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insécurité - Page 944

  • « La communauté chrétienne est la plus persécutée au monde »

    C'est ce qu'a déclaré le cardinal Jean-Louis Tauran, hier, vendredi 4 octobre, lors du troisième et dernier jour de rencontres internationales à Rome célébrant le cinquantième anniversaire de l’encyclique Pacem in Terris. Le professeur Paul Bhatti, ancien ministre de l’harmonie religieuse nationale du Pakistan, a rappelé la situation difficile qui règne dans son pays, notamment pour la communauté chrétienne. Cette minorité doit faire face à de nombreuses restrictions des libertés fondamentales, la loi sur le blasphème étant en partie responsable de cette situation. Cependant « les musulmans qui vivent au Pakistan subissent aux même titre que les chrétiens » la persécution des fondamentalistes religieux.

    Le président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, le cardinal Jean-Louis Tauran, s’est focalisé sur la persécution des chrétiens dans le monde.

    « C’est la minorité la plus persécutée au monde à cause de leur foi ».

    Le nombre de chrétiens persécutés dans le monde oscille entre 100 et 150 millions d’âmes. Ce chiffre, en hausse constante, fait du christianisme la religion la plus persécutée.

    "L’Église a toujours été persécutée. Tous les siècles il y a eu des persécutions. Aujourd’hui je dirais qu’on accuse souvent les chrétiens d’être d’une communauté qui est en réalité une cinquième colonne. Ensuite on leur reproche de dépendre de l’étranger car c’est le Pape qui est le chef de l’Église, qui nomme les évêques et donc les chrétiens, les catholiques en particulier ne sont pas de bons citoyens. Et ensuite on leur reproche de cultiver des valeurs qui ne sont pas les valeurs à la mode. Alors effectivement ça demande de la part des chrétiens d’avoir le courage de la différence."

    "Vous avez parlé également d’une persécution des chrétiens plus pernicieuse notamment celle qui règne en Occident, quelle est-elle ?"

    "C’est la tentative de limiter la religion au domaine privé ou que ça constitue une discrimination en ce qui concerne l’accès à l’enseignement supérieur ou à des postes d’activité économique et également la promotion de lois qui contredisent la nature de l’homme et la nature de la réalité cosmique."

    Michel Janva

  • Visage pâles en danger, cachez ce racisme que je ne saurais voir…

    Dans son ouvrage Sale Blanc ! Gérald Pichon livre une enquête sur ce qu’il considère être aujourd’hui la haine raciale la plus répandue en France, et dans le même temps la plus niée. Il y décrit aussi la haine de soi-même d’une société tout entière, incapable de reconnaitre que l’autre n’est pas forcément une victime. Il y assène une démonstration rigoureuse et foisonnant de chiffres et d’exemples. Entretien avec l’auteur :

    Minute : Tout d’abord, Pourquoi avoir demandé à Pierre Sautarel de préfacer votre ouvrage ?

    Gérald Pichon : Tout simplement parce qu’il est le principal animateur du site Fdesouche, incroyablement vilipendé alors qu’il a largement contribué à faire émerger dans le débat public la question du racisme anti-Blancs et/ou anti-Français. Je pense d’ailleurs que c’est une des principales raisons de son succès.

    Et qu’est-ce qui vous a poussé à écrire cette enquête ? Avez-vous vous-même été confronté au racisme anti-blancs que vous décrivez dans votre ouvrage ?

    Ce qui m’a poussé à écrire Sale Blanc! c’est d’abord et avant tout l’envie de faire connaître cette réalité occultée par les médias et l’immense majorité de la classe politique. Ils nous ont menti pendant des décennies sur le prétendu racisme des Français de souche, dépeints le plus souvent comme d’affreux xénophobes incapables de s’ouvrir à la « diversité », alors que – comme s’efforce de le démontrer mon enquête – ce sont au contraire les « petits Blancs » qui sont les principales victimes de la haine raciale en France.

    Le plus grave, c’est que la classe politico-médiatique préfère se taire alors qu’elle est très bien informée des agressions, des meurtres, des viols ou des insultes qui touchent les Blancs à cause de leur couleur de peau! Sans doute considère-t-elle que ces milliers de victimes sont le prix à payer pour achever de transformer la France en société multiraciale. Ayant vécu dans les banlieues de l’immigration, j’ai vu comment cette fracture ethnique s’est développé et comment ils ont tout fait pour étouffer cette réalité.

    Français ou Blanc, pour les bandes ethniques, c’est pareil !

    Racismes anti-Blancs, anti-Français, anti-Occidental sont souvent traités d’un même bloc dans votre enquête, entretenant une certaine confusion. Pensez-vous que ces sentiments reposent sur les mêmes ressorts ?

    Visage pâles en danger, cachez ce racisme que je ne saurais voir...

    Gérald Pichon

    Ces trois haines, car je préfère parler de haine envers les Blancs dans mon ouvrage, n’ont pas précisément, ou pas toujours, les mêmes ressorts idéologiques. Cette confusion est plutôt entretenue par les médias, la justice et souvent les victimes elles-mêmes. Car il faut être franc: plus de trente ans d’idéologie antiraciste à la sauce Harlem Désir empêche le plus souvent les agressés de comprendre les motivations raciales de leurs agresseurs.

    Il y a un tel décalage entre la propagande quotidienne sur le mon de merveilleux du « vivre en semble » et cette réalité du racisme anti-Blancs que les victimes ont du mal parfois à se dire que la seule couleur de leur peau peut susciter la haine. Alors, elles vont broder des explications fumeuses, préférant trouver des excuses à leurs bourreaux, plutôt que de regarder la vérité en face. Les bandes ethniques, elles, voient seulement un petit Blanc, donc une proie facile car sans communauté pour le protéger et sans réflexe de préservation identitaire.

    Selon vous, pourquoi cette forme particulière de racisme est-elle si peu condamnée (moralement, politiquement, et même dans les tribunaux) ?

    Elle n’est pas condamnée car elle va à l’encontre du dogme voulant que les victimes du racisme en France, en Europe et dans le monde soient les extra-Européens, et donc que le raciste est forcément un hétérosexuel blanc, accessoirement misogyne et « beauf ».

    Il y a depuis un an, avec les déclarations de Jean-François Copé puis la « nouvelle donne » voulue par la Licra, un timide revirement sur le traitement du racisme anti-Blancs. Il faut savoir que lors de son dernier congrès, en février 2013, la Licra a affirmé vouloir prendre en compte la « nouvelle donne » antiraciste en évoquant le racisme venant des populations issues de l’immigration. Je considère cela plutôt comme une grossière tentative de récupération mais surtout, encore plus pervers, comme un moyen d’amener ce sujet sur une voie de garage.

    Puisque cette réalité est devenue si criante désormais qu’ils ne peuvent plus la nier, alors ils vont tout faire pour la minorer. Les tribunaux commencent à s’occuper, timidement aussi, de cette haine mais on est très loin de la réalité des faits. Car condamner c’est laisser une trace statistique, et si la police et la justice s’occupaient de toutes les affaires où les Blancs sont victimes de haine raciale, les rapports officiels seraient obligés d’expliquer à l’opinion publique que ce sont les « visages pâles » que l’on attaque en très grande majorité à cause de leur couleur de peau, et non l’inverse.

    Propos recueillis par Marc Bertric

    * Sale Blanc ! de Gérald Pichon, éditions IDées, 110 pp., 12 euros. A commander sur : editions-idees.com

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 2 octobre 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Visage pâles en danger, cachez ce racisme que je ne saurais voir...

    http://fr.novopress.info/141921/visage-pales-en-danger-cachez-ce-racisme-que-je-ne-saurais-voir/

  • Ghouta : les surprenantes révélations de Mère Agnès-Mariam…

    Le blogue Comité Valmy a publié le 27 septembre la retranscription en français d’un entretien accordée par la Mère Agnès-Mariam de la Croix à la chaîne de télévision en langue arabe Al Mayadeen. Cette chaîne, lancée en juin 2012 pour contrer l’influence de chaînes comme Al Jazeera (du Qatar), émet depuis Beyrouth. Ses financiers sont inconnus. Si la direction de la chaîne soutient que ses actionnaires sont des hommes d’affaires arabes, d’autres sources occidentales insinuent qu’elle serait une propriété conjointe entre les Iraniens et un cousin de Bachar Al-Assad… Comme d’usage, dans cette situation moyenne orientale où l’épineux le dispute au mystérieux, il convient de recevoir les propos de la supérieure du couvent Saint-Jacques le Mutilé (Syrie) avec bienveillance et prudence. Ils reviennent sur l’affaire du bombardement chimique de Ghouta – l’oasis de terres cultivées qui entourent au sud et à l’est la ville de Damas – et apportent des informations plus que surprenantes. Les voici…
    « Les habitants de la province de Lattaquié m’ont informée avoir vu leurs enfants dans les vidéos sur la Ghouta, filmées par les miliciens armés », a-t-elle dit dans une interview avec la chaine de télévision al-Mayadeen [la religieuse accompagnait l’équipe des inspecteurs de l’ONU lors de leur deuxième visite à Damas] « le premier motif de son action était au début humanitaire, et la veille de l’attaque chimique dans la Ghouta nous étions à Damas. Nous avons vu de nos propres yeux ce qui a eu lieu à Maadamiya. Donc, s’il y avait eu des morts, des victimes et des blessés, on aurait remarqué ceci immédiatement. Mais cette nuit, aucun mouvement inhabituel n’a été enregistré. Les gens ici sont tous des voisins et se connaissent. Les habitants de la Ghouta qui se sont déplacés vers Damas n’ont pas été paniqués par un événement de cette ampleur, surtout que les informations de presse ont fait état de 1 400 morts et de 10 000 blessés dans une petite zone. Nous n’avons pas entendu non plus les ambulances. Tout était calme cette nuit (…) Telles étaient mes premières remarques, et lors de mon voyage en Malaisie, j’ai été en contact permanent avec les habitants de Lattaquié. Le 4 aout, les groupes armés ont ravagé 11 villages dans la province de Lattaquié. Les médias occidentaux ont parlé d’une avancée de l’opposition syrienne, alors qu’un véritable carnage avait eu lieu. Nous avions dressé des listes comprenant les martyrs de la province de Lattaquié et les disparus. Les groupes armés avaient kidnappé 115 personnes dont 65 enfants de moins de 15 ans. Au cours de mon voyage, j’ai appris que des parents de la province de Lattaquié ont reconnu des enfants enlevés de la même région qui sont apparus dans les images diffusées sur les victimes des armes chimiques présumées dans la Ghouta.  Les Américains ont choisi 13 films parmi les vidéos présentées par les groupes armés et les ont qualifiés de sûrs (…) « J’étais en contact avec des journalistes allemands, je leur avais dit que je suis incapable de déterminer la date et le lieu de chaque film. Ils m’ont envoyée une liste de 43 films dont les premières vidéos. Ma surprise était grande à la vue des mêmes enfants repris dans au moins quatre ou cinq vidéos. Je me suis dit que ce qui se passe est anormal. Quand je me suis approfondie dans l’étude de toutes les vidéos sur des attaques chimiques présumées, je me demandais à chaque fois : d’où cherchent-ils tous ces enfants ? Où sont leurs parents ? Est-ce possible qu’une mère abandonne ses enfants ? Il est normal qu’un ou deux enfants disparaissent, mais perdre ce grand nombre d’enfants ceci suscite des interrogations (…) Toutefois, j’ai une bonne nouvelle : les enfants étaient anesthésiés, la preuve en est que tous les enfants étaient calmes à l’exception d’un enfant qui pleurait. On aurait administré à ces enfants plusieurs types d’anesthésiants pour donner l’impression qu’ils sont morts. Quant aux jeunes tués, je pense qu’ils sont des éléments des groupes armés qui ont joué le rôle de comparse. S’ils étaient morts, on aurait vu ce nombre élevé de victimes enterrées dans les tranchées énormes creusées pour contenir entre 300 à 400 dépouilles. Mais seules 8 corps y ont été enterrés. Nous n’avons pas vu ceux qui enterrent. S’il y avait vraiment 1500 corps, où seraient-ils alors ? Nous sommes de plus en plus convaincus que ces vidéos n’ont pas été filmées le 21 aout. Elles ont été postées sur internet en ce jour et ceci nécessite plus de preuves ».
    Source : Comité Valmy
    http://www.christianophobie.fr/document/ghouta-les-surprenantes-revelations-de-mere-agnes-mariam

  • A nos frères Chrétiens d'Orient :

    Pensons à nos frères chrétiens d'orient dans la souffrance... Qu'ils sachent que les chrétiens d'Occident ne les ont pas oubliés. Qu'ils sachent que nous attendons et luttons pour notre libération d'une république laïque qui tue notre identité chrétienne et francophone. Que nous marchons vers le royaume de la Geste des francs, de l'entente et de la compréhension entre croyants face au matérialisme destructeur. Nous retrouverons alors ce qui fut l'élévation d'un peuple tourné vers la lumière, de ce qui fut le monde médiéval cher à Péguy. Que seul un Roi redonnera au peuple de France ce souffle, cette voie concrétisant les promesses de son baptême, de la libération...

  • La répression continue !

    Face aux manifestations de masse du premier semestre 2013, le gouvernement socialiste a pris peur et a répondu par la violence. Tabassages de manifestants, privations de liberté et détentions arbitraires, les moyens n’ont pas manqué pour faire pression. Plus d’un millier de jeunes ont été victimes d’arrestations arbitraires.

    Trois jeunes gardés à vue, qui étaient parmi les fameux 67 1, ont alors lancé Solidarité pour tous afin d’aider toutes les personnes victimes de persécutions policières et judiciaires. En trois mois, Solidarité pour tous a rendu service à près de 70 personnes en leur permettant de payer les honoraires de leurs avocats, les frais de justice et tout ou partie des frais engendrés par les procès.

    Anne-Laure Blanc - La suite sur Boulevard Voltaire

  • L'Occident abandonne les chrétiens en terre d'islam

    Franz-Olivier Giesbert écrit dans Le Point sous le titre "le syndrome d'un impensé raciste" :

    "C'est une des grandes nouvelles de l'année : si l'Occident défend encore, ici ou là, quelques minorités ethniques persécutées de par le monde, il semble avoir décidé de faire passer par profits et pertes les tueries de chrétiens en terre d'islam. Par fatigue ou honte de soi, ou les deux, nous fermons les yeux.

    Deux poids, deux mesures. La semaine dernière, alors que le monde entier se focalisait sur l'attaque d'un centre commercial de Nairobi, au Kenya, qui a fait 69 morts, un attentat-suicide faisait plus de 80 morts devant une église de Peshawar, au Pakistan. C'est peu de dire que le massacre pakistanais est passé inaperçu : il a été zappé. Il y a là quelque chose d'hallucinant qui relève de la psychanalyse.

    La vie des chrétiens d'Orient, d'Afrique ou d'Asie compte-t-elle pour quantité négligeable ? C'est une question que l'on est en droit de se poser quand on voit la place que nos chers médias accordent aux tueries et aux discriminations dont les catholiques ou les protestants sont l'objet sur la planète : rien ou presque, à quelques heureuses exceptions près. [...]

    Cachez ces crimes qu'on ne saurait voir : c'est notre tartuferie qui nourrit le choc des civilisations. Puisque leurs forfaits ne sont ni punis ni même dénoncés, les djihadistes et les salafistes se croient autorisés à continuer. Ce n'est pas faire de l'islamophobie que de dire cela. Il y a aujourd'hui, notamment en France, une tendance à accepter ce qu'on refuse, depuis belle lurette, Dieu merci, aux catholiques. Pis encore, il y a aussi une forme de résignation devant les crimes et les folies des intégristes musulmans au Pakistan et ailleurs. A croire que l'islam n'est pas une religion comme les autres et qu'il porterait le mal en lui, alors que les islamistes le défigurent."

    Michel Janva

  • Yvelines : une ado voilée violée par trois hommes, mais pas d’émeute. Pourquoi ?

    D’après le Parisien, « une adolescente voilée de 17 ans a été violée, lundi soir au Mureaux (Yvelines), par trois hommes qui seraient âgés d’environ 30 ans et seraient d’origine maghrébine. Vers 17h30, la victime traverse le parc de Bécheville pour regagner son domicile.

    C’est alors que trois hommes l’agressent. Le premier lui arrache son foulard islamique, la tire par les cheveux, la projette au sol et la maintient tandis que ses deux complices la violent. Elle a perdu connaissance et s’est réveillée à l’arrivée des pompiers. La sûreté départementale des Yvelines mène l’enquête. »

    Les villes envahies des Yvelines sont le théâtre de violentes émeutes pour un oui ou pour un non, même quand une altercation verbale a lieu entre une femme voilée et des policiers…
    Là, une musulmane est violée par trois hommes mais rien ne se passe.
    L’explication est bien sûr raciale.

    http://www.contre-info.com/