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insécurité - Page 944

  • manif pour tous, le travail de la police en civil Invalides les incidents programmés

  • Agression d'Albéric Dumont, coordinateur de LMPT

    DA la sortie de son rendez-vous de plusieurs heures avec la préfecture de police afin de déterminer le parcours de la manifestation de dimanche, parcours qui n'a toujours pas trouvé de point d'arrivée, Albéric Dumont a été agressé par 15 militants antifas, que Manuel Valls n'a jamais inquiétés.

    Il a porté plainte et ses agresseurs ont été interpellés. Il n'est pas blessé et reste plus déterminé que jamais.

    Michel Janva

  • Dimanche, l’objectif est de « réaliser un maximum d’interpellations » !

    Qui donc va-t-on trouver à faire passer devant le juge ? Un élève de CE2, pour avoir jeté son papier de Malabar vers un CRS ?

    Manif pour tous dans moins de 72 heures et le parcours parisien n’est toujours pas fixé. L’organisation s’est vu refuser par cinq fois ses propositions par une préfecture de police qui n’en démord pas : la manifestation devra se terminer aux Invalides, un point c’est tout. Pour les spécialistes, l’explication est simple : c’est un piège, comme l’ont vu les manifestants de Jour de colère dimanche dernier, faits comme des rats, toutes les issues ayant été bloquées moins de dix minutes après la dissolution officielle.

    On lit dans la presse que l’objectif serait de « réaliser un maximum d’interpellations ». En effet, nous explique-t-on sérieusement, « mis en difficulté sur ses résultats dans la lutte contre la délinquance, Manuel Valls a à cœur de démontrer qu’il sait maintenir l’ordre lors des mouvements de rue ». Autrement dit, pour se faire pardonner ces 13.000 vols, 2.000 agressions, 200 viols quotidiens contre lesquels il est impuissant, ces banlieues où les flics ne peuvent plus aller, il va aller faire un peu de bilan chez les braves gens.

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  • Loi de programmation militaire et neutralité du réseau, vie privée et démocratie en danger ?

  • Violences contre les femmes : le poids insupportable de l’immigration

    C’est par un très bref coup de téléphone à l’AFP que François Hollande a « fait savoir » qu’ « à titre personnel » et donc unilatéralement, il avait « mis fin à la vie commune qu’il partageait avec Valérie Trierweiler ».
    Le chef de l’Etat se tient-il informé de l’ordre du jour des débats parlementaires ? Mauvaise farce de l’actualité : sonnant comme une répudiation, son communiqué aussi mufle que pléonastique date du 25 janvier. Autrement dit, cette répudiation – aux yeux de certains – est survenue alors que s’était s’achevé la veille à l’Assemblée nationale l’examen du projet de loi-cadre visant à « faire de l’égalité entre les femmes et les hommes l’exigence partagée et vécue de l’universalité républicaine » : un de ces textes « sociétaux » comme les aime tant la gauche qui y voit l’occasion de ressouder ses courants et surtout d’utiles diversions aux (vrais) problèmes qu’elle est incapable de résoudre.
    Aux termes de cette loi-cadre portée par la Franco-Marocaine Najat Vallaud-Belkacem, également porte-parole du gouvernement, l’IVG est reconnue officiellement pour ce qu’elle est depuis longtemps dans l’esprit de ses instigateurs, soit un avortement de confort puisque la notion de « détresse » est supprimée ; les sanctions financières sont lourdement aggravées pour les partis politiques ne respectant pas la sacro-sainte parité ; les conseils d’administration des grandes firmes devront à terme comporter plus de 40% de femmes, lesquelles doivent évidemment bénéficier de l’égalité salariale (cependant qu’une partie des congés parentaux devra obligatoirement être prise par les pères) et avoir accès à tous les métiers en principe réservés aux hommes, y compris les travaux de force – ce qui nous ramène aux beaux jours de la défunte URSS.
    Une (ré)islamisation fatale aux femmes
    Gros morceau de cette loi où même le Vert Denis Baupin, rejoignant ainsi Polémia, a décelé « quelques éléments de préjugés envers les pères » toujours soupçonnés des plus noirs desseins et menacés des pires sanctions en cas de non-paiement de la pension alimentaire après divorce, même s’ils ont perdu leur emploi : « Mieux protéger les femmes contre les violences, un drame d’autant plus douloureux qu’il est caché, en réalité, occulté par notre société qui ne veut pas regarder ces violences qui touchent tous les milieux sociaux, toutes les catégories », ainsi que l’avait déploré François Hollande, un orfèvre, le 7 mars 2013. En France, 148 femmes n’ont-elles pas péri en 2012 sous les coups d’un compagnon, actuel ou passé, tandis que 154.000 autres se sont déclarées victimes de viol entre 2010 et 2011 ?
    Mais il est aventuré de dire que les bourreaux appartiennent à tous les milieux sociaux, toutes les catégories. En ce domaine comme en bien d’autres, l’explosion de l’immigration, surtout musulmane, a conduit à l’explosion des violences conjugales et sexuelles.
    Puisque le président vient de se rendre en Turquie en voyage d’Etat, on pourra lui rappeler qu’une douzaine de femmes de la communauté turco-kurde ont été victimes l’an dernier de « crimes d’honneur », à Bordeaux, à Chambéry, à Reims… Chiffre énorme compte tenu de l’importance relative de cette population, évaluée par l’Insee à seulement 459.000 personnes en 2012, mais en corrélation directe avec la situation en Turquie où la mortalité des femmes par violences conjugales a augmenté de 1400% entre 2002 et 2009 (66 femmes assassinées en 2002 mais près de 2000 en 2009) avec l’arrivée au pouvoir du parti islamique AKP, ainsi que s’en inquiétait en février 2011 le Conseil de l’Europe.
    La Turquie n’est pas le seul pays musulman connaissant cette régression : on la constate aussi bien au Moyen-Orient qu’au Maghreb et en Afrique noire, gros pourvoyeurs d’immigrés. Après la disparition de l’Algérienne Fatima Bachiri le 2 juillet 2010 à Saint-Etienne, son mari Farouk avait feint par exemple le plus grand désespoir, prétendant qu’elle avait fugué et se disant prêt à « lui pardonner ». Cette comédie n’avait pas trompé les enquêteurs, qui écrouèrent le meurtrier après la découverte, plusieurs mois plus tard, du cadavre de Mme Bachiri, enterré dans un endroit isolé et portant la trace de coups mortels.
    Une occultation organisée et protégée par la loi
    Le site www.aimeles.net déplorait le 4 juillet 2013 le flou du système statistique concernant les viols, car « on ne sait pas qui est concerné par ces viols : hommes, femmes, enfants, petits garçons ; et qui commet ces crimes ».
    En mai 1993, sur plainte de la LICRA, et le RPR Jacques Toubon venant d’être nommé garde des Sceaux, l’hebdomadaire Rivarol, qui publiait chaque semaine une rubrique « Société plurielle » recensant les exploits de ceux qui « sont chez eux chez nous », fut inculpé d’ « incitation à la haine raciale contre la communauté immigrée ». Bien que le journal ait été acquitté en première instance par Martine Ract-Madoux, présidente de la XVIIe chambre correctionnelle qui, dans son jugement, avait qualifié de « monstre juridique » le « concept de communauté immigrée », il fut condamné en appel puis en Cassation, et contraint de renoncer à sa rubrique. La leçon fut entendue par ses confrères, qui cessèrent peu à peu de donner l’identité et la nationalité des délinquants allogènes. D’où nous vient ainsi le mineur de 16 ans, « très brun » et déjà recherché comme « très dangereux » car soupçonné d’un homicide qui, le 19 janvier, a violé à plusieurs reprises, sous la menace d’une arme et après l’avoir ligotée, une Marseillaise de 77 ans dont il venait de cambrioler son domicile avec deux complices et qui a dû être hospitalisée ?
    Les ravages de la prétendue petite délinquance
    Et il n’y a pas que les violences sexuelles car la criminalité « ordinaire » (en forte hausse, comme le terrible M. Valls lui-même a dû en convenir) s’attaque dans 65% des cas – et souvent avec une impunité quasi totale – aux victimes les plus vulnérables, c’est-à-dire les femmes. Le 18 janvier, près de la Promenade des Anglais à Nice, une passante était jetée par terre et rouée de coups par quatre adolescentes roms qui lui ont volé son sac. Si l’une a été écrouée, les trois autres ont été relâchées. A titre de comparaison, deux frères qui avaient injurié une femme voilée près de Versailles avaient aussitôt été placés en détention préventive avant d’être condamnés en décembre à six mois ferme.
    Encore la Niçoise a-t-elle eu de la chance. Pour cambrioler plus à leur aise leur appartement, quatre malfrats avaient sauvagement tué Maria-Cristina Prieto, 82 ans, et grièvement blessé sa sœur adoptive, une handicapée de 77 ans toujours hospitalisée pour les traumatismes subis. Mais il fallait lire jusqu’au bout l’article de Nice-Matin relatant le 30 mai dernier l’arrestation du quatuor pour apprendre que ces « suspects » étaient des clandestins tunisiens, le plus acharné ayant, selon le journal, « profité du Printemps arabe pour sortir d’une prison de son pays ».
    Et clandestin tunisien aussi le « petit voleur » qui, en décembre dernier à Nice, a arraché le lobe de sa victime pour s’emparer d’une boucle d’oreille.
    La preuve par le « 9-3 »
    Combien de violeurs et de tueurs potentiels les printemps arabes et leurs conséquences auront-ils poussés à l’exode vers l’Europe, pour le plus grand malheur des Européennes en général et des Françaises en particulier ? Il y a trente ans, un dessin de la caricaturiste Chard concluait à l’incompatibilité radicale entre immigrationnisme et féminisme. Ce que confirmait Libération le 6 mars 2007 en faisant écho à une « alarmante » enquête quantitative réalisée en 2006 par le conseil général de Seine-Saint-Denis sur « les comportements sexistes et les violences envers les filles ».
    Dans le 9-3, pouvait-on lire, « les jeunes femmes sont particulièrement victimes de violences », « l’espace public est sexiste et inégalitaire, les jeunes filles ne peuvent pas s’y déplacer librement » et « le cadre familial est particulièrement “dur“ pour les filles » dont « 23% affirmaient avoir subi des violences physiques (bousculades, empoignades, gifles, coups, menaces avec arme) au moins une fois dans leur vie, 30% au cours des douze derniers mois ». « Sur cette même période, seize filles ont déclaré avoir été l’objet d’une tentative de meurtre, seize filles se disant également victimes de tentatives de viol, dix d’un viol » et les deux tiers des jeunes filles interrogées ont déclaré avoir « subi du harcèlement sexuel – autre que verbal – alors qu’elles circulaient dans un lieu public ».
    Selon la sociologue féministe Maryse Jaspard s’inscrivant ainsi en faux contre la généralisation de François Hollande, « il n’y a pas de liens significatifs entre les niveaux de violence subie et l’appartenance sociale ». Difficile de nier, en revanche, le lien avec l’appartenance ethnique et/ou religieuse. Car, ce n’est un secret pour personne, la Seine-Saint-Denis est le département le plus « coloré » de France : non seulement il comptait en 2009 – officiellement du moins, les clandestins de tous horizons y étant en outre très nombreux – 27,4% d’allogènes mais cette population est surtout en pleine expansion puisque, en 2005 déjà, 57% des moins de 18 ans étaient d’origine extra-européenne, tout comme le sont 64,9% des enfants nés en 2011.
    Par voie de conséquence, le 9-3 est aussi le département comptant le plus de mosquées, 149 selon le site www.trouvetamosquee.fr/, des mosquées où certains prédicateurs glorifient les crimes dits d’honneur et désignent dans la femme, surtout étrangère, un être inférieur taillable et corvéable à merci.
    Cela, Mme Vallaud-Belkacem ‎le sait mieux que personne. Tant qu’on n’aura pas inversé radicalement les flux migratoires, sa prétention de « faire de l’égalité entre les femmes et les hommes l’exigence partagée et vécue de l’universalité républicaine » n’est donc qu’une sinistre plaisanterie.
    Camille Galic, 27/01/2014
    Camille Galic signera son ouvrage Agatha Christie (éd. Pardès, collection Qui suis-je ?) le samedi 1er février de 15 à 18h à la Librairie du Paillon, 2 rue Georges-Ville, 06300 Nice, tél. 04 93 56 19 59.
    Le même jour Claude Lorne signera Les Médias en servitude (éditions Polémia).
    http://www.polemia.com/violences-contre-les-femmes-le-poids-insupportable-de-limmigration/

  • La police barbouze a cherché l'incident

    Un témoin raconte la scène hier soir vers 18h :

     

    "Quittant difficilement la manif par l'avenue de Villars, à hauteur du 12, au travers d'un barrage filtrant de CRS et gendarmes, j'ai vu et entendu un commandant arriver vers ce barrage et dire à ses hommes :"allez maintenant on y va !". Incroyable, car a ce moment, les intervenants étaient toujours en train de témoigner au micro et la foule les écoutait calmement.

    Mais au même moment j'ai vu un groupe d'hommes en noir sans signes distinctifs, passer "amicalement"ce barrage policier, arriver au contact de la foule et se retourner pour attaquer fictivement les CRS..."

     

    Si Valls condamne les violences, il peut s'en prendre à sa propre police. A moins que ce soit lui-même qui ait donné ces instruction.

     

    Un autre lecteur me signale que ces provocations étaient bien programmées :

     

    "En effet, au début de la manif, place de la Bastille, il y a eu plusieurs fouilles de personnes qui arrivaient sur place, par des CRS. Sur quels critères pourquoi ceux-ci et non pas ceux-là, je ne sais pas. Comme je demandais au CRS, pourquoi ces fouilles, il m'a été répondu que cette manifestation était "très hétéroclite... et qu'il me conseillait de quitter rapidement la manif, une fois que celle-ci serait terminée. Je n'ai pas compris tout de suite ce que cela voulait dire mais, rétrospectivement, il m'apparait que les CRS savaient, à 14h30, qu'il se passerait quelque chose, à la fin de manif. Pourquoi m'avoir prévenu ? C'est une autre question."

    Michel Janva

  • [Communiqué] Le pouvoir passe de la répression à l’oppression.

    Tandis que le président « normal  » affiche ses démêlées « crypto conjugales » sur toutes les chaines et toutes les ondes, Valls lâche ses flics sur les Français qui manifestent leur colère et leur accablement devant tant de mensonges, tant d’abus de pouvoir et tant de haine contre la France.

    La manifestation s’étant déroulée de la Bastille aux Invalides sans le moindre incident, si ce n’est quelques provocations habituelles de la part des « femens » hystériques et autres « antifas » appointés par le ministère de l’intérieur, il fallait bien que le premier flic de France face du bilan. Ce gouvernement en effet ne supporte pas la contestation et il ne faut pas désespérer, non plus Billancourt, ça c’était avant le changement, mais le Marais…

    Une fois que l’ordre de dispersion a été annoncé, les forces du désordre ont attendu sept minutes seulement pour verrouiller la place et charger les retardataires pris dans la nasse.

    Résultat, 160 jeunes dont 15 de nos militants, parmi lesquels une jeune fille de 18 ans, ainsi que des journalistes indépendants, sans doute des témoins gênants, ont été raflés sans ménagements.

    L’imposture républicaine, sans nous surprendre, étale ainsi au grand jour sa duplicité perverse. Les Français sont là pour payer, subir les idéologies babéliennes les plus tordues et surtout fermer leur gueule qu’en bonnes victimes de la démocratie ils n’auraient jamais dû ouvrir.

    Les temps de résistance dure et acharnée sont arrivés et bien sûr l’Action française entend y prendre la plus belle part.

    Nous appelons à la solidarité avec la jeunesse de France, qui est l’avenir et l’honneur de notre nation.

    Nos avocats sont à la tâche pour aider ceux qui pourraient être poursuivis et nous appelons les patriotes , convaincus qu’il faut faire d’urgence cesser l’arbitraire de l’état policier, à envoyer leurs dons pour soutenir les nouvelles victimes du régime.

    Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-Le-pouvoir-passe-de-la

  • Jour de Colère - 160 000 manifestants !

  • Interpellations : Jour de Colère répond aux mensonges de Manuel Valls

    Mise au point du Jour De Colère après les propos de Manuel Valls :

    "Tandis que le ministre de l’intérieur Manuel Valls répand ses mensonges dans les médias, les organisateurs du Jour De Colère tiennent à apporter les mises au point suivantes. Jour De Colère condamne avec la plus grande fermeté les violences contre des manifestants pacifiques, commises par des provocateurs de la police, sans uniforme, agressant les forces de l’ordre elles-mêmes pour leur fournir un prétexte à la répression.

    Les unités de maintien de l’ordre ont fait preuve d’une attitude extrêmement agressive et ultra provocatrice, usant, sans sommation, de tirs de flashball et de gaz lacrymogènes sur la foule. Le ministère de l’Intérieur prétend que des interpellations ont eu lieu, en un nombre toutefois infime au regard des 120.000 manifestants pacifiques et déterminés qui ont défilé cet après-midi dans Paris.

    Selon les avocats du Jour De Colère, aucune de ces interpellations n’est actuellement confirmée, il s’agirait donc d’une provocation supplémentaire. Notre mode d’expression n’a jamais été celui de la violence, en témoigne la résolution annoncée lors de la manifestation d’exiger des parlementaires la mise en œuvre de la procédure de destitution du président de la République prévue par l’article 68 de la Constitution. Cet article confie aux parlementaires des deux assemblées réunis en Haute Cour de Justice la responsabilité de prononcer cette destitution en cas de manquement grave rendant impossible la poursuite du mandat. Toute la présidence de François Hollande depuis mai 2012 n’est qu’une suite de manquements, le Jour De Colère pose donc aujourd’hui un ultimatum à la représentation nationale.

    Jour de Colère ne fait que commencer."

    Michel Janva

  • Pédophilie : les démocraties aux ordres de Satan – par Laurent Glauzy (partie 1 sur 2)

    La pédophilie ou le pédo-satanisme est un dossier particulièrement sensible. Est-ce alors un hasard, si les bonnes consciences, les saltimbanques sans talent, les pseudo-philosophes arrivistes, les journaleux et les politicards lèche-bottes prétendument outrés par les prises de position de l’humoriste Dieudonné et de l’écrivain polémiste Alain Soral, se montrent bien moins courageux pour se lever et dénoncer les scandales d’enfants que l’on viole et que l’on assassine ?

    Chaque année, des milliers d’enfants sont violés et assassinés. En Italie, des pédophiles ont été découverts grâce à l’association anti-pédophile Telefono Arcobaleno, active depuis 1996. Cette affaire commence le 27 septembre 2000 quand le procureur de Torre Annunziata, commune de la province de Naples, envoie six ordres d’arrestation, pour achat de photographies à caractère pédopornographique et la vente du matériel pédophile. L’Italie apprend alors avec effroi que, pour quelques millions de lires, des détraqués s’offrent le plaisir de visionner le viol et l’exécution d’un bébé de six mois.

    Toujours en Italie, plus de deux mille mineurs sont déclarés disparus chaque année.

    Si certains d’entre eux ne sont que de simple fugueurs qui retournent ensuite à leur domicile, ou qui sont retrouvés par les forces de l’ordre, en revanche, plusieurs centaines ne sont jamais retrouvés. Selon les statistiques officielles du ministère de l’Intérieur de Rome, en 1996, sur 2 391 mineurs déclarés disparus. 479 n’ont jamais été retrouvés. Que sont-ils devenus ? En 1997, Il Giornale titre : « À partir de 1990, le nombre d’enfants [définitivement] disparus a quadruplé. Aujourd’hui, ce chiffre explose. Et un calcul même approximatif est impossible. »1 Nous pouvons malheureusement croire que les chiffres du ministère de l’Intérieur sont bien en deçà de la vérité. Pour les adolescents de quinze à dix-huit ans ayant disparu, le quotidien milanais de centre-droit privilégie la piste de la drogue et des sectes.

    La CIA et la secte pédosataniste des Finders

    Dans le monde, la situation est tout aussi alarmante. Aux États-Unis, cent mille enfants disparaissent chaque année pour finir dans les réseaux de prostitution, de pornographie ou de pédophilie, alors que d’autres sont assassinés dans le sous-bois criminel des adorateurs de Satan. La Stampa parle d’une secte satanique qui recrutait des enfants. Voici ce qu’écrit le quotidien : « La secte Finders (découvreurs), fondée [au début des années 1970] à Washington par un marabout de soixante-dix ans, Marion David Pettie, se sert des enfants pour des rites sacrificiels démoniaques et des pratiques sexuelles. »2 Tout commence quand, le 7 février 1982, le Washington Post évoque une affaire d’enlèvement et de viols d’enfants, ainsi que de matériel pédoporno retrouvé dans un lieu appartenant à un groupe appelé « The Finders ». Il s’agirait d’un culte pour « laver le cerveau » des enfants et les utiliser dans des rituels.

    Ted Gunderson, ancien membre du FBI à Los Angeles dans les années 1970, enquêteur privé et consultant pour la sécurité, indique dans son rapport, en 1992, que la secte des Finders était très liée avec la CIA et qu’elle servait de couverture dans le trafic international d’enfants. Il relève avec étonnement que, contrairement aux vols de voiture, qui sont scrupuleusement recensés, les disparitions d’enfants ne sont pas comptabilisées, ou à peine.

    Les Finders avaient des activités remontant aux années 1950, en Asie du Sud-est (Hong Kong, Malaisie, Vietnam, Corée du Nord), à Moscou, en Afrique, à Londres, en Allemagne, aux Pays-Bas, aux Bahamas… Le réseau faisait sortir des enfants de Hong Kong grâce à un contact à l’ambassade de Chine. Les enfants voyageaient ensuite dans plusieurs maisons appartenant au réseau, dans différentes juridictions. Certaines étaient équipées dantennes satellites, probablement pour diffuser les vidéos tournées par le réseau.

    Ted Gunderson remarque des pics de disparitions lors des fêtes sataniques importantes, en juin, octobre et décembre. Il constate que la CIA traite le dossier comme un « problème de sécurité intérieure » et le classe « secret ». Les charges contre les pervers ont été abandonnées et les enfants ont été renvoyés chez les bourreaux.

    Le groupe de Marion David Pettie, dans la mouvance beatnik, faisait la promotion des drogues vendues par la CIA. Il affirme que Timothy Leary, agent de la CIA et leader de la contre-culture, lui avait procuré du LSD.

    Le journaliste Uri Dowbenko relève que ces disparitions d’enfant, ainsi que les violences sexuelles et la pédophilie au niveau mondial, démontrent la convergence vers un réseau organisé de la criminalité de haut niveau, que contrôle dans l’ombre le système légal. Ted Gunderson et Uri Dowbenko soutiennent l’existence de plusieurs groupes de la mouvance satanique3 particulièrement puissants.

    Le témoignage dramatique d’une jeune victime

    Paul Bonacci fait l’objet d’une mesure d’isolement au centre correctionnel de Lincoln : il a accusé des hommes du pouvoir, dont George Bush, ou encore le député de Washington Barney Franks, qui siégea de 1981 à 2013 à la chambre des représentants des États-Unis, d’être des criminels pédophiles et d’avoir abusé de lui quand il avait six ans. Dans plusieurs de ses interventions, le pasteur Fritz Springmeier, accusera aussi l’ancien président américain d’être un pédocriminel et un sataniste4.

    En 1990, Paul Bonacci, âgé de vingt-deux ans, a été examiné par un psychiatre, Beverly Mead, qui l’a soumis à une expertise. Il a déclaré que le jeune homme était sain d’esprit et ne présentait pas le profil d’un affabulateur. Bonacci raconte : « J’étais entre les mains d’un groupe [de défense de la pédophilie] dénommé Namba (North American man – Boy Love Association) qui m’invitait à des réunions à New York et à Boston. À l’âge de neuf ans, j’ai été conduit dans un hôtel avec cinq autres garçons et on nous a contraint d’avoir des rapports sexuels pendant que l’on nous filmait. Ensuite, ils m’ont obligé à avoir des rapports avec un bébé. À l’été 1985, Larry King [le célèbre présentateur politique de la chaîne américaine CNN de 1985 à 2010] m’a obligé à tourner un film avec un autre garçon, Nicholas, qui était dans une cage. (…) On nous déguisait en Tarzan et l’on nous contraignait à avoir des rapports. Ensuite, on me commandait de le frapper. (…) Il est arrivé un homme qui m’a ordonné de taper le garçon comme s’il s’agissait d’une poupée. Ensuite, il m’a obligé à prendre un pistolet, je l’ai pointé sur sa tête et j’ai tiré. En 1984, on m’a emmené au ranch South Fork [Dallas]. Dans le cadre de la convention républicaine, Larry King organisait des parties pédophiles, toujours en compagnie de la fine fleur de la politique. »5

    Paul Bonacci poursuit son récit avec des révélations choquantes : « J’ai été témoin de sacrifices humains effectués sur un bébé de quelques mois, afin de blasphémer sur la naissance du Christ. Dans ce rituel annuel, tous chantaient pour pervertir le sang du Christ. À l’aide d’un poignard ils assassinèrent le bébé et le démembrèrent, puis ils remplirent une coupe de son sang mélangé à de l’urine qu’ils nous ont fait boire, pendant qu’ils entonnaient « Satan est le Seigneur »6.

    Les investigations de la Commission Franklin

    Le vrai nom de Larry King est Lawrence Harvey Zeiger. Ses parents étaient des Juifs de Biélorussie émigrés aux États-Unis. Dans les années 1980 et 1990, il dirigeait le projet républicain d’aide à la communauté noire, par le biais du National Black Republican Council, cercle de réflexion et d’influence afro-américain interne au Parti républicain. L’enquête a révélé que des personnes liées à Larry King effectuaient des rapts d’enfants pour la prostitution, la production de snuff movies (film avec mise à mort) et des parties de pédophilie.

    Au début des enquêtes lancées par la Commission Franklin, de nombreux incidents ont repoussé la date du procès contre le présentateur de CNN !

    Comme si on avait voulu garder le silence sur cette affaire liée à la pédophilie et au satanisme, plusieurs personnes de son entourage sont assassinées ou « suicidées ». Dan Ryan, associé de King, a été trouvé étranglé dans sa voiture. Bill Baker, partenaire du vice-président du National Black Republican Council, a été abattu d’un coup de révolver dans la nuque. Curtis Tucker s’est défenestré à Holiday Inn. Charlie Rogers, amant de King, s’est tiré une balle dans la tête. Bill Skaleske, représentant officiel du département de police d’Omaha (la plus grande ville du Nebraska) qui a dirigé l’enquête sur King, a été trouvé mort. Joe Malek, autre membre des marchands de bébés et propriétaire du Peony Park, où se produisaient les parties de pédophilie, a été tué d’un coup de pistolet : la police a conclu à un suicide. Mike Lewis, trente-deux ans, chargé de protéger les victimes-témoins, est mort d’une crise de diabète.

    La Commission Franklin a été définitivement levée quand l’enquêteur, Gary Caradori, est mort dans un mystérieux accident d’avion, après l’enregistrement, par son service, d’informations sensationnelles7.

    L’Afrique du Sud n’est pas non plus épargnée. Corriere della Sera mentionne : « Satan a pris pied aussi en Afrique du Sud, avec tous les aspects effroyable de son culte, le sacrifice de bébés égorgés sur l’autel du prince des Ténèbres, lors de réunions où les plus jeunes sont contraints d’avoir des rapports sexuels avec des chiens ou des boucs, animaux symboles de Lucifer. »8

    Enquête enterrée

    Entourées d’un épais silence, les enquêtes sont presque toujours enterrées. Pourtant, les cas de satanisme mettant en scène de pauvres innocents sont nombreux. Pour les États-Unis, Ted Gunderson constate : « J’ai quatre témoignages détaillés de trois détenus impliqués dans des rituels sataniques et un d’un prêtre de l’Utah. Tous m’ont confirmé l’existence de 50 000 à 60 000 cas annuels de sacrifices humains. Il a été retrouvé de nombreux cimetière dans tout le pays avec des dizaines de cadavres non identifiés, et aucune enquête poussée ne fut diligentée… »9.

    Les crimes sataniques sont en augmentation dans le monde entier. Le Dr Dianne Core, responsable de l’Institut Childwatch (Association d’assistance et de protection des mineurs), a dénoncé que, en Grande-Bretagne, les cercles satanistes, plus puissants que les groupes mafieux, sont protégés par le lobby politique. Le Dr Dianne Core remarque : « Malheureusement nous n’avons pas encore identifié le sommet de la pyramide qui dirige le satanisme en Grande-Bretagne. Ils jouissent de protections au plus haut niveau. Les pédophiles satanistes sont très présents à Londres. »10 Les cortèges et les sourires couronnent une réalité plus ténébreuse.

    Corriere della Sera du 18 mars 1990 dénonce qu’à « Londres, des bébés torturés au cours de rites sataniques, des fœtus extraits de force du ventre de mères mineures sont immolés. Aux confins de la réalité, des témoignages parlent de bébés et d’adolescents offerts aux grands prêtres d’une secte satanique et à leurs adeptes pour être violentés. Une fois enceintes, des adolescentes doivent avorter : le fœtus de quatre mois est sacrifié pour la purification des satanistes qui en boivent le sang. Une enquête conduite par 66 groupes de recherche de la National Society for the Prevention of cruelty against children (Société nationale pour la prévention de la cruauté contre les enfants) confirme l’existence de telles pratiques au Royaume-Uni. »11

    Consommation de fœtus lors d’une scène satanique

    Le 19 janvier 1998, lors de la cérémonie de fondation du Tribunal international Martin Luther King, le Dr Dianne Core annonçait qu’en Angleterre, en avril 1998, débuterait le procès pour viol d’une adolescente violentée dès l’âge de quinze ans. Une fois pubère, elle a été mise enceinte huit fois, et a dû avorter chaque à quatre mois de grossesse. Les fœtus étaient ensuite conservés dans un congélateur pour être ensuite consommés lors de scènes sataniques, avec la participation des mères avortées. »12

    Le rapport entre la pédophilie et le satanisme est maintes fois établi. Le père sicilien Don Fortunato Di Noto, fondateur en 1996 de l’association Meter contre la pédophilie, a révélé l’existence d’un site Internet satanique mettant en ligne des photographies terribles de sacrifices de jeunes victimes offertes à Satan. Le père Di Noto a déclaré : « On soupçonnait le lien entre satanisme, pédophilie et sacrifices humains. Mais nous n’avions jamais trouvé de sites aussi cruels affichant les photographies de sacrifices sur des sujets mineurs. Les images n’étaient pas le résultat de photomontages. 13 » Le courage de ce prêtre italien a été récompensé en 2001, par sa nomination à l’Ordre national du mérite de la République italienne. Il semble que ce pays peut encore récompenser des personnalités honorables.

    En Angleterre, en mars 1990, un enfant s’est livré à des révélations ahurissantes. Le quotidien Il Giorno rapporte : « Dans ses récits confus émergent des scénarios d’assassinats sur des nouveau-nés, de tombes ouvertes la nuit, de cannibalisme, des rites mystérieux avec des démons et des enfants contraints de boire de mystérieuses potions avant d’être violés et enfermés dans des cages. » 14 Le quotidien italien affirmait que les criminels profitaient de protections de haut niveau.

    Lobby politique et pédophilie

    Le célèbre journaliste milanais Maurizio Blondet, également connu pour ses positions catholiques traditionnelles, au cours d’une enquête publiée dans le périodique Teologica, relate : « Des personnalités appartenant à l’élite se réunissent les nuits de pleine lune pour pratiquer d’étranges rites, sur une île située à proximité de Washington. Naturellement, personne ne veut aborder un pareil sujet, car ce sont des gens très puissants. Dans certains entourages politiques de haut niveau, il se dit à demi-mot que des enfants y sont violés. Le tout se déroule dans un rituel de magie noire. Ce ne sont pas des personnes communes qui s’adonnent à de tels rites, mais il s’agit d’individus dotés de hautes charges, des fonctionnaires du Pentagone, etc. »15

    Horreurs après horreurs, les preuves d’adorateurs de Satan sacrifiant des enfants ne cessent de se recouper. La presse italienne ne manque pas de plumes courageuses pour dénoncer ces abominations. Corriere della Sera informe : « Horreur à Londres après la découverte d’un marché de films pour pédophiles. (…) Scotland Yard a enquêté sur au moins vingt enfants disparus les six dernières années et ayant connu une fin horrible. Une équipe a été formée pour enquêter dans le marché crasseux des vidéos pornographiques, les snuff movies destinés à des pédophiles sataniques. En argot, snuff signifie mourir ; dans ces vidéos, les petites victimes sont filmées alors qu’elles sont torturées, violées et assassinées. La police est convaincue qu’au moins six enfants sont morts de cette manière à Londres et dans le comté du Kent. L’Angleterre a appris avec stupéfaction qu’au sein de la société, circulent des monstres prêts à filmer les tourments, l’agonie et la mort des enfants pour satisfaire la perversité de beaucoup d’autres monstres [richissimes], qui déboursent des dizaines de millions pour une copie de film. »16 Sommes qui ne sont pas à la portée de la majorité des Britanniques.

    Les mystères de la Belgique

    250 millions de snuff movies sont commercialisés dans le monde entier. Aux États-Unis, pas moins de 20 millions de vidéos auraient été vendues dans les années 1990. Ce sont des scènes toujours plus cruelles montrant toujours la torture et la mort d’enfants. Chaque année, dans le monde, un million de bébés et d’adolescents sont victimes de la prostitution, du tourisme sexuel, de la pédophilie, de la pornographie, du sadisme de détraqués et de satanistes. De telles horreurs ont été révélées dans le cadre de l’affaire du pédocriminel Marc Dutroux, surnommé le « monstre de Marcinelle [section de la ville wallonne de Charleroi] ».

    Les vidéos de Dutroux montrent des enfants violés et mis à mort. La dénonciation a été faite par Sophie Wirtz, juriste et responsable de la section belge du Mouvement du Nid, association d’aide aux personnes prostituées. « Dans cette tragédie, le fond de l’horreur n’a pas encore été touché. », a-t-elle déclaré17.

    Dans l’entretien publié par un quotidien italien, la juriste affirme qu’au début de l’affaire Dutroux, six cents vidéos-cassettes de pornographie de mineurs séquestrés étaient en circulation. La présidente du Nid explique que « la pédophilie n’est pas un rapport affectif, mais l’expression de domination sur l’enfant dont le stade extrême est la mort »18.

    L’affaire Dutroux concentre des faits de pédophilie, d’homicide, de nécrophilie, de snuff movies et implique des personnes de la haute société belge, du monde de la haute finance et de la politique.

    En 1989, Dutroux avait déjà été condamné à treize années de prison pour avoir séquestré et violé à plusieurs reprises deux mineures en 1985, en compagnie de Michelle Martin, condamnée à six années pour des faits analogues. Cependant, le couple pédo-criminel n’a pas purgé la totalité de sa peine : Michelle Martin et Marc Dutroux sont libérés en août 1991 et avril 1992 par une grâce du roi, malgré l’opposition du procureur et des psychiatres. Il ne faudra pas attendre bien longtemps pour que Marc Dutroux récidive. En novembre 1992, il est accusé d’attouchements sexuels sur des jeunes filles à la patinoire de Charleroi. Interrogé par la Police communale, il est aussitôt relâché sans être inquiété. [Il se murmure alors que les petites victimes sont bien plus nombreuses qu’il n’a été rapporté : le 17 août 1996, dans la propriété de Marc Dutroux sont les corps de deux fillettes de neuf ans Julie Lejeune et Mélissa Russo, enlevées le 24 juin 1995.

    Selon les autopsies, les deux fillettes avaient l’anus largement dilaté. Mélissa avait les mains attachées quand on l’a retrouvée morte. Les liens aient été placés post mortem pour déplacer le corps, qui ne pesait que seize kilogrammes. Les jambes de l’enfant auraient aussi été fracturées post mortem aussi. Elle n’avait plus d’hymen et le vagin était dilaté d’environ quinze centimètres de diamètre. Ces preuves démentent alors la version officielle voulant exposant que les fillettes seraient mortes de faim et de soif dans la cave de Marc Dutroux.

    Pendant qu’en Belgique 350 000 personnes manifestaient contre le « monstre de Marcinelle », le silence le plus épais entourait l’arrestation survenue au Sri Lanka, en octobre 1996, de Victor Baumann. Cet industriel helvétique qui, à la tête de plusieurs sociétés au Sri Lanka, employait mille deux cent personnes et finançait une école, ainsi qu’un dispensaire, a été accusé du viol de mille cinq cents enfants !

    Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/pedophilie-les-democraties-aux-ordres-de-satan-par-laurent-glauzy-partie-1-sur-2#more-31131

    [LA SUITE CES JOURS-CI]

    1 Il Giornale du 15/3/1997.

    2 La Stampa du 8/2/1987.

    3 Nexus n° 23, juin 1999, (édition italienne).

    4 Laurent Glauzy, Illuminati : de l’industrie Rock à Walt Disney, les arcanes du satanisme, La Maison du Salat, 2012, p. 14.

    5 Avvenimenti du 17/7/1991

    6 John DeCamp, The Franklin Cover-up, AWT, Inc. Lincoln, Nebraska, 1992.

    7 Giovanni Caporaso et Massimiliano Cocozza Lubisco, Bambini. Il mercato degli orrori (Enfants. Le marché des horreurs) dans Avvenimenti du 17/7/1991.

    8 Corriere della Sera du 20/5/1990.

    9 G. Caporaso et M. Cocozza Lubisco, op.cit.

    10 Executive Intelligence Review, vol. 16, n° 8 du 17/2/1989 : Pedophiles arrestedmore powerful thanthe Mafia in Britain.

    11 Corriere della Sera du 18/3/1990.

    12 Executive Intelligence Review, op.cit.

    13 Gazzetta del Sud du 1/7/2000.

    14 Il Giorno du 15/9/1990.

    15 Teologica,septembre/octobre 1996.

    16 Corriere della Sera du 28/7/1990.

    17 Gazzetta del Sud du 23/11/1996.

    18 Idem.