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Trump sait ce qu’il fait. Il a pris ses dispositions, toutes ses dispositions, depuis déjà plusieurs mois. Depuis son accession à la présidence en janvier, il déroule son plan comme il l’a prévu. Et avec toute la rapidité requise et qu’il juge nécessaire. Il n’a plus que quatre ans devant lui et il arrivera bientôt à 80 ans.
Macron a fait son show, mauvais à son habitude. Il ne gouverne pas il provoque, il ne planifie pas, il fantasme. Son désir d’exister a depuis longtemps broyé sa raison, foudroyé son bon sens. Obnubilé par l’illusion de sa grandeur, sa terreur d’être oublié commande ses actions. Quoi de plus effrayant que le temps qui passe distillant « ce déclin qui rend fou ». Pour marquer de son empreinte ce siècle trop grand pour lui, il est prêt à tout. Mentir, manipuler, il excelle dans ces arts, et les journalistes jamais ne le contredisent. Son horizon est sans limites, il lui faut intervenir sur une scène plus vaste que l’hexagone… le monde ! Avec ses gesticulations désordonnées il apparaît enfin à l’international comme le président le plus toxique de l’histoire de la Vème république, à tel point qu’il est à présent considéré par les USA comme un danger. Nos parlementaires restent aveugles et il faut que ce soit de l’étranger que la lumière arrive, sur la nocivité du personnage. Scott Ritter a déclaré qu’il était temps d’affaiblir et de calmer la France. En diplomate il a rajouté : « soit le peuple français accomplit cela aux urnes, soit les États Unis doivent commencer à considérer une France dotée de l’arme nucléaire comme une menace existentielle pour notre nation et agir en conséquence ».
Les forces russes ont libéré les localités de Skoudnoïé, Bourlatskoïé, Privolnoïé et Andreïevka en république populaire de Donetsk, tout en renforçant leur position sur le front, rapporte la Défense dans son bilan hebdomadaire de l'opération spéciale pour la semaine du 1er au 7 mars 2025.
Points clés du bilan hebdomadaire de la Défense russe:
Vladimir Poutine a invité les caméras de télévision, ce jeudi 6 mars, pour assister à sa rencontre à Moscou avec une fondation soutenant les vétérans de l’«opération militaire spéciale» en Ukraine.
Il est désormais confirmé que Trump a suspendu à la fois l’aide militaire et le partage de renseignements à l’Ukraine, ce qui a bouleversé l’élite européenne.
La confrontation frontale entre Volodymyr Zelensky, J.D. Vance et Donald Trump à la Maison Blanche a frappé de stupeur tous les commentateurs. Analyse de notre chroniqueur Pierre Boisguilbert. Polémia
Du jamais vu
La couverture de l’incident de la Maison-Blanche est aussi surréaliste que l’incident lui-même. Tout d’abord, il est vrai que, de mémoire de vieux journaliste, on n’avait jamais vu ça. Cela étant dit, la présentation de l’incident a été partielle et donc partiale.
L’échange verbal de vendredi dernier dans le bureau ovale a fait ressortir la fureur du président Vladimir Zelensky, qui estime que Donald Trump et Vladimir Poutine sont très proches d’un accord sur l’Ukraine, tandis que le conclave de dimanche à Lancashire House à Londres, auquel ont participé 18 dirigeants européens, a montré que Zelensky est en bonne compagnie.
« La ligne de front ne cesse de se rapprocher de nous », annonce Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères. Voilà comment cet agent du pouvoir profond colporte ces aberrations afin de servir non pas la cause de la paix, mais l’agenda mondialiste des va-t-en-guerre européens. Dimanche 2 mars, ils se sont réunis à Londres, épicentre depuis 2022, pour que la situation en Ukraine soit devenue inextricable, et au diable les centaines de milliers de morts, pourvu que ces baudruches aient bonne figure. Au départ Boris Johnson, en porte toute la responsabilité, car c’est lui qui avait poussé à ce qu’un accord n’aboutisse le 30 mars 2022, il déclarait qu’il fallait « continuer à intensifier les sanctions jusqu’à ce que chacune des troupes de Poutine soit sortie d’Ukraine »….[i]