Le voyage solitaire en Chine du chancelier Scholz ce 4 novembre aura fait l'objet de pas mal de critiques et d'interrogations. Notons qu'il froisse quelque peu Emmanuel Macron, dont il devance les velléités, de sorte que nos bons esprits y voient le signe évident d'un désaccord grandissant au sein de ce que nous appelons à Paris le "couple" franco-allemand.
Reconnaissons surtout qu'il pose un certain nombre de problèmes. Ceux-ci vont bien au-delà des blessures d'amour-propre de notre président aussi démonétisé sur la scène internationale que minoritaire dans l'opinion intérieure dans l'Hexagone.