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international - Page 296

  • Non à la société multiculturelle néolibérale! Oui à la communauté sociale identitaire!

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    Enric Ravello

    Source : https://euro-sinergias.blogspot.com/2023/01/no-la-sociedad-multicultural-neoliberal.html

    L'immigration de masse, le multiculturalisme, la substitution démographique sont la conséquence du paradigme idéologique actuel, de la superstructure idéologique - comme dirait Marx - qui détermine la structure sociale et économique. Ce paradigme, que beaucoup appellent désormais mondialisme ou mondialisation, n'est rien d'autre que le développement logique des principes de l'idéologie libérale. Pour guérir une maladie, la première chose à faire est de poser un bon diagnostic, d'examiner les symptômes et de déterminer la cause. Soyons clairs: le libéralisme est la cause principale de tous les problèmes angoissants dont souffrent les sociétés européennes aujourd'hui. Par conséquent, il est le grand ennemi à détruire.

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  • [Tribune] Ukraine : est-on en route vers l’Apocalypse ?


     Olivier Damien 21 janvier 2023

    L’envoi à l’Ukraine par des pays membres de l’OTAN d’armes « plus lourdes et plus modernes », tel qu’annoncé par Jens Stoltenberg, secrétaire général de l'OTAN, à l’occasion du Forum économique mondial de Davos en Suisse, marque, à n’en pas douter, une nouvelle escalade dans le conflit qui se déroule actuellement aux portes de l’Europe. 

    Jusque-là impliqués derrière le chef de file américain dans une cobelligérance « douce » qui ne voulait pas dire son nom, il y a fort à parier que l’apparition sur le champ de bataille ukrainien de chars lourds anglais ou polonais, et de tous les autres matériels de guerre sophistiqués promis, ne fasse monter d’un cran significatif la participation réelle et objective des Occidentaux à une guerre qui semble désormais devoir s’inscrire dans la durée.

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  • L’OTAN a perdu de vue un « petit détail »

    La réunion des membres du « Groupe de contact pour la défense de l’Ukraine » a permis de faire le point. L’Allemagne et d’autres pays européens aux économies développées ont de gros problèmes de matières premières et d’énergie et souhaitent que la guerre prenne fin le plus rapidement possible, même au prix de concessions faites par l’Ukraine.

    L’Allemagne pense qu’elle peut encore tromper la diplomatie russe avec une solution gagnant-gagnant, valable pour le moment. En fin de compte, l’Allemagne pourrait accepter que les quatre régions annexées à la Russie restent où elles sont et que l’armée russe se retire des autres zones. Ce serait le même jeu qu’elle et la France ont joué avec les accords de Minsk, et dans quelques années, l’Ukraine sera lourdement armée et le conflit reprendra.

    Les États-Unis ne sont pas d’accord avec cette solution, étant donné qu’ils sont allés trop loin avec des sanctions inefficaces contre la Russie, ce qui a nui à leurs alliés européens de l’OTAN. Washington veut profiter de ce moment pour appliquer la « solution finale » à la Russie, avec la main de l’Ukraine et de ses partenaires de l’OTAN. En fait, le secrétaire américain à la défense, Lloyd Austin, a déclaré sur la base militaire allemande de Ramstein que la seule priorité de l’alliance était d’intensifier les efforts pour armer l’Ukraine.

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  • Nouvelle offensive russe dans la région de Zaporijia

    Pour la Russie, la contre-offensive la plus dangereuse se situe sur le front de Zaporijia. Si elle réussit, l’armée ukrainienne pourrait atteindre Melitopol ou Berdiansk, coupant ainsi la liaison terrestre entre la Crimée et le Donbass. En raison de la pression russe sur le front de Bakhmout, l’armée ukrainienne a été contrainte d’y déplacer d’importantes unités blindées et d’artillerie depuis d’autres régions. En témoigne également le fait qu’il n’y a pas eu récemment de tirs d’artillerie ukrainiens sur la centrale nucléaire d’Energodar, près de Zaporijia.

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  • Détruire la Russie ? « Y en a qu’ont essayé… »

    par Régis de Castelnau

    La semaine prochaine sera célébré le 79ème anniversaire de la levée du siège de Leningrad par les Soviétiques qui repoussèrent les Allemands après 872 jours au prix de de la vie de 800 000 soldats et d’un million de civils.

    Il faut rappeler quel était le projet de l’Allemagne de Hitler pour l’ancienne capitale des Tsars. Faire mourir ses habitants de faim et raser complètement cette ville admirable pour qu’il n’en reste pas pierre sur pierre. Les Allemands furent aidés à boucler l’encerclement par les Finlandais. Oui oui, ceux-là même qui aujourd’hui, ont porté à leur tête un agent américain, et en violation des traités qui les lient à leur voisin russe veulent compulsivement intégrer l’OTAN et installer des missiles nucléaires sur leur territoire.

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  • La Russie se prépare à « accueillir » le nouveau lot d’armes envoyé par l’OTAN en Ukraine

    Rappelons qu’au début de l’opération spéciale, les troupes terrestres ukrainiennes disposaient de 4 corps d’armée (200 000 hommes) comprenant chacun 8 à 9 brigades de chars, mécanisés, d’artillerie, d’infanterie et de marines. 

    Pendant l’opération spéciale, l’Ukraine a effectué 4 séries de mobilisation. 

    En 2022, elle a reçu des pays de l’OTAN des armes, des munitions et des équipements, principalement de production soviétique, pour équiper deux corps supplémentaires (100 000 hommes), composés de réservistes. Pendant tout ce temps, les forces russes utilisaient 180 000 soldats en Ukraine. Cela a permis à l’Ukraine de lancer une contre-attaque réussie dans la région de Kharkov en septembre.

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  • Le Groupe Wagner étend l’occupation vers l’ouest

    Le 19 janvier, le propriétaire de Wagner, Evgueni Prigojine, a annoncé qu’il avait libéré Klishchiivka. L’assaut sur la ville a duré 5 jours en raison de la forte résistance de la 53e brigade mécanisée ukrainienne. À l’ouest et au sud de Klishchiivka, le groupe Wagner devait neutraliser les points d’appui de la brigade ukrainienne (carte 1).

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  • Documents classifiés : Joe Biden s’est accordé avec le FBI pour que sa maison du Delaware ne soit pas perquisitionnée

    La saga des documents classifiés du temps de la présidence Obama et conservés par Joe Biden, son vice-président de l’époque continue : après la découverte de documents confidentiels retrouvés en décembre dans le garage du président américain, ainsi qu’en novembre dans ses anciens bureaux du Penn Biden Center, à Washington, d’autres ont été trouvés dans la bibliothèque de la maison familiale du Delaware dont l’actuel président des Etats-Unis a obtenu qu’elle ne soit pas perquisitionnée par le FBI.

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  • Poutine : La victoire est inévitable… Nos industries de défense égalent la production mondiale

    Le président russe Vladimir Poutine a déclaré que « les industries de défense russes produisaient chaque année autant de missiles pour les systèmes de défense aérienne que d’autres fabricants dans le monde réunis », soulignant : « Cela renforce la confiance dans la victoire de la Russie en Ukraine ».

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  • Ukraine : Le marteau est-il sur le point de tomber ?

    par Mike Whitney

    « Voici quelque chose que vous devez comprendre. Nous n’avons pas eu la possibilité d’agir différemment. » (Vladimir Poutine)

    Le projet d’engager militairement la Russie est un aveu tacite que les États-Unis ne peuvent plus maintenir leur domination mondiale par les seuls moyens économiques ou politiques. Après une analyse et un débat exhaustifs, les élites occidentales ont opté pour un plan d’action visant à diviser le monde en blocs belligérants afin de poursuivre une guerre contre la Russie et la Chine. L’objectif stratégique ultime de la politique actuelle est de resserrer l’emprise des élites occidentales sur les leviers du pouvoir mondial et d’empêcher la dissolution de « l’ordre international fondé sur des règles ». Mais après 11 mois de guerre non-stop en Ukraine, la coalition occidentale soutenue par les États-Unis se trouve dans une position pire qu’au début. Outre le fait que les sanctions économiques ont gravement touché les alliés européens les plus proches de Washington, le contrôle de l’Ukraine par l’Occident a plongé l’économie dans un marasme prolongé, détruit une grande partie des infrastructures essentielles du pays et anéanti une partie importante de l’armée ukrainienne. Plus important encore, les forces ukrainiennes subissent désormais des pertes insoutenables sur le champ de bataille, ce qui prépare le terrain pour l’inévitable éclatement de l’État. Quelle que soit l’issue du conflit, une chose est sûre : L’Ukraine n’existera plus en tant qu’État viable, indépendant et contigu.

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