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international - Page 972

  • Les Russes Blancs approuvent la Russie

    Dans une déclaration intitulée Solidaires de la Russie, rédigée par le prince et la princesse Dimitri et Tamara Schakhovskoy, des descendants d'émigrés russes approuvent la politique de Poutine :

    "[...] Malgré leur rejet total de l’Union soviétique, nos parents et grands-parents ont été bouleversés par les souffrances du peuple russe lors de la Deuxième guerre mondiale. A notre tour, nous refusons l’indifférence et le silence – devant l’extermination programmée des populations du Donbass, la russophobie délirante, l’hypocrisie de procédés totalement contraires aux intérêts d’une Europe qui nous est chère. Nous voulons espérer que les pays qui ont accueilli nos familles retrouveront bientôt la voie de la raison et de l’objectivité."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • “El Watan” s’inquiète du succès en France du thème du “grand remplacement”

    Le grand quotidien algérien en français, El Watan, le journal de référence en Algérie, s’inquiète dans un article récent du succès en France du thème du “grand remplacement”. Extraits :

    “Le discours raciste décomplexé est devenu, ces quelques dernières années, une opinion dans la «patrie des droits de l’homme». Tous les sondages et les élections, depuis 2012, affirment une percée de l’extrême-droite et de la droite dure. Dans ce contexte, la nouvelle théorie raciste, dite «le grand remplacement», pénètre dans les mœurs sociales et politiques françaises. Renaud Camus est l’inventeur de ce concept. D’autres intellectuels en font la promotion comme Eric Zemmour et nos confrères de Valeurs Actuelles.”
    […]

    [Dans Valeurs Actuelles :] “C’est ainsi que Madouas attaque son sujet, se donnant dès le début bonne conscience d’une plume chevaleresque qui «casse» les tabous au nom de liberté. C’est ce que font d’ailleurs Zemmour, Alain Finkielkraut, ou encore Ivan Rioufol, notamment en évoquant l’immigration, l’identité et l’Islam.”
    “Cette histoire de «Grand remplacement», pleine de fantasmes refoulés de racisme anti-immigration afro-maghrébine, se propage depuis septembre 2013 avec la publication du manifeste«Non au changement de peuple et de civilisation», rédigé par Renaud Camus.”
    […]

    “Dans son texte, l’alarmiste Renaud [Camus] met en garde ses compatriotes :«Le Grand remplacement est le choc le plus grave qu’ait connu notre patrie depuis le début de son histoire puisque, si le changement de peuple et de civilisation, déjà tellement avancé, est mené jusqu’à son terme, l’histoire qui continuera ne sera plus la sienne, ni la nôtre». ”

    “Se cachant derrière une posture de démographe et économiste antimondialisation, Renaud [Camus] publie même un livre sur ce sujet :Le Changement de peuple. Il y explique, à sa manière, le phénomène du remplacement démographique en affirmant que les Français de souche«seront remplacés rapidement»par une«colonisation de peuplement», originaire notamment du Maghreb et de l’Afrique noire.”
    […]

    “La messe est dite aussi brusquement par le père de cette théorie : «(En France) les nourrissons sont arabes ou noirs, et volontiers musulmans», «la vieille population blanche meurt plus et se reproduit trop peu» au moment où «la fécondité afro-maghrébine est plus élevée». ”
    […]

    http://fr.novopress.info/180360/el-watan-sinquiete-du-succes-en-france-du-theme-du-grand-remplacement/

  • La guerre nucléaire, c’est pour quand ?

    Notre monde brûle, nous pérorons, nous menaçons et l’ONU reste assise le cul entre deux chaises.

     

    Rien ne justifie la guerre ! Ni le nationalisme, ni la domination, ni l’idéologie, ni l’économie. Ce ne sont pas là les causes véritables des guerres mais seulement l’occasion de les faire. L’Amérique joue avec le feu, la Russie joue avec le feu, la Corée du Nord joue avec le feu, le monde entier joue avec le feu. Suite aux accusations de piratage dénoncées par les États-Unis, la Corée du Nord menace de renforcer de toutes les manières possibles ses capacités d’autodéfense, y compris sa puissance nucléaire. Suite à la volonté américaine d’implanter, dans le cadre de l’OTAN, des ogives nucléaires en Ukraine, près de la frontière de la Russie, cette dernière s’est appropriée la Crimée et a provoqué une séparation entre l’est et l’ouest de l’Ukraine.

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  • L'Otan, menace fondamentale pour la Russie, selon sa nouvelle doctrine militaire

    Vladimir Poutine a entériné vendredi une nouvelle doctrine militaire en vertu de laquelle l'expansion de l'Otan constitue une menace fondamentale pour la sécurité de la Russie, quelques jours après le pas en avant fait par l'Ukraine en vue de son entrée dans l'Alliance.

    La doctrine militaire précédente, qui date de 2010, présentait déjà l'Otan comme une menace pour la Russie, mais la nouvelle version a été préparée dans un contexte de tensions beaucoup plus vives, sur fond de crise ukrainienne.

    La doctrine, publiée sur le site du Kremlin, s'inquiète ainsi du "renforcement des capacités offensives de l'Otan directement aux frontières russes", une allusion au positionnement par l'Alliance de troupes en Pologne et dans les pays baltes.

    Moscou évoque en outre les "mesures prises pour déployer un système global de défense antimissile" en Europe centrale et orientale, un projet défendu par les États-Unis et que la Russie interprète comme étant dirigé avant tout contre elle.

    Le texte est rendu public après l'abandon mercredi par l'Ukraine de son statut de pays non-aligné, un geste en grande partie symbolique mais qui représente un pas supplémentaire sur la voie d'une éventuelle entrée dans l'Alliance atlantique.

    Une adhésion à l'Otan est toutefois une perspective très incertaine pour Kiev, qui doit fournir des efforts gigantesques pour mettre son armée aux normes de l'Alliance et dissiper les craintes de certains pays membres tels que la France et l'Allemagne, très réticents à cette idée.

    La Russie, qui a promis de "réagir" en cas d'entrée de l'Ukraine dans l'Otan, réaffirme néanmoins le caractère défensif de sa doctrine militaire, mettant l'accent sur un engagement de ses troupes à la seule condition que toutes les solutions non-violentes soient épuisées.

    Le texte répète ainsi que "la prévention d'un conflit militaire nucléaire ou de tout autre conflit constitue la base la politique militaire russe".

    La Russie se réserve toutefois le droit d'utiliser son arsenal nucléaire en cas d?agression contre elle ou ses alliés ou en cas de "menace sur l'existence même de l?État". Le terme d'"attaque préventive" n'apparaît pas, contrairement à ce que craignaient certains médias russes.

    La doctrine note que la "probabilité d'une guerre d'envergure contre la Russie a diminué", mais fait la liste d'une série de menaces qui se sont intensifiées dans certains domaines tels que les revendications territoriales, "l'ingérence dans les affaires intérieures" des États et l'envoi d'armes stratégiques dans l'espace.

    Elle introduit également le concept de "dissuasion non-nucléaire", qui passe par le maintien à un haut niveau de préparation des forces militaires conventionnelles et un engagement à l'égard des organisations régionales de sécurité telles que la CEI (Communauté des Etats indépendants).

    Moscou indique également qu'une des principales tâches de ses forces armées en temps de paix sera d'"assurer les intérêts nationaux de la Russie dans l'Arctique", une région stratégique pour le développement économique et l'approvisionnement énergétique futur de la Russie, que revendiquent aussi les États-Unis et le Canada.

    Elle voit enfin dans l'"influence par l'information" sur la population russe une des principales menaces intérieures avec le terrorisme, puisqu'elle "sape les traditions historiques et patriotiques" de la société.

    source : Afp via yahoo

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuEAyVVuFkwEnZTcxM.shtml

  • Cuba la rouge restitue les biens de l'Eglise

    Lu ici : 

    "Les autorités cubaines ont commencé la restitution de maisons, d’églises paroissiales, de terres et de bâtiments à leurs anciens propriétaires. Ces biens avaient été pris par le gouvernement lors du triomphe de la révolution.

    Ceci est le résultat d’un discret processus porté par le pape François devenu médiateur entre Cuba et les États-Unis pour obtenir un dégel historique, processus qui a abouti la semaine dernière lorsque les dirigeants des deux pays ont annoncé le rétablissement des relations diplomatiques après plus de 50 années d’hostilités.
    « Nous demandons au Seigneur de continuer ce processus de réconciliation et de paix que le Pape François a (…) encouragé et soutenu », a déclaré le cardinal cubain Jaime Ortega au cours de son homélie de la messe de Noël dans la cathédrale de La Havane.
    Un comptage des biens rendus mené par l’Associated Press indique qu’il ne concerne à présent qu’une douzaine de biens  » C’est un geste positif de la part des autorités. C’est en quelque sorte le rétablissement de ce qui appartenait à l’église, et cela produit un climat de confiance » dit le Père José Felix Perez, secrétaire adjoint de la Conférence des évêques catholiques de Cuba. «Cela se fait progressivement, il faut le noter ».

    En plus de la chapelle de l’Université, rendue à la fin de 2009, le processus comprend quelques propriétés prestigieuses du pays, a déclaré un membre de l’église. Parmi les bâtiments rendus, deux églises à Santiago de Cuba, San Jose Obrero et San Benito; un presbytère et quelques bâtiments qu’occupaient des commerces. Plusieurs temples, qui étaient à l’intérieur d’usines de sucre ont été rendus avec des terrains et une chapelle dans le diocèse de Bayamo-Manzanillo".

    Le Salon Beige

  • Sortir de la dette par la croissance : impossible

    Janet Yellen a fait les gros titres il y a quelques jours. Elle a dit qu’elle se montrerait patiente au sujet de la “normalisation” des taux d’intérêt.

    Les investisseurs n’ont pas su quoi en penser. La moitié s’est dit que ce serait bon pour les actions — faisant grimper les cours. L’autre moitié en a déduit que cela signifiait une hausse des taux anticipée — et s’est débarrassée des obligations.

    Les investisseurs attribuent à Mme Yellen bien trop de crédit. Va-t-elle augmenter les taux à Pâques… ou à la Trinité ? Elle ne le sait probablement pas elle-même. Elle lit les journaux tout comme nous, et se demande comment elle va pouvoir s’en sortir. Elle se regarde dans le miroir le matin et reste le souffle coupé par la manière dont les gens la surestiment.

    Elle sait… du moins avant de se maquiller… que toute cette histoire n’est rien que cosmétiques et fausse comptabilité. Simplement, elle ne veut pas être la présidente de la Fed qui l’admettra… celle qui fera finalement éclater la bulle et provoquera une dépression…

    En attendant, les nouvelles de ces derniers jours ont été dominées par une chose improbable et une chose inévitable. Les États-Unis lâchent enfin du lest. Après un demi-siècle, il était temps que les États-Unis abandonnent leur rancune durable envers le régime de Castro. A la lumière de l’histoire, il ne semble pas si épouvantable. Après tout, beaucoup de films ont été tournés qui comptaient un personnage à la Fidel; jamais, pourtant, il n’a menacé de faire exploser des cinémas.

    De plus, Cuba sera plus sympathique à visiter que la Corée du Nord. Imaginez un pays presque étanche aux progrès des 50 dernières années. Pas de centres commerciaux, d’affiches géantes, d’autoroutes, de radars, de républicains, de démocrates, d’alertes à la bombe, de dette étudiante ou d’assouplissement quantitatif.

    Plutôt pas mal, non ?

    ▪ Revenons-en à la situation macroéconomique à la fin 2014.

    Le PIB se mesure en additionnant les dépenses – la consommation, l’investissement, les dépenses gouvernementales et les exportations nettes.

    Pour prendre un exemple, le PIB américain serait actuellement de 18 000 milliards de dollars, dont 3 500 milliards sous la forme de dépenses fédérales. Ajoutez à cela les dépenses des autorités locales et le total dépasse les 6 000 milliards. Cela signifie que le secteur privé — celui qui paie les factures — ne représente que 12 000 milliards.

    La dette totale aux États-Unis est désormais de 58 000 milliards de dollars (et non 60 000 milliards comme annoncé hier… mais que sont quelques milliards ici ou là ?) C’est près de cinq fois l’économie réelle qui la soutient.

    Ceci contribue à expliquer pourquoi il est si difficile de se sortir de la dette par la croissance.

    Même si l’on pouvait limiter l’augmentation de la dette à 3% du PIB par an, la partie productive de l’économie devrait se développer de 5% rien que pour faire du surplace. Aucune économie développée au monde ne croît aussi rapidement.

    A un taux d’intérêt moyen de 3%, l’intérêt annuel sur 58 000 milliards de dollars est de 1 700 milliards. C’est légèrement moins de 10% du PIB mais c’est 14% — soit un dollar sur sept — de l’économie privée.

    Rien qu’en janvier 2002, le bon du Trésor US avait un rendement de 5%. Si le taux d’intérêt moyen retrouvait ce niveau — et ce sera le cas tôt ou tard — il faudrait 3 000 milliards de dollars pour payer la dette américaine, ou un quart de la production privée.

    Cela ne peut arriver ; tout exploserait. Il se produirait un marché baissier pour les actions et une dépression de l’économie — vaporisant des milliers de milliards de dollars de dettes irremboursables et d’investissements impossibles. C’est ainsi que la nature traite les bulles de dette. Mais c’est exactement ce que la Fed veut éviter. Comment ? En tentant de faire croître l’économie plus rapidement de manière à alléger le fardeau de la dette — en pourcentage de la production.

    ▪ Comment est-ce que ça fonctionne ?

    Pour se sortir de la dette par la croissance, il faut augmenter les revenus plus rapidement que la dette. Disons que vous pouvez soutenir un taux sain de croissance du PIB de 3% par an. Cela signifie que la dette additionnelle ne peut dépasser les 3%.

    Le déficit budgétaire des États-Unis en 2014 était de 2,8% — nous prenons les États-Unis à titre d’exemple, au passage, mais le même raisonnement peut s’appliquer à toutes les économies développées de la planète. Il y a peu de chance qu’il passe sous ce niveau. Et ce n’est là que la somme empruntée par les autorités. Le secteur privé représente encore deux tiers de l’économie. S’il n’empruntait rien, la dette pourrait se contracter par rapport à l’économie sous-jacente. Mais sans emprunt, l’économie ne se développera pas ; elle se réduira. C’est pour cette raison que les autorités sont intervenues en 2009. Le secteur privé a cessé d’emprunter.

    La théorie de la politique contra-cyclique keynésienne, c’est que le gouvernement peut compenser le manque de crédit de la part du secteur privé en empruntant bien plus que d’ordinaire. Au cours des cinq dernières années, les programmes de relance du gouvernement fédéral US ont ajouté 9 000 milliards de dollars à la dette américaine. Durant cette période, cependant, le secteur privé a tout juste augmenté.

    La dette ne peut enrichir l’économie que si elle est utilisée pour construire de nouvelles capacités productives. Si on la dépense en programmes sociaux et en guerres, elle disparaît pour toujours. Le secteur privé termine avec un fardeau plus lourd… et un dos plus faible pour le porter. Même quand la dette est utilisée par le secteur privé, c’est souvent uniquement pour stimuler les dépenses de consommation. Qui plus est, les taux ultra-bas de la Fed attirent souvent les capitaux dans des investissements instables et dangereux — comme le pétrole de schiste ou les prêts subprime.

    De sorte qu’une grande partie du crédit allant au secteur privé est également gâchée. Les taux de croissance du secteur privé baissent depuis les années 70. Mis au fer par des milliers de milliards de dollars de dette, bâillonnés par des réglementations et des restrictions, trompés par des signes financiers factices de la part des banques centrales… ils resteront probablement bas et chuteront plus bas encore dans un proche avenir.

    Se sortir de la dette par la croissance ? Peu probable.

    http://fortune.fdesouche.com/369893-sortir-de-la-dette-par-la-croissance-impossible#more-369893

  • Le Qatar fait son entrée dans le capital de vente-privée.com

     

    La nouvelle vient d'ici (le site) : 

    "Le Qatar, via son fonds souverain Qatar Investment Authority, a fait son entrée au capital du site de déstockage en ligne vente-privée.com, dont il est désormais un "actionnaire minoritaire de poids", indique le site dans un communiqué.

    Dans cette publication parue sur le site internet du déstockeur, Jacques-Antoine Granjon indique qu'il a également "renforcé sa position à la direction de vente-privee.com et sa participation au sein du capital de la société" qu'il a fondée en 2001.

    "Je garde le contrôle total de l'entreprise avec mes associés historiques", a déclaré Granjon au Monde.

    La structure du nouvel actionnariat et le niveau des participation du Qatar et de Granjon ne sont pas détaillées.

    L'arrivée des Qataris, qui ont déjà investi dans plusieurs hôtels de luxe et détiennent de nombreuses participations dans des grandes entreprises françaises, pourrait notamment permettre à vente-privee.com "d'entretenir des relations privilégiées" avec les marques, notamment de luxe, dans lesquelles l'émirat a déjà investi". 

    Le Salon Beige

     

  • Noël et croix interdits

    Cela se passe en Chine :

    "Le gouvernement de Wenzhou, dans l’est de la Chine, a interdit tout événement lié à la fête de Noël 2014 (...). Une note diffusée dans tous les établissements de la ville par le responsable de l’éducation du gouvernement local estime en effet que les écoles doivent fêter les célébrations traditionnelles chinoises, comme le solstice d’hiver, et non Noël, qui s’apparente selon ce texte à une « tradition occidentale ». (...)

    Dans d’autres parties du pays, comme à l’université de Xi’an, capitale de la province du Shaanxi (centre du pays), les étudiants sont contraints, depuis plusieurs années, de regarder un documentaire sur Confucius le soir de Noël. Tout étudiant quittant la salle est sanctionné.

    Par ailleurs, une campagne de démolition de croix et d’églises, menée par le pouvoir chinois dans la province du Zhejiang, au sud-est du pays, s’étend. Plusieurs centaines de croix ont déjà été détruites.

    Selon l’ONG « China Aid Association », les destructions se répandent à présent dans d’autres provinces du pays. Dans le seul Zhejiang, 426 croix chrétiennes ont été démontées en novembre, rapporte l’agence d’information catholique Asianews.

    À Dingqiao, des heurts ont eu lieu entre des représentants du Bureau des affaires religieuses, des ouvriers chargés du démantèlement de la croix et des fidèles locaux qui ont essayé de les empêcher d’agir. Des paroissiens ont été blessés dans les échauffourées, et certains ont été hospitalisés. (...)

    Dans la province du Henan, la destruction d’une croix, le 18 décembre, a été le théâtre d’une lutte acharnée. Les autorités locales ont saisi le terrain appartenant à l’église et au pasteur. Ce dernier a été condamné à 12 ans de prison."

    Louise Tudy