme.
    • Vietnam : forte dégradation. Le décret 92, prenant effet le 1er janvier 2013, a étendu le contrôle du gouvernement dans un pays déjà très restrictif sur le plan de la liberté religieuse.
    • Pakistan : dégradation. Des chrétiens tués et des maisons détruites à la suite d'accusations de blasphème. Les femmes issues des minorités religieuses subissent davantage de harcèlements sexuels ou d'autres abus.
    • Chine : dégradation. Le gouvernement contrôle étroitement les activités religieuses : les prêtres "officiels" qui défient l'Etat sont punis, les communautés non reconnues font l'objet de descentes de police.
    • Maldives : dégradation. En vertu de la Constitution, les non-musulmans sont privés de citoyenneté et les lois doivent être islamo-compatibles. Appels à l'application complète de la charia.
    • Corée du Nord : situation inchangée. Officiellement athée, l'Etat fait exécuter les personnes surprises en train de prier. Les prisonniers religieux subissent la torture et les pires abus.
    • Arabie saoudite : situation inchangée. Le pays reste en tête de ceux qui bafouent le plus la liberté religieuse - par exemple, une simple réunion de prière chez soi justifie une descente de police.

    Persécutions ou oppression élevées, voire extrêmes :

    • Syrie : forte dégradation. Les chrétiens ont été menacés, chassés de leurs maisons et parfois tués à cause de leur foi. Des évêques et des prêtres kidnappés, certains toujours portés disparus.
    • Egypte : forte dégradation. Exode d'au moins 200 000 chrétiens depuis février 2011. Rapts de jeunes filles, assauts, meurtres de chrétiens à cause de leur foi, destructions et fermetures d'églises.
    • Iran : forte dégradation. Augmentation des arrestations, tortures, séquestrations de croyants, mais également des raids contre les églises et des confiscations de bibles.
    • Nigeria : forte dégration. Augmentation des attaques contre les édifices religieux et les maisons des chrétiens. Depuis 2007, plus de 700 églises ont été attaquées, la plupart par des islamistes voulant imposer la charia.
    • Irak : légère amélioration. L'exode des chrétiens continue avec les attaques contre les personnes et les édifices. Mais les attaques de grande échelle qui ont marqué la période 2009-10 se sont réduites.

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    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les chrétiens de plus en plus persécutés dans le monde 1/2

    L'Aide a l'Eglise en détresse examine chaque année la situation des chrétiens dans les 30 pays les plus christianophobes. Les conclusions du rapport 2013 (en anglais), qui porte sur les 30 derniers mois, font froid dans le dos :

    "Selon John Pontifex, directeur de l’Information du bureau britannique de l’AED, « la principale conclusion du rapport est que dans les deux-tiers des pays où la persécution des chrétiens est la plus sévère, les problèmes ont sans doute encore empiré. En fait, dans certaines régions – notamment au Proche-Orient – la survie même de l’Église est maintenant en jeu. »

    Pour les chrétiens, le soi-disant « printemps arabe » est devenu dans de nombreux cas ce que le rapport appelle un « hiver chrétien ». (...) Le rapport décrit l’exode comme atteignant des « proportions presque bibliques ».

    Selon les informations présentées dans ce rapport, l’influence des groupes islamistes fondamentalistes a considérablement augmenté au cours des trente derniers mois. Ils représentent peut-être la plus grande menace à l’encontre de la liberté religieuse dans le monde aujourd’hui. Leur objectif est l’élimination, ou au moins l’assujettissement des chrétiens.

    Dans les pays communistes aussi, les efforts visant à exercer un contrôle sur les populations chrétiennes ont augmenté. Toutefois, dans ces pays les chrétiens tendent à être persécutés avant tout en raison de leurs contacts avec des dissidents et avec l’Occident et non pas uniquement en raison de leur foi. (...)

    Comme l’explique John Pontifex, « (...) le rapport « Persécutés et oubliés ? » soulève de profondes interrogations quant à l’engagement de la communauté internationale à se dresser en faveur de la liberté religieuse. »"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • En Russie, on crie : « la Russie aux Russes » !

    380 personnes ont été interpellées dans la nuit de dimanche à lundi après des émeutes qui ont secoué un quartier moscovite. Ces émeutes ont été provoquées par le meurtre d’un russe par un immigré qui a pris la fuite.  Des protestataires ont crié : « la Russie aux Russes » demandant un durcissement dans la lutte contre l’immigration illégale.  Quel paradoxe alors qu’en France, la simple mort d’un délinquant poursuivi par la police réussit à mettre les banlieues en révolte.  Au Trocadéro, les casseurs ont réussi en toute impunité à mettre le bazar et à piller un bus de touristes.  On assiste des affrontements entre forces de l’ordre et casseurs des cités. Décidément en Russie, on ne fait jamais pareil qu’en Europe de l’Ouest. Notons qu’au passage, les policiers russes ne font pas que réprimer des manifestations de LGBT, non déclarées, ou mettre en prison des activistes de Greenpeace. Cela devrait en  rassurer certains de savoir que tout de même, il y a une justice en Russie et que tout n’est pas totalement à rejeter !

    http://medias-presse.info/?p=1083

  • Marseille, et demain ?

    Marseille fait bien souvent la une de l’actualité, alimentant souvent la rubrique que l’on a un peu trop facilement coutume d’appeler « faits divers » : en quoi un meurtre est-il fait divers ? L’utilisation des armes de guerre se fait désormais là bas de plus en plus fréquente, permettant l’élimination au sein des gangs des rivaux sérieux.
    Marseille n’est aujourd’hui pas plus ethniquement arabe que blanche ou noire : elle est tout cela en même temps et parce que c’est de melting pot dont il s’agit, Marseille est peut être devenue la plus américaine de nos grandes villes françaises.
    Durant les années 70, le Front National – déjà – pointait du doigt le danger de l’immigration et le fait que les travailleurs étrangers n’étaient nullement venus aider à construire la France ou à dynamiser l’économie locale. Dans les faits, le Front National insistait sur l’aspect économique, montrant que ces travailleurs envoyaient la grande majorité de leur rémunération dans leur pays d’origine, ce afin de faire vivre leur famille, là bas restée. Bien évidemment, et en cela nos gouvernants sont constants en matière de mauvaise foi et de mensonges, le Front National était dès alors fustigé pour avoir simplement dit la vérité. Si on connait la prise de position de la droite alors à l’époque au pouvoir, on ne peut écarter la gauche oppositionnelle de la critique : en effet, celle-ci se faisait le chantre de la grande convivialité entre autochtones et immigrés, au nom d’un droitdelhommisme bêlant, benoit, et dégagé de tout lien avec la réalité. Bien sur, les gouvernements de droite de l’époque savaient pertinemment que le Front National avait – déjà – à l’époque raison et que par voie de conséquence c’était un fait que ces immigrés envoyaient bel et bien la majorité de leur argent en métropole. Si, utilisant la terminologie de René Rémond (1) droite légitimiste et bonapartiste étaient, à défaut d’idéales, idéelles, la droite orléaniste (entendez à l’époque la révélatrice alliance giscard-chirac) s’est toujours trouvée dans l’histoire complice du monde de l’argent et du progressisme. Constatant donc que l’argent gagné en France se voyait, parce qu’envoyé en Afrique du Nord, perdu de notre économie, ils décidèrent de faire venir chez nous, les familles étrangères, justement afin que la rémunération des ces travailleurs immigrés profite à une économie dite nationale. Bien sur, les raisons de cette décisions furent occultées et cachées au peuple français et ce fut au nom de l’humanisme béat et benoit, que le passage de l’importation de travailleurs étrangers à l’importation de toutes les familles fut annoncée : façon de se présenter comme humaniste mais aussi de se situer dans le sillage de la gauche qui exerçait à l’époque – elle est morte aujourd’hui – son magistère intellectuel.
    C’est donc en fonction d’un choix économique que l’immigration de masse fut favorisée en France. Le problème majeur est que les immigrés ne peuvent être réduits à une simple force de travail ainsi qu’à un compte en banque. Dans les deux cas, la réduction de la qualité à la quantité s’avère une erreur majeure. Les immigrés venus s’installer en France, à cause de la droite ET de la gauche, importèrent aussi leurs « valeurs ». D’où les mosquées, voiles, djellabas et autres, auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui. La gauche s’est trompée en considérant, via notamment sos racisme et le clochard décérébré qui lui tenait lieu de leader Harlem Désir, que tout se valait : le problème majeur n’est pas celui de la couleur de peau, sur lequel on insista bien à tort durant les années 80, mais ce qui se trouve dessous : croyant au nom de la démocratie, de la république surtout, importer simplement des couleurs de peaux différentes, ils s’aperçoivent bien tardivement aujourd’hui que c’est le communautarisme l’intégrisme, tout sauf républicain, qu’ils ont favorisés.

    Childéric Fonteney http://www.voxnr.com/cc/politique/EFlEVZuElZFdIsfGVe.shtml

  • Des loups en liberté…

    Du 9 au 12 Octobre, se tient dans les Alpes-Maritimes, une conférence sur le thème: « Vivre avec les loups; hier, aujourd’hui et demain; état des lieux et perspectives européennes. » Une conférence qui semblerait banale si ce même 10 Octobre, il n’y avait pas eu le procès d’un éleveur de troupeaux. Il faut donc se pencher sur la question qui se révèle très intéressante.

    De plus en plus, sous la pression des écologistes notamment,  des loups à l’état sauvage sont introduits sur le territoire français. Selon eux, il est indispensable que ces animaux aient leur place en France; cela contribue au respect de la nature indirectement. Mais le problème se pose bien vite: ces loups affamés s’en prennent aux troupeaux et attaquent les pauvres moutons impuissants. D’où la colère des éleveurs et des bergers qui perdent de plus en plus de bêtes. Ils n’en peuvent plus, leur travail n’a plus aucun sens sinon celui de nourrir ces bêtes sauvages! Les tensions augmentent donc entre les écologistes, convaincus du bien-fondé de la présence de ces animaux et les bergers condamnés à découvrir sans cesse des cadavres de leurs moutons. Début 2013, un prétendu accord a bien été trouvé entre eux: 24 loups seraient abattus chaque année. Mais qu’est ce que 24 loups ? Ce n’est rien du tout! Les écologistes veulent-ils faire de la France un territoire sauvage où il ne fait pas bon pour des moutons de rester seuls loin du troupeau et du berger?

    Si l’on va plus loin, il n’y a pas que ces loups-là qui sont en liberté; il n’y a pas que les moutons qui ont à craindre pour leur vie!  Car comme le dit Plaute: »l’homme est un loup pour l’homme ». Ainsi d’autres « loups » se promènent en liberté! Ce sont tous ces délinquants récidivistes remis en liberté et qui sont décidés à recommencer au plus tôt leurs méfaits. Sortis de la prison, ils ‘attaquent à de nouvelles victimes impuissantes : ainsi une Jeanne Marie Kegelin ou une Anne Lorraine Schmitt pour ne citer qu’elles.Il y en a bien d’autres et de plus en plus…comme cet agresseur du policier,en état de mort clinique, à Lorient. Mais ces « écologistes » là, à savoir notre gouvernement et notre Garde des sceaux Christine Taubira, avec sa politique générale laxiste, ne réagissent pas. Seuls quelques compromis sans résultat probant… Il y a toujours plus de détenus relâchés. On nous dira: « vous comprenez il faut leur redonner une chance à ces pauvres hommes! » Si en effet, il faut toujours donner une seconde chance…les victimes, elles pour certaines, n’ont jamais eû de seconde chance !

    Ainsi des récidivistes, parfois dangereux, sont en liberté et personne n’en sait rien. Il faut toujours un drame pour que le problème revienne sur la table mais le mal est fait. On attend que l’émotion médiatique retombe mais au final, on n’a rien fait ! Ce n’est pas le laxisme socialiste qui va arranger les choses ! Jusqu’à quand cela va-t-il durer ?

    http://medias-presse.info/?p=1016

  • Lampedusa, « un silence coupable de la part des dirigeants africains »

    Lu dans La Croix

    "« Alors que le monde entier se désole et s’émeut du dernier drame de Lampedusa, l’Afrique des dirigeants et autres chefs d’État se terre dans un silence tout en couardise et en lâcheté. À la suite d’un homme politique romain, qui a déclaré que ce drame était un drame italien, un autre a renchéri que c’était un drame européen, alors que, pour le pape François, c’est tout simplement “une honte” de laisser mourir ainsi “des gens qui fuient l’esclavage et la faim, à la quête de la liberté” . Déjà, en juillet dernier, le Souverain Pontife s’était rendu en personne sur cette île, au milieu des migrants, pour dénoncer la “mondialisation de l’indifférence” .

    Autant il est normal que des voix qui comptent interpellent la conscience de l’Europe et du monde dit développé sur le coût humain de l’égoïsme des riches, autant il est anormal que les États africains, gros pourvoyeurs de ces migrants acculés de fait à la mort, ne disent rien. L’opinion, sur le continent, comprend mal pourquoi les dirigeants de l’Union africaine (UA) se tiennent cois, comme si ce drame ne les concernait que de très loin. 

    Les populations en cause partent pourtant du voisinage immédiat du siège de l’Union, situé à Addis-Abeba, capitale de l’Éthiopie, frontalière de l’Érythrée – d’où sont majoritairement originaires les quelque 500 passagers du bateau funeste. Les autres migrants venaient de Somalie, autre voisin de l’Éthiopie. Le mutisme des dirigeants de l’UA est d’autant plus déconcertant que l’Éthiopie assure actuellement la présidence en exercice de l’organisation "(suite).

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/10/lampedusa-un-silence-coupable-de-la-part-des-dirigeants-africains-.html

  • Lakim Faust, le tueur de Blancs que l’on vous cache

    WASHINGTON (NOVOpress) - Avez-vous entendu parler de Lakim Faust ? Lakim Faust est un américain de 23 ans. Il vient d’être incarceré pour le meurtre de quatre personnes en juin dernier, en attendant son procès. La presse locale – les médias nationaux sont plus silencieux… – vient de révéler que Lakim Faust « choisissait ses victimes parce qu’elles étaient blanches ». L’une d’entre elles est morte et les trois autres ont « des blessures traumatisantes à vie » (« A man who shot four people near a Greenville Walmart in June picked out his victims because they were white, according to several indictments handed down against him »).

    On doit cette révélation aux chefs d’inculpation retenus par le juge américain. Jusqu’à maintenant, la police était soigneusement restée silencieuse sur le sujet. Les enquêteurs ont fini par déclarer à la télévision avoir « saisi des ordinateurs et des documents au domicile de Lakim Faust, qui démontrent qu’il planifiait une attaque et voulait tuer un très grand nombre de personnes ». En effet, on a retrouvé une centaine de balles sur Lakim Faust au moment de son interpellation.

     

    Et si les rôles étaient inversés ? Que se serait-il passé si on avait retrouvé chez l’accusé, Blanc et choisissant ses victimes “parce qu’elles sont noires”, un plan de meurtre collectif ? N’aurait-on pas parlé de “tentative d’attentat” ? De “terrorisme” ? L’affaire n’aurait-elle pas été montée en épingle par les grands médias internationaux, avec déclarations solennelles de chefs d’Etat à l’appui ? Si, bien sûr. On aurait parlé d’“assassin d’extrême droite”, voire de “nouveau Breivik”. L’écho médiatique et officiel serait d’une portée phénoménale et les populations seraient à juste titre traumatisées.

    Mais Lakim Faust est noir. Si les rôles avaient été inversés, ce serait le plus gros fait divers de tout le monde occidental. Frustré de ne pouvoir déclarer la guerre à un pays quelconque en guise d’exutoire, Bernard-Henri Lévy se consolerait en se précipitant au devant de tous les micros pour se déverser en appels à l’ouverture à l’Autre…

    La seule omerta sur ce fait divers est la meilleure preuve du racisme anti-Blanc qui règne dans la presse occidentale. Des victimes blanches d’un tueur raciste avéré ne méritent pas la même couverture médiatique qu’une victime noire d’une bande de skinheads.

    Ce racisme-là n’intéresse personne. Car il fait peur : si les victimes d’un meurtre raciste sont des blanches, c’est que le coupable ne l’est pas. Il a alors de fortes chances d’être un immigré ou descendant d’immigrés extra-européens. Le phénomène du racisme anti-Blanc déchire le voile du mensonge multiracial et ruine l’utopie du métissage.

    Julien Langella,
    co-fondateur de Génération Identitaire

    http://fr.novopress.info/142088/lakim-faust-le-tueur-de-blancs-que-lon-vous-cache/#more-142088

  • Alain Juppé : “La maîtrise des flux migratoires n’a jamais été aussi inefficace”

    BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) – Le maire de Bordeaux est inquiet. Le résultat du premier tour des élections cantonales à Brignoles a fait l’effet d’une bombe dans le milieu politique, et particulièrement dans une UMP en proie à de graves divisions, quant à sa stratégie envers le Front national.
     
    L’ancien ministre des Affaires étrangères craint pour la « survie de l’UMP » prise entre son aile gauche (centristes) et son aile droite (Front national). « D’un côté, nous perdons sur le flanc centriste qui s’efforce de reconstituer l’ancienne UDF. De l’autre, en nous précipitant dans le piège de nos relations avec le Front National, nous décomplexons notre propre électorat qui cède de plus en plus aisément à la tentation de préférer l’original à la copie », estime-t-il dans un billet posté sur son blog.
    Alain Juppé en profite également pour étriller le gouvernement socialiste : « cacophonie ministérielle », « record d’impopularité », « cafouillages répétés sur la fiscalité », « insécurité grandissante »… sans oublier de viser le ministre de l’intérieur, Manuel Valls : « les résultats ne sont pas au rendez-vous et la maîtrise des flux migratoires n’a jamais été aussi inefficace ».

  • « Je vais égorger du Français »

    L’affaire date du 20 août mais n’a été révélée qu’hier.
    Karim Benkeltoum, étranger délinquant multirécidiviste, qui n’a jamais été expulsé du territoire, se promène ce soir là avec une autre racaille. Il est armé d’un long couteau. Ils croisent la route d’un Français qui commande des frites dans un établissement, en compagnie de son jeune fils de 9 ans.

    L’immigré attaque alors le Français en criant « je vais égorger du Français » et en brandissant son couteau. Un témoin qui avait constaté auparavant le comportement étrange de l’Arabe intervient avec une matraque ; l’immigré fuit en gueulant : « sales Français, on va vous saigner ! »

    Six mois de prison seulement ont été requis. Imaginons un instant l’hystérie politico-médiatico-judicaire si l’agresseur était un Français de souche et la victime un brave Maghrébin avec son fils de 9 ans…

    http://www.thomasjoly.fr/article-je-vais-egorger-du-fran-ais-120527484.html