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insécurité - Page 939

  • Libye : explication et conséquences d’un massacre

    Vendredi 15 novembre, à Tripoli, les miliciens originaires de la ville de Misrata ont ouvert le feu sur une foule réclamant leur départ, faisant plusieurs dizaines de morts et des centaines de blessés. A la suite de ce massacre, les tireurs furent encerclés par les milices rivales qui s’emparèrent de leur quartier général.

    Samedi 16 novembre, ayant reçu des renforts ils tentaient de maintenir leurs positions.

    Ces sanglants événements traduisent la lutte pour le pouvoir qui se déroule en Libye depuis le renversement du colonel Kadhafi. Comme les Berbères (berbérophones ou arabophones) disposent d’une milice solide, si les miliciens de Misrata étaient chassés de Tripoli, ils constitueraient alors la principale force de la capitale. Clés d’explication d’une redistribution des cartes en cours :

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Libye-explication-et-consequences

  • SOS Tout-Petits embarqué

  • A propos de la petite fille caillassée à Nancy

    Suite à mon post, Gabrielle Cluzel a mené son enquête :

    "L’histoire se déroule samedi après-midi, à Nancy. À l’appel de l’association anti-IVG « SOS Tout-Petits », une vingtaine de Lorrains se sont rassemblés place de l’Alliance afin d’y réciter un « rosaire pour la vie ». Une famille de Metz est spécialement venue pour l’occasion avec ses quatre enfants. Sur place, un cordon impressionnant de CRS et, surtout, tout autour, une soixantaine d’antifas. Trois fois plus nombreux, donc, que ceux contre lesquels ils sont venus protester.

    Comme le reste du petit groupe, la famille messine égrène pacifiquement son chapelet. Leur voix est rapidement couverte par les insultes et les cris qui fusent. Lorsqu’ils se mettent à chanter, l’agressivité des antifas monte d’un cran et les injures s’amplifient. Et puis d’un coup, vers 15 h, des jets de projectiles. Qui s’interrompent quelques instants pour reprendre de plus belle. Des objets divers, et des cailloux. Les CRS, impassibles, continuent de faire les Casques bleus. Mais soudain, le troisième enfant de la famille venue de Metz, une petite fille de quatre ans, fond en larmes. Une pierre l’a touchée à la tête. Elle cache son front dans le manteau de sa maman, un front qui saigne, orné d’un gros œuf de pigeon.

    Les parents, quoique bien secoués, n’ont pas porté plainte. Pas plus qu’ils n’ont accepté l’offre d’un représentant des Renseignements généraux sur place de les escorter jusqu’à la voiture familiale. Pourquoi ? Parce que, selon le père de famille, cela n’aurait servi à rien sinon, dit-il, à « les ficher ». Il faut dire – car il ne s’en cache pas –, qu’il n’a plus confiance dans la police, ayant été lui-même, il y a quelques mois, à Metz, plaqué au sol par les CRS lors de l’inauguration du tramway « Mettis » pour un petit drapeau de la Manif pour tous, puis parqué durant deux heures avec d’autres grands délinquants dans son genre. Une réaction instinctive qui en dit long sur le climat de confiance dans lequel vivent actuellement certaines familles françaises dans leur propre pays.

    Dernier détail : la mère de famille est d’origine gabonaise. Pour des antifas, réputés attachés à la lutte contre le racisme, on peut dire qu’ils ont bien visé. C’est sans doute, voyez-vous, qu’il en va de la diversité comme du reste, il y a la bonne diversité et il y a la mauvaise. Et celle qui récite des chapelets ne mérite sans doute rien d’autre qu’être lapidée, même si elle n’a que quatre ans… Un peu de mesure, chers amis ! Les antifas ne sont que de grands maladroits. De gentils anarchistes qui n’ont pas le compas dans l’œil et n’auraient jamais pensé blesser une petite fille. Allez, n’y pensons plus, un peu d’arnica, et la bosse va se résorber. Et ne tentez pas d’imaginer le tollé si d’autres que les antifas avaient commis pareille « maladresse », c’est très mauvais pour votre ulcère d’estomac !"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/a-propos-de-la-petite-fille-caillass%C3%A9e-%C3%A0-nancy.html

  • Médias Presse Info: « Rafle de la manifestation pro-vie de SOS Tout-Petits, j’y étais ! »

    Médias Presse Info a assisté ce samedi matin Boulevard Port-Royal à la véritable rafle par la police de la manifestation pro-vie de SOS Tout-Petits.  

    Un étudiant également présent témoigne :

    « Avec plusieurs amis, tous étudiants, nous avions projeté depuis une semaine environ de nous rendre à la manifestation SOS Tout Petits ce samedi à 10h30 afin d’apporter notre soutien au Docteur Dor et de manifester l’admiration et l’intérêt que notre génération prenait à son engagement. La lutte pour la Vie et contre le génocide de l’avortement n’est pas un combat réservé au 3e âge ! il nous concerne aussi !

    Lorsque nous sommes arrivés, nous avons été frappés par l’importance du déploiement des forces de police. J’ai entendu des gens se dire entre eux que c’était sans doute à cause des manifestations contre l’écotaxe… On  a cherché les bonnets rouges et les gros bras mais on n’a vu que des chapeaux en fourrure et une dizaine de petites dames adorables ressemblant à miss Marple, qui nous ont accueillis avec de grands sourires heureux: « enfin des jeunes, c’est tellement gentil d’être venu ! » . Le docteur Dor était là bien sûr, face à une caméra, bon pied, bon oeil, ainsi que quelques autres personnes .

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  • Violences policières lors de l'accueil de Taubira à Versailles

    Témoignage :

    9"Je reviens de la rue Carnot à Versailles où je suis allée accueillir comme il se doit la ministre de la justice. Nous étions 8 à être à l'entrée de la Cour d'Appel lors de son arrivée, les autres personnes étant parquées place Hoche. Quand la voiture du ministre est arrivée à peine avons nous ouvert la bouche pour huer le cortège qu'une flopée de CRS armés jusqu'au dents et boucliers au poing ainsi que des policiers en civil (dont une femme particulièrement agressive) se sont jetés sur nous en nous poussant dans une cour d'immeuble avec une rare violence. Il y avait : un homme assez jeune, 3 mères de famille dont une avec un bébé dans les bras, deux femmes d'une soixantaine d'années et une plus âgée qui n'a pas non plus été épargnée. Une véritable menace pour la république et qui justifiait un tel déploiement de force...

    Cette violence a été très impressionnante, je n'avais jamais vécu cela même lors des grandes manifs. Par la suite nous avons quitté le cortège par un chemin "sécurisé"."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Cent mille chrétiens sont éliminés chaque année à travers le monde

     

    Cent mille chrétiens sont éliminés chaque année à travers le monde
    Le Professeur Todd Johnson est le successeur de son collègue David Barrett (1927-2011), "Monsieur Statistiques" pour les chercheurs de sciences religieuses à travers le monde entier, à la tête du Center for the Study of Global Christianity de South Hamilton (Massachusetts), un centre qui est à l'origine des statistiques sur le nombre des fidèles des diverses religions utilisés par un grand nombre d'universités - et aussi d'Eglises et de communautés religieuses - à l'échelle internationale. Johnson sera en Italie en décembre pour un certain nombre d'engagements, et débutera un séminaire par un rapport sur la méthodologie de la statistique religieuse organisé par l'Université Roma Tre, en collaboration avec le CESNUR et avec l'Académie des Sciences humaines et sociales, le 16 Décembre.
    Barrett et Johnson sont également à l'origine de ce qu'ils appellent la «martyrologie» , c'est-à-dire la compilation de statistiques sur le nombre de chrétiens tués « dans des situations de témoignage» ce qui signifie tués parce que chrétiens. Ces chrétiens qui ont été tués, selon Barrett et Johnson, sont au nombre de soixante-dix millions de la mort de Jésus-Christ à l'an 2000, dont 45.000.000 se concentrent durant le XXe siècle. Dans la première décennie du XXIe, de 2000 à 2010, selon Barrett il y en a encore eu un million, soit 100.000 par an. Cette estimation d'une moyenne calculée sur dix ans était de 105.000 en 2011 - l'année où, en commentant ces chiffres lors d'une réunion de l'Union européenne, il la traduisait dans la formule, arithmétiquement logique par rapport au chiffre de 105.000, "d'un chrétien tué toutes les cinq minutes" - alors que l'estimation de Johnson pour 2013, publié dans le numéro 37/1 de sa publication "Bulletin international de recherche missionnaire" était de 100.000.
    Périodiquement, ces chiffres sont attaqués; et récemment une information parue sur le site de la BBC donnait l'impression que Johnson lui-même les avait en quelque sorte redimensionnés ou retirés. Afin de clarifier la façon dont les choses se présentent, j'ai interviewé le professeur Johnson lui-même.

    Professeur, est-il vrai que vous avez démenti la fameuse statistique des 100.000 chrétiens tués chaque année ?
    Mais pas du tout. Il se peut que le journaliste de la BBC ne m'ait pas bien compris, mais j'ai simplement expliqué que la statistique se réfère à une moyenne des dix dernières années, non à une année donnée. Par conséquent, la statistique que nous avons publiée en 2013 correspond à la somme des morts des années 2003 à 2012 divisée par dix. Et la somme divisée par dix donne précisément 100.000. Si nous nous livrons au même exercice l'an prochain, nous ferons le total des morts de 2004 à 2013 et nous le diviserons par dix. Ce chiffre est significatif d'une tendance bien plus que s'il se concentrait sur une seule année où les données peuvent être modifiées par des variables éphémères, et où l'on risque d'annoncer des retournements décisifs causés par des événements positifs ou négatifs qui ne se répéteront pas les années suivantes.

    La BBC objecte que 90% des morts au cours des dernières années ont été tués dans la République démocratique du Congo, où il y a une guerre civile en cours. Quelle est votre réponse?
    Pour certaines des dix années prises en compte par l'évaluation sur dix ans, il est vrai que les données du Congo pèsent jusqu'à 70% - 90% est exagéré, mais nous avons toujours dit que le Congo pesait beaucoup - ce n'est pas une découverte de la BBC - tandis que sur l'échelle de la décennie, si l'on regarde les autres années, nous prenons en considération une donnée non moins importante, celle du Sud-Soudan, où les choses se sont améliorées ensuite. Beaucoup de mes dernières interventions lors de conférences internationales examinent la situation au Congo, et l'affaire est intéressante pour expliquer notre méthode. Il y a certainement des cas où il est difficile de déterminer si des personnes sont tuées en raison du fait qu'elles sont chrétiennes ou pour des raisons ethniques ou politiques. Dans ce cas, nous évaluons le poids du facteur religieux et sur la base de ce facteur nous attribuons un pourcentage du total des personnes tuées à des raisons religieuses. Pour le Congo, nous avons estimé - de façon très prudente et à titre de précaution - que le facteur religieux intervient pour vingt pour cent dans les raisons qui provoquent les assassinats. Je dis prudente et à titre de précaution parce que nous avons recueilli sur le terrain, des centaines de témoignages qui parlent de personnes tuées dans les églises et tuées parce que, pour des raisons religieuses, elles refusent de se battre dans les milices ou a fortiori de s'impliquer dans des guerres qu'ils estiment injustes. Par conséquent, pour chaque année, nous ne comptabilisons pas cent pour cent de chrétiens assassinés au Congo dans nos statistiques, mais seulement vingt pour cent. Nous adoptons des critères similaires pour les autres pays. Les critères, on peut toujours les discuter, mais je dois avouer que je ne comprends pas bien les objections qui vous invitent à soustraire les chrétiens tués au Congo, comme s'ils étaient des victimes de seconde zone par rapport à ceux d'autres pays.

    Mais la BBC affirme que ce ne sont pas des «martyrs». Est-ce vrai?
    La notion de «martyr» n'est pas univoque. Par exemple, la tradition juive - qui considère «martyrs» les victimes de l'Holocauste - ou celle de l'islam qui ont un concept plus extensif du "martyre" que celui du christianisme. Je suis protestant, mais je sais que l'Église catholique a en revanche un concept plus restrictif: seul est "martyr" celui qui offre volontairement sa vie pour sa foi. Si quelqu'un est victime d'une bombe qui fait exploser une église ou un local fréquenté par les chrétiens, pour l'Église catholique, il n'est pas nécessairement un «martyr», alors que pour de nombreux protestants il l'est. Nous sommes conscients de ces différences de terminologie, et c'est pourquoi aujourd'hui nous avons tendance à moins parler de «martyrs» mais plutôt de «personnes tuées dans des situations de témoignage».

    Si la situation au Congo devait s'améliorer, votre moyenne calculée sur la dernière décennie va baisser?
    Il y a des chances, et nous espérons qu'il en sera ainsi. Mais je voudrais ajouter un mot d'avertissement. Lorsque la situation s'est améliorée au Sud-Soudan, nous avons pensé que nous pourrions arriver à des estimations beaucoup plus faibles, et c'est alors qu'a explosé la situation dramatique au Congo. L'histoire du christianisme dans les deux derniers siècles ne conduit pas à l'optimisme: quand la violence s'atténue dans un pays particulier, elle explose souvent ailleurs. Le fait que les chrétiens soient victimes de campagnes de haine, soient discriminés, soient tués en nombre encore élevé dans de nombreuses régions du monde fait craindre que de nouvelles flambées de violence se produisent dans d'autres zones géographiques.
  • Marion, 13 ans, assassinée au collège par la gauchiasse et la racaille

    Victime de harcèlement et de persécutions au collège, comme des milliers de gamins livrés en pâture à la racaille par une gauchiasse libérale criminelle, Marion, 13 ans, avait fini par se suicider.

    Sa mère, Nora Fraisse, ignorée par Hollande, Peillon, Ayrault, Valls et Taubira, mais aussi les grand médias, trop occupés à condamner les lamentables âneries de Minute, livre un bouleversant témoignage. Même si elle ne dit pas tout de cette racaille chère à la gauchiasse -de Désir à Merluchon en passant par Besancenot, à toutes les officines tribalistes et victimaires, CCIF, CRAN, CRIF et autres Moualek, Diallo, Aram, BHL farcis de haine anti-française – qui partout en France, humilie ce pays. Une racaille produite par la rencontre hideuse entre libéralisme et gauchisme, sur fond de haine de la France.

    Après deux plaintes à la gendarmerie puis auprès du parquet d’Evry, ses parents ont décidé jeudi de déposer à Paris une nouvelle plainte avec constitution de partie civile afin qu’un juge enquête. Une plainte pour « violences », « homicide involontaire » et « non-assistance à personne en danger ». Sur Europe 1, la mère de la jeune Marion revient sur ce jour terrible.

    Nora Fraisse : « Aujourd’hui, les bons élèves… par Europe1fr

    La jeune fille, scolarisée en 3e au collège Jean-Monnet, l’agent de la CIA symbole de la « construction européenne » à Bris-sous-Forges, dans l’Essonne, a laissé des lettres. « Elle disait que sa vie a dérapé, a basculé. Personne ne l’a compris. Elle décrit les principales insultes, les principales menaces. Elle donne les noms des principaux harceleurs. Elle garde cette douceur et cette sensibilité qui la caractérisaient. Elle trouve les mots justes, les mots doux, malgré sa souffrance. Et elle nous dit adieu. Et elle remercie, elle dit : « Merci pour ceux qui m’aimaient pour ce que je suis et non pas ce que je ne suis pas. », relate sa maman, la voix étranglée par l’émotion. On n’aura pas les noms, on s’en doute. Taubira, Valls et Hollande ne le permettraient pas. Les ligues anti-françaises non plus.

    Humiliée, rabaissée, menacée de mort

    Les parents de Marion veulent aujourd’hui la nomination d’un juge pour « faire toute la lumière sur ce qui s’est passé parce que nous avons, du fait de notre enquête personnelle, trouvé des preuves accablantes contre le collège, démontrant un grave dysfonctionnement, et nous portons plainte contre les élèves qui sont nommés dans la lettre ». Scolarisés dans la classe de 4e de sa fille, mais aussi dans d’autres classes, ils n’ont jamais été inquiétés après la mort de Marion. « Malgré tout l’amour qu’on lui portait, elle a été humiliée, rabaissée ». Le jour de son suicide, elle avait été violentée dans la cour de récréation, en présence des surveillants.

    « Elle m’a appelée, elle s’était réfugiée aux toilettes, en me disant : « Je ne vais pas bien, il faut que je rentre (….) elle a eu de vraies menaces de mort. (Le jour de son décès) elle était attendue au collège par ses harceleurs pour lui faire la peau », explique Nora Fraisse. Et de poursuivre ; « Je dis aux harceleurs : ce que vous avez fait est intolérable, inadmissible, inexcusable. Ca doit être sanctionné de manière très sévère. Il n’y a pas d’excuse de minorité. Quand on a 14 ans, que délibérément on pousse quelqu’un au suicide, on l’anéantit, on lui fait perdre l’estime de soi, et bien on se met face à ses responsabilités ».

    L’idéologie gauchiasse, perverse et criminelle

    Les parents de Marion ont décidé aussi de la mener cette démarche judiciaire pour dénoncer le « silence » et « le mépris » de l’Éducation nationale et des représentants de l’État. « Je peux vous dire aujourd’hui : 9 mois après le décès de Marion, aucun enseignant n’a pris contact avec nous. Aucun n’a donné un mot de condoléances », témoigne Nora Fraisse. Dénonçant dans un courrier des « carences et des lacunes gravissimes dans l’encadrement des élèves et la discipline », ils demandent à Peillon une inspection approfondie de l’établissement.

    Cette démarche, Nora Fraisse la fait aussi pour tous « les autres enfants » qui se trouvent aujourd’hui dans cette situation. Pour leur dire qu’il existe des tas de recours. « Je dis aux enfants qui nous écoutent : si vous avez peur, dites-le. Si vous ne voulez plus aller à l’école, n’y allez plus ! Il vaut mieux rater une année d’école que rater sa vie ».

    Pour la sécurité de nos enfants, mettons les bonnets rouges et débarrassons le pays de la gauchiasse !

    Source  http://www.medialibre.eu/france/marion-13-ans-assassinee-au-college-par-la-gauchiasse-et-la-racaille-video/13961

  • « Ces criminels qui défendent la pédophilie » par Laurent Glauzy

    « On devient des adultes équilibrés seulement si l’on a eu une enfance heureuse » (Maria Montessori)

    Les rapports sexuels avec des mineurs deviendront-ils une pratique normale ? Les défenseurs de la pédophilie prônent cette « unique voie de libération ».

    Le 25 avril, Alice Day, marque la journée officieuse de la « prédisposition », des pédophiles qui aiment les petites filles. Cette date ne doit rien au hasard. C’est le 25 avril 1856 que Lewis Carroll, membre de la secte satanique de Théosophie, rencontra une petite fille, Alice Liddell, qui inspira son œuvre Alice au Pays des Merveilles. Alice devint ainsi le symbole, bien malgré elle, de cette journée immonde et ignoble.

    Le promoteur de l’évènement est la Nambla (Association nord-américaine pour l’amour entre les hommes et les jeunes garçons). Cette structure de pédophiles homosexuels revendique les droits des militants « pro-pédophiles ».
    Implantée aux États-Unis, elle recueille des prosélytes au Canada, aux Pays-Bas et dans beaucoup d’autres pays. L’objectif est l’abolition des limites d’âge en matière de rapports sexuels, et de combattre la criminalisation des adultes qui pratiquent la sexualité avec des mineurs. Ces criminels sans scrupules demandent la relaxe de tous les prisonniers détenus pour ce délit. Les organisations pro-pédophiles, composantes du groupe Ipce (International Pedophile and Child Emancipation), sont par ailleurs impliquées dans des actions illégales de trafic international de pédophilie.

    La Nambla fut fondée en 1978 par le Juif David Thorstad. En 1970, il est un activiste politique du mouvement des droits homosexuels aux côtés d’Harry Hays, membre du Communist Party USA. Les deux hommes suscitent l’attention des forces de l’ordre. En 1977, à Boston, la police fait irruption dans un de leurs sièges, et arrête vingt-quatre suspects. Une centaine d’autres personnes furent inculpées les jours suivants pour viol sur des garçons âgés de huit à quinze ans.

    En 1995, des agents infiltrent les organisations implantées à San Francisco et New York. Le journaliste Mike Echols réussit à pénétrer ces cercles. En 1991, il publie, dans son livre I Know My First Nameis Steven (Je sais que mon prénom est Steven), les noms, adresses et numéros de téléphone de quatre-vingts membres de Nambla.

    En 2000, un couple de Boston, Robert et Barbara Curley, poursuit en justice Nambla pour l’homicide volontaire de leur fils Jeffrey, en octobre 1997. Charles Jaybes et Salvatore Sicari, condamnés pour ce meurtre, avouèrent avoir torturé et mutilé le jeune homme. Le jugement mentionna que « Nambla servait de canal pour un réseau souterrain de pédophiles aux États-Unis, qui utilise les associations et leurs contacts sur Internet pour obtenir et promouvoir l’activité pédophile ».

    L’Italie n’est pas non plus épargnée par des politiciens nauséabonds réclamant le « droit des enfants à avoir leur sexualité ». Si le parti radical italien est un des mouvements faisant la promotion de la pédophilie, le communiste Nicola Vendola, président de la région des Pouilles, fondateur du Movimento per la Sinistra (mouvement pour la gauche), déclara en 1985 : « La liberté communiste est le dynamisme. Je suis devenu consciemment homosexuel, pour redevenir hétérosexuel, et pour enfin rechercher une sexualité sans adjectif. Je voudrais que l’on comprenne la sexualité, non en parlant des membres et des organes génitaux. Berlinguer [secrétaire général du PCI, mort en 1984] est quelqu’un qui comprend. Nous avons discuté ensemble de ce sujet. Il répétait tout le temps que l’on a besoin d’aller au fond, que l’on a besoin de parler, de se confesser davantage – non pas avec des prêtres – car il s’agit de se priver du poids de tous les résidus de l’intolérance. Il n’est pas facile d’affronter un thème comme celui de la pédophilie en exemple, c’est-à-dire du droit des enfants à avoir leur propre sexualité, à avoir des rapports entre eux ou avec des adultes » (Republicca du 13/3/1985).

    Le 3 mai 2013, lors des débats parlementaires portant sur les projets de loi contre l’homophobie, Luisa Santolini, députée de l’Union démocrate du centre, reprenant les propos du docteur d’origine belge Hubert van Gijseghem, ancien professeur de psychologie à l’université de Montréal, affirma : « L’homosexualité est une orientation sexuelle comme tant d’autres : il y a ceux qui sont gays, hétéros ou pédophiles ». Cette déclaration ne donna lieu à aucune indignation publique.

    La petite Croatie est également touchée par ce torrent d’immondices. En janvier 2013, le gouvernement de Centre-gauche, financé dans cette initiative par la Soros Foundation, a imposé l’introduction dans les programmes scolaires d’un module sur la sexualité rédigé par des pédophiles.

    Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/ces-criminels-qui-defendent-la-pedophilie-par-laurent-glauzy#more-30140

  • Observatoire de l’intolérance et de la discrimination : la France mauvaise élève

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "L’Observatoire de l’intolérance et de la discrimination contre les chrétiens revient sur le rapport de l’OSCE concernant les crimes antireligieux. Il remarque que seuls 15 pays membres de l’OSCE distinguent dans leurs données entre les diverses religions, et que seuls 6 pays ont fourni leurs données à l’OSCE. (La France ne fait partie ni des 6 ni des 15 : chez nous on distingue bien, mais seulement entre crimes antisémites et crimes anti-musulmans…)"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Mansuétude ou sévérité, selon que vous serez opposant politique ou non

    Avec Christiane Taubira, la justice à 2 vitesses, c'est maintenant :

    "Mardi 12 novembre, Christiane Taubira, ministre de la Justice, a pris la plume pour s'adresser aux procureurs généraux des tribunaux français. Au menu de sa bafouille, une directive sur la sévérité et la conduite à tenir à l'égard des Bonnets rouges et des manifestants qui s'en sont pris ces dernières semaines aux portails Écomouv' et à la collecte de l'écotaxe. La garde des Sceaux n'y va pas par quatre chemins : "Les comportements récemment constatés, constitutifs d'infractions pénales, doivent faire l'objet d'une réponse rapide, systématique et ferme de l'autorité judiciaire." S'ensuit un discours de la méthode sur la façon dont il faut procéder pour repérer et sanctionner les fauteurs de troubles. [...]

    Une circulaire très sévère signée par une ministre - la précédente portant le même paraphe remontait à l'automne 2012 et portait sur la politique pénale générale - qui prônait les peines de probation et une certaine mansuétude à l'égard des petits délinquants tant qu'ils n'étaient pas récidivistes. Il y aurait donc deux poids, deux mesures dans la politique mise en place par la Place Vendôme..."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/mansu%C3%A9tude-ou-s%C3%A9v%C3%A9rit%C3%A9-selon-que-vous-serez-opposant-politique-ou-non.html