
par Ukraine Watch
L’agrandissement des cimetières en Ukraine a entraîné une contamination de l’eau dans 16 régions par des toxines provenant de corps en décomposition.
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par Ukraine Watch
L’agrandissement des cimetières en Ukraine a entraîné une contamination de l’eau dans 16 régions par des toxines provenant de corps en décomposition.
La guerre en Ukraine est l'ultime conséquence d'une opération orchestrée par l'Etat profond des Etats-Unis. Pour Jean-Loup Izambert, journaliste indépendant et auteur de l'ouvrage "Empêcher l'Europe - Les Etats-Unis contre l'Europe", Washington cherche par tous les moyens à diviser l'Europe réelle, celle qui va de Lisbonne au détroit de Béring, pour la maintenir dans la servitude des grands propriétaires de la finance et l'empêcher de devenir une grande puissance mondiale.
Je vous invite, là encore à écouter la chaîne LCI… qui nous ne nous avait pas habitué à autant de “recul” sur les évènements depuis quelques années maintenant !
En gros les sanctions ne marchent pas.
Pire, nous en sommes les principales victimes.
Tout cela, je vous le disais déjà il y a … deux ans !
Que de temps perdu.
Que de richesses envolées.
Que de dettes qu’il nous faudra payer.
Chronique de Paysan Savoyard (n° 329 – Octobre 2024)
Nous l’avons dit à plusieurs reprises : le Système au pouvoir est de nature totalitaire (voir cette chronique, celle-ci, celle-ci). La recension des événements intervenus depuis notre chronique précédente sur ce thème le démontre une fois encore.
Les politiques conduites par le Système sont entièrement guidées par son idéologie, l’humanisme, héritée des Lumières et de la révolution française et composée des principaux axiomes suivants : primat de l’individu, libre et égal aux autres, placé au centre de la société ; universalisme ; matérialisme ; progressisme (voir cette chronique). Animé de ces principes, le Système entend mettre en œuvre une « ingénierie sociale » pour fabriquer une société nouvelle et un homme nouveau. Le Système considère que son idéologie représente le Bien : il est donc pour lui légitime de l’imposer à tous, même lorsque les politiques qui en découlent ne correspondent manifestement pas aux vœux de la population et qu’elles bouleversent en profondeur les conceptions communes et la vie de chacun. Pour imposer son idéologie, le Système veut persuader et s’emparer des esprits, par la propagande omniprésente, le mensonge et la manipulation, le contrôle des médias, l’usage permanent du deux poids deux mesures, l’utilisation d’une novlangue et la réécriture de l’Histoire. L’imposition de l’idéologie du Système et des politiques qui en découlent passent également par la contrainte : limitation de la liberté d’expression, harcèlement des opposants, volonté d’installer un climat de crainte pour s’assurer de la docilité de la population. La toute puissance de l’idéologie, la volonté de remodeler la société et l’homme lui-même, la volonté d’imposer à tous l’idéologie officielle par la persuasion et par la contrainte sont les marques nettes, nous semble-t-il, de ce que nous sommes en présence d’un régime de nature totalitaire.
Cyrano Riposte laïque cliquez là
Dans quelques heures nous saurons. Nous ne doutons pas que Donald Trump, comme en 2020, va gagner cette élection. La seule question n’est pas celle-ci. Le seul suspense qui existe est d’un autre niveau. La fraude démocrate réussira-t-elle, comme en 2020, à priver de victoire le candidat républicain ?
Curieusement, tout le monde semble avoir oublié cet immense hold-up électoral, au soir du 5 novembre 2020, qui vit le processus électoral s’interrompre dans six États tenus par les démocrates, alors que les premiers résultats montraient de manière indiscutable que le président sortant avait gagné. Dès le 8 novembre, notre contributeur Maxime Lépante évoquera la plus énorme fraude électorale d’une histoire qui pourtant n’en manque pas. cliquez ici
On peut se poser la question tant la charge de l’ancien ministre sur l’Urkaine et la clique de Zélinsky est forte… mais juste.
Il est effectivement impossible de sortir du narratif blanc ou noir imposé par la propagande actuelle puisqu’il faut sans relâche soutenir les gentils Ukrainiens contre les méchants Russes.
La gauche ? C’est le refuge des puissants et l’obstacle à la révolte des opprimés. Cette inversion des rôles, qui rend la droite dépositaire de la question sociale, se lit aux Etats-Unis comme en France. C’est pourquoi la perspective d’une réélection de Donald Trump, à l’issue du scrutin de mardi, est déjà un désaveu pour les « progressistes », confrontés à leur trahison des faibles. Des deux côtés de l’Atlantique, les maîtres de ballet crachent les mêmes insultes sur le peuple qui refuse d’obéir. Quand L’Humanité titre : « Le péril fasciste » sous la photo de Trump, Kamala Harris soutient semblablement : « Oui, nous pouvons le dire, la vision de Donald Trump est celle du fascisme ». Quand Joe Biden laisse échapper son mépris pour les électeurs républicains en les comparant à des « ordures », Alain Minc les qualifie de « sous-développés ». Ce même promoteur de la « mondialisation heureuse » avait dit en 2016, parlant du référendum britannique approuvant le Brexit : « Ce référendum n’est pas la victoire d’un peuple sur les élites mais celle de gens peu formés sur des gens éduqués ».