international - Page 417
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Offensive ukrainienne Kharkov-Izyum. 08.09.2022.
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Felix Britannia
Les hasards de l'actualité amènent aujourd'hui votre chroniqueur à évoquer la tristesse et la ferveur d'un peuple européen ami et allié, après celle de la disparition, les jours précédents de deux nationalistes européens.
Oui nous pouvons admirer la manière dont Elizabeth II a su présider au passage de son pays d'un siècle à l'autre de son pays.
À l'époque du confinement, du gouvernement par la peur et du ridicule "quoi qu'il en coûte" du citoyen Macron, L'Insolent du 14 avril 2020 titrait : "Je préfère la reine d'Angleterre".
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Population russe en danger !
Les percée importantes ou minimes, des troupes ukrainiennes sur le front, si elles restent provisoires car à court terme gérables par des contre-offensives russes (s'en donnant les moyens adéquats), elles restent avant tout un drame pour les populations civiles prises au milieu de ce maëlstrom militaire qui voient revenir les séides bandéristes de l'OTAN dans leurs villes et villages, l'écume russophobe aux lèvres.
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Guerre d’Ukraine – Jours 191-198 – Washington et Londres jouent la carte de la dernière chance: une offensive à Kharkov – par Edouard Husson
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Sur le front Nord, la riposte russe commence mais...
Certains SITREP sont plus difficiles à écrire...
Alors que les regards étaient tournés vers Kherson et l'enlisement sanglant d'une offensive ukrainienne annoncée, pour beaucoup l'annonce de la percée ukrainienne d'environ 50 kilomètres vers Koupiansk, capturant au passage la petite ville de Balaklaïa a été une surprise d'autant plus grande que ce premier succès tactique de Kiev a été accompli en seulement 3 jours, bousculant les lignes de défense russes et républicaines jusqu'aux portes de Koupiansk, ce carrefour stratégique vital pour la tenue et l'approvisionnement du front russe au Nord de Slaviansk.
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Von der Leyen : « Plafonnement du prix du gaz ». Poutine : « Nous vendrons à d’autres ».
Le bras de fer sur le gaz entre l’Union Européenne et la Russie, entre Ursula von der Leyen et Vladimir Poutine continue. L’atlantiste Ursula préfère mettre à genoux l’Europe plutôt que de dire « no » aux injonctions guerrières et énergétiques des Etats-Unis.
La nouvelle folie de le présidente de la Commission Européenne dans cette escalade de sanctions contre l’empire russe, qui se retournent contre les nations du Vieux Continent, consiste en un plafonnement des prix de l’énergie de manière unilatérale.
Pour Ursula von der Leyen, le moment est venu d’instaurer un plafond sur le prix du gaz arrivant de Russie, via gazoduc, en Europe, le soi-disant price cap, le plafonnement des prix. « Je crois fermement que le moment est venu de plafonner le prix du gaz russe dirigé vers l’Europe », a déclaré la présidente de la Commission européenne, von der Leyen, faisant remarquer, en marge d’une réunion de députés conservateurs dans la ville de Murnau, en Bavière, la nécessité de contrer ce qu’elle a qualifié de tentatives du président russe Vladimir Poutine de manipuler le marché européen de l’énergie.
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Plus de la moitié des Américains pensent que les États-Unis sont "sur la mauvaise voie", selon une étude
Selon une nouvelle enquête de Yahoo News et YouGov, près de 60% des électeurs des États-Unis ne pensent pas que Joe Biden devrait se représenter à la présidence. Plus de 60 % des Américains estiment par ailleurs leur pays est aujourd'hui "sur la mauvaise voie".
Dans le détail, sur les 1 634 adultes américains interrogés, seuls 25 % ont déclaré que les choses aux États-Unis allaient "généralement dans la bonne direction", tandis qu'un nombre impressionnant de 63 % ont affirmé le contraire et que 12 % ont déclaré être incertains.
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74% des Français jugent que les sanctions prises contre la Russie sont inefficaces pour mettre fin au conflit en Ukraine, selon un sondage
Un sondage Elabe réalisé pour BFMTV sur la perception des sanctions antirusses par les Français révèle que 74% des sondés jugent que les sanctions prises contre la Russie sont inefficaces pour mettre fin au conflit en Ukraine.
Si 72% des Français affirment par ailleurs soutenir ces sanctions, BFMTV note que «l'adhésion au train de sanctions économiques se fait à des degrés divers». En effet, il n'y a finalement que 40% des personnes sondées qui se disent favorables aux mesures antirusses «même si cela a un impact de plus en plus important sur leur quotidien et le pouvoir d'achat des Français».
32% des sondés adhèrent à l'idée qu'«il faut continuer de soutenir l'Ukraine et sanctionner la Russie», alors que 27% des sondés considèrent que «le quotidien et le pouvoir d'achat des Français est plus important que le soutien à l'Ukraine et les sanctions contre la Russie». -
Les vrais alliés de Moscou
Une fois de plus Natacha Polony fait mouche avec son édito qui interroge sur le fait de savoir quels sont les vrais alliés de Moscou mais surtout quels sont les faux-amis des Européens. Car, dit-elle, « sous nos yeux se joue la disparition politique et stratégique de l’Europe, applaudie par un monde politico-médiatique qui porte la morale en bandoulière mais qui a validé tous les choix désastreux qui ont conduit à la dépendance de la France en matière énergétique, industrielle et bientôt alimentaire ». Sans oublier l’autre satrape que sont les Etats-Unis.
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Des choses absolument horribles
par Dmitry Orlov.
C’est le pire moment possible pour être un nazi ukrainien. Je déteste avoir à les évoquer encore et encore. Heureusement, je n’aurai plus à le faire longtemps : ils disparaissent assez rapidement. Mais pendant ce temps, des choses vraiment horribles se passent. Pour résumer, le but de l’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine est de démilitariser et de dénazifier l’Ukraine… et d’assurer la sécurité des régions de Donetsk et de Lugansk… et de la région de Kherson, et de Zaporozhye, et de Kharkov, et de Nikolaev… et d’Odessa… et ensuite d’organiser des référendums dans toutes ces régions pour qu’elles rejoignent la Fédération de Russie. Appelez ça de la folie des grandeurs. Mais c’est le bon genre de dérive de mission du point de vue russe : Les frontières de la Russie se déplacent dans la bonne direction et englobent de plus en plus de terres historiquement russes. Ces terres faisaient partie des « terres sauvages », où les Russes se sont installés pour la première fois sous Catherine la Grande, mettant ainsi fin aux incursions étrangères des Polonais et des Turcs et aux raids des tribus nomades.