Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

international - Page 682

  • Ukraine scoop: des snipers de Maïdan témoignent à la TV italienne que les commanditaires de la tuerie étaient dans le camp américain

    Massacre-Maïdan-1024x560.jpg

    C’est un scoop international, un documentaire à couper le souffle, diffusé sur la chaine italienne Canale 5 en novembre 2017: Gian Micalessin a retrouvé trois tireurs d’élite, trois responsables du massacre de la place Maïdan, qui, - vous le verrez dans le documentaire -, loin d’être pro-russes étaient au contraire sous autorité pro-américaine. Ce documentaire exceptionnel le démontre: En Ukraine la tuerie du Maïdan qui a fait 80 morts et d’innombrables blessés, et qui a renversé le pouvoir légitime du président Ianoukovytch a bien été commandité par les services spéciaux Américains via leur homme de Géorgie, Mikhaïl Saakachvili.

    Un grand reporter de guerre Gian Micalessin a obtenu le témoignage détaillé de trois des nombreux snipers (tueurs en fait) qui ont été engagés en Géorgie pour se rendre en Ukraine renverser le pouvoir au profit des intérêts occidentaux. Ce sont des témoignages du massacre, -et de son déroulement-, abondamment  illustré en fond par les nombreux enregistrements vidéo d’époque, caméras de surveillance et reportages divers. D’autres documents accablants démontraient déjà ce scénario abominable, mais ces trois témoignages concordants et amplement argumentés ne laissent plus subsister le moindre doute. Les spectateurs attentifs seront alertés par ce document emblématique des diverses révolutions de couleurs qui ont frappé les pays d’Europe central, emblématique aussi des différents printemps arabes qui ont servi à renverser certains chefs d’Etat du Moyen-Orient inaugurant le terrorisme islamique actuel, jusqu’à la volonté aujourd’hui des Américains de saboter les négociations de paix de Genève sur la Syrie ainsi que le révèle notre précédent article.

    Au cours de son reportage, Gian Micalessin donne alternativement la parole à ses trois témoins en fonction de la chronologie des événements, chacun les ayant vécu de son côté:

    Ci-dessous l’enregistrement de la conversation  captée, 5 jours après les massacres de la place Maïdan, entre le ministre d’Estonie, Urmas Paet et Catherine Ashton, ministre des Affaires étrangères de l’UE; Urmas Paet revenant de Kiev après le massacre a été le premier a contester la version officielle et obligatoire diffusée jusqu’à aujourd’hui par les médias occidentaux. Micalessin fait référence dans son reportage ci-dessus, à cette conversation accablante pour la version officielle :

    Ci-après le script intégral du documentaire de Gian Micalessin diffusé en novembre 2017 sur la chaine de TV italienne Canale 5, suivi du témoignage de Vladimir Poutine sur le sujet :

    http://www.medias-presse.info/ukraine-des-snipers-de-maidan-temoignent-a-la-tv-italienne-que-les-commanditaires-de-la-tuerie-etaient-dans-le-camp-americain/83986/

  • Notre Europe enracinée… ou leur terrain vague mondialisé?

    Oui à « l’Europe des nations européennes », « Ils sont européistes, nous sommes européens ! »: les cadres et élus du  Front National étaient en réunion de travail vendredi à l’Assemblée nationale autour de Marine Le Pen  et  de députés  - Bruno Gollnisch,  Nicolas Bay, Gilles Lebreton, Bruno Bilde, Gilbert Collard… Ils ont traité de leur vision de l’Europe, de la façon par laquelle nous pourrions recouvrer notre indispensable souveraineté. Ce  que Gilles Lebreton a expliqué en soulignant  qu’il existe des alternatives  moins brutales et anxiogènes pour nos compatriotes   que l’article 50 du traité de Lisbonne -qui a  permis dernièrement le Brexit- et qui stipule que « Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union. » Il existe en effet une possibilité offerte aux Etats de faire évoluer le traité. Cela est précisé notamment dans le second alinéa de son article 48 : « Le gouvernement de tout Etat membre, le Parlement européen ou la Commission peut soumettre au Conseil des projets tendant à la révision des traités. Ces projets peuvent, entre autres, tendre à accroître ou à réduire les compétences attribuées à l’Union dans les traités. Ces projets sont transmis par le Conseil au Conseil européen et notifiés aux parlements nationaux. »

    Marine a  plaidé pour la « transition séquencée » que rend possible cet article 48 qui « délie (les) liens les uns après les autres » en lieu et place du « passage en force», du « big bang institutionnel » de l’article 50. Et dans un souci d’aller au fond des choses, de faire aussi  notre mea culpa, elle a  rappelé les ambiguïtés de ces derniers mois: « nous avons pensé que seule l’élection présidentielle pouvait réorienter l’Europe, laissé penser qu’on voulait en sortir seuls, avec une vision trop franco centrée »;  or  « nous  sommes européens, pas antieuropéens, même si nous avons entretenu cette idée par maladresse sémantique. »

    L‘Europe du FN  n’est pas en effet  celle du père fondateur Jean Monnet tel que le décrit Christophe Baudouin dans son livre  Le grand malentendu:  « Monnet vit entre avions et hôtels, se pense en nomade attalien et rêve l’Européen du futur – vous, moi – à son image : déraciné, désaffilié, pacifié. Il aime la France comme l’aime de nos jours la classe politique : il a le patriotisme paysager. Il rêve d’un monde sans frontières, sans nations et sans Politique, où les gouvernements cèdent la place à une administration rationnelle. Monnet est à la géopolitique ce que Le Corbusier est au même moment à l’urbanisme : un architecte de la table rase habité par une vision glacée, géométrique et fonctionnelle du monde futur.  »

    Une journée de réflexion qui a délivré un message d’espoir que doivent entendre  tous les patriotes de notre continent: l’Union européenne bruxelloise, dont les tendances  liberticides, mondialistes et  totalitaires n’ont  cessé de se renforcer en  profitant des   démissions et/ou des  soumissions idéologiques de nos gouvernements,   n’est pas une fatalité. Les nationaux le savent, eux  qui défendent  (depuis toujours)  son alternative , l’Europe enracinée, de  la libre coopération,  de nations capables de s’unir autour de grands projets scientifiques, culturels, économiques… celle qui fonctionne! Bref une Europe  respectueuse de nos identités, de nos traditions, de nos  souverainetés, une Europe qui en  suivant ce modèle-là,    comme n’a cessé de le proclamer Bruno Gollnischserait conforme au véritable  génie de notre civilisation. 

    « Entre les mondialistes et nous, il n’y a rien ni personne » notait aussi la présidente du FN et le spectacle offert actuellement par LR confirme singulièrement ce jugement. Les ex cadres sarkozystes et/ou fillonistes effrayés par la reprise des thématiques frontistes par Laurent Wauquiez,  rallient officiellement le parti d’Emmanuel Macron (Thierry Solère, Gérald Darmanin, Sébastien Lecornu…) ou clament leur volonté de travailler encore plus étroitement avec LREM. C’est le cas des autres   élus  LR dits constructifs que sont la sénatrice Colette Mélot, le député  Franck Riester, le maire de Verdun Louis Vogel  qui viennent d’annoncer  avec une quinzaine de leurs collègues  la création d’Agir, un micro-parti au sein de LR qui se veut totalement macrono-compatible…  

    Une droite courbe, couchée, faillie qui n’a pas le courage de celle qu’incarne Nicolas Dupont-Aignan qui lui,  ne baisse pas l’échine devant le premier  lobby venu et dénonce les oligarchies financières. Invité de France 3 hier, le président de Debout la France a réagi aux dernière attaques en date subie par le Front National. Il a  jugé «  très choquant qu’une banque essaie de mettre à mort un parti politique. Il y a un vrai problème de financement de la vie politique… »

    Une droite antinationale qui est aussi à l’oeuvre en Espagne et qui souffre de la même débilité intellectuelle, de la même capacité aussi  à atteindre le point Godwin  en un temps record. Nous en voulons pour nouvelle preuve cette saillie au cours d’une conférence de presse,  cette fin de semaine  à Palma de Majorque,  d’Esteban González Pons,  vice-président du Partido popular, membre du PPE  au Parlement européen.

    Opposé à l’indépendantisme catalan, ce qui est bien compréhensible, mais au nom de l’« Union des pays » et de la « générosité » incarnées selon lui par l’Europe de Bruxelles,  M. González Pons, rapporte L’indépendant, « est le quatrième élu du Partido popular ces derniers mois a opéré à un parallèle entre le régime nazi dictatorial d’Hitler et le mouvement indépendantiste en Catalogne»…en prenant  soin d’y assimiler le FN au passage. Il a ainsi déclaré :  « Ceux qui votent pour les partis de l’indépendance  votent pour un projet hors de l’Union européenne (…). Le populisme national a des noms différents dans les Etats membres (de l’Union européenne, NDLR), il s’appelle Marine Le Pen en France, le Brexit en Grande Bretagne, le Nazisme en Allemagne et en Espagne ça s’appelle mouvement d’indépendance en Catalogne

    Propos délirants,  indignes mais qui sont dans la ligne des obsessions de cet élu qui faisait en mars dernier dans l’hémicycle la promotion du « vivre-ensemble» et l’étalage de toutes ses peurs: «L’Europe est aujourd’hui cernée au Nord par le populisme, au Sud par les réfugiés qui se noient dans la mer, à l’Est, par les tanks de Poutine, à l’Ouest, par le mur de Trump. (…) L’Europe est plus seule que jamais, mais ses citoyens ne le savent pas. Malgré tout, l’Europe reste la meilleure des solutions, et nous ne savons pas comment le leur expliquer.» En effet il ne sait vraiment  pas!

    Plus sérieusement,  Adrien Abauzit, interrogé sur le blogue eurolibertés,  souligne que tous les peuples d’Europe sont attaqués à des degrés divers dans leur être et qu’au delà du cas de notre nation, « nous assistons à une décomposition des pays dont l’unité est historiquement plus bancale que celle de la France (…), le cas de la Catalogne est intéressant. Nous pouvons avoir l’impression que la Catalogne, terre aujourd’hui de bobocratie et de politiquement correct, cherche à se défaire de la Couronne d’Espagne pour les mêmes motifs que la République (la coterie mondialiste au pouvoir sous le masque républicain, NDLR)  cherche à se défaire de la France. Dans les deux cas, il s’agit de se détacher d’un passé jugé contraire aux courants idéologiques dominants contemporains

     M  Gonzales-Pons et ses amis bruxellois, plus largement leurs clones que nous voyons à l’oeuvre au sein de notre classe politicienne, devraient balayer devant leur porte plutôt que de tenter bien grossièrement de faire diversion,  en  convoquant  la bête immonde pour s’exonérer de leurs propres fautes et turpitudes. Ils sont responsables et coupables des forces centrifuges que l’on voit  aujourd’hui à l’oeuvre. Notre Europe n’est décidément pas la leur. 

    https://gollnisch.com/2017/11/27/europe-enracinee-terrain-vague-mondialise/

  • Au mieux naïfs, au pire hypocrites, en tous cas incohérents

    Membre fondateur de SOS racisme (avec Eric Ghebali, Julien Dray, Harlem Désir, BHL, David Assouline, Daniel Saada,  Marc Ladreit de Lacharrière, Pierre Bergé …) ex militant de la LCR, antifrontiste canal hystérique, catalogué comme un des représentants de l’aile gauche du PS, Gérard Filoche (72 ans en décembre) a donc finalement été exclu mardi du Parti Socialiste. Une décision prise à l’unanimité et en son absence par le Bureau national du PS dont il était membre. Connu pour ses grossièretés,  M. Filoche l’était aussi pour son opposition virulente au virage libéral de la vieille maison socialiste. Il s’était signalé récemment par ses tentatives de mobilisation au sein de sa famille politique contre la loi travail. Il était dans le collimateur de l’aile réformiste européiste de son parti, incarnée notamment ces dernières années par DSK, Pierre Moscovici, François Hollande et lenéomarcheur Manuel Valls. Pour autant,  c’est sur l’accusation d’antisémitisme que M. Filoche a été débarqué.  Il est reproché à ce syndicaliste, ex inspecteur du Travail, d’avoir relayé sur son compte tweeter, avant de l’effacer très rapidement, un visuel reproduisant « Emmanuel Macron, le bras ceint d’un brassard nazi orné d’un dollar à la place de la croix gammée » (Afp) avec en arrière fond notre planète, le drapeau américain et de l’Etat d’Israël, un banquier de la famille Rothschild, l’homme d’affaires israélien Patrick Drahi et le conseiller des princes Jacques Attali (qu’il a certainement croisé à l’époque glorieuse de la fondation/instrumentalisation de SOS  racisme par la mitterrandie…). Un photomontage qu’on l’accuse d’avoir récupéré sur le site d’E&R et  qu’il avait agrémenté du commentaire suivant à l’adresse du président de la République: «un sale type, les Français vont le savoir tous ensemble bientôt. »

    Invité pour s’expliquer sur la chaîne d’information israélienne francophone I24 (appartenant à M. Drahi), Gérard Filoche a renouvelé  ses excuses devant les journalistes Anna Cabana et Maurice Szafran.  « Evidemment j’ai été négligent (…) je n’ai pas été attentif, je n’aurais pas dû le faire. » « C’est le capitalisme qui a mis Hitler au pouvoir (…).  Hitler a été choisi par le capitalisme et être anticapitaliste c’est aussi être antiraciste, c’est aussi être contre l’antisémitisme. Je hais le racisme, je hais l’antisémitisme (…) Le capitalisme c’est lui qui nourrit l’antisémitisme. »

    Des explications qui n’ont pas franchement convaincu M. Szafran et Mme Cabana, cette dernière lui assénant la célèbre formule de cette figure de la gauche révolutionnaire allemande que fut  August Bebel (1840-1913),  président au début du siècle dernier  du Parti social-démocrate (SPD): « L’antisémitisme est le socialisme des imbéciles. » Une manière de renvoyer M. Filoche à la filiation d’un certain socialisme français largement teinté d’antisémitisme il est vrai, celui des Fourrier, des Blanqui, des Proudhon, pour ne pas parler de celui d’un certain Karl Marx

    Seul le NPA, nouvelle mouture de la LCR, a pris sa défense dans un communiqué publié sur son site: « (Filoche) a, il y a des années, quitté la LCR, pour adhérer au Parti socialiste, croyant à tort en la possibilité d’un tournant à gauche d’au moins un secteur de cette organisation. Au sein de ce parti de tous les reniements, Gérard Filoche, à sa façon, a défendu les intérêts du monde du travail. C’est en fait ce qu’on lui reproche. Pour les dirigeants du PS qui, une fois de plus, le dénoncent et demandent son exclusion, il s’agit d’éliminer celui qui est resté fidèle à une certaine vision de ce que devrait être un parti qui se réclame du socialisme. »

    Socialisme qui n’a jamais connu les attaques antidémocratiques des oligarchies financières, visant à étouffer les capacité des d’action de l’opposition nationale,  que  Marine dénonçait hier lors d’une conférence de presse. Il faut croire que le FN en serait un adversaire plus dangereux… Cette extrême gauche anticapitaliste dont se revendique M. Filoche jouit cependant toujours d’une certaine mansuétude pour peu que celle-ci se pare des couleurs consensuelles de l’anticolonialisme, concept fourre-tout et souvent cache-sexe commode des pires aberrations et des pires dérives.

    On le constate de nouveau avec les commentaires entourant le départ de Robert Mugabe, 93 ans, à la tête depuis 1980 de l’Etat du  Zimbabwe (ex colonie britannique sous le nom de Rhodésie), pour le plus grand malheur de l’immense majorité de ses  14,5 millions d’ habitants, noirs comme blancs (ces derniers  étaient encore  140 000 en 1986, seulement  30 000 en 2013 selon le dernier recensement…). Fuyant le chaos social et économique, des milliers de zimbabwéens noirs ce sont  réfugiés en Afrique du Sud, non sans y créer de nouvelles tensions et des violences (dont ils furent aussi victimes lors d’émeutes  sanglantes) , accusés par la population sud-africaine d’être en partie responsables de la hausse constante de la criminalité et du chômage dans les années qui ont suivi l’abolition de l’apartheid.

    Sans taire complètement (comment cela serait-il possible?) les ravages causés par la politique de M. Mugabe et de ses équipes, les gros médias se sont employés à minorer (par omission)  le bilan désastreux d’un homme qui s’est accroché au pouvoir jusqu’à la fin avant d’être lâché  finalement par son propre parti, la ZANU-PF. Le correspondant du Monde relate que  que « son départ a été accueilli par des scènes de liesse populaire. » « Le père violent»  « renonce  à poursuivre la lutte, à s’agripper à un pouvoir en train de glisser entre ses mains décharnées. Il renonce aux élections de l’année prochaine, il renonce à fêter ses cent ans au pouvoir malgré le cancer qui le ronge, il renonce même à  ce que son cadavre remporte les élections , comme l’a encore promis sa femme, Grace Mugabe, qui n’en est pas à une bêtise près, et porte une grande responsabilité dans sa chute. »

    Le règne de Robert Mugabe, qui se définissait comme  « marxiste-léniniste-maoïste »  fut abominable à plus d’un titre.  L’ africaniste Bernard Lugan en dressait jeudi dernier  un portrait sans concessions mais d’une implacable lucidité sur son blogue.  Depuis 37 ans, «Comrade Bob  régnait  sur ce qui fut la prospère Rhodésie dont il fit un goulag ruiné. Et pourtant, l’héritage laissé par le régime blanc était exceptionnel : le pays disposait d’excellentes infrastructures routières et ferroviaires, la population était largement alphabétisée et l’économie de type industriel avait un secteur agricole hautement compétitif. De plus, la politique des sanctions internationales avait contraint les Rhodésiens à créer une industrie de transformation. Quelques années plus tard, l’héritage laissé par les  colons  ayant été dilapidé, la faillite était totale. En 1995, l’augmentation de 67% du prix du litre d’essence et de 345% de celui du pétrole lampant utilisé pour la cuisine et l’éclairage domestique provoqua de graves émeutes dans les principales villes du pays. Leur répression fut sanglante…»

    Bruno Gollnisch au nom du Front National, était bien seul en avril 2008, en pleine période de « chasse aux Zimbabwéens blancs »,  « victimes  depuis plusieurs années d’une véritable épuration ethnique »,  du « racisme d’Etat »,   à dénoncer « le silence  de  l’Union européenne, de l’Union Africaine et d’une communauté internationale qui traquent inlassablement le racisme et la xénophobie. » Une nouvelle « chasse à l’homme ethniquement incorrect » qui se déroulait ce au moment M. Mugabe pourtant battu à l’élection présidentielle, encourageait l’occupation illégale par ses partisans de fermes détenues par des fermiers d’origine européenne.

    En janvier 2013,  à l’occasion d’un vote au Parlement européen  sur un accord de partenariat entre  l’UE et certains Etats d’Afrique de l’Est et du Sud, Bruno Gollnisch s’étonnait une nouvelle fois  «  du silence assourdissant de ces textes sur la corruption et les violences du régime Mugabe, notamment celles qu’ont subies certaines minorités ethniques (…) des expropriations par les armes et des assassinats de fermiers blancs pourtant tout aussi zimbabwéens que leurs bourreaux et persécuteurs. » Il pointait pareillement le  mutisme des instances bruxelloises  «  sur l’indigénisation obligatoire des entreprises étrangères présentes au Zimbabwe, imposant la vente de parts majoritaires de leur capital à des Zimbabwéens, exclusivement des Zimbabwéens noirs. Venant de n’importe quel pays Européen ou Américain, cette mesure de préférence nationale et de réappropriation des entreprises par des acteurs économiques nationaux, aurait soulevé un tollé. »

    « Vous êtes au mieux naïfs, au pire hypocrites, en tous cas incohérents » concluait le député européen frontiste. Autant de qualificatifs que l’on pourrait appliquer à Gérard Filoche et aux  insoumis du même acabit, mais aussi à une classe politicienne qui s’émeut aujourd’hui  de l’esclavagisme en Libye, après avoir largement  soutenu et applaudi à la destruction de ce pays voulue par le trio Sarkozy-Juppé-BHL. 

    https://gollnisch.com/2017/11/23/mieux-naifs-pire-hypocrites-cas-incoherents/

  • Zoom : Jean Philippe Lévêque / Immigration et surpopulation : les peuples muselés !

  • Israël va expulser sans état d’âme 40 000 immigrés clandestins africains

    Israël-Migrants-Clandestins.jpg

    (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Dimanche, le gouvernement israélien a voté à l’unanimité la fermeture du centre de rétention pour migrants de Holot, dans le désert du Neguev, et donné aux clandestins « un délai de trois mois pour quitter le pays faute de quoi ils seront expulsés » :

    « Selon des chiffres officiels à fin juin, rapporte l’AFP, 38 043 migrants africains, dont 27 494 Erythréens et 7 869 Soudanais, se trouvaient illégalement en Israël. »

    Pour le premier ministre Benjamin Netanyahu, il s’agit maintenant de passer à « l’expulsion accélérée », après les deux premières étapes qu’ont été la construction d’une barrière à la frontière égyptienne puis, déjà, l’expulsion de 20 000 clandestins africains.

    Selon le ministre de la Sécurité publique, Gilad Erdan, cité par l’Agence France Presse,

    « Holot était devenu “un hôtel” pour migrants en situation irrégulière “à la solde des contribuables, ce qui n’encourage pas leur sortie” et coûte 240 millions de shekels (environ 58 millions d’euros) par an ».

    Il est notable de remarquer qu’aucune voix internationale ne s’est élevée contre cette décision. Le contraste entre cette politique migratoire ferme et le laxisme de la plupart des pays européens est frappant.

    https://fr.novopress.info/

  • 2018 : ANNÉE DE TOUTES LES RÉVOLUTIONS ?

    shutterstock_705067363-1000x660.jpg

    204cc6204c74ca624889f2e739376374.jpg« Levez-vous vite, orages désirés, qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie ! » (Chateaubriand, René).

    Dans l’écoulement du temps historique, un jour, les choses anciennes cessent ; puis, un autre jour, des choses nouvelles surgissent, qui façonnent le monde à venir.

    Nous – simples citoyens – sommes entrés, sans avoir été consultés, dans des configurations économiques et politiques qui nous asservissent individuellement, nous privent de nos libertés politiques collectives, ruinent nos nations, enrichissent de façon exponentielle une caste, désespèrent notre jeunesse, peuplent nos rues de retraités obligés de faire des « petits boulots », et nos trottoirs d’humains détruits. Nous n’avons été appelés à voter ni pour l’OMC et le mondialisme commercial, ni pour l’Union européenne de Lisbonne, ni pour la financiarisation, ni pour l’ubérisation… En réalité, selon le mot d’un Nobel d’économie (Joseph Stiglitz), nous avons assisté, impuissants, au
    « triomphe de la cupidité », corrélatif de l’effondrement de notre niveau de vie.

    2018 verra deux événements ignorés de nos médias main stream, qui omettent de les placer en perspective l’un de l’autre. Deux révolutions inimaginables il y a un an, qui vont bouleverser le système installé malgré nous et contre nous. La première révolution aura lieu aux États-Unis : il s’agit de dispositions fiscales et douanières qui vont protéger l’industrie nationale américaine. La deuxième révolution viendra de Suisse, qui soumettra au contrôle de la nation l’émission monétaire par les banques.

    Ces deux révolutions ne vont-elles pas en procréer une troisième dans les peuples d’Europe ? L’Union européenne, sa soumission à la mondialisation et ses dogmes monétaires, pourraient alors en trépasser. Euro compris. Les intellectuels indépendants (il en reste dans les maquis de la pensée), les peuples demanderont des comptes à ceux qui ont laissé (ou aidé à) s’installer ces modèles pervers de l’économie en manipulant les outils politiques de la République. D’autant plus que les deux révolutions économiques ne produiront pas tout de suite leurs conséquences fastes. L’ablation chirurgicale est toujours douloureuse et la convalescence longue. Il faudra reconstruire les filières industrielles moribondes au moyen de politiques économiques de type colbertiste ou sud-coréen. La caste politicienne qui sévit en est incapable ; des universitaires et chercheurs indépendants de premier rang devront apporter (comme aux États-Unis ou en Suisse) leur compétence et leur créativité.

    L’énorme bulle de la dette mondiale, les flux démentiels de capitaux seront remis en question. Comment les résorber ? De même que la mondialisation aveugle. Ce seront désormais les peuples qui dirigeront la monnaie et la finance, le commerce international ; et non plus l’inverse. L’ONU sera probablement appelée à remplacer le FMI et la Banque mondiale, compromis, opaques, qui ont failli à leur tâche.

    Et, surtout, les Français voudront rejeter de leur République le régime dégénéré qui les détruit civiquement et socialement et leur répugne, pour pouvoir, comme tous les peuples civilisés, chasser ou juger un mauvais Président, se prononcer sur les grands sujets qui concernent leur vie, l’avenir de la nation, par référendum d’initiative populaire, par la proportionnelle, sanction de toutes les fraudes sociales et des évasions fiscales.

    Les orages qui vont se lever des Amériques et de Suisse seront soudains et violents ; mais ils apporteront la pluie aux terres assoiffées de vérité et de justice : les espaces d’une autre vie pour la planète. Les Français pourront alors semer et rêver.

    http://www.bvoltaire.fr/2018-annee-de-toutes-revolutions/

  • Harcèlement sexuel : Huffington Post, UNEF, Hollywood, les « féministes » complices des porcs

    Antiracistes, féministes et gauchistes, qui viennent d’ailleurs du même arbre vénéneux, rivalisent dans la distribution de moraline. En toute hypocrisie bien sûr, tant il est vrai qu’ils se contrefichent qui des minorités, qui des femmes et qui du peuple, leur obsession étant totalement centré sur leur bouc-émissaire : la France catholique. Les faits ne sont dénoncés que lorsqu’ils servent leur cause. Triple exemple tiré des derniers jours :

    • L’UNEF n’est pas seulement un syndicat étudiant qui fournit le PS en cadres, il semble aussi connaître des problèmes de harcèlement sexuels. Là encore la parole se libère. Il semblerait que les jeunes progressistes avaient inventé le terme de « castorer » (une allusion à Simone de Beauvoir, comparse du harceleur Sartre ?) quand ils avaient connus bibliquement une donzelle. On apprend par le témoignage d’une certaine Annaïg (Annette en breton) que cela cachait des faits extrêmement graves, comme des filles qui « ont dû avorter »et les « pressions voire les menaces qu’elles recevaient pour se taire »« Suis-je la seule à avoir été provoquée par un haut responsable de l’organisation qui savait que je vomissais ses pratiques ? (Pour moi, ce fut cette fois où il caressa publiquement l’entrejambe d’une camarade sans lui demander son avis en me disant, l’œil lubrique : “Ça te choque hein ?”). » Elle évoque aussi comment certains cadres utilisaient les rencontres nationales, et la montée de « camarades » provinciales, pour choisir qui ils hébergeaient et pouvoir en profiter sexuellement. Un autre témoignage publié sur Facebook le 16 novembre par Raphaëlle Rémy-Leleu décrit par le détail la façon dont les couples sont surveillés, épiés, mais aussi les pressions qu’elle a subies en raison de sa vie sexuelle. Elle l’assure : « Aucune [militante] n’a échappé à la violence sexiste de l’organisation. ». Or qui était la secrétaire générale de l’UNEF à l’époque ? La fameuse Caroline de Haas, la même qui disait que ce qui était choquant dans l’appel au viol contre des militantes nationalistes, ce n’était le viol mais le fait que cela fasse le jeu du FN… Parfaitement au courant des faits, elle n’a rien dit. Ils ne servaient pas la cause…
    • Le Huffington Post est un journal interpellé quelque part sur la question des prédateurs sexuels. N’est-il pas dirigé en France par Anne Schwartz « Sinclair », ex-Levaï, ex-Strauss-Kahn ? Ce cyberjournal d’extrême gauche, propre à vomir en permanence sur l’homme blanc chrétien (au point de nier toute connotation ethnique aux crimes de Weinstein) se voit démasqué dans sa propre hypocrisie. Mélanie Ehrenkranz a ainsi dénoncé la fondatrice Arianna Huffington, à l’état civil Ariádni-Ánna Stasinopoúlou, comme complice de prédateur sexuels, notamment du rédacteur franco-indo-américain Jimmy Soni, auteur de «comportements inappropriés » qui, en 2014, a été soudainement réaffecté pour aider à lancer HuffPost India et envoyé à New Delhi après que des rumeurs avaient circulé sur son attitude envers plusieurs femmes employées. La connaissance de Arianna Huffington de l’enquête sur Soni, ainsi que l’absence de reconnaissance des problèmes internes ou externes, ont mis en doute son engagement à défendre les droits des femmes. Une employée de Huffington Post qui était rédactrice à l’époque a dit que Huffington était «très protectrice envers ceux qui étaient dans son petit clan», ajoutant que «je ne doute pas une fraction de seconde qu’elle les protégerait que ce soit pour des harcèlements sexuels ou des fautes professionnelles. »
    • Hollywood L’affaire Weinstein a permis de démasquer trois gauchistes de la plus belle eau, qui « savaient », mais qui ont fermé leur clapet, car cela nuisait à la cause, par ailleurs trois animateurs de la haine anti-Trump connus pour leurs éternelles leçons de de morale : Jane Seymour Fonda « militante féministe », Mary Louise Streep, ferme soutien d’Hillary Diane Clinton (elle aussi grande « féministe » protectrice de harceleurs sexuels, quand ce n’est pas de pédophiles…) et, cerise sur le McDo’, Quentin Jerome Tarantino, donneur de leçons entre mille… Mais il y a maintenant un nouveau nom sur la liste des « balance ton porc mais touche pas à mon cochon » : Allison Mack, numéro deux de la secte NXIVM fondée par Keith Raniere, mais présidée par Nancy Salzman et financée par Sara et Clare Bronfman, sœurs du producteur de film Edgar Miles Bronfman Jr et surtout filles du patron du Congrès Juif Mondial Edgar Miles Bronfman Sr. Cette secte pratique l’esclavage sexuel, avec notamment marquage au fer rouge des adeptes féminins.

    Quand les féministes parlent de « droits des femmes », elles ne sont pas plus crédibles que Bernard Madoff parlant d’honnêteté financière ou le bon docteur Eufemiano Fientes de lutte antidopage…

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/harcelement-sexuel-huffington-post-unef-hollywood-les-feministes-complices-des-porcs/83751/

  • De Mai 68 à Anti-Poutine 2018, 50 ans - Xavier Moreau, Alexandre Latsa et Yann Avril

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le Fonds vert pour le climat, destiné aux pays plus pauvres, brasse des milliards… pour développer le secteur privé des pays riches ?

    Fonds vert climat pauvres secteur privé
     
    Ce n’est pas Mediapart qui s’en émeut, mais un grand article du New York TimesLes pays pauvres croyaient pouvoir bénéficier davantage de ce Fonds vert pour le climat lancé par les Nations unies en 2011 à la conférence de Durban. On leur avait promis des milliards, via ce mécanisme financier – ils n’en ont pas beaucoup vu la couleur. En réalité, seulement1/10 du financement a été consacré à des projets détenus et exploités par des pays pauvres… alors que nombre de projets discutables ont été investis par le secteur privé des pays développés.

    Lire la suite sur REINFORMATION.TV