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international - Page 294

  • Qui sont ces « inconnus » qui incarnent le nouvel ordre mondial ?

     Par Jean-Yves Jézéquel pour Mondialisation.ca

      

    Dans cet article, je voudrais faire l’effort d’identifier clairement les personnes qui se trouvent derrière ces groupes « tout-puissants » qui prétendent nous imposer leur Nouvel Ordre Mondial.

    Mais avant de savoir qui fait quoi, qui est derrière telle ou telle organisation, commençons tout d’abord par constituer le puzzle de ces organisations afin d’y voir plus clair ; afin de comprendre comment cette toile d’araignée totalitaire s’est tissée tranquillement avec l’approbation ignorante des peuples !

    Première Partie

    1 – Commission Trilatérale

    En juillet 1973, les mondialistes créaient un parti politique transnational, une organisation de contrôle et de décisions politiques, économiques et policières, voire militaires, la Commission Trilatérale. Les fondateurs : David Rockefeller, Henry Kissinger, Zbigniew Brezinski, notamment… 

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  • Les braves guerriers par procuration occidentaux continuent de se plaindre que les troupes ukrainiennes sont des lâches

    Alors que l’on ne cesse d’apprendre que la contre-offensive ukrainienne qui a débuté en juin ne se déroule pas comme prévu, le New York Times a publié un article intitulé «Troop Deaths and Injuries in Ukraine War Near 500,000, U.S. Officials Say» (Décès et blessures de soldats en Ukraine près de 500 000, selon des responsables américains).

    Le New York Times rapporte que les efforts ukrainiens pour reprendre les territoires occupés par la Russie se sont enlisés dans les champs de mines russes denses sous le feu constant de l’artillerie et des hélicoptères de combat, et que les forces ukrainiennes ont changé de tactique en utilisant l’artillerie et les missiles à longue portée au lieu de plonger dans les champs de mines sous le feu de l’ennemi.

    Ensuite, l’article devient vraiment bizarre :

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  • [L’œil américain] Donald Trump, Hunter Biden : la bataille des inculpations

    Et de quatre pour Donald Trump avec, cette semaine, une nouvelle inculpation en lien, comme la fois précédente, avec des accusations de tentatives de modification des résultats électoraux lors de la présidentielle de 2020 mais, cette fois-ci, non pas au niveau fédéral mais dans le cadre de l’État de Géorgie.

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  • Comment l’opération spéciale a fait de la Russie la cinquième économie mondiale

    Selon la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI), en 2022, la Russie a dépassé l'Allemagne pour devenir la cinquième économie mondiale. Le fait est que la perte de Moscou en tant que clé pour la prospérité économique de l'Europe a été dévastatrice pour le continent. 

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  • Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (4)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (1)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (2)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (3)

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    par Fabrice Garniron

    Retour sur un mythe médiatique

    L’alliance occidentale avec le néonazisme

    Il est donc clair que l’alliance scellée entre les Occidentaux et les néonazis ukrainiens va bien très au-delà de ce qu’on appelle généralement une «alliance objective», à savoir la situation où se trouvent  parfois deux forces politiques ou étatiques qui, à un moment donné, peuvent avoir le même but sans pour autant s’être concertées ou officiellement alliées. Avec le néonazisme ukrainien, le camp occidental a été bien plus loin que ce type d’alliance : il a fait de Svoboda un partenaire fréquentable. Et, ce qui n’est guère moins déshonorant, il a menti sur sa nature pour rendre présentable auprès de l’opinion ce rapprochement avec un parti néonazi. Laurent Fabius est à cet égard un cas d’école. Acte un, il a un entretien officiel avec le chef de ce parti, Oleh Tiagnibok, et ses alliés «démocrates ukrainiens» ; acte deux, il prétend que Svoboda n’est pas d’extrême droite alors qu’il s’agit d’un parti néonazi. Politique de dédiabolisation sinon de réhabilitation d’un parti néonazi à laquelle Catherine Ashton, parmi d’autres, a elle-même participé comme nous l’avons vu plus haut. L’Occident a donc très officiellement offert aux forces nazies ukrainiennes cette récompense des plus précieuses en politique : une «respectabilité», autrement dit l’onction que représentent des entrevues officielles avec les grands du monde occidental et une alliance avec des partis que l’Occident présente invariablement comme incarnant les «valeurs européennes». Sans parler des ministères et postes sensibles sur les plans militaire et sécuritaire que le parti néonazi a obtenus une fois la victoire acquise, comme ce sera le cas après le putsch du 20 février. Ajoutons qu’une «respectabilité», ça se traduit tout naturellement par un accroissement du pouvoir politique. Sauf que lorsqu’on offre la première, on est nécessairement complice du deuxième. On nous accordera que lorsqu’un ou plusieurs États font ces faveurs à un mouvement politique, ils vont très au-delà de ce qu’on appelle une «alliance objective». 

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  • Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (3)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (2)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (1)

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    par Fabrice Garniron

    Retour sur un mythe médiatique

    Un ballet à Maïdan

    Mais revenons aux évènements tels qu’ils se déroulent à Kiev entre la fin novembre 2013 et le putsch du 20 février 2014. A Maïdan, les manifestations redoublent en effet après le refus du président Ianoukovitch, de signer le plan de l’UE. Si ces manifestations ont un caractère massif incontestable, elles ne signifient pas pour autant que la majorité des Ukrainiens les soutiennent, même si les médias occidentaux cherchent à en donner l’illusion. En fait, seuls 35% désapprouvent la décision de Ianoukovitch de refuser le plan de l’UE. La forte mobilisation est en fait celle d’une partie de l’Ukraine, celle de l’Ouest, qui veut l’emporter contre l’autre, celle de l’Est. Quant à la décision de V. Ianoukovitch de ne pas signer ce plan, contrairement aux dires médiatiques, elle n’était pas définitive. Il s’agissait pour lui de prendre le temps d’étudier un accord complexe pour cerner les risques économiques du plan de l’UE pour l’Ukraine et évaluer les compensations européennes nécessaires pour le démantèlement des industries que le plan de l’UE aurait inévitablement provoqué. Comme l’écrit justement Jean Géronimo dans L’Humanité du 7 février 2014: «Contrairement à la rumeur médiatique, il ne s’agit pas d’un rejet de l’Europe mais d’une demande de reformulation de cet accord (qui est) politiquement non neutre et économiquement suicidaire pour l’Ukraine»1.   

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  • "Je suis une chrétienne russe, et je suis blanche. Je suis le peuple russe" !

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    A la mémoire de Darya Douguina

    Par Werner Olles

    Il y a exactement un an, le 20 août 2022, les services secrets ukrainiens ont perpétré une attaque terroriste meurtrière contre Darya Douguina, la fille du célèbre philosophe russe Alexandr Douguine. Des explosifs ont été placés sous dans sa voiture, la machine infernale s'est déclenchée à distance et a déchiqueté la jeune femme. Darya n'avait que 29 ans, elle était philosophe, journaliste et militante héroïque, et sa mort en a fait une martyre pour la vérité éternelle de la tradition, orthodoxe et métapolitique, qu'incarnent l'esprit et l'âme russes. Formée par la lecture de Platon, elle représentait, comme son père, une pensée multipolaire et une révolution qui s'exprime par le rejet radical par la Russie de "l'Occident collectif", une rupture totale avec l'impérialisme mondialiste, son marécage subversif, sa bassesse d'esprit et la haine satanique des boueux occidentalo-mondialistes pour la Russie orthodoxe. Dans toute sa personne, cette jeune femme incarnait la supériorité de la vérité, du bien et de l'esprit sur le matérialisme sans âme et sans Dieu. Sa voie était celle de la lutte métapolitique, qui est cependant toujours une véritable guerre à la vie et à la mort. Ce n'est pas sans raison que la devise de son canal Telegram était "La vie est une guerre sur terre !", et ce n'est pas sans raison que la devise de sa vie était : "Je suis une chrétienne russe, et je suis blanche. Je suis le peuple russe" !

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  • «La Russie va vous écraser» : Interview de Loukachenko sur l’Ukraine

     

    Alexandre Loukachenko a accordé une longue et vive interview à une journaliste ukrainienne, dans laquelle il a évoqué les premiers jours de l’opération militaire spéciale en Ukraine, ainsi que comment elle pourrait se terminer.

    L’interlocuteur du président de la Biélorussie était Diana Panchenko : pas tout à fait une présentatrice de télévision ukrainienne typique, puisqu’elle figure sur la liste des sanctions de son propre pays. Aif.ru a rassemblé les principales citations.

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