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international - Page 417

  • Censure : le patron de Twitter recadré par un sénateur républicain

    Depuis que les médias ont proclamé la victoire de Joe Biden, les tweets de Donald Trump sont affublés d’un commentaire de Twitter. Voici un exemple :

    Lors d’une audition, le sénateur Ted Cruz a mis le patron de Twitter Jack Dorsey face à ses contradictions sur la censure des tweets sur la fraude électorale.

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  • La folle course aux vaccins se poursuit – JT du mardi 17 novembre 2020

    Passons à présent à l’actualité avec la valse des vaccins contre le covid. Après l’annonce de Pfizer la semaine dernière, c’est désormais la société de biotechnologie Moderna qui déclare élaborer un vaccin efficace à 94%… Que faut-il en penser ? Réponses dans quelques instants.

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  • Tour d'un monde en feu

    6a00d8341c715453ef026be423f2d2200d-320wi.jpgCette semaine encore, votre chroniqueur, à la veille d'une intervention chirugicale en principe sans gravité, se contentera, si l'on ose dire, et vous lui pardonnerez, d'un bref tour du monde qui, depuis plusieurs années, se réfère à Phileas Fogg qui l'avait accompli en 80 jours. Ce périple évoque en général des pays dont on parle très peu, trop peu.

    Arménie-Azerbaïdjan : le prix terrible de la paix
    L'indulgent lecteur pardonnera aussi à l'auteur de cette chronique de délaisser, cette quinzaine, les regards distanciés sur les rivages les plus lointains, pour retrouver quelques situations plus passionnelles, car elles interpellent nos consciences et nos solidarités chrétiennes.

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  • Progressistes et populistes face-à-face

    Chronique de Paysan Savoyard (n°238 – novembre 2020)

    Que Trump soit définitivement battu ou qu’il réussisse à renverser la situation sur le plan judiciaire, que sa défaite soit intervenue au terme d’un processus électoral régulier ou qu’elle soit le résultat d’une fraude massive, tout cela ne change rien à la situation qui est aujourd’hui celle des Etats-Unis : il y a deux Amérique, probablement irréconciliables. L’Amérique des Américains blancs de la classe moyenne et de la classe populaire, opposés à l’immigration et au libre-échange mondial qui ont bouleversé et dégradé leurs conditions de vie et détruit leurs emplois. Et l’Amérique de la classe supérieure, alliée aux minorités raciales, toutes deux favorables à l’immigration et à la mondialisation, par idéologie et parce qu’elles en tirent profit. Ces deux Amérique, l’Amérique populiste et l’Amérique progressiste, n’ont plus rien en commun. Elles pèsent le même poids démographique. Et elles sont face à face.

    La situation est peu ou prou la même en France et en Angleterre. Elle est en train de devenir identique dans presque tous les pays d’Europe.

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  • Joe Biden, pantin des banquiers et des voyous de Black Lives Matter

    Joe Biden, pantin des banquiers et des voyous de Black Lives MatterDe Christian Daisug dans Présent :

    […] Depuis le 3, on s’est aperçu à la lecture de certains jugements que peu de juges de districts ou de cours d’appel osent avouer leur certitude qu’une fraude sournoise et efficace a transféré la victoire de Trump à Biden. Tout est là. Les avocats du président auront beau étaler devant la justice des preuves irréfutables que les urnes ont été bourrées, que des morts ont voté par milliers, que des non-inscrits sont parvenus à glisser un bulletin dans l’urne, s’ils ne déclenchent pas dans les esprits le ferment du doute, leurs efforts seront anéantis. Ce qui a manqué à Trump, en raison de la complicité unanime des gros médias et de la censure inouïe des réseaux sociaux, c’est la psychose d’une fraude massive. On est resté dans le pointillisme, l’occasionnel, l’accessoire. Oui, on a peut-être fraudé en Pennsylvanie, au Michigan et en Arizona, mais pas plus que les autres années. Les vociférations de Trump ne sont que les sanglots d’un perdant.

    Car il y a eu un double piège. Le premier a enfermé Trump dans une spirale d’irrégularités qui l’ont empêché de riposter efficacement. Le second l’a condamné à l’attitude du mauvais perdant en ne réclamant qu’une chose : le compte des votes légaux. Ce simple bon sens a été perverti par la propagande ennemie. Biden, pantin jusqu’au bout de ses ficelles, en a profité le premier. Il poursuit, sous couvert de son prétendument officiel « bureau du président élu » (une invention d’Obama en 2008), le ficelage de sa transition vers une ère gaucho-globaliste. Mais déjà frappent à sa porte deux de ses anciens complices qui exigent des rôles actifs dans l’éventuelle perspective d’un nouveau régime : les banquiers de Wall Street – ils s’empressent de se réserver des places de choix dans les ministères clés de l’Economie, du Commerce et du Trésor –, et les dirigeants déchaînés de Black Lives Matter. Eux n’hésitent pas à clamer que « l’éviction de Trump n’aurait jamais eu lieu » sans leur concours et qu’une bonne dose de leur programme devra être injectée dans l’administration démocrate. Biden flanqué du capitalisme vagabond et du radicalisme révolutionnaire : le spectre d’une 46e présidence.

    https://www.lesalonbeige.fr/joe-biden-pantin-des-banquiers-et-des-voyous-de-black-lives-matter/

  • Présidentielle américaine. Le combat continue

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    Par Frédéric Eparvier, cadre dirigeant d’un grande entreprise française à caractère stratégique ♦ Près d’une semaine après les élections américaines, le dépouillement des voix continue, alors que les couteaux des avocats s’aiguisent, car contrairement à ce que racontent les médias français (Gilles Bouleau au JT d’hier soir par exemple), Joe Biden n’est pas le Président « Élu », c’est-à-dire qui a gagné les élections, en attendant sa prise de fonction officielle. Il ne le sera qu’après le vote des Grands Électeurs prévu le 4 décembre, ou si Donald Trump devait reconnaître sa défaite auparavant, ce qui ne semble pas être dans la psychologie du personnage.

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  • TURQUIE : UN SIÈCLE D’IMPUISSANCE FRANÇAISE ?

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    L’histoire des relations de la France et de la Turquie est le reflet de la puissance et de l’indépendance de notre pays. Il est arrivé à celui-ci de s’allier avec le Grand Turc contre l’ennemi commun, l’Empire des Habsbourg. Cette alliance à revers avec le Califat musulman contre le Saint Empire chrétien évitait l’écrasement par ce dernier. Elle perdurera pendant tout l’Ancien Régime et accordera à la France une place privilégiée dans l’Empire Ottoman, sur le plan commercial, et pour la protection des personnes, dont le Liban est aujourd’hui encore le témoin.

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  • Covid-19 : Jean Castex, le coup de grâce ? – JT du jeudi 12 novembre 2020

    Jean Castex dresse un premier bilan du reconfinement. 15 jours après l’intervention d’Emmanuel Macron, le premier ministre devrait demander deux semaines d’efforts supplémentaires. Un nouveau coup porté aux commerçants.

    Nous évoquerons ensuite le « Black Friday », cette opération de rabais commerciaux que certains voudraient interdire pour empêcher d’enfoncer un peu plus les “commerçants physiques”.

    Et enfin nous partirons en Pologne où le Tribunal constitutionnel a jeté un pavé dans la mare en condamnant l’avortement eugénique.


    https://www.tvlibertes.com/covid-19-jean-castex-le-coup-de-grace-jt-du-jeudi-12-novembre-2020

  • Haut-karabach : un traité honteux et lourd de conséquences.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Imposé par la Russie, l'accord de cessez-le feu au Haut-Karabach signé lundi 9 novembre entérine une victoire de fait de l'Azerbaïdjan musulmane sur l'Arménie chrétienne, l'Azerbaïdjan pouvant conserver la plus grande partie de ses gains territoriaux acquis au cours de ces six semaines de combat.
    Il est pour le courageux peuple arménien une trahison de ses élites, un abandon occidental et une humiliation nationale.

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