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islamisme - Page 354

  • L’Institut Civitas dans le viseur des terroristes de l’Etat islamique

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    L’« association catholique conservatrice »ciblée par l’Etat islamique a désormais un nom : Civitas. Selon Libération, c’est l’Institut Civitas qui avait été donné comme cible, depuis la Syrie, aux terroristes de l’Etat islamique (dont les frères El Bakraoui et Mohamed Abrini) responsables des attentats de Paris et de Bruxelles. Cette information figure dans un fichier audio découvert dans un ordinateur appartenant aux terroristes.

    Proche de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X (les « lefebvristes »), l’Institut Civitas est une organisation basée à Argenteuil, dans le Val-d’Oise, et elle est ordinairement qualifiée de catholique intégriste. Civitas, qui se définit comme « est un mouvement politique inspiré par le droit naturel et la doctrine sociale de l’Église et regroupant des laïcs catholiques engagés dans l’instauration de la Royauté sociale du Christ sur les nations et les peuples en général, sur la France et les Français en particulier », est dirigé par Alain Escada, de nationalité belge.

    Coïncidence : c’est à Argenteuil qu’a eu lieu hier l’ostention de la « sainte tunique du Christ » en présence du cardinal Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin. La cérémonie a réuni des milliers de personnes.

    Civitas organise chaque année son propre défilé de Jeanne d’Arc : le prochain doit avoir lieu le 8 mai au départ de la place Saint-Augustin, à Paris.

    http://fr.novopress.info/

     

  • Une « association catholique conservatrice » ciblée par l’Etat islamique !

    L’Etat islamique a identifié une cible à Paris : une « association catholique conservatrice » ! C’est ce qui ressort de l’analyse d’un ordinateur retrouvé après l’arrestation à Anderlecht de l’« homme au chapeau », Mohamed Abrini, le « troisième homme » vu sur les images de vidéosurveillance de l’aéroport de Bruxelles. ITélé, qui a diffusé l’information, n’a pas précisé quelle est cette association.

    La cellule terroriste de Daech n’aurait frappé Bruxelles le 22 mars qu’en raison de l’accélération des investigations policières. Son véritable objectif était une nouvelle fois Paris. Le quartier de La Défense est aussi visé.

    http://fr.novopress.info/

  • Immigration illégale : Frontex confirme les pires craintes

     Le rapport d’analyse des risques pour 2016, « Risk Analysis 2016 », de l’agence européenne de surveillance des frontières Frontex, publié mardi, reconnaît officiellement qu’il y a des terroristes parmi les « migrants ». Ce rapport de 76 pages, rédigé en anglais, expose les dangers de l’immigration illégale et les carences des contrôles aux frontières extérieures, notamment en Grèce où les politiques de rigueur imposées par Berlin et Bruxelles ont conduit à une importante réduction des moyens de surveillance. Une grande partie des arrivants se servent de faux papiers ou n’ont pas de papiers du tout, le système Eurodac, où doivent être enregistrées les données biométriques des clandestins, ne fonctionne pas (beaucoup d’arrivants ne sont pas enregistrés ou bien leurs données ne sont pas envoyées au système, et leur identité ne peut pas être vérifiée), etc.

    Et si le nombre d’arrivées en Italie a diminué de 10 % en 2015, ce n’est qu’en raison de la baisse du nombre de Syriens qui ont préféré passer par la Grèce ou la Bulgarie. En effet, le nombre de clandestins originaires d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique de l’Est s’est lui accru de 42 % en 2015, atteignant 108 000 personnes (principalement des immigrants économiques). Parallèlement, alors que le nombre d’arrivées illégales dans l’UE explosait en 2015, dépassant largement le million, le nombre de rapatriements restait stable, à moins de 120 000.

    En Allemagne, ainsi qu’il ressort d’un rapport confidentiel du ministère de l’Intérieur divulgué par le journal Bildmardi, un demi-million d’immigrantsclandestins ne se sont pas fait enregistrer et résident en toute illégalité. La police fédérale (BKA) s’en inquiète car ces personnes, ne percevant aucune allocation, ne peuvent vivre que de travail au noir, de délinquance et de criminalité. Combien de djihadistes infiltrés parmi ces immigrants qui préfèrent rester cachés ?

    En septembre 2015, Hans-Peter Friedrich, ministre de l’Intérieur allemand de 2011 à 2013, prévenait en ces termes contre l’arrivée incontrôlée « d’immigrants dont on ne sait absolument rien » : « C’est une énorme faute politique qui peut avoir des conséquences dramatiques. Nous risquons de payer très cher le fait de ne pas enregistrer ces gens, de ne pas contrôler leur identité. Nous avons perdu tout contrôle. »

    Aujourd’hui, Frontex confirme le danger, mais il est malheureusement trop tard.

    Olivier Bault

    Article paru dans le n° 8584 de Présent daté du 9 avril 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Attention, écoles musulmanes !

    Le ministre de l’Education nationale, alerté par les maires, vient de s’émouvoir de l’expansion des écoles musulmanes, sous contrat avec l’Etat mais le plus souvent sans. La plupart de ces établissements sont sous influence salafiste. Comment peut-on s’en étonner puisque le Premier ministre a reconnu que le salafisme « est en train de gagner la bataille idéologique et culturelle » (voir Présent du 6 avril) et l’école n’est-elle pas le lieu privilégié pour livrer cet assaut dès le plus jeune âge ? Ce ne sont pas les musulmans supposés « modérés » qui choisissent ces établissements scolaires là, mais les partisans d’un islam rigoriste, proches de l’UIOF, filiale française des Frères musulmans. Les autres se contentent de l’enseignement public ou… de l’école catholique. Il n’est en effet plus rare, dans certaines banlieues, qu’on trouve dans les écoles catholiques la moitié d’élèves musulmans, voire 80 % dans d’autres, ce dont l’épiscopat français a fini par s’émouvoir lors de la récente assemblée de Lourdes.

    Cfc59vtWIAEJ7Ix.jpgAlors que le gouvernement avait négligé le phénomène pendant des années, il a décidé, après les attentats de novembre, de dépêcher dans les écoles de l’islam un bataillon d’inspecteurs de l’éducation. Ces fonctionnaires, jusque-là, n’étaient pas arabophones. On vient d’y songer, il était temps ! Mais même sans comprendre l’arabe, les inspecteurs y ont constaté des « pauvretés pédagogiques », indique-t-on rue de Grenelle, l’essentiel étant d’y vivre l’islam plus que d’apprendre la littérature française des mécréants. Un ex-enseignant du lycée Averroès de Lille, sous contrat, en a témoigné : « Sous couvert de projet éducatif républicain, il pratique un double jeu et diffuse de manière sournoise, une conception de l’islam qui est celle des Frères musulmans. »

    Que faire ? Le ministre de l’Education nationale a déclaré : « Nous explorons toutes les voies possibles y compris celle d’une évolution essentielle du droit. » Cela vise surtout les écoles hors contrat. Il convient de rappeler ici les dégâts collatéraux infligés aux catholiques par la percée de l’islam. Pour ne pas « discriminer » les fidèles de Mahomet, en bannissant le voile à l’école on a interdit dans le même mouvement la croix aux catholiques. L’idée étant que tout ce qu’on refuse aux musulmans doit l’être aux chrétiens. Certains de ceux-là demandent donc que, puisque l’appel à la prière du muezzin n’est pas possible en France, les cloches des églises soient aussi interdites. C’est une des conséquences du refus de constater les racines chrétiennes de l’Europe dans le Traité de Lisbonne, concocté par Sarkozy.

    Le changement de législation dans un sens restrictif visant les écoles musulmanes sera évidemment appliqué aux chrétiens, de nombreux parents, désireux d’échapper à l’idéologie du genre, suscitent des établissements vraiment libres et catholiques. Parmi les reproches faits aux écoles musulmanes, il y a, selon Najat Vallaud-Belkacem, un manque de volonté d’y « développer l’esprit critique ». Il faut entendre par là une critique de la religion que nos socialistes veulent appliquer à toutes, la foi devant fondre au rouge soleil des Lumières et, actuellement, par ricochet, ils espèrent bien atteindre l’Eglise en prétendant lutter contre la Mosquée.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent n° 8583 daté du 8 avril 2016

    http://fr.novopress.info/200197/attention-ecoles-musulmanes/#more-200197

  • Contre le pacifisme et pour l’usage de l’arme nucléaire contre l’État Islamique

    “La mosquée d’Athènes”, voilà qui pourrait devenir un titre de roman, d’horreur si je devais choisir le genre. Je fais référence ici à l’intense conflit autour de la construction d’un de ces lieux de culte de la fausse religion mahométane qui se multiplient en Europe de l’Ouest et du Sud.

    En lisant la presse grecque ces derniers jours, on apprend en effet que l’extrême-gauche au pouvoir en Grèce est déterminée à liquider ce qu’il reste de l’héritage spirituel de ce pays dont elle préside à l’effondrement.

    Le journal britannique Mail online rapporte (source) :

    Un officiel du ministère de l’Education et des Affaires Religieuses a déclaré qu’ils doivent avancer rapidement sur la construction de la mosquée qui été annoncée en 2006 mais qui est retardé par des recours.

    L’officiel indique : “C’est précisément en raison des récentes attaques terroristes que nous devons avancer rapidement sur la construction de la mosquée à Athènes. Chaque jour sans mosquée et imams officiels à Athènes, nous payons pour un risque accru de radicalisation des musulmans agissant dans l’ombre ou dans des lieux non officiels de culte”.

    Je publiais récemment un article sur ce même blog intitulé “Chaque attentat accroit la capitulation des élites, pas l’inverse” (lire ici). Le titre résume assez bien le propos et si je le cite ici c’est parce que ce n’est pas le fruit de conjectures délirantes de ma part mais d’une réalité observable, dans toute l’Europe occidentale.

    Dans ce cas d’espèce, c’est bien le gouvernement grec – pas moi – qui établit un lien entre terrorisme et nécessité de répondre aux exigences toujours plus croissantes de l’envahisseur musulman, d’origine orientale ou africaine. Ce que l’on appelle “l’apaisement”.

    Politique dont Churchill disait : “Un promoteur de l’apaisement, c’est quelqu’un qui nourrit le crocodile en espérant qu’il le mangera en dernier”.

    Psychologie du pacifisme

    Dans une article de 2009, traitant du pacifisme occidental d’avant-guerre dans un article intitulé A la guerre comme à la paix (lire ici), Annaëlle Lebovits parle du profil psychologique du pacifiste qui ne sera pas sans vous rappeler quelque chose de plus contemporain :

    “Le pacifiste se réfugie derrière des intentions droites et nobles, ses discours se parent d’humanisme, de foi en l’autre et de respect. Car la figure du faible enjoint la compassion […] La réciprocité absolue des rapports humains fait l’objet de la foi triviale qui meut le pacifiste. La bonté appelle la bonté, pense-t-il, et le respect, le respect ; seule la haine engendre la haine, les victimes sont des bourreaux qui s’ignorent. Le pacifiste nie ainsi sa dissemblance à l’ennemi.”

    Elle poursuit :

    Tout pris qu’il est dans ce rapport d’identification imaginaire à l’autre, le forçat de la paix en oublie de composer avec l’Autre. Il le fait d’autant plus facilement qu’il épouse tacitement le discours de cet autre, qu’il y repère un écho de vérité propre à rassembler ce que tout oppose en apparence.

    Annaëlle Lebovits tire de cette disposition d’esprit une conclusion pratique :

    Le pacifiste se prépare souvent une guerre plus franche que celle qu’il prétend éviter. Plus franche, parce que pour s’endormir au doux son de promesses de paix, il ne voit pas, ne peut pas voir venir la guerre. Loin que la réalité commande chez lui la stratégie à adopter, elle se conforme au contraire à la seule stratégie qui lui convienne : ne rien faire, s’aplatir toujours plus et respirer toujours moins fort.

    Vous vous souviendrez ici du fameux discours de Manuel Valls suite aux attentats de Charlie Hebdo : les agresseurs sont les agressés, les victimes sont les coupables. Les djihadistes, “fondamentalement bons”, se sont simplement “égarés” des suites d’une “ségrégation” dont ils seraient l’objet :

    Psychologie du revanchard

    Le Führer du Reich, Adolf Hitler, avait un projet géopolitique – l’unité allemande – et entendait en finir avec les conséquences du Traité de Versailles. Les Français ne concevaient pas à quel point le sentiment d’injustice avait forgé une génération vaincue d’Allemands qui entendaient réécrire l’histoire.

    Hitler ne cachait pas à quel point “l’apaisement” franco-anglais lui paraissait une marque de faiblesse et non, comme le pensaient ses adversaires, de magnanimité propre à le calmer. Il déclarait en 1939 :

    “J’ai vu à Munich les chefs des gouvernements français  et britanniques ; ce sont des créatures faibles et lamentables, incapables d’offrir une résistance quelconque.”

    Ce que ne comprennent pas, paradoxalement, les apologistes de “l’Autre”, c’est que “l’autre est autre” par définition. Et que ce dernier n’est pas réductible à soi-même, a fortiori quand il est racialement, culturellement et religieusement radicalement différent.

    Or, toutes les actions entreprises face à la menace reposent sur l’idée que les afro-musulmans – tant chez eux que chez nous – raisonnent dans les mêmes termes.

    Parce qu’ils sont fondamentalement mus par des desseins hostiles, revanchards et conquérants, la soif de l’ennemi allogène est inextinguible. Chaque tentative de conciliation est perçue comme un signe de faiblesse et constitue une puissante incitation à pousser l’avantage.

    Le cerveau reptilien des masses musulmanes ne conçoit pas autrement les mesures diplomatiques visant à les apaiser.

    Les élites nourrissent le crocodile

    Pour en revenir à la mosquée d’Athènes, capitale fondatrice de la civilisation euro-occidentale doit-on le rappeler, l’annonce depuis plusieurs années de ce projet avait instantanément été interprétée comme une brèche.

    L’ancien occupant ottoman tentait d’exploiter l’opportunité comme le rappelle cet article d’un site musulman qui, comme on le voit, n’a rien oublié (voir ici) :

    Suite à sa conversation avec le ministre grec Samaras Antonis à Doha, le Premier Ministre turc Recep Tayyip Erdogan a proposé de construire  une mosquée à Athènes […] En proposant de financer la construction de la mosquée d’Athènes, le premier ministre turc enlèvera ainsi un point crucial qui freine le dossier. Malheureusement, le Ministre grec a préféré rejeter l’offre de son homologue. La question d’une mosquée officielle à Athènes, se posait depuis plusieurs années. Alors que la Grèce est sur-endettée, le rejet d’une telle proposition est un comble, et une preuve de la difficile acceptation de l’islam dans le pays, et de l’influence de l’Église orthodoxe. Pour cette question, Athènes risque encore de rester l’exception de l’Union Européenne.

    Pour se plonger encore dans l’univers mental des masses musulmanes, je citerai cet extrait du site salafiste Islam & Infos sur le sujet (voir ici) :

    Bonne nouvelle pour les Grecs ! En effet, après des années de polémiques et de rebondissements, Athènes va enfin pouvoir avoir une Mosquée pour ses fidèles.

    Il est vrai que les musulmans d’Athènes sont confrontés à l‘islamophobie des militants d’extrême droite et même de certains habitants comme en novembre 2011 lors de la prière de l’aîd où ils se sont fait insulter et jeter des œufs en pleine prière.

    Vous aurez relevé l’impudence typique de la mentalité islamo-sémitique.

    Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire, la notion d’égalité entre individus est absente dans les sociétés musulmanes, qu’elles soient arabes, maghrébines, turque, etc. Le fondement du rapport social est la soumission au plus fort. Dans ce contexte, la morale est contingente.

    L’extrême-gauche, je l’ai souvent dit, est vouée à se diluer dans le fanatisme islamique. Sa haine de la civilisation européenne, son nihilisme névrotique, la conduit inexorablement à collaborer.

    Il n’est pas surprenant que le gouvernement grec, situé dans les limbes du gauchisme trotskiste, réagisse de la sorte. Mais bien loin “d’apaiser” l’ogre, il aiguise son appétit.

    Toute concession à la progression de l’islam et de ses masses invasives devient une incitation à lahaine raciale contre les populations européennes et contre la civilisation helléno-chrétienne. Le meurtre alimente le meurtre, avec l’appui d’élites bourgeoises, émasculées et terrorisées.

    La logique pacifiste – ou “capitularde” plus exactement – a sa propre dynamique. Une fois le précédent posé, le contexte conditionne celle-ci. Si la Grèce construit une vaste mosquée dans sa capitale suite à des attentats à Bruxelles, combien en construira t-elle lorsque des attentats la frapperont directement ? Le double, le triple, le quintuple. La France a finalement donné l’exemple lorsqu’elle avait annoncé le “doublement du nombre de mosquées” suite aux attentats de Charlie Hebdo, posant ainsi l’objectif à 6 000 mosquées sur le territoire hexagonal (voir ici).

    Pour reprendre le mot de Churchill, ces élites sont bien décidées à “nourrir le crocodile”. Avec vous, vos enfants, vos amis, vos voisins, peu importe, tant que cela leur permet de continuer de rester au pouvoir.

    Être prêts pour l’escalade totale

    Quelle est la réaction à adopter ? J’étais personnellement favorable à l’utilisation, par l’armée française, d’une arme nucléaire tactique sur Raqqah, capitale de l’État Islamique. Car le combat n’est absolument pas conventionnel, mais idéologique et psychologique. Jusqu’à présent, aucun gouvernement n’a compris la nature de l’ennemi ni sa détermination.

    Une seule arme nucléaire tactique aurait suffi à terroriser la totalité des djihadistes concernés. Au surplus, une escalade progressive devrait être prévue pour frapper, avec toujours plus de force, tous les acteurs musulmans, états ou groupes, candidats à des représailles.

    Ce n’est pas tant d’avoir la volonté de recourir à l’arme nucléaire une seule fois qui était nécessaire que d’en faire la base technique d’une escalade exponentielle assumée selon la pensée stratégique clausewitzienne.

    Que les musulmans appliquent la chariah dans leurs pays m’indiffère. Elle l’est déjà en Arabie Saoudite et je m’en accommode parfaitement.

    Mais dès lors que leurs organisations tentent de frapper l’Europe, une puissante dissuasion doit être mise en place. Car c’est lui qui nous a désigné comme ennemi, n’en déplaise aux tenants de l’illusion pacifiste.

    La psychologie musulmane, comme je l’ai dit, n’admet que la force comme base du rapport social et politique. Toute idée visant à vouloir changer le fonctionnement de leurs sociétés est une imbécilité universaliste et égalitariste qui a été convaincue d’absurdité en Afghanistan ou en Irak. Des entreprises militaires sur lesquelles comptent par ailleurs la guérilla révolutionnaire islamique pour épuiser les armées occidentales et accroître leur propre poids.

    Ceux qui s’opposent à cette approche sont les mêmes qui conditionnent l’aggravation de la situation en incitant l’ennemi à l’audace. A ceux qui y voient une hypothèse délirante, je rappellerai simplement que c’est exactement en ces termes que les Alliés, la Russie et la Chine présentèrent l’alternative qui s’offrait au gouvernement japonais depuis Potsdam, le 26 juillet 1945 :

    « Nous appelons le gouvernement du Japon à annoncer dès maintenant la capitulation sans condition de toutes les forces armées japonaises […] La seule alternative pour le Japon est une destruction rapide et totale ».

    On ne peut demander cependant une telle chose à la France, dans la mesure où la marxisation de ses élites comme leur corruption morale et leur lâcheté les ont déjà fait acter de leur capitulation.

    Seules deux puissances me semblent avoir encore suffisamment de volonté et de courage pour user de la force nécessaire contre cet ennemi : les USA et la Russie.

    Nous devons répondre à cette guerre d’extermination qui nous a été déclarée. Toutes les manœuvres dilatoires ne feront qu’accroître le coût humain.

    http://borislelay.com/

  • À Palmyre, les djihadistes pouvaient acheter une femme 3 euros pour six mois

    La bataille pour reprendre Palmyre aux djihadistes s’est achevée, il y a une semaine, mais il y a toujours des explosions. Toute la ville a été piégée par l’État islamique. Des milliers de mines sont disséminées un peu partout.

    Une équipe de France 2, autorisée à accompagner l’armée syrienne, a pu filmer et recueillir un certain nombre de témoignages.

    Derrière eux, les djihadistes ont laissé un tas de documents, des registres qui montrent que tout a été inventorié, noté. On apprend, par exemple, que les islamistes pouvaient acheter une femme 3 euros pour six mois. Par ailleurs, des listes issues du tribunal islamique montrent que toute désobéissance était punie : fumer valait, par exemple, 15 jours de prison.


     

    http://fr.novopress.info/

  • Syrie : les Russes, le Hezbollah et les Iraniens à la porte d’Alep

    La mort du porte-parole de la branche d’Al-Qaïda en Syrie, le dénommé Abou Firas as-Souri (le syrien) semble se confirmer de plus en plus, en l’absence de démenti de la part du front al-Nosra.
    Au moment où se prépare la bataille pour sécuriser la province sud d’Alep, où les miliciens du Nosra et Cie ont multiplié ces derniers jours leurs violations du cessez-le feu, abattant un avion militaire syrien et bombardant les quartiers loyalistes d’Alep.
    Un enfer de tous les côtés
    « Toutes les forces russes, celles du Hezbollah et des Iraniens sont arrivées à Alep et la bataille servira de leçon au front-al-Nosra et Cie », a menacé le commandant des opérations terrestres de l’armée syrienne, dans un ultimatum lancé ce mardi aux miliciens armés, dans lequel il a averti que l’armée allait ouvrir contre eux « les feux de l’enfer » de tous les côtés.
    Selon le correspondant de la télévision al-Manar, il a demandé aux habitants d’éviter de se trouver dans les quartiers où les miliciens sont retranchés et qui seront un champ de bataille dans les heures prochaines.
    Avion abattu, et 14 aleppins tués
    Auparavant, l’agence syrienne Sana a révélé qu’un avion militaire syrien a été abattu via un missile sol-air sur la colline de la localité al-Eis, située à cheval entre la province sud d’Alep et la province nord d’Idleb.
    Alors que l’OSDH a indiqué que le sort du pilote est toujours inconnu, la chaine de télévision pro saoudienne al-Arabiyyat a affirmé qu’il a été fait prisonnier par le front al-Nosra et emmené vers l’un de ses sièges. Elle a néanmoins publié une photo de lui, reprise des réseaux sociaux, et dans laquelle il apparait tué (Photo en bas).
    Cette localité a fait l’objet d’un assaut lancé depuis 48 heures par les milices armées alliés du Nosra, rompant une énième fois la trêve rentrée en vigueur depuis le 8 mars dernier.
    Les miliciens ont également pilonné sporadiquement les quartiers loyalistes d’Alep, et il est question de 14 martyrs et de 50 blessés, parmi les habitants du quartier cheikh Maksoud, durant ces dernières 48 heures.
    Qui a abattu Abou Firas
    C’est alors que la bataille battait son plein dans cette région, dimanche dernier, qu’un important chef du front al-Nosra, Abou Firas as-Souri a été abattu ainsi que son fils et une vingtaine de miliciens du front al- Nosra et de Jund al-Aqsa, dont certains sont originaires d’Ouzbékistan.
    L’information a été confirmée par l’Observatoire syrien des droits de l’homme, instance médiatique de l’opposition pro occidentale, mais qui hésitait pour l’attribution des raids aux avions russes ou syriens, rapporte l’AFP.
    Or, depuis quelques heures, l’agence Reuters a relayé la déclaration du porte-parole du Pentagone Peter Cook dans laquelle il rend compte d’un raid américain qui a visé une réunion d’importants responsables d’Al-Qaïda au nord-ouest de la Syrie et que les responsables américains veulent s’assurer qu’Abou Firas a bel et bien été tué.
    Histoire d'Abou Firas
    Ce dernier, originaire de la localité de Madaya proche de Damas, de son vrai nom Redwane Nammous, est un ancien officier de l’armée syrienne depuis les années 70 du siècle dernier.
    Il a fait défection très tôt, et a été reconnu impliquée dans le « massacre de l’artillerie », perpétré dans le quartier Ramousseh en juin 1979.
    Il avait facilité à la branche armée des Frères Musulmans de Syrie, connue sous l’appellation « l’avant-garde combattante » d’entrer dans une école militaire et d’abattre entre 50 et 82 de ses étudiants, selon la version officielle.
    A cette époque, les Frères musulmans menaient une lutte sans merci contre le pouvoir en place, dirigé par le président syrien défunt Hafez al-Assad, le père de l’actuel. Abattant aussi bien les militaires que des employés du secteur public, ou des membres du parti Baas au pouvoir.
    Au début des années 80, Abou Firas s’est rendu au Pakistan et en Afghanistan pour rejoindre les rangs d’Al-Qaïda et était très proche de Ben Laden.
    Il se trouvait au Yémen depuis 2003, avant qu’il ne décide de se rendre en Syrie, en 2013, au moment de la crise entre Daesh et le Nosra.
    Proche du numéro actuel d'al-Qaïda Ayman al-Zawahiri, il est parvenu à resserrer ses rangs, occupant des postes-clés. Ayant fait partie de son conseil choura, il été désigné comme son porte-parole avant d’être nommé responsable des écoles religieuses.
    Avant sa mort, il s'est fait remarquer par son opposition farouche à la demande de la milice alliée du front al-Nosra, les Ahrar al-Cham, de se démarquer d'al-Qaïda. L'accusant d'être payé par des services de renseignements régionaux et internationaux.
    Sa mort est une perte pour l'aile dure du Nosra, d'autant que sa position n'est pas partagée par l'aile moins dure, celle dirigée par Abou Mariam al-Qahtani , Youssef Arajani, et d'autres, plus enclins à collaborer avec la milice pro occidentale Armée syrienne libre (ASL) et avec l'Occident en général.

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_international/EuVAAuAFApMQOGCkAu.shtml

  • Zineb peut être une chance pour la France

    Cette journaliste a le cœur à gauche. Mais quand elle parle de l’islam, elle utilise un langage qui vaut à d’autres le qualificatif de facho.
    On présente Zineb El Rhazoui, journaliste à Charlie Hebdo, comme la femme la plus menacée de France. Personne ne peut douter du courage de celle qui risquait, au Maroc, six mois de prison en organisant, en plein ramadan, le mouvement des « Déjeuneurs ».

    Nous avions repéré cette femme qui, en 2011, lors d’une réunion plénière des Verts, avait pulvérisé, depuis la salle, micro en main, sept minutes durant, Driss El Yazami, conseiller du roi, que les écolos, toujours aussi finauds, avaient eu la bonne idée d’inviter pour soutenir les printemps arabes !

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  • Guerre civile et islamisme : Les millionnaires quittent la France en masse

  • Dix mille millionnaires auraient quitté la France en raison de la montée des tensions

    Le fait que les plus riches abandonnent le navire est inquiétant et le gouvernement devrait se poser les bonnes questions :

    "La montée des tensions, notamment après les attentats islamistes à Paris en 2015, a contribué à l’accélération de l’exode des personnes les plus aisées du pays, selon une rapport récent. (...)

    La France arrive en tête de classement avec 10 000 millionnaires ayant quitté le pays en un an, soit 3% du nombre total vivant dans l’Hexagone. Parmi les villes impactées par ces départs, Paris arrive en tête avec 7 000 millionnaires qui ont sont partis pour s’installer au Royaume-Uni, aux USA, au Canada, en Australie ou en Israël.

    “L’énorme émigration des millionnaires depuis la France est notable, la France étant lourdement impactée par l’accroissement des tensions entre chrétiens et musulmans, surtout dans les zones urbaines. Nous estimons que l’émigration des millionnaires depuis la France va s’accélérer durant la prochaine décennie à mesure que les tensions vont continuer d’augmenter“ avertit le rapport.

    Bien entendu, Le Monde et le gouvernement n'apprécient pas cette étude du cabinet d’analyse sud-africain New World Wealth, relayée notamment par le site d'information International Business Times sans doute à cause de la façon dont ces journalistes "étrangers" perçoivent la situation, pourtant dramatique, en France :

    "Insuffisant donc pour évaluer la fiabilité des chiffres donnés dans l’enquête, ainsi que pour savoir dans quelle mesure l’apparition de « tensions religieuses » est apparue pour justifier des départs (...) Le problème, c’est que, jusqu’ici, les études sur les départs de personnalités fortunées ne mettent pas en évidence des motivations religieuses (...)

    Si c’était avéré, ce serait un élément nouveau et inquiétant, nous précise Hélène Conway-Mouret (PS), ex-ministre déléguée des Français de l’étranger et actuellement sénatrice des Français établis hors de France.Mais jusqu’ici, je n’ai jamais rencontré une seule personne dans ce cas, y compris après les attentats de 2015. En général, les gens ne fuient pas la France parce que ce serait devenu un pays invivable. Quand je rencontre des Français, ils me disent plutôt partir pour des opportunités économiques. "

    La ministre n'a jamais rencontré une personne dans ce cas. Comme si les millionnaires allaient s'épancher auprès des socialistes ! Tout va donc très bien, madame la Marquise.... On ne change rien.

    Je trouve, au contraire, que cette étude reste tout à fait crédible. Il n'est pas rare d'entendre des familles dire qu'elles envisagent de quitter la France pour préserver leur avenir. Et il ne s'agit pas forcément de millionnaires. Cela avait même été médiatiquement mise en avant début 2015 à propos des nombreux départs de juifs vers Israël. Mais il est vrai que vouloir se mettre à l'abris des attentats terroristes ou des tensions dues à la montée du communautarisme n'est pas une "motivation religieuse".

    Philippe Carhon