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CETA - L'IMPOSTURE EXPLIQUÉE À CEUX QUI L'ONT VOTÉE (ET AUX AUTRES)
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George Soros commence déjà à financer le Parti Démocrate pour les élections présidentielles américaines de 2020

Etats-Unis – George Soros a fait un premier don 4,6 millions d’euros à un nouveau Comité d’Action politique (PAC) à l’approche de l’élection présidentielle américaine de 2020. C’est plus de deux fois ce qu’il avait injecté à ce stade de la campagne des élections de 2016.
“Le PAC Democracy du milliardaire juif né en Hongrie est sa première contribution aux élections de 2020”, écrit Times of Israël.
Le milliardaire cosmopolite Soros est un donateur de longue date du Parti Démocrate américain. Pour la campagne présidentielle américaine de 2016, Soros avait officiellement injecté un total de 18 millions d’euros dans le financement du Parti Démocrate, apparaissant parmi les plus importants donateurs de l’ensemble de la campagne américaine.
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Meurtres de masse « racistes » à El Paso et Dayton : l’hystérie anti-Trump bat son plein
Il y a tellement de bonnes raisons de critiquer Donald Trump qu’il n’est pas nécessaire d’en inventer de mauvaises ; surtout à propos des deux récentes fusillades d’El Paso et de Dayton, survenues ce week-end dernier.Ces deux meurtres de masse seraient donc le fait de « suprémacistes blancs ».Fort bien. Donald Trump a beau tweeter, en tant que « personne la moins raciste du monde » – ce qui ne veut pas dire grand-chose mais ne mange jamais de pain –, nombre de ses adversaires persistent à écrire le contraire sur les réseaux sociaux, jusqu’à insinuer que le magnat de l’immobilier serait l’instigateur caché de ces tueries.Pour Pete Buttigieg, candidat postulant à l’investiture du Parti démocrate, « le nationalisme blanc, c’est le mal. Ça encourage des gens à commettre des meurtres, et c’est toléré aux plus hauts niveaux du gouvernement américain, et ça doit cesser. »Certes. Il nous est ici rappelé que les mots pourraient être suivis d’actes, quand mal compris par des esprits faibles. Mais l’actuel président américain n’est pas précisément connu pour sa foisonnante production philosophique. Et à ce compte, faut-il interdire la lecture du Capital de Karl Marx au simple motif qu’il aurait pu être responsable du goulag soviétique ? Brûler ceux de Diderot et de Rousseau, puisque susceptibles d’avoir donné une sorte de sauf-conduit intellectuel à ceux qui ont mis en œuvre le génocide vendéen ? Interdire les rediffusions du film Woodstock, Jimi Hendrix ayant pu influer de loin sur la tuerie de la famille de Charles Manson, hippie jadis très proche des Beach Boys ? Dans la foulée, envoyons l’ignoble fratrie des surfeurs à Guantánamo !Oui, les idées peuvent éventuellement tuer. Quand, en 1969, Serge July, qui n’est pas encore le directeur de Libération, publie Vers la guerre civile, il n’encourage pas forcément les futurs tueurs des Brigades rouges, de la Fraction armée rouge ou d’Action directe. Mais, au moins, leur désigne-t-il quelques cibles… Après, en faire le responsable de l’assassinat d’un Georges Besse, alors patron de Renault, en 1985, il y a un pas qu’il serait délicat de franchir. Et puis, à ce titre, il faudrait aussi interdire la Sorbonne, sachant qu’avant et après guerre, elle a formaté tant de tyranneaux plus ou moins communistes. La Sorbonne, combien de morts putatifs ?Pour en revenir aux USA, si cette nation détient le funèbre record de ces meurtres de masse – 250 depuis le début de l’année, ce qui n’est pas rien -, il n’en faudrait pas pour autant oublier que ces 589 victimes ne représentent que 3,77 % des meurtres commis outre-Atlantique ; 15.590 au dernier comptage.Après, ces meurtres sont-ils de nature raciste ? En admettant toutefois qu’il s’agisse d’un « racisme » à sens unique, Blancs contre Noirs, l’inverse n’entrant pas dans le traditionnel logiciel humaniste, rien n’est moins évident.Surtout à en croire cette passionnante étude du Wall Street Journal, remontant il y a déjà plus de dix ans et citée par Les Inrockuptibles, périodique pas véritablement en pointe dans la lutte identitaire, il ressort qu’au-delà des clichés « racistes », la criminalité au quotidien serait plutôt d’ordre intracommunautaire : « Les Blancs tuent des Blancs, les Noirs tuent des Noirs. » Principaux motifs de ces crimes ? « Les triangles amoureux, les règlements de comptes entre bandes rivales et les rixes sous influence de l’alcool. »Nous voilà assez loin, et des Black Panthers et du Ku-Klux-Klan, mais seulement témoins des soubresauts d’une société fatiguée, qui se voulait naguère à l’avant-garde du monde, alors qu’elle n’en est aujourd’hui plus qu’un poids mort n’en finissant plus de crouler sous le poids de ses propres contradictions. Société sans frontières qui aboutit à en construire de nouvelles, melting-pot post-racial donné pour horizon indépassable, mais qui accouche d’un monde où des communautés préfèrent cohabiter les unes loin des autres plutôt que de communier dans le « vivre ensemble ».En ce sens, l’Amérique de Donald Trump est aussi l’enfant bâtard de celle de Barack Obama.Nicolas Gauthier pour bvoltaire.fr
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L’Europe continue de verser des milliards à la Turquie pour sa future adhésion

Il y a, en ce moment, une guerre du gaz autour de Chypre. Les importants gisements récemment découverts ont aiguisé les appétits. La République de Chypre a signé d’importants contrats avec l’américain Exxon Mobil, l’italien ENI et le français Total. Mais la Turquie occupe toujours un bon tiers de l’île et n’entend pas passer à côté de cette manne. Elle fait donc des forages de son côté et multiplie parallèlement les opérations d’intimidation.
Ainsi, des navires de guerre et des navires de forage turcs opèrent actuellement dans les eaux territoriales de Chypre, provoquant le mécontentement des Européens. Ces derniers ont – incroyable audace – décidé des mesures de rétorsion. Rassurez-vous, elles ne vont pas bien loin : il s’agit juste de bloquer l’augmentation, prévue en 2020, de l’aide de pré-adhésion à l’Union européenne, soit 146 millions d’euros. L’aide est donc maintenue pour plusieurs milliards…
Cet épisode géopolitique distrayant est l’occasion de se pencher sur ce dossier opaque, voire occulte, des aides européennes à la Turquie, instaurées pour l’aider à préparer sa future adhésion – que plus personne n’envisage, d’ailleurs. Ubu est toujours roi, et avec nos impôts !
Ces aides sont regroupées sous le nom d’IAP (instrument d’aide de pré-adhésion). Actuellement, c’est IAP II qui est en cours depuis 2014 et s’achèvera en 2020. Ensuite, IAP III se mettra en place de 2021 à 2027. La Commission européenne s’est prononcée en ce sens lors d’une conférence de presse le 19 mars 2019 : « L’Union européenne continuera à apporter une assistance en vue d’aider des partenaires à se préparer à leur future adhésion à l’Union européenne. » Ces partenaires sont l’Albanie, la Macédoine, la Serbie, le Monténégro et la Turquie.
Un débat a tout de même eu lieu au Parlement européen, le 27 mars, et certains députés ont légèrement renâclé. Ainsi, Arnaud Danjean, qui sera ensuite numéro trois sur la liste de François-Xavier Bellamy, a proposé de renommer ces fonds et de « les déconnecter clairement de la problématique de l’élargissement ». Quelle audace ! Il a courageusement ajouté : « Les fonds destinées à la Turquie nous semblent trop importants alors même que les sujets de préoccupation communs, comme les migrations, font l’objet d’accord financiers spécifiques. »
Car les milliards de l’IAP s’ajoutent aux milliards offerts à Erdoğan pour garder les immigrés syriens et irakiens chez lui, enfin, sauf ceux qu’il a déjà envoyés en Europe. Pourquoi se gêner, puisque l’Europe est toujours d’accord pour payer ? Pour la petite histoire, M. Danjean s’est abstenu à ce vote : il ne fallait tout de même pas exagérer…
Certains hommes politiques se sont parfois émus de cette situation. Ainsi, en 2016, le vice-président allemand du Bundestag, Johannes Singhammer, avait déclaré que ces aides étaient « une vaste blague » et qu’il fallait les supprimer, mais il ne s’est rien passé. La Cour des comptes européennes (car il y en a une) a dit, de son côté, qu’il était impossible d’évaluer les retombées de ces aides. Mais la Commission européenne a superbement répondu : « La Commission va réévaluer en permanence la situation en Turquie et ajuster si nécessaire et en fonction des besoins l’allocation de ces fonds. » Prix d’excellence au concours de la langue de bois ! En attendant, le contribuable européen continue de payer sans le savoir.
Combien, au fait ? Un homme politique, François Asselineau, a affirmé en avril 2017 que 6 milliards avaient ainsi été donnés à la Turquie. L’émission d’Europe 1, « Le vrai-faux de l’info », a voulu vérifier ce chiffre et, dans son émission du 20 avril 2017, Géraldine Woessner a affirmé que c’était, en fait, un peu plus : sept milliards avaient déjà été donnés à cette date, et six de plus seraient versés de 2017 à 2020, trois pour la gestion des réfugiés et trois pour l’aide à la pré-adhésion. C’est la Commission européenne elle-même qui a fourni ces chiffres à la journaliste.
Pour la France, c’était, à cette date, près d’un milliard d’euros…
Tout cela est bien évidemment accablant et l’on peut se demander s’il va se trouver un homme politique en Europe pour engager une action résolue afin de mettre un terme à cette invraisemblable situation. On peut rêver…
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CETA (III/III) : Et, pour couronner le tout, Castaner qui parle d' "attentats" !

L'incompétent en chef qui sévit à la Place Beauveau, d'où il aurait être démissionné depuis novembre dernier, ne sera donc jamais en retard d'une gaffe !
Et, là, on ne peut même plus parler de gaffe, de bourde ou d'écart de langage : c'est un scandale pur et simple !
Les vraies victimes de vrais attentats apprécieront : les victimes des attentats à Nice sur la Promenade des Anglais, à Magnanville pour ce couple de policiers assassinés devant chez eux, à Paris aux terrasses de bar et au Bataclan, à l'Hyper Cacher de Vincennes ou à Charlie Hebdo (même si nous n'aimions guère la rédaction...) et à d'autres endroits encore...
C'est à lire dans Boulevard Voltaire :
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L'ONU redoute une nouvelle vague d'attentats en fin d'année
Samedi 3 août, le journal The Guardian rapportait l'existence d'un rapport de l'ONU selon lequel une nouvelle vague d'attaques terroristes serait à craindre d'ici à la fin de l'année 2019. Dans ce document, les experts, qui s'appuient sur les services de renseignements des États membres de l'Organisation des Nations Unies, précisent que malgré la fin du « califat » de l'État islamique et les récentes défaites que ce dernier a accusées, l'Europe est soumise à une menace importante.« Lorsqu'il aura le temps et l'espace nécessaires pour réinvestir dans une capacité d'opérations extérieures, Daesh dirigera et facilitera les attaques internationales (...) La réduction actuelle de ces attaques pourrait donc ne pas durer longtemps », peut-on lire.[...]En savoir plus sur valeursactuelles.comSur le même thème lire aussi: -
André Bercoff : « Il faut quand même rappeler que le Ku Klux Klan ne date pas de Donald Trump ! »

Quatre fusillades en une semaine aux États-Unis, dont deux en moins de 24 heures, qui ont causé 29 morts. Le Monde de lundi titre : « Le terreau du terrorisme d’extrême droite aux États-Unis, c’est le trumpisme. » Réaction d’André Bercoff au micro de Boulevard Voltaire.
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CETA (I/II) : Les élus Larem sont-ils trop intelligents pour le comprendre ?...

80 permanences LREM taguées, ou dégradées au purin. La conclusion qu'en tirent les députés/dépités concernés c’est que "la démocratie est attaquée" : bigre !
Pas eux, non, mais "la démocratie" ! Vous vous rendez compte ! Bigre de bigre !
Non, ils ne le voient pas, ne l'entendent pas, ne le comprennent pas, qu’ils sont EUX, les LREM, détestés pour - entre autres choses... - voter comme des robots.
D'ailleurs, les permanences des autres partis sont elles souillées d'excréments, de purin ou de tout autre materiau qui tombe sous la main ?...
Non, ils ne voient pas, n'entendent pas, ne comprennent pas. Ils sont à l'image de leur responsable de groupe à l'Assemblée, Gilles Legendre, qui a osé déclarer, sans rire (lui non plus ne se rend pas compte de ce qu'il dit !) : "...Et puis, il y a une deuxième erreur qui a été faite et dont nous portons tous la responsabilité, moi y compris. C’est le fait d’avoir probablement été trop intelligents, trop subtils..."
Le résultat, le voilà :
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HALTE A LA DICTATURE DES « CLIMATO CATASTROPHISTES » !

Jean-Claude Rolinat
Greta Thunberg, - le petit « singe savant » venu du froid, était à Paris il y a quelques jours, pour pérorer devant un parterre d’environ 165 députés, tous ébahis d’entendre et d’écouter le messie du catastrophisme climatique… (A 16 ans, sa place serait d’être au lycée, et non pas sur les chemins de l’Ecole buissonnière !).
Non seulement, il y avait 165 parlementaires français qui avaient jugé que leur emploi du temps leur permettait d’écouter la jeune donzelle, mais cette dernière avait déjà été reçue par le Pape, - l’homme en soutane blanche qui baise et lave les pieds de musulmans en signe d’humilité, lesquels doivent bien rire ! -, et par le frétillant président de notre belle République française, Emmanuel Macron. Après les humiliations subies par la France à l’occasion de la victoire de l’Algérie dans la Coupe d’Afrique des nations, était-il judicieux qu’une gamine vienne tancer nos « illustres » représentants dans les locaux de l’Assemblée nationale ? N’avaient-ils pas mieux à faire ces élus, par exemple, de tenter d’expliquer aux éleveurs de bovins leur adhésion au traité euro-canadien, dit « CETA » ? Quelle sinistre plaisanterie. Mais, avant d’aller plus loin sur le fond, interrogeons-nous sur la forme : qui finance les voyages de cette jeune fille, qui tire les ficelles de cette marionnette dont le visage et le regard, parfois étrangement immobiles, me font penser à quelque poupée maléfique de l’industrie hollywoodienne ? Oui, qui ? Il y a des gens qui ont intérêt à manipuler les foules avec de faux prophètes, « un prophète du vide » comme l’écrivait PRESENT dans son édition du mercredi 24 juillet. Un prophète qui me rappelle les lectures de ma jeunesse, l’album « L’étoile mystérieuse » notamment, dans lequel Hergé fait croiser la route de TINTIN avec celle d’un prophète de malheur, Philippulus, qui prédit au milieu d’un public terrifié, à grands coups de gong, la fin du monde ! Eh bien, nous en sommes presque là. Le réchauffement climatique va faire monter les eaux d’un mètre avant la fin du siècle, les ours blancs disparaitront inexorablement avec la fonte des glaces, etc. Voici le genre de sornettes qui nous sont prodiguées par tous ces catastrophistes patentés, les fanatiques du GIEC en tête. (Il est vrai qu’il faut les comprendre, ils défendent leur beefsteak !).
Non, l’eau des océans ne montera pas d’un mètre, et l’essentiel de l’archipel des Maldives, par exemple, survivra. Je ne suis pas un scientifique, j’étais même plutôt mauvais élève en physique/chimie, préférant l’histoire et la géo, mais la hausse moyenne du niveau des océans mesurée par des centaines d’appareils, des « marégraphes », est de un millimètre par an, UN millimètre, ce qui fera, en gros, 8 à 10 cm en 2100. Quant aux plantigrades, les « nounours » blancs, une spécialiste incontournable de l’Université de la province canadienne de Colombie britannique, Susan Crockford, dénonce les calculs faits à partir de modèles informatiques non vérifiés, disant que 67% des ours blancs disparaitraient à l’horizon 2050. C’est-à-dire que sur 24 500 de ces bébêtes, seules 8 000 à 8 100 resteraient en ce monde. Or, les effectifs d’ours blancs, malgré, effectivement le déclin spectaculaire de la banquise, surtout dans l’Arctique, ont augmenté d’environ 16% depuis 2007. Le paradoxe, c’est que les ours prospèrent, dit la dame, dans des régions où la perte de glace marine a été la plus forte, mer de Barents ou mer des Tchouktches, du côté des Russes. Et leurs effectifs diminuent en Alaska. Pourquoi ? C’est que les glaces printanières, dans cette dernière région, sont épaisses et compactes et qu’elles chassent les femelles phoques qui ne peuvent mettre bas, privant ainsi les ours de leur nourriture favorite. Il y a là un paradoxe certain, car ces animaux continuent de prospérer. Mais, apparemment, ce sont des ours… russes, dans des zones de glaces friables, celles que préfèreraient les dames phoques….
Le CO2, l’ennemi public numéro 1 !
Il est vrai que l’on ne peut nier, toutefois, l’intérêt qu’il y a de coopérer avec tous les États pour réduire les gaz à effet de serre, même si la COP-21 était un grand cirque pour mettre en valeur les socialistes français. Ces fameux gaz, - décidément ! -, parlons-en. Il est exact qu’ils ont battu des records, et que ça va continuer, même si on embête « Monsieur Toutlemonde » avec des règles de plus en plus coercitives. Mais n’oublions pas non plus, - c’est très pervers, cette affaire du climat -, que le CO2 est nécessaire à l’agriculture, car l’accumulation de ce gaz dans l’atmosphère favorise la photosynthèse. Et comme la planète augmente le nombre de ses bouches à nourrir, principalement en Afrique, mais pas que, il y a une nécessité urgente à produire plus et mieux.
Nous venons de vivre une séquence de canicule éprouvante. Et cette épreuve semble renforcer, bien sûr, les prédictions des « oiseau de malheur », nous culpabilisant pour notre mode de vie, et enfonçant le clou du slogan incontestable désormais, répété comme une litanie, « qu’il faut sauver la planète ». Mais est-ce uniquement en raison des échappements des gaz d’automobiles ou des réacteurs d’avions ?
A-t-on jamais pensé aux éruptions solaires ? Je ne suis pas non plus astronome, alors je vais simplement en venir à des choses simples, à des constats basiques, mais de bon sens : si, d’abord, on consommait plus « local », on économiserait du carburant sur la navigation de ces énormes porte-containers qui acheminent toute la bimbeloterie asiatique. Et ce n’est pas en punissant les voyageurs aériens avec une nouvelle taxe,- veut-on « tuer » Air France ? -, que l’on empêchera des pays peu vertueux comme l’Inde, la Chine, les Etats-Unis et l’Allemagne, de polluer à tour de bras ! La Pologne est aussi concernée, comme sa voisine occidentale, avec leur production très polluante de charbon. D’ailleurs, c’est là que l’on voit les limites du raisonnement des écologistes, ces marxistes repeints en « vert » : comment peut-on vouloir supprimer une source d’énergie « clean », le nucléaire, même s’il faut s’entourer de toutes les garanties de sûreté et de sécurité de façon à ne jamais revoir de tragiques épisodes comme Tchernobyl ou Fukushima, pour la remplacer par des armées d’éoliennes qui balafrent nos paysages, sorte d’épouvantails géants de l’inutile, qui brassent de l’air et du… fric, et sont si peu productives d’électricité ? Le panneau solaire ou l’usine marémotrice ainsi que la bonne vieille « houille blanche » me paraissent de meilleures pistes, d’autant que beaucoup de pays du tiers-monde, notamment au Sahel, ont d’énormes surfaces ensoleillées disponibles. Mais il y règne l’insécurité, et çà, c’est une autre problématique qui n’entre pas, aujourd’hui, dans le cadre de ce papier
Alors, est-il juste d’être « climatosceptique » ?
On ne peut nier un certain réchauffement, pour ne pas dire un réchauffement certain. Mais il y a des cycles. Là, dans ces dernières années, nous sommes dans une phase d’accélération des températures. Mais, dans l’histoire de notre bonne vieille planète bleue, il y a eu aussi, en alternance, des périodes glaciaires… Les Asiatiques qui peuplèrent l’Amérique, ne traversèrent-ils pas le détroit de Behring à « pied sec », tout au moins sans aller dans l’eau ? Et puis, pourquoi le Groenland, qui fut investi par les Vikings d’Erik le Rouge, fut-il appelé « Groenland » qui signifie, si je ne m’abuse "terre verte" ?
L’homme s’adaptera. Canadiens, Scandinaves ou Russes s’amusent bien, lorsqu’ils voient la France paralysée par quelques millimètres de neige recouvrant ses routes l’hiver ! L’urbanisme, discipline exigeante, doit faire évoluer nos villes, les habiller peut-être, de bien plus de vert, en un mot « végétaliser » les immeubles. Les Nations dites unies devraient prendre à bras le corps le problème de la démographie dans les pays pauvres, et investir massivement dans des programmes d’éducation des jeunes filles. Mais Il est vrai que l’Islam est un frein puissant à toute modernité. Le besoin de terres, notamment en Afrique, rétrécit le territoire des animaux sauvages. Moins de fauves, égale moins de touristes, donc moins de rentrées de devises. Le problème est simple à comprendre. Pourtant, un certain nombre de pays ont commencé leur transition démographique. Et que les donneurs de leçons donnent l’exemple. Si la Chine ou l’Inde, pour ne citer que ces deux pays, ne font pas des efforts pour régler les questions d’environnement, la simple gestion des ordures ménagères, - mais Marseille ou Naples entre autres sont aussi concernées -, ainsi que des déchets en général, à quoi serviront nos voitures électriques et autres trottinettes pour « bobos » parisiens ?
Les jeunots allemands et les ados d’autres nationalités, peuvent bien se réunir et manifester à Dortmund en faveur du climat, contre le réchauffement. On peut aussi bien demander l’extinction de la paupérisation après 22 heures ! La décision n’est pas entre leurs mains, elle appartint à notre bonne vieille planète où l’homme n’influence que de façon marginale, pour l’instant, et c’est heureux, son évolution. Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas être vertueux, et rechercher l’équilibre entre développement économique et respect de l’environnement.
Malheureusement, les « Verts » ont pris la question climatique en otage : ce ne sont pas des écologistes, ce sont des marxistes teigneux et sectaires. Il faudra bien que les VRAIS défenseurs de dame nature finissent par le comprendre et ne leur accordent plus leurs suffrages. Alors, à ce moment-là, nous pourrons parleur objectivement, sans tabous, « défense de l’environnement », avec des gens honnêtes.
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Les milliardaires arrivent en jet au Google camp sur… l’écologie

Article publié le 04.08.2019 sur lesobservateurs.chJeudi 1 août 2019 Riches et célébrités du monde entier se sont donné rendez-vous en Sicile pour discuter de la sauvegarde de la planète.Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais.Une maxime qui paraît parfaitement adaptée au Google Camp, ce camp d’été pour milliardaires organisé par la firme américaine.Installé en Sicile, il a cette année pour thème principal le réchauffement climatique.Sauf que de nombreux invités vont débarquer sur la côte ouest du pays… en jet privé, rapporte le New York Post.Pas vraiment le moyen de transport le plus écologique.114 jets pour 784 000 kg de CO2Parmi les convives, quelques noms clinquants, comme l’ancien président Barack Obama, le prince Harry, la chanteuse Katy Perry, mais aussi l’acteur Leonardo Di Caprio, qui possède sa propre fondation sur le changement climatique.
Tous décrivent le phénomène comme la plus grande menace pour les générations futures.Sauf que, comme le révèle la presse italienne, tout ce beau monde arrivera sur les lieux à bord de 114 jets privés, soit l’équivalent de 784 000 kilogrammes de CO2.En tout, ce Google Camp d’une durée de trois jours coûtera d’ailleurs 20 millions de dollars au géant américain.« Google Camp est censé être un lieu où des personnalités influentes se réunissent pour discuter de l’amélioration du monde », confie un participant au Post.« Il y aura probablement des discussions sur la vie privée en ligne, la politique, les droits de l’homme et, bien sûr, l’environnement, ce qui rend extrêmement ironique le fait que cet évènement nécessite l’affrètement de 114 jets privés », raille-t-il aussi.Des yachts et des hélicoptères
Parmi les autres invités de marque, on trouve également Bradley Cooper, Tom Cruise, et même Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, mais aussi Harry Styles, Orlando Bloom, Diane von Furstenberg et Barry Diller, tous arrivés à bord d’un énorme yacht à 200 millions de dollars, qui possède… deux moteurs diesel de 2 300 chevaux.Le yacht à 400 millions de dollars du fondateur de Dreamworks et celui de plus de 100 mètres, comprenant un héliport, d’un milliardaire néo-zélandais seront aussi de la partie.La chanteuse Katty Perry a même été aperçue à bord d’une Maserati, elle qui a réalisé plusieurs vidéos sur le changement climatique pour l’UNICEF.

