Alors que les exportations de blé sont bloquées en Ukraine et en Inde, la Russie n’exportera pas de denrées alimentaires au détriment de son propre marché, a déclaré le vice-président du Conseil de sécurité russe Dmitri Medvedev. L’Ex-président estime que l’Occident devait rejeter la responsabilité de la crise imminente sur son propre « crétinisme cosmique ».
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Crise alimentaire mondiale : la Russie n’exportera pas de denrées alimentaires au détriment de son propre marché, déclare Dmitri Medvedev
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Crise alimentaire. Le grain doit être dans l’assiette. L’Allemagne ne veut plus de biocarburant jusqu’en 2030
par 19 Mai 2022 | |
Je vais beaucoup vous parler de résilience ces prochains jours, et la raison est simple.
Il ne sert à rien de couiner ou de se plaindre face aux changements qui s’imposent à nous. Nous pouvons les discuter politiquement pour autant que l’on nous en laisse le choix, ce qui n’est pas évident vous en conviendrez lorsque l’on souhaite exprimer une voix un peu différente ou des nuances aussi bien sur la vaccination que sur la Russie. C’est tout de suite les anathèmes. Nous pouvons surtout nous préparer et nous adapter.
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Les dessous de la reddition d’Azovstal et des mercenaires étrangers : probable entente entre la Russie et l’Otan
Le rôle de l’OTAN et des Etats-Unis, fomenteurs de l’éternisation de la guerre entre Russie et Ukraine continue, se précise avec la reddition des soldats ukrainiens assiégés dans l’aciérie de Marioupol et de quelques mercenaires étrangers au profil bien trempés. Les tunnels d’Azovastal réservent des surprises.
Depuis le début du conflit, il ne faisait pas de doute que des conseillers militaires américains et de l’OTAN ainsi qu’israéliens apportaient leur aide et leur expérience à l’armée ukrainienne. Considérant qu’Azovstal était une position stratégique, il est quasiment indubitable que certains s’y trouvaient au moment de la capitulation. D’ailleurs au jour d’aujourd’hui, Moscou considère il y aurait encore un millier de combattants, principalement du régiment Azov, que la Russie invite à se rendre, et peut-être aussi certains de ces conseillers militaires étrangers, The Time évoquant le chiffre de 400.
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Néo-nazis
Lu sur le blog d’Yves Daoudal :
En janvier 2021 (un an avant la guerre actuelle), le magazine Time, pour lequel aujourd’hui les soldats du régiment Azov sont des héros, publiait dans sa rubrique « monde, extrémisme », un long reportage intitulé « Comment une milice de suprématisme blanc utilise Facebook pour radicaliser et entraîner de nouveaux membres » (d’Ukraine et d’ailleurs). L’article était accompagné d’une très explicite vidéo. L’un d’eux dit notamment comment ils prêtent main forte à la police pour faire régner l’ordre ukrainien à Marioupol. (Je répète à l’intention des distraits : il s’agit de Time magazine, pas de la propagande russe.)
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Comment l’Europe finance la guerre de Poutine
Officiellement, l’Union européenne résiste à Vladimir Poutine. En riposte à l’agression de la Russie en Ukraine, les Européens affichent leur intransigeance dans les sanctions économiques. Samedi, l’Eurovision a même plébiscité le médiocre groupe ukrainien Kalush Orchestra en témoignage de solidarité. Mardi, Emmanuel Macron a assuré au président Volodymyr Zelinsky que la France allait « intensifier » ses livraisons d’armes, au risque d’alimenter l’engrenage vers un conflit généralisé. La veille, le président français avait confirmé son soutien à la demande d’adhésion à l’Otan de la Finlande et de la Suède, tandis qu’Henri Guaino suggérait au contraire à la France de mettre son veto à cette provocation inopportune. Reste cette question : ces postures et annonces sont-elles sincères ?
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La Russie gagne plus d’argent qu’avant la guerre et va réorganiser son secteur des hydrocarbures.
C’est un article de l’AFP repris que le site de Boursorama sur lequel il me semble utile de nous arrêter.
« La Russie va devoir réorganiser son secteur énergétique face aux sanctions européennes, a jugé mardi Vladimir Poutine, mais il a estimé que l’UE allait être la première à souffrir de son « autodafé économique » en renonçant aux hydrocarbures russes.
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La 1ère défaite d'Azov ne doit pas être un écran de fumée
L'intensification des bombardements sur Azovstal a eu finalement raison des derniers fanatiques du régiment Azov qui s'y étaient retranchés depuis le début de la bataille de MarioupolLe 16 mai un drapeau blanc est apparu au milieu de ruines de la zone industrielle d'Azovstal où les derniers soldats ukrainiens emmenés par les fanatiques du régiment Azov tentaient de servir à leur propagande ukro-atlantiste un baroud d'honneur.
Un premier groupe de 51 "azovites" dont 20 blessés graves s'est rendu après avoir obtenu la garantie de ne pas être tués, montrant à quel point combien tout fanatique finit par prendre sa propre propagande pour une réalité. En revanche ils ne seront pas évacués sur la Turquie mais soignés et interrogés puis éventuellement jugés par les autorités russo-républicaines, car en effet s'ils n'ont quasiment jamais combattu réellement sur le front du Donbass pendant 8 ans, il s'avère, au vu des nombreux témoignages recueillis chaque jour et des preuves saisies dans leurs Etat-Major, que ces néo-nazis ont commis de nombreux crimes dans une répression permanente de la population pro-russe de Marioupol.
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Une rose des vents hégémonique et décadente
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Parmi les nombreuses hétérotélies qui découlent de l’« opération militaire spéciale » russe en Ukraine, destinée entre autres à empêcher l’ancrage de ce pays dans l’orbite euro-atlantique, la plus flagrante serait le renoncement par la Suède et la Finlande de leur neutralité historique afin de rejoindre au plus tôt l’Alliance Atlantique et son bras armé, l’OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord).
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Le prix du cours du blé bat un record après que l’Inde annonce un embargo sur ses exportations de la céréale
Le prix du blé s’envole.
Lundi 16 mai, à la clôture sur le marché européen, le cours du blé a battu un record après l’annonce par l’Inde d’un embargo sur ses exportations de la céréale. Le cours a atteint 438,25 euros la tonne à la clôture. Le précédent record remonte au 7 mars 2022 avec un blé à 422,50 euros la tonne en clôture. Deuxième producteur de blé au monde, l’Inde a annoncé samedi 14 mai interdire les exportations de cette denrée, sauf autorisation spéciale du gouvernement, face à la baisse de sa production due notamment à des vagues extrêmes de chaleur.
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Guerre d’Ukraine – Jours 80-81-82 – Azovstal est en train de se rendre