Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

international - Page 943

  • L’aide américaine à DAESH se confirme : des Marines et des hélicoptères Apaches chez les djihadistes

    Les Irakiens continuent de détecter des contacts entre les Américains en Irak et Daesh (Etat islamique-EI) dans les régions que celui-ci occupent.

    Contrairement aux allégations américaines de combattre cette milice wahhabite takfiriste dans le cadre de la coalition internationale, de plus en plus d’accusations sont proférées par des dirigeants irakiens sur des liens qu’ils entretiennent avec elle.

    Selon le site d’information Arabi-Press, deux nouveaux faits ont été révélés cette semaine par le chef des forces de mobilisation populaire qui comptent dans ses rangs les jeunes volontaires irakiens, depuis la prise de Mossoul et d’al-Anbar par Daesh.

    Ces agissements coincident avec les avancées de l’armée irakienne et de ses supplétifs des forces paramiltaires populaires dans ces régions. Mercredi, le ministère irakien de la Défense a affirmé avoir libéré deux régions situées entre les deux provinces Diyala et Salaheddine, Albou Baker et Albou Awwad.

    Selon Thamer al-Khafaji qui s’exprimait pour la correspondante du site d’information Arabi-Press, trois Marines américains ont été parachutés dans la province de Babel ,  et deux hélicoptères d’origine inconnue ont atterri dans deux régions de la province de Diyala, à deux moments différents.

    S’agissant des parachutistes, ils ont été vus à l’aube de mercredi dernier, en train de se jeter à partir d’un hélicoptère Apache dans la région al-Obaidate, dans le caza de Moussayyab, au nord de la province de Babel.

    Concernant le deuxième évènement, il est question d’abord d’un Apache qui avait été vu  dans la nuit de mardi à mercredi en train d’atterrir dans les parages du village al-Safra , dans le prolongement de la région al-Azim, au nord de Diyala

    Quelques heures plus tard, mercredi matin un hélicoptère d’origine inconnu est descendu à son tour au sud de la région de Bahraz du côté de Kanaane, au sud de la province de Diyala. Il y est resté quelques 15 minutes avant de décoller de nouveau.

    Nombreux sont les responsables locaux dans cette province qui ont assuré avoir vu des hélicoptères non identifiés atterrir dans les bastions de Daesh au nord-est de Diyala et avoir largué des armes et des approvisionnements.

    Un législateur irakien, Hamed al-Zameli a rapporté pour l’agence Fars news que l’actuel gouvernement de Bagdad reçoit quotidiennement des rapports des forces de sécurité dans la province d’al-Anbar sur des parachutages d’armes pour Daesh. Et d’accuser les Etats-Unis de vouloir provoquer le chaos en Irak en soutenant l’Etat islamique.

    D’autres députés irakiens se plaignent de cette situation.
    « Nous avons découvert des armes fabriquées aux Etats-Unis, dans les pays européens et en Israël dans les zones libérées du contrôle de l’EI dans la région Al-Baqdadi », écrit le site d’information al-Ahad, citant Khalaf Tarmouz, le chef du Conseil provincial d’al-Anbar. Tarmouz a également dit que des armes fabriquées en Europe et en Israël ont aussi été découvertes à Ramadi.


    « Les Etats-Unis lâchent des armes pour l’EI avec l’excuse qu’ils ne savent pas où sont les positions de l’EI et s’efforcent de tordre la réalité avec ce genre d’allégations », dit-il.

    Selon InfoWars, en décembre, les médias étatiques iraniens avaient affirmé que l’armée de l’air états-unienne avait largué pour la seconde fois des armes dans les zones tenues par l’Etat islamique.

    En novembre, des sources des services de renseignement irakiens ont dit que les Etats-Unis approvisionnent activement l’EI en armes. « Les services de renseignement irakiens ont répété que les avions militaires états-uniens avaient largué plusieurs cargaisons d’aide pour les terroristes de l’EI afin de les aider à résister au siège de l’armée irakienne, des forces de sécurité et du peuple », explique un rapport.

    En octobre, les sources de la coalition avaient reconnu ce qu’elles ont considéré être un parachutage prétendument erroné d’armes qui sont tombées aux mains des combattants de l’Etat islamique à l’extérieur de Kobané en Syrie.

    En juillet (2014), Infowars faisait état de la grande quantité d’armes états-uniennes capturées par l’EI.

    En plus des véhicules de combat et de l’artillerie acquise précédemment par l’armée irakienne, la mine d’armement provenant des bases US incluait plus de 50 batteries d’artillerie de 155mm M-198 et 4000 mitrailleuses PKC.


    - SourceAl Manar

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Vladimir Poutine : « l'ours de la Taïga russe se dresse face aux Etats-Unis » (2/2) – VOSTFR

  • MM. Sarkozy, BHL et Hollande, la Libye vous remercie !

    Aujourd’hui, la Libye est un État souverain qui n’a plus d’État… où plutôt qui en a trois. En effet, ce pays se trouve dirigé par trois entités.

    Lors de l’opération Serval, en 2013, l’armée française a repoussé hors des frontières les terroristes qui occupaient le Mali, fort heureusement sans beaucoup de pertes. Mais les terroristes, eux non plus, n’ont pas eu trop de pertes et ils ont conservé leur armement. Nombreux sont restés au Mali, infiltrés dans la population. D’autres ont rejoint Boko Haram. Merci François Hollande !

    Il aurait fallu une opération conjointe afin de les prendre en tenaille et les détruire définitivement mais cette stratégie n’a pu être programmée par défaut de coopération des Algériens, des Libyens et des pays environnants. Ils se sont regroupés et ont reconstitué leurs forces, notamment en recréant à la frontière libyenne, à Madama, extrême nord du Niger, un fief aussi solide que l’était celui de l’Adrar des Ifoghas, à la frontière algérienne.

    Lire la suite

  • Bachar el Assad ne veut « plus rester isolé face à la menace terroriste »

    Quatre parlementaires Français se sont rendus en Syrie, à Damas et trois d’entre eux ont rencontré le président Syrien Bachar el Assad. Une initiative attendue par les autorités syriennes qui sont le dernier rempart contre l’islamisme en Syrie et dans la région. François Hollande et Manuel Valls n’ont pas pu s’empêcher de critiquer ce voyage, montrant une méconnaissance totale de la situation sur le terrain.

    Leur ennemi, c’est toujours Bachar el Assad tandis que les Syriens répètent qu’il n’est plus un choix politique mais une nécessité pour une échapper au chaos…

    Le sénateur UDI François Zocchetto, présent en Syrie avec trois autres parlementaires, a assuré vendredi que le président syrien, Bachar al-Assad ne voulait « plus rester isolé face à la menace terroriste ».

    « Bachar al-Assad est quelqu’un de réservé, il ne se livre pas facilement. Il a dit qu’il attendait de ne plus rester isolé face à la menace terroriste », a expliqué le sénateur sur Radio Classique, au sujet de sa rencontre avec le président syrien en compagnie de deux autres parlementaires français.

     

    « Le président du Sénat (Gérard Larcher, UMP) et la commission des Affaires étrangères du Sénat étaient informés (de cette visite). Je sais que M. (Gérard) Bapt (PS) avait informé l’Elysée et le quai d’Orsay », a poursuivi François Zocchetto, pour qui il s’agissait d’une « mission mûrement réfléchie »

    « Nous sommes des parlementaires (…) et les parlementaires sont libres, nous ne sommes pas le bras de l’exécutif ou la parole du maître. Nous ne sommes pas porteurs d’un message officiel du gouvernement français », a-t-il insisté.

    « Il est difficile de dire que l’on veut lutter contre le terrorisme en France et ignorer ce qui se passe en Syrie. La Syrie est le dernier Etat laïc du Moyen-Orient et c’est ce qui gêne justement. Cet Etat laïc peut disparaître demain (…) Car aujourd’hui il n’y a plus d’opposition syrienne modérée », a plaidé le sénateur, en assurant que leur déplacement ne consistait « nullement à légitimer le régime syrien ».

    Source

    http://www.contre-info.com/bachar-el-assad-ne-veut-plus-rester-isole-face-a-la-menace-terroriste

  • Ukraine : Entretien avec Guillaume Lenormand, un Français volontaire dans le Donbass

    Loin des décisions prises en haut lieu, il se trouve de jeunes Européens, qui par idéalisme, par conviction politique, par idéal, ont décidé d’aller se battre en Ukraine et en Novorossia dans un camp ou dans un autre. Ce fût le cas de ces volontaires partis soutenir la révolution de Maïdan, par conviction nationalistes-révolutionnaires. C’est également le cas de cette poignée de Français, partis aux côtés d’autres Européens dans le Donbass défendre les partisans de Novorussia contre les forces armées ukrainiennes et les milices .

    Rencontre avec Guillaume Lenormand, qui s’est engagé il y a plusieurs mois déjà dans le Donbass, au nom d’un idéal Européen et anti-impérialiste. Pour connaitre les raisons de son engagement, mais pour avoir également son avis sur la situation, son ressenti, loin des interprétations de salon que peuvent en faire les médias occidentaux trop souvent cantonnés à reprendre des dépêches AFP.

    Pouvez-vous expliquer les raisons de votre engagement en Ukraine et en Novorossia ?

    Guillaume Lenormand : Pour faire vite, je suis un militant nationaliste français, licencié en histoire, ayant fait un peu de tout (dont du dessin de presse sous le pseudonyme de Krampon).

    La politique en France me semblant une impasse, j’avais envie d’aller défendre mes idées sur le terrain, de la manière la plus simple et la plus radicale. La Novorossia représentant pour moi l’exemple-type d’une « révolte contre le monde moderne », il m’a semblé assez naturel de m’engager pour elle. Ou alors peut-être que, comme mes camarades, j’avais trop lu Corto Maltese, Dimitri et Jean Mabire.

    Quelle est la situation, à l’heure actuelle, en Novorossia ? Les accords de paix ont ils changé quelque chose ? Comment ont ils été perçu par la population ?

    Notre armée est en voie de régularisation, le commandement fait chaque jour de nouveaux progrès dans la coordination et l’organisation.

    Le moral est très haut (victoire de Debaltsevo) et nous pouvons compter sur l’expérience croissante de nos soldats. Malheureusement, toujours des carences en matériel et un manque de formation, avec parfois des conceptions militaires dépassées qui nous provoquent des pertes inutiles.

    Les accords de paix n’empêchent pas l’artillerie de faire trembler nos vitres chaque nuit et les blessés d’arriver chaque jours plus nombreux à l’hôpital…

    Ces accords sont du vent, comme d’habitude.

    La seule paix possible s’achètera par notre victoire finale ou notre écrasement total.

    Pouvez-vous nous décrire votre quotidien, depuis votre arrivée, et les différentes étapes de votre parcours ?

    Il faut prendre conscience que nous menons une guerre dans des conditions très différentes de celles de l’OTAN.

    Il n’y a pas le confort et la logistique que l’on peut trouver dans les armées de l’Occident. La nourriture est frugale, les soldats sont exposés au manque d’hygiène, au froid, aux privations diverses, dans des conditions qui nous rappellent parfois d’autres temps.

    Tenir une position, une tranchée, un bunker boueux ou un block-post n’a rien d’exaltant, quand aux missions d’infiltration ou de combat, elles se font avec très peu de moyens, les munitions sont insuffisantes.

    Si vous êtes blessé, vous ne disposez que rarement d’une évacuation rapide. Il faut composer avec tout cela, s’endurcir et devenir rustique. L’entraînement et le travail « sur le terrain » ont été pour moi simultanés, et j’ai eu l’occasion de faire une grande variété de choses différentes.

    Comment votre famille , vos amis perçoivent-ils cet engagement « la peau au bout du fusil » ?

    Ils sont inquiets, c’est normal. Ils voudraient me revoir entier. Mais ils sont également fiers et soutiennent ma cause. C’est l’essentiel. Certains sont plutôt pro-ukrainiens, mais leur amitié transcende ces barrières idéologiques et ils me soutiennent moralement.

    Vous êtes plusieurs volontaires français actuellement, regroupés derrière l’unité continentale . Qu’est ce que c’est ? Comment cela évolue sur le terrain ?

    Unité Continentale disposait d’un groupe français de taille variable (environ 8 soldats, en plus d’un groupe serbe et d’un groupe espagnol) et d’une unité médicale française.

    Il y a eu récemment des développements. Des désaccords avec le commandement d’Unité Continentale ont mené la plupart des derniers volontaires français à la quitter. Ils sont actuellement une petite dizaine à se redéployer dans différents secteurs, selon leurs préférence.

    Avez vous vous même été sur le Front ? Vous avez été blessé il me semble ?

    Lorsque l’on parle de front, la plupart des gens s’imaginent un spectacle hollywoodien, des combats intenses et constants, du spectacle…

    Ils ne réalisent pas que dans 99% des secteurs, le front n’est constitué que par une chaîne de block-posts et de positions enterrées.

    Le contact avec l’ennemi a souvent été rompu et celui-ci, dans bien des cas, se situe à des kilomètres. Il faut donc aller le « chercher ».

    Le front, c’est une longue attente, un quotidien triste, gris, bien peu glorieux, entrecoupé de très brefs moments de chaos et d’adrénaline. J’ai connu plusieurs fronts, de Donetsk à Debaltsevo et Marioupol.

    J’ai participé (en désobéissant à mes commandants) à quelques actions « agressives ».

    Enfin, j’ai été blessé, mais seulement légèrement. Ce jour là, plusieurs de mes camarades ont été tués et d’autres blessés gravement, je m’estime donc très chanceux.

    En France, les médias mainstream ont une vision particulière de l’Ukraine et ne comprennent pas le séparatisme. La Russie a t-elle l’influence que les médias occidentaux décrivent ?

    A vous de l’expliquer. Au Donbass, nous sommes géographiquement, culturellement et linguistiquement en Russie. Dissocier le Donbass et son peuple de la Russie, serait aussi bête que s’offusquer que la France soutienne une rébellion séparatiste au Québec ou en Wallonie, par exemple.

    Pour autant que je puisse en juger, c’est le peuple russe qui aide directement le Donbass, par l’envoi de volontaires et de matériel acheté dans des surplus ou des magasins de sport.

    L’État russe, lui, agit sur un plan diplomatique, il ne faut donc pas tout confondre. On ne passe pas la frontière impunément, la légalité est respectée.

    Pour vous, comment sortir de cette crise, qui ressemble fort à une nouvelle guerre civile entre Européens ? Comment expliquez-vous ce déchirement qui parcourt une partie de la droite et de la gauche radicale en France ?

    Ce déchirement illustre la frontière qu’il y a entre ceux qui, d’une part, se perdent dans la défense d’une « forteresse occidentale » (aux valeurs progressistes, démocratiques et cosmopolites) et d’autre part, ceux qui ont entrepris la reconquête de notre continent.

    Cette reconquête, contre les banquiers et la mafia mondialiste, ne pourra débuter qu’à l’Est.

    Toute révolution nationaliste ne pourra être réalisée que par des hommes qui ont hérité d’une expérience militaire, qui ont laissé tomber les sempiternels débats inutiles ou les mollesses intellectuelles et renoué avec le feu de l’action et de la guerre.

    Quels que soient nos efforts, le futur de l’Europe passera par la violence, nécessairement. Après 6 mois de guerre ici, j’en suis d’autant plus convaincu.

    Quelles sont les besoins de la population civile dans le Donbass ? Des associations françaises travaillent-t-elles avec vous ?

    Les populations civiles manquent avant tout de médicaments. Même les produits pharmaceutiques les plus basiques font défauts. L’hôpital de Donetsk manque d’Oxygène. Un peu partout, les opiacés comme la morphine, le Tramadol, sont les premiers à faire défaut. Pour ce qui est des civils, ils continuent à tenir tête au quotidien, avec une dignité, un calme et une discipline remarquable.

    L’ordre règne, alors que dans la même situation, en France, ce serait déjà l’anarchie, avec pillages et violences…

    L’association française Novopole et les différents comités de soutien animés par exemple, par André Chanclu ou Alain Benajam, sont les principaux centre de solidarité française envers le Donbass.

    Breizh-Info

    http://fortune.fdesouche.com/375951-ukraine-entretien-avec-guillaume-lenormand-un-francais-volontaire-dans-le-donbass#more-375951

  • Après AQMI, Boko Haram et DAESH, c’est au tour des Shebabs somaliens de menacer la France !

    Certains ne se souviennent peut-être pas de qui sont les Shebabs. Ce sont ces rebelles islamistes somaliens auxquels ont été attribuées les attaques sanglantes d’un supermarché de Nairobi qui a fait plus de 60 morts en Septembre 2013.

    Près d’un an et demi après cet épisode, ils viennent à nouveau de faire parler d’eux, mais cette fois à la manière Daesho-Al-Qaidienne, par vidéo interposée. Ils viennent de diffuser en ligne une vidéo, qui reste cependant à authentifier, dans laquelle ils menacent d’attaquer des centres commerciaux du monde entier, dont notamment deux des plus célèbres de Paris, celui de La Défense et celui du Forum des Halles, en plein centre de la capitale. Si l’Etat Islamique est spécialisé dans les égorgements et Boko Haram dans l’enlèvement de jeunes filles juvéniles, eux semblent avoir un tropisme pour les attaques de supermarchés.

    Dans cette vidéo de plusieurs minutes, un homme au visage masqué exhorte les djihadistes à prendre les armes et à mener des attentats dans les pays occidentaux contre « les mécréants où qu’ils vivent ». Des mécréants, ce n’est pourtant pas ce qui manque tout autour d’eux. Alors pourquoi aller chercher si loin, dans les pays occidentaux ?

    La France n’est pas le seul pays menacé, On retrouve dans leur liste plusieurs villes des Etats-Unis, du Royaume Uni, et du Canada. L’on pourrait, cependant se demander pourquoi les Shebabs menacent la France qu’i n’a que très peu de relations avec eux. Effet de mode ? C’est comme si, désormais, toute menace crédible se devait de placer la France en tête de liste. Bien qu’ils ne sachent probablement même pas où situer la France, de la même manière qu’un Français moyen ne saurait situer la Somalie, il faut tout de même prendre leurs menaces au sérieux, car ceux qui sont réellement derrière ces menaces savent au mètre près où se trouvent les supermarchés ciblés. Les menaces proférées par les groupes djihadistes ne sont jamais anodines, même si eux-mêmes sont complètement inoffensifs dans leur brousse. Le danger n’en est pas moins réel car ceux qui sont préparés à agir attendent tranquillement leurs ordres à Paris, Londres, Bloomington dans le Minnesota (Etats-Unis), ou Edmonton (Canada).

    Etant donné les objectifs visés par d’éventuels attentats, on sait, d’ores et déjà que les candidats djihadistes ont de fortes chance d’appartenir à la communauté des enfants d’immigrés musulmans et, pour ne pas nous laisser dans l’ignorance et le doute, qu’ils nous fourniront toutes les pièces à conviction avant de se faire exécuter en direct à la Télé.

    Avic – Réseau International

     

    Source Article from http://reseauinternational.net/apres-aqmi-boko-haram-et-daesh-cest-au-tour-des-shebabs-somaliens-de-menacer-la-france/

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Norman Finkelstein : Israël est la cause principale d’antisémitisme dans le monde

    Interview de Norman Finkelstein, intellectuel juif américain (dont les parents sont des rescapés d’Auschwitz et du ghetto de Varsovie), sur Russia Today (RT) le 23 février 2015 :

    Source: E&R

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Le danger du Traité Transatlantique: Arnaud Raffard de Brienne

    Arnaud Raffard de Brienne nous parle des dangers du Traité Transatlantique.(TTIP-TAFTA) C’était le 12 octobre 2014 à Rungis.

    Source: Agence Veritas Presse

  • On combat Daech en Irak mais pas en Syrie

    Serait-il si choquant d'admettre qu'Assad dorénavant "n'est plus notre adversaire" ?

    Antigone n’a pas sa place en Syrie.

    À dire vrai, dans le monde d’aujourd’hui, Antigone n’a plus sa place nulle part.

    Deux députés et deux sénateurs français se sont rendus en Syrie et, comme il était prévisible, leur visite qui n’avait pas de caractère officiel a été exploitée par le pouvoir de Bachar el-Assad. Celui-ci les a reçus durant une heure, dans un très bon climat, paraît-il.

    L’initiative de ce quatuor a été, à quelques exceptions près, vivement critiquée en France. Le PS, jamais en reste d’une bêtise, promet des sanctions. Le président de la République – on ne rencontre pas « un dictateur » ! – et le Premier ministre l’ont condamnée et le pouvoir a regretté une brèche dans la cohérence de sa politique internationale (Le Monde).

    Lire la suite

  • La Turquie accusée d'armer les milices en Libye

    Le Premier ministre libyen Abdallah al Thinni, dont le gouvernement est seul reconnu par la communauté internationale, accuse la Turquie d'armer ses rivaux de l'"Aube libyenne" :

    "La Turquie est un Etat qui ne se comporte pas honnêtement avec nous. Elle exporte des armes afin que les Libyens s'entretuent".

    Le Premier ministre libyen a également mis en cause le Qatar.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html