par Andrei Martyanov
Absolument ! L’OTAN ne peut projeter, excusez mon français, que dalle. Quand on parle de la guerre moderne du XXIe siècle, c’est une affaire d’hommes, pas de ces gigolos de luxe que sont Starmer et Macron.
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par Andrei Martyanov
Absolument ! L’OTAN ne peut projeter, excusez mon français, que dalle. Quand on parle de la guerre moderne du XXIe siècle, c’est une affaire d’hommes, pas de ces gigolos de luxe que sont Starmer et Macron.
Candela Sol Silva est la responsable en Argentine de la Jeunesse de Fratelli d’Italie Argentine, le parti du Premier ministre italien Giorgia Meloni. Lionel Baland l’a rencontrée et interrogée pour Breizh-info à propos de la situation économique et politique en Argentine.
L’UE ne comprend que la force. Il est impossible de parler paix avec une bande de bras cassés qui veut une nouvelle guerre de Cent Ans dans l’espoir d’épuiser la Russie.
Ces crétins ne comprennent pas que non seulement cette russophobie hystérique ne servira nullement le fédéralisme de l’Union, que les ennemis des nations comme Macron appellent de leurs vœux, mais bien au contraire cette guerre va désintégrer l’Union au premier coup de canon tiré par les Russes. La raison en est simple : les peuples européens entendent vivre en paix. Pas question de mourir pour une Ukraine néonazie totalement corrompue, qui détourne des milliards de l’aide occidentale.
par Danielle Bleitrach
La Légion des Volontaires part à l’assaut de la Russie, ça vous rappelle quelque chose ? Ils ne pensent même pas à modifier les noms… Ce machin n’a aucune compétence pour mener un tel assaut et dans le fond la seule question qui reste en suspens dans ce bel échafaudage est de décrypter les conversations menées par Donald Trump avec Poutine puis Zelensky. Comment le fantasque président des USA conçoit son rôle futur dans cet assaut : va-t-il se laisser convaincre contre quelques avantages en nature de participer à la curée programmée et contribuer à l’aide occidentale à l’Ukraine, ou envisage-t-il un éventuel «partage» territorial et si les Européens ne sont pas contents qu’ils fassent la guerre à la Russie si ça les amuse mais sans les États-Unis. Comme Trump s’est lancé dans une grande négociation avec Poutine et par son entremise avec la Chine et le monde multipolaire, nul doute que l’on va constamment faire s’agiter cette bande grotesque et puérile comme Zelensky pour faire monter les enjeux de la négociation avec de temps en temps une opération «terroriste» qui passera pour un fait d’arme, ce seront les contribuables français qui payeront la note de cette comédie sinistre qui va durer quelque temps.
L'assouplissement des positions de l'Europe vis-à-vis du gaz russe devient de plus en plus évident. Bien que la pression des sanctions sur le secteur énergétique russe s'intensifie, Bruxelles n'est pas prêt à recourir à des mesures d'interdiction radicales, car cela ne ferait que saper le potentiel de sécurité énergétique de l'Europe et les performances économiques du secteur industriel de la région (cela concerne particulièrement les locomotives industrielles de la communauté, l'Allemagne, l'Italie, la France).