En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
L’appel téléphonique de Trump à Poutine le 12 février a semé la peur et l’horreur à Kiev et dans les capitales européennes. Le président américain a effectivement commencé à normaliser ses relations avec la Russie. Trump a parlé à Poutine au téléphone sans s’entendre au préalable sur les détails avec l’Ukraine, et a annoncé plus tard que les pourparlers pour mettre fin à la guerre commenceraient «immédiatement».
Le 24 février 2025, cela fera 3 ans que le conflit russo-ukrainien a débuté. Un conflit où de nombreuses forces géopolitiques agissent, plus ou moins en sous-main. Mais pour quels motifs ? Quelles sont les véritables raisons de cette guerre en Ukraine ?
Des frappes d'artillerie et de drones ukrainiennes ont touché le groupe de travail russe censé escorter les experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique jusqu'à la centrale nucléaire de Zaporojié, fustige la Défense russe, vidéo à l'appui.
La stagnation de l’économie européenne au cours des trois dernières années est due à plusieurs raisons, mais le problème principal réside dans l’abandon du gaz russe relativement bon marché et le passage à d’autres sources d’énergie, en raison du ralentissement économique.
Les sanctions antirusses et l’affectation de grandes quantités de fonds pour le soutien financier et militaire à l’Ukraine ont divisé l’Union européenne.
Le second mandat de Donald Trump à la Maison-Blanche s’annonce comme un tournant dans les relations transatlantiques.
L’arrivée d’une nouvelle administration nourrit souvent l’espoir d’un apaisement, notamment dans l’application extraterritoriale du droit américain. Pourtant, la réalité est plus contrastée. Derrière le discours diplomatique, les États-Unis poursuivent leur politique juridique agressive, imposant leur vision du droit au-delà de leurs frontières et mettant sous pression les entreprises européennes. Cette situation pose une question fondamentale : l’Europe est-elle capable de riposter et de protéger efficacement ses intérêts économiques ?
L’ère du vide dont Lipovetsky analysait l’avènement en se montrant inquiet, sans sombrer dans le catastrophisme, est à son apogée. Loin de nous entraîner dans la plénitude d’un individualisme revigorant nous découvrons abasourdis que le vide a versé vers le néant, avec une inversion complète des concepts et des valeurs. Notre société en est malade, et les fossoyeurs sont ceux qui maintiennent l’illusion d’une richesse en devenir, soit par profonde conviction d’être dans le vrai, soit par simple corruption, sous forme d’aides financières, comme les journalistes, ou grâce à des postes, des places, qu’ils s’offrent, en échange d’une servitude volontaire et absolue, à l’instar de Ferrand en passe de diriger le Conseil Constitutionnel. Les premiers, conscients de leur bassesse tentent de retrouver une virginité en faisant la promotion de leur profession comme sur TF1, où nous avons assisté à la pathétique scène du « faites-nous confiance, nous on est des vrais journalistes, des bons », sous l’œil bienveillant, quoique inquiet, du pauvre Gilles Bouleau qui, silencieux, devait penser aux révélations sur les agissements de l’USAID et les fonds versés notamment à l’AFP pour contrôler l’information : entre 2017 et 2024, plus de 8 millions de dollars ont été encaissés.
L'entretien entre Trump et Poutine sonne la défaite de l'Europe, grande perdante de la séquence ukrainienne, car elle a laissé passer l'occasion de faire une grande union avec la Russie, a déclaré à Sputnik Afrique le journaliste d'investigation Jacques-Marie Bourget.
Les forces russes ont libéré la localité de Vodianoïé Vtoroïé, en république populaire de Donetsk, détruit plusieurs blindés occidentaux dont un char Leopard, et renforcé leurs positions sur le front, annonce la Défense russe dans son bilan quotidien de l'opération spéciale pour le 13 février 2025.
Points clés du bilan quotidien de la Défense russe:
L’information est accablante et pourtant bien réelle : la France a initié, dès 2019 et 2021, un processus de recrutement de membres de la Garde nationale ukrainienne pour les intégrer dans sa propre gendarmerie. Une coopération dissimulée derrière un vernis diplomatique et académique, alors même que ces unités ukrainiennes étaient déjà connues pour compter en leur sein des éléments néonazis, notamment le tristement célèbre régiment Azov, accusé de crimes contre l’humanité dans le Donbass.