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international - Page 970

  • Regard sur l’actu (7)

    Une rue Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc !

    C’est le nom que Robert Ménard souhaite donner à une rue de Béziers (celle du « du 19 mars 1962 ») qu’il compte évidemment débaptiser pour l’occasion… Levée de boucliers chez les bien-pensants qui n’ont jamais eu de problèmes avec les tonnes de rues à la gloire de Lénine (plus de 80 villes ayant des voies portant son nom dans notre pays…) et autres ordures communistes ou non. Hélie de Saint-Marc, seulement, ressemble trop à une certaine idée de la France, cette France qui avait des couilles et qui s’engageait envers et contre tout. Et puis, n’est-ce pas de bonne guerre ? Ils oublient bien vite que les noms de lieux publics, tant des édifices que des voies de communication, ont toujours été utilisés comme une arme par tous les régimes et toutes les municipalités. La France étant gouvernée par des salopards depuis des décennies, combien doit-on supporter de noms de rues à la gloire de criminels, de politiciens corrompus et d’ennemis de la France et de l’Europe ? Plus aucune rue ne porte le nom du vainqueur de Verdun alors ne venez pas nous les briser avec Hélie de Saint-Marc ! Qui entamera, je l’espère, un renouveau de ce type de noms en France ? Tant de rues aux patronymes datant parfois du Moyen Age ayant été débaptisées pour y accoler la gloire éternelle d’un Stéphane Hessel, d’une Golda Meir ou de Nadia Guendouz !

    Marion Maréchal-Le Pen, je l’aimais bien avant car elle est jolie mais elle vient de tout trahir !

    Amusant de voir tant de gens, tant de camarades, s'enflammer pour le moindre sujet d'actualité... Aujourd'hui, c'est vis à vis de Marion Maréchal-Le Pen et de son abstention vis à vis de la reconnaissance de la Palestine en tant qu'Etat... Ah, la traitresse! Elle a pourtant suivi la ligne du bureau politique du FN... En somme, elle est disciplinée, non? Quoi qu'on puisse en penser (du FN et de la question palestinienne), la discipline dans un parti est fondamentale et son acte n'a rien d'infamant. Elle a favorisé le parti et a oublié son ego (sachant très bien que tous les donneurs de leçons la voueraient aux gémonies). Cela ne fait pas d'elle une pro-israëlienne ! Si???

    La SNCF paiera !

    Je sais, ça ne vous étonne pas. Moi non plus. Depuis que la SNCF avait été pointée du doigt par diverses voix aux Etats-Unis (par celle de l’ADL de l’increvable Abraham Foxman par exemple) comme « complice de crime contre l’humanité », on se doutait bien qu’elle allait s’exécuter… D’abord pour ne pas être marquée du sceau de l’infamie… mais il suffit souvent de banquer pour devenir blanc comme neige, ici ça va coûter à l’Etat français soi-disant en difficulté 60 millions de dollars ! Et puis, surtout, la SNCF pourra, éventuellement, espérer remporter des marchés chez les Ricains qui exigeaient d’abord repentance avant d’accepter de travailler avec elle ! Ce sera chose faite pour l’entreprise française qui en plus d’avoir œuvré pour Hitler, Hades, Mephistopheles et Dracula, a longtemps été utilisée par les armées de Satan lui-même. Certes la gravité n’est pas la même… Citons le Nouvel Observateur : « Réquisitionnée par le régime nazi, la SNCF a transporté 76.000 juifs à travers la France vers les camps d'extermination entre 1942 et 1944. Environ 3.000 d'entre eux ont survécu, selon le groupe ferroviaire. » Lisez-vous comme moi ? « Réquisitionnée » ne serait pas synonyme d’une forme d’obligation ? Donc la SNCF a été obligée de collaborer mais on la fait raquer quand même… Y a pas de petits profits je dis !! Surtout quand la culpabilité est illimitée dans le temps et l’espace ! Qui sera indemnisé ? Voyez donc : « Le nombre exact de bénéficiaires sera en fait connu "rétrospectivement", quand les victimes auront fait valoir leurs droits, a précisé la diplomate française. Chaque déporté survivant devrait ainsi recevoir environ 100.000 dollars, tandis que leur conjoint ou leurs descendants pourront prétendre à plusieurs dizaines de milliers de dollars, selon les négociateurs. »

    La France est dans la merde mais n’est pas seule !

    Si la France, la Belgique et le Royaume-Uni semblent les pays les plus mal barrés en Europe à tous niveaux, on sait que les autres nous suivent de peu. Voyez les pays scandinaves qui peuplaient pourtant les rêves de tant de sympathisants nationalistes depuis des décennies… Oui, ni la rune d’Odal ni le marteau de Thor n’ont pu empêcher la dégénérescence de la Norvège ou de la Suède. L’immigration y est massive, s’y est implantée très vite et en profondeur car, démographiquement, ces pays sont peu peuplés par rapport à la France. Parlons plus spécifiquement de la Suède. En 2014 sont entrés à titre d’exemple 80.000 clandestins. La population n’y est que d’à peine 9 millions d’âmes. La présence de ces étrangers entraîne évidemment crimes par milliers, émeutes, développement de ghettos et modification des mentalités et de la société. Comme vous vous en doutez, le gouvernement et les politiciens entraînent le pays vers sa chute et un rapport récent de l’ONU prédit ainsi qu’en 2030, la Suède sera quasiment devenue un pays du tiers-monde… Pour couronner le tout, toute tentative de résistance est fortement pourchassée, la liberté d’expression n’existe plus et, à partir de Noël, entre en vigueur une nouvelle loi scélérate. Eh oui, toute critique de l’immigration, des immigrés ou du manque d’action des politiciens sur ce sujet pourra désormais faire l’objet de poursuites…Ajoutons pour finir que les populations scandinaves sont encore plus molles et moins résistantes que les peuples cités plus haut, toutes avachies depuis des lustres dans des sociétés calmes, homogènes, riches et sans problèmes… La réalité les rattrape. Et bien vite malheureusement…

    Rüdiger / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Ban Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda

    Avec plus d'un an et demi de retard, les Nations unies ont finalement évoqué les étroites relations qui existent entre les groupes terroristes actifs dans le sud syrien, plus particulièrement dans les provinces de Quneitra et Deraa, et «Israël».

    Dans son rapport trimestriel présenté au Conseil de sécurité, il y a quelques jours, le secrétaire général de l'Onu, le très docile pro-américain Ban Ki-moon, a révélé un secret de polichinelle, qu'ilBan Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda n'était plus en mesure de protéger tant il frôlait le scandale. Le rapport reconnait que les «Israéliens» entretiennent des rapports avec les «rebelles syriens» depuis plus de 18 mois, facilitant le traitement médical des combattants blessés. Le document souligne que l'entité sioniste a soigné plus de 1000 combattants syriens.

    Le texte présenté par Ban Ki-moon se base essentiellement sur les rapports fournis par les contingents de l'Undof, déployés sur le terrain dans le Golan occupé. Ces rapports font état d'une «coordination quotidienne entre Israël et les rebelles syriens, y compris les groupes islamistes affiliés à Al-Qaïda», grâce à des «canaux de communication ouverts en permanence».

    Les rapports des Casques bleus précisent que «soldats israéliens ont été observés permettant à des personnes de passer de la ligne ‘Bravo' -du côté syrien- à la ligne ‘Alpha' du côté israélien, ainsi que des discussions entre des membres de l'opposition armée et des militaires de Tsahal à travers la ligne de cessez-le à proximité de la position 85 des Nations unies».

    Le rapport trimestriel de l'Onu ne nous apprend rien de nouveau. Mais il a l'avantage d'inscrire dans la documentation officielle de l'organisation internationale ce que les analystes savaient depuis longtemps, et que nous avions évoqué à plusieurs reprises sur notre site.

    Coopération dans le renseignement

    En réalité, la coopération entre «Israël» et les groupes terroristes va bien au-delà des soins médicaux apportés aux blessés, et qui ont déjà coûté au contribuable «israélien» plus de 14 millions de dollars, selon l'édition de dimanche dernier du quotidien Maariv.

    L'armée syrienne dispose de preuves irréfutables sur l'assistance militaire directe apportée parUne coopération qui va bien au-delà des soins médicaux apportés aux blessés les «Israéliens» aux groupes extrémistes lors de leur offensive de l'été dernier à Quneitra. Cette aide a permis aux terroristes de prendre, entre autres, les collines stratégiques appelées al-Touloul al-Homr, où l'armée syrienne disposait de matériel de guerre électronique sophistiqué lui permettant de surveiller les réseaux de télécommunication de l'armée «israélienne». Cette aide s'est manifestée par un bombardement à l'artillerie et des raids aériens contre des positions de l'armée syrienne, afin d'ouvrir la voie aux combattants extrémistes. «Israël» est même allé plus loin en abattant, à l'aide d'un missile Patriot, un chasseur syrien au-dessus du Golan, au plus fort de l'attaque terroriste.

    Des sources bien informées en Syrie et à Beyrouth font également état d'une coopération étroite entre les groupes terroristes d'un côté, le Mossad et les autres agences du renseignement «israélien», de l'autre, pour la collecte et le transfert d'informations au sujet des programmes d‘armement et de recherche en Syrie. C'est grâce à cette coopération que l'entité sioniste est parvenue à éliminer plusieurs savants syriens ces trois dernières années. L'opération la plus récente remonte au 10 novembre dernier, lorsque cinq ingénieurs travaillant dans l'énergie nucléaire au Centre de recherches scientifiques à la périphérie de Barzé, dans le nord de Damas, ont été tués dans l'attaque de leur bus par des terroristes.

    En juillet 2013, six fonctionnaires de ce même centre avaient trouvé la mort dans une attaque au mortier menée par les «rebelles». Le 24 août 2012, Nabil Zoughaib, considéré comme l'artisan du programme balistique syrien, a été assassiné par des inconnus. Un an plus tôt, Aws Abdel Karim Khalil, physicien nucléaire et professeur à l'Université al-Baas, à Homs, avait subi le même sort. Et la liste est longue.

    «Israël» viole la résolution 2178

    «Israël» se trouve donc en porte-à-faux avec la fameuse «légalité internationale». En effet, le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté, le 24 septembre dernier, à l'unanimité de ses 15 membres, la résolution 2178, imposant des sanctions contre Daech et le Front el-Nosra.

    Dans cette résolution, les membres du Conseil se disent très préoccupés par le fait qu'une partie du territoire d'Irak et de Syrie est «sous le contrôle de l'Etat islamique et du Front el-Nosra» et que leur présence, leur idéologie extrémiste violente et leurs agissements sont préjudiciables à la stabilité de ces deux pays et de la région.

    Le Conseil de sécurité se déclare disposé à inscrire sur la liste de sanctions les individus, groupes, entreprises ou entités qui apportent leur appui à l'un ou à l'autre de ces deux groupes terroristes.

    Le Conseil prie instamment tous les Etats de coopérer aux efforts faits pour trouver et traduire en justice les individus, groupes, entreprises et entités associés à Al-Qaïda, y compris l'EI et le Front el-Nosra, «qui perpètrent, organisent et commanditent des actes terroristes.»

    Le Conseil de sécurité demande aussi à tous les Etats membres de prendre des mesures nationales pour endiguer le flux de combattants terroristes étrangers qui rejoignent les rangs de l'EI et du Front el-Nosra.

    Le Conseil de sécurité rappelle également, qu'en vertu d'une précédente résolution adoptée cette année, tous les Etats doivent prévenir et réprimer le financement des actes de terrorisme et doivent veiller à ce qu'aucuns fonds, autres avoirs financiers ou ressources économiques ne soient mis directement ou indirectement à la disposition de ces deux groupes extrémistes.

    On voit bien qu'en apportant un soutien au Front al-Nosra et en coopérant avec lui -de l'aveu même de Ban Ki-moon-, «Israël» est en train de violer la plupart des dispositions de la résolution 2178. Y aura-t-il quelqu'un qui osera lui demander des comptes ?

    Samer R. Zoughaib

    Al-Ahednews :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuElFEVkAVFmJieEKs.shtml

  • La guerre contre Poutine et le suicide européen

    Les États-Unis veulent leur guerre contre la Russie, c’est un fait certain. Ils veulent aussi la destruction de l’Europe, toute soumise qu’elle est. La destruction de la civilisation occidentale et de la race blanche satisfera cette « puissance mystérieuse » qui affolait déjà Poe ou Gustave Le Rouge, Duhamel ou bien Céline, et qui n’a jamais caché ses intentions matricides (expression du britannique Douglas Reed). Plus nous sommes inféodés à Washington, plus nous sommes méprisés et insultés par les agents américains en France et en Europe. Mais nous avons pris goût à leurs insultes.

    La Russie ne nous a rien fait, mais ce n’est pas grave. C’est le dernier pays à se réclamer de ses racines chrétiennes, cela suffit pour la détruire. La Russie a vaguement essayé de protéger ses populations menacées par un gouvernement de fous en Ukraine (-10 % de croissance cette année) qui a été mis en place par les agences américaines et leurs relais. La Russie n’a pas été adroite en Crimée mais surtout la Russie n’a pas été secondée par les idiots utiles qui étaient jadis à la solde de Moscou et de ses roubles malades. Ces temps-ci, les idiots utiles sont plutôt les relais de Washington et de ses sbires à qui nous devons les gâchis arabes, africains, asiatiques ! En attendant la guerre contre la Chine qui ne cesse de miner, dit Obama, le bien-aimé et surtout sourcilleux ordre mondial !

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  • Hervé Juvin : "La fin du XXe siècle, c'est la liquidation du monde pour fabriquer de la richesse"

  • L’ONU compte discriminer les Blancs en faveur des Noirs et des Maghrébins pendant les 10 prochaines années

    Les ordures de cette structure mondialiste ne cachent même pas leur haine des peuples européens.

    Lors d’une réunion organisée hierà l’occasion de la Journée internationale des droits de l’Homme au Centre Schomburg pour la recherche sur la culture noire, le secrétaire général adjoint de l’ONU, Jan Eliasson, a annoncé que les Nations Unies allaient mettre en œuvre des initiatives en faveur des droits de l’Homme pour les gens d’ascendance africaine (NDLR :comprendre les noirs vivant dans les pays d’Europe) dans la prochaine décennie, en mettant l’accent sur l’accès égal à la justice.

    L’ONU « contrainte » d’intervenir

    Il a évoqué le débat public « angoissé, mais d’une importance fondamentale » sur les violences policière et le délit de faciès aux Etats-Unis, et estimé que la mort de ces personnes noires mettaient en évidence d’accentuer partout dans le monde les efforts pour assurer l’égalité devant la justice et l’application des lois, et pour promouvoir et faire respecter les droits de l’Homme pour tous.

    L’occasion pour lui d’insister : « les gens d’ascendance africaine représentent l’un des groupes les plus pauvres et les plus marginalisés du monde » ayant fréquemment un accès limité à une éducation de qualité, aux soins, à un logement décent et à l’assurance vieillesse. Autant de domaines où l’ONU sera probablement « contrainte » d’intervenir au « prix » d’une discrimination positive.

     

    La décennie des personnes d’ascendance africaine et l’esclavage

    Jan Eliasson a donc annoncé que cette journée marquait le début de la « décennie des personnes d’ascendance africaine » de l’ONU, précisant qu’elle serait « une occasion de mettre en lumière l’inégalité vécue par les Africains et la diaspora africaine dans le monde et d’attirer l’attention sur le fardeau historique de l’esclavage et du colonialisme ». L’ONU s’apprête d’ailleurs à installer un mémorial permanent en l’honneur des victimes de l’esclavage et de la traite transatlantique des esclaves.
    L’occasion de rappeler que l’Eglise s’est toujours fermement opposée à la pratique de l’esclavage, ce qui n’a jamais été le cas en terre d’islam où il a toujours, et est toujours, pratiqué activement.

    Notons avec « étonnement », que l’ONU n’a pas prononcé un mot sur ce dernier point.

    Source : Reinformation.tv

    http://www.contre-info.com/lonu-compte-discriminer-les-blancs-en-faveur-des-noirs-et-des-maghrebins-pendant-les-10-prochaines-annees

  • Manuels Valls a-t-il honte de son islamolâtrie obséquieuse ?

    Le califat islamique en Irak vient d’édicter son règlement relatif aux esclaves de sexe féminin, son butin de guerre djihadiste vendu aux enchères. A Mossoul, des enfants chrétiens ont été égorgés après avoir refusé de devenir musulmans. Les immigrés musulmans en Europe prient pour que le Califat vainque. Etc. Ainsi va l’Islam réel. Mais surtout, il ne faut pas faire d’amalgame avec l’Islam fantasmé.

    Rappelez-vous. C’était le 26 juin 2014 et Manuel Valls était venu à l’Institut du Monde Arabe voir son pote Jack Lang, bienheureux directeur à plus de 10 000 Euros par mois, pour y faire un discours dégoulinant de dhimmitude et d’islamolâtrie obséquieuse. Etait-il vraiment nécessaire d’en dire autant ? Un paragraphe avait particulièrement retenu notre attention. Il disait :

    MPI - 14 - 02 - extrait complet -

    Vous avez bien lu : « L’Islam est la seconde religion de France ! Mais, au-delà des musulmans de France, c’est toute une Nation qui reconnait ici la grandeur, la finesse et la diversité de l’Islam ; c’est toute une Nation qui dit aussi que l’Islam a toute sa place en France, parce que l’Islam est une religion de tolérance, de respect, une religion de lumière et d’avenir, à mille lieux de ceux qui en détournent et en salissent le message. » Euh, sauf que ce discours, c’est l’Islam fantasmé.

    Le passage est disponible ici sur le site du gouvernement « français » :

    Les gens attentifs, dont je suis, auront noté que le paragraphe ci-dessus est toujours présent dans le pdf joint, mais qu’il a disparu de la version en ligne :

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  • Marx Lénine terreur et cocaïne

    Le retour en France ce 10 décembre de Serge Lazarevic, heureux dénouement d'une affaire qui traînait depuis trop longtemps, nous a rapprochés de douloureux souvenirs. Au moment de la libération d'Ingrid Betancourt, par exemple, les Français ont eu l'occasion de comprendre que les réseaux terroristes, en l'occurrence ceux des Farc se finançaient en partie par les prises d'otages, c'est-à-dire par des versements de rançons.

    Publiée le 30 juillet une enquête du "New York Times" estimait à et égard à plus de 105 millions de dollars le montant des rançons encaissées depuis 2008 par le seul groupe "al-Qaïda". Les Français détiendraient ainsi la triste première place avec des paiements cumulés de 58 millions de dollars, ce qui représentait au change de l'été dernier la valeur de 43 millions d’euros. Une coûteuse et peu honorable médaille d'or dont on se passerait bien.

    Qu'il s'agisse de ces islamo-terroristes ou de ceux de "l'État islamiste" (1)⇓ , leurs ressources n'ont pas manqué de se diversifier. Les "djihadistes" d'Irak et de Syrie par exemple s'appuient sur la contrebande du pétrole, au cours très attractif pour les acheteurs de 20 dollars le baril. Ceci a conduit les Américains, engagés dans la lutte depuis août, à entreprendre avec succès de détruire par des bombardements les installations de raffinage.

    Autre exemple, quand on apprend que la secte Boko Haram au Nigéria annonce cyniquement, – ce que d'autres accomplissent plus discrètement, – à savoir qu'elle vend comme esclaves les lycéennes enlevées par l'organisation on doit bien se représenter qu'il s'agit aussi, pour celle-ci, d'une source de revenus. Et cet ignoble commerce se retrouve dans un grand nombre de régions où règne ce mode d'action intrinsèquement pervers.

    Par nature le terrorisme considère que tout est permis pour sa cause.

    Au départ, on retrouve cette idée commune à beaucoup révoltés qui se veulent des révolutionnaires et qui en brandissent les drapeaux. "Eux" et "nous" : l'expression conduisait déjà la ligne de conduite des nihilistes russes, de la secte de Netchaïev. Celle-ci inspira à Dotoïevski son roman "les Possédés/les Démons" qui servit, avec les fausses doctrines de Marx, de matrice au léninisme. "Eux" sont supposés toujours et en toutes circonstances, des "salauds", des exploiteurs, des ennemis du peuple, hier "fascistes", aujourd'hui "néo-libéraux". Donc cela permet à "nous" d'utiliser, en invoquant au départ "la Cause" non seulement n'importe quel moyen d'action mais aussi n'importe quelle méthode de financement.

    Le narco-terrorisme en Amérique latine vient de la sorte au secours de la guérilla marxiste-léniniste.

    Voici de la sorte ce que je trouve sur l'excellente chronique des événements courants que met en ligne l'Institut d'Histoire sociale ce 11 décembre.

    L'AFP, ce 8 décembre diffusait une importante nouvelle en provenance de Bogota. Quoique reprise par certains médias ("Le Parisien", "L'Express", etc) elle est sans doute passée inaperçue. Or, elle confirme matériellement le lien entre cette organisation terroriste d'extrême gauche et le trafic de drogue.

     

    Plus d'une tonne de cocaïne, attribuée à la guérilla communiste des FARC, a été saisie au sud de la Colombie par les militaires près de la frontière avec l'Équateur, ont annoncé dimanche les autorités colombiennes. "Des unités de la marine ont saisi 1 123 kg de chlorhydrate de cocaïne cachés dans une zone marécageuse à l'embouchure du fleuve Mira à une quarantaine de kilomètres au sud de Tumaco, dans le département de Nariño. La cache appartient à une unité mobile des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC)"indique le communiqué des Forces navales du Pacifique.

    La drogue répartie en 1 168 paquets cachés à l'intérieur de soixante sacs de fibres végétales noires, atteint sur le marché noir international une valeur estimée à 30 millions de dollars, précise le communiqué. La marine colombienne a saisi en une année, dans la région Pacifique, plus de trente tonnes de cocaïne, selon la même source. (2)⇓

     

    Au total on se reportera à l'évaluation de l’agence des Nations Unies pour la lutte contre la drogue et le crime organisé. Cette institution estime à cet égard qu'après la Bolivie, gouvernée par le "cocalero" indianiste et marxiste Evo Morales les zones contrôlées par la guérilla en Colombie constituent l'un des principaux producteurs de cocaïne au monde et en ont produit environ 290 tonnes en 2013.

    Après cela on aimerait que soient mises en perspective les prétendues révélations sur les méthodes et les mesures que les services de police ou de renseignement des pays occidentaux se trouvent, hélas, amenés à mettre en œuvre pour lutter contre la criminalité et la terreur.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1.  on commence à prendre l'habitude de l'appeler "Daech" en français "Daesh" en anglais, mais en arabe ça se prononce plutôt "Daash" داعش. 
    2.  cf. le 11.12 Les FARC, entre le communisme et la cocaïne