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insécurité - Page 938

  • Les Antigones ont marché contre les violences faites aux femmes

    PARIS (NOVOpress) - Hier, dimanche 24 novembre, les Antigones ont organisé une marche à Paris contres toutes les violences faites aux femmes.


    Paris (France) 24/11/2013 Manifestation... par ltlnews

    http://fr.novopress.info/

  • L’école des barbares

    De l’école, j’ai eu le meilleur.

    J’ai su lire, écrire et compter dès le cours préparatoire. À l’école primaire j’ai appris l’orthographe et la grammaire, l’Histoire de France et sa géographie, l’arithmétique et la géométrie, les sciences naturelles (on disait « leçons de choses »), la couture, la musique et la gymnastique.

    Au Lycée j’ai appris le latin, l’anglais, l’allemand, la littérature, les maths, la biologie, la physique, la chimie. J’ai appris à maîtriser ma langue, à disserter en trois parties, à raisonner juste. À coudre un bouton avec une queue, faire un ourlet invisible et une reprise d’accroc.

    J’ai appris aussi la discipline, le respect des autres, les horaires, la hiérarchie, la politesse. Il y a ce qu’on fait, et ce qu’on ne fait pas. Nos blouses gommaient nos différences sociales.

    Notre école était sanctuarisée. Si un prof était un peu tripoteur, un simple signalement nous mettait à l’abri. Garçons et filles apprenaient à se connaître en se respectant, la violence était absente. On rêvait à l’amour, ceux qui le faisaient le faisaient discrètement. Ça ne regardait personne. Les problèmes que j’ai eus dans ma jeunesse ne venaient pas de l’école, ils ne vinrent pas de mon Lycée.   Aujourd’hui les élèves ne savent plus écrire et ne savent même pas à quoi peut servir de savoir compter, certains accèdent au bac sans maîtriser la lecture. Leur programme d’Histoire les fait passer de la Renaissance à la Révolution, les cours de Sciences étudient le « genre ».

    Les filles doivent avoir couché avec une fille et pas seulement avec un garçon. Ben quoi, c’est vrai ça, pourquoi pas, bande d’homophobes ! Certaines demandent si, quand on couche, « il faut » faire comme ci, ou bien comme ça. Par ailleurs, on va s’assurer que les petits garçons auront très vite une notion précise de ce qu’est la sodomie, comptons sur la maîtrise du sujet qu’auront les militants de la cause homosexuelle qui viendront leur apprendre à jouir sans entrave dès les cours préparatoires.   Comment en sommes-nous arrivés là ?

    Je croyais qu’on avait touché le fond, jusqu’à ce que j’entende, pétrifiée, le témoignage de Nora Fraisse, la maman d’une petite Marion, qui s’est pendue à l’âge de 13 ans, parce qu’elle a préféré mourir que de retourner en classe.

    Non seulement l’école ne veut plus rien enseigner aux gosses à part leur droit de baiser avec tout ce qui bouge sans s’attacher à personne, mais elle n’est même plus à même d’assurer leur sécurité.

    Des pervers en herbe peuvent, en toute impunité et sous le regard indifférent d’un encadrement totalement amoralisé, persécuter à mort une gosse de treize ans.

    C’est l’école de la barbarie et des barbares.

    Sortez vos gosses de l’Éducation nationale ! Vite !

    Marion Sigaut

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/L-ecole-des-barbares-21446.html

    En complément

    Farida Belghoul explique le projet REID d’éducation à domicile dans les banlieues françaises ainsi que les difficultés rencontrées lors de sa mise en œuvre (extrait de la conférence du 22 juin 2013 avec Alain Soral et Mathias Cardet) :

  • L’intervention en RCA : la France a trop attendu Communiqué de Bernard Lugan (22/11/13)

    Depuis le mois de décembre 2012, la RCA, l’ancien Oubangui-Chari colonial, est un foyer de déstabilisation qui menace toute l’Afrique centrale et la région sahélo-tchadienne au moment où la contagion sahélienne a touché la zone tchado-nigériane et la Libye saharienne.

    Alors que la France va intervenir en République Centrafricaine, ce qu’elle aurait du faire depuis le mois de décembre 2012, je ne vais pas redire ici ce que j’ai déjà expliqué à travers mes analyses et communiqués des 26 décembre 2012, 1er janvier, 24 mars, et 7 septembre 2013 ainsi que dans le numéro de février 2013 de l’Afrique réelle et dans celui du mois de novembre 2013 à travers l’article intitulé « RCA : les coupeurs de route au pouvoir ».

    Néanmoins, pour résumer la situation, il importe de ne pas perdre de vue que :

    - 1) Ceux qui font régner la terreur à Bangui sont les héritiers des bandes islamistes mahdistes et de celles de Snoussou qui razziaient les peuples de la forêt et du fleuve avant la colonisation.
    - 2) Comme quasiment partout en Afrique, le problème est d’abord ethnique et il est à l’origine de l’instabilité récurrente que connaît cet artificiel pays, quadrilatère de 623 000 km2, non-Etat présentant de grandes différences géographiques, donc humaines, entre des régions sahéliennes, des espaces soudanais, des savanes centrales, une forêt méridionale et des régions bordières du fleuve. [...]

    La suite sur Afrique Réelle

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-intervention-en-RCA-la-France-a

  • Journée Internationale de lutte contre les violences faites aux femmes : Les Antigones se mobilisent !

    Premier terrain de lutte choisi par les Antigones à l’occasion de la petite marche contre les violences faites aux femmes,

    La chosification du corps, fondement de l’esclavage, constitue peut-être la violence la plus fondamentale à l’égard de la femme – réduite au corps dont on dispose, la femme est niée dans son existence personnelle. Deux thèmes fondamentaux dans la société actuelle sont liés à cette problématique : la banalisation du droit à l’IVG, et la légalisation possible de la GPA.

    La Gestation pour autrui ou le nouvel esclavage
    Les débats autour de la GPA en sont l’exemple-type : réduite à sa fonction de procréation, le corps de la femme est soumis aux lois du marché.  La philosophe Sylviane Agacinski1,, intervenue sur le sujet dans une émission de France Info, y souligne à quel point la banalisation de cette pratique est une violence faite aux femmes. La GPA se pratique au détriment des plus pauvres, et revient à « considérer les femmes comme des moyens de production ». La location d’utérus représente une servitude nouvelle, dissimulée sous une rhétorique du progrès qui refuse toute interrogation morale.

    La GPA constitue l’une des formes modernes de l’esclavage, où la personne humaine est niée dans son intégrité. Généralisée à l’échelle sociale, elle serait l’expression la plus aboutie de la violence à l’égard de la femme.

    Incitation à l’avortement : une violence dont on ne parle pas

    Aujourd’hui en France, aucun dispositif légal ne protège les femmes victimes de pressions psychologiques les poussant à avorter. Le délit d’incitation à l’avortement a été supprimé par Mme Aubry en 2001. Cette décision participe d’un courant qui tend à faire de l’avortement non plus une possibilité extrême mais un droit qu’il est de bon ton d’exercer.

    La réalité vécue est différente : quand une femme est en situation de grosse non désirée, c’est souvent l’entourage qui pousse à l’avortement, parfois jusqu’à la violence physique. L’adolescente enceinte jetée à la porte de chez elle reste une réalité aujourd’hui encore. Le rôle de ceux qui nous dirigent n’est pas de cautionner ces pressions, mais d’en protéger les femmes.

    Notre gouvernement fait l’inverse en traitant l’avortement comme un « acte médical comme un autre ». Dans un contexte où l’omerta est déjà la règle sur les problèmes médicaux et psychologiques que peuvent traverser les femmes qui ont avorté, quelle femme osera critiquer ce qu’on lui aura offert comme un droit ?

    Concentrer les efforts gouvernementaux sur la facilitation de l’IVG ne se fait-il pas aujourd’hui au détriment du développement d’organismes de soutien et de la recherche d’alternatives pour les femmes ? Ces alternatives peuvent exister : dans l’Etat du Maine, la mise en place de 25 centres de soutien aux femmes enceintes associée à des campagnes d’information a fait chuter de 23,3% le nombre d’IVG entre 2010 et 2011 – l’avortement serait-il pour certaines un choix par défaut ?

    Notes:
    http://www.dailymotion.com/video/x172ca8_sylviane-agacinski-la-gpa-est-une-demission-de-la-pensee_news#.UoIPFk8DEx4.twitter
    http://madame.lefigaro.fr/societe/de-plus-plus-difficile-davorter-071113-608696

    http://www.liberation.fr/societe/2012/03/09/faut-il-s-inquieter-du-recours-a-l-avortement-des-jeunes-oui_801666e

    http://antigones.fr/blog/2013/11/18/la-chosification-du-corps-premiere-violence-faite-aux-femmes/

  • Abdelhakim Dekhar nous rappelle que l’extrême gauche est souvent meurtrière. Focus sur la période terroriste de la mouvance autonome en France…

    L’arrestation d’Abdelhakim Dekhar, le tireur qui a terrorisé Paris, et ses liens avec le Mouvement Autonome sont l’occasion de rappeler le danger que représente en France l’extrême gauche sous ses diverses formes (anarchistes, antifas, internationalistes,…). Si Manuel Valls avait à faire surveiller des organisations politiques, celles-là devraient faire partie des priorités car elles ont toujours banalisé les formes d’actions les plus violentes, y compris meurtrières.

    Nous nous attarderons dans les prochains jours sur quelques rappels bien utiles à ce sujet. Aujourd’hui, focus sur la période terroriste de la mouvance autonome en France !

    La lutte armée est une pratique admise par le mouvement autonome. Cette lutte armée ne se limite pas aux attentats : elle peut prendre la forme de hold-up, ce qui a constitué parfois un important moyen de financement pour la mouvance, avec d’autres pratiques clandestines ne nécessitant pas l’usage des armes comme les nombreuses escroqueries opérées avec des traveller’s chèques ou des chéquiers volés.

    Entre 1977 et 1979, cette pratique du hold-up était vantée comme un fait banal dans les quats de la mouvance. On y inculquait également la culture du sabotage. Être autonome, c’était avoir balancé un cocktail molotov dans une agence intérim ou une agence immobilière, synonymes de société bourgoise.

    Action Directe est le groupe autonome qui en France est allé le plus loin dans la lutte armée. Les militants d’Action Directe ont organisé en France plusieurs dizaines d’attentats de 1979 à 1987, allant jusqu’à l’assassinat du général Audran en 1985, et du PDG de Renault, Georges Besse, en 1986. Certains militants d’Action Directe ne considéraient pas leur organisation comme un groupe autonome mais plutôt comme un groupe anti-impérialiste sur le modèle de la RAF. Pourtant, de par ses origines et ses liens étroits avec la mouvance, Action Directe peut être considérée comme un groupe autonome. Ainsi, Action Directe se présente elle-même comme la transformation d’une « coordination politico-militaire interne au mouvement autonome » en une « organisation de guérilla » (1).

    Lire la suite : http://medias-presse.info/abdelhakim-dekhar-nous-rappelle-que-lextreme-gauche-est-souvent-meurtriere-focus-sur-la-periode-terroriste-de-la-mouvance-autonome-en-france/

  • Un acte de violence de "l'ultra-gauche" c'est tellement banal

    http://www.youtube.com/watch?v=gcUPnSb-P1k

  • Affaire Dekhar : Manuel Valls doit dissoudre l'extrême-gauche

    Après la mort tragique de Clément Méric, Manuel Valls a dissous un groupuscule d'extrême-droite, plus pour l'exemple que pour une responsabilité portée par ce groupe dans la mort du militant d'extrême-gauche.

    DAbdelhakim Dekhar, le tireur présumé du quotidien Libération et placé en garde à vue, est une figure de l'ultra-gauche française des années 90, qu'il affirmait avoir eu pour mission d'infiltrer. Soupçonné d'être "le troisième homme" de l'affaire Rey-Maupin, une fusillade au cours de laquelle cinq personnes dont trois policiers ont été tuées en 1994, il avait été blanchi de l'accusation d'attaque à main armée mais condamné à 4 ans de prison pour "association de malfaiteurs". Cette peine correspondant exactement au temps passé en détention préventive, il avait été libéré immédiatement après le procès, en octobre 1998, alors qu'il était âgé de 33 ans. Sous le pseudonyme de Toumi, il était au début des années 90 un habitué des squatts et des appartements dans lesquels quelques centaines de jeunes gens de la gauche radicale se retrouvaient.

    Suite à cette ultra-violence venue de l'extrême-gauche, Manuel Valls doit désormais dissoudre les groupuscules extrémistes de gauche.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Terrible déception chez les politiciens et journalistes : le tireur fou est un Arabe d’extrême-gauche

    L’algérien Abdelhakim Dekhar, le tireur présumé du quotidien Libération, a été placé en garde à vue mercredi soir, confondu par son ADN.

    La police et les médias s’étaient donc un peu emballés en évoquant jusqu’à présent, et avec insistance, un « homme de type européen »…

    C’était la même chose avec les meurtres de Mohamed Merah, dont l’extrême-droite avait même été imprudemment chargée…

    Il faudra encore attendre pour avoir un Breivik français !

    Sinon, on peut relever que cet Abdelhakim Dekhar, figure de l’extrême-gauche des années 90, a été impliqué dans l’affaire Rey-Maupin : une fusillade au cours de laquelle cinq personnes dont trois policiers ont été tuées en 1994. Bien que présenté comme le mentor du duo meurtrier d’alors, et ayant acheté le fusil à pompe utilisé pour les meurtres, il n’écopa que de… 4 ans de prison.

    http://www.contre-info.com/terrible-deception-chez-les-politiciens-et-journalistes-le-tireur-fou-est-un-arabe-dextreme-gauche

  • 1er Forum Polémia :« Chaque jour, des jeunes Européens subissent la violence » Comment les y préparer ?

    1 logo pol

    1er Forum Polémia

    Mardi 26 novembre à partir de 20h,

    Salle ASIEM

    6, rue Albert de Lapparent, Paris VIIe


    « Les jeunes Européens face à la société multiculturelle »

    Conférence-débat

    avec

    Laurent Ozon

    « Comment redonner confiance à nos enfants ? »

    Inscription : polemia1@gmail.com

    Chaque jour, de jeunes Européens subissent la violence et des rapports de force auxquels ils ne sont pas préparés.

    La difficulté à faire face aux violences consubstantielles aux sociétés multiraciales et multiculturelles est explosive pour ce qu’elle générera de frustrations, de mal-être, de haines, de violences futures.

    Après un article consacré à ce problème (*), et qui a suscité de nombreuses réactions et publications en Europe, Laurent Ozon reviendra en détail sur ce phénomène de société.

    Il en analysera les causes et proposera des solutions concrètes aux familles pour gérer ces situations aujourd’hui.

    Il démontrera en quoi cette situation est une raison de plus pour ne pas tolérer la société que l’on cherche à nous imposer et qui est encore, pour quelque temps, réversible.

    (*) Pourquoi les jeunes Européens sont souvent plus « fragiles » dans une société comme la nôtre et comment y remédier ?