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islamisme - Page 358

  • Alain Juppé, responsable de l'échec de la libération des moines de Tibihirine ?

    Il y a 20 ans, le 21 mai 1996, le GIA annonçait avoir égorgé les moines de Tibihirine. C'est l'occasion de rappeler le rôle trouble joué par celui qui veut être aujourd'hui candidat à la présidentielle.

    Alors que Marc Trévidic, le juge d'instruction en charge de l'affaire des moines de Tibhirine, avait officiellement saisi trois ministères français d'une demande de levée du secret-défense, l'ancien ministre de l'Intérieur, Charles Pasqua a évoqué les cafouillages franco-français dans la gestion de l'affaire.

    L'ancien ministre de l'Intérieur accuse pratiquement l'ancien Premier ministre, Alain Juppé, d'avoir fait échouer une tentative sérieuse d'obtenir la libération des 7 moines de Tibhirine. Charles Pasqua, qui n'était plus ministre de l'Intérieur au moment de l'affaire des moines, raconte qu'il avait été contacté par Jean-Charles Marchiani, préfet du Var et ancien des services secrets français, qui lui a affirmé disposer des contacts nécessaires pour mener des négociations avec les preneurs d'otages islamistes et que ces derniers étaient prêt à discuter d'une éventuelle libération des religieux. Il rappelle qu'à la même période les «terroristes avaient fait passer un message à l'ambassade de France qui allait un peu dans le même sens». Charles Pasqua dit en avoir parlé au président français Jacques Chirac qui a donné son feu vert. Marchiani qui, à l'époque, n'était plus dans les services secrets a «pris les contacts nécessaires d'une part avec les services algériens et aussi, me semble-t-il, avec les preneurs d'otages». Les choses «semblaient se développer normalement», indique l'ancien ministre de l'Intérieur jusqu'à l'intrusion d'Alain Juppé. Celui-ci, «énervé d'apprendre que Jean-Charles Marchiani» a fait une déclaration publique qui a complètement fait capoter l'entreprise.

    Michel Janva

  • Journal du Jeudi 19 Mai 2016 : Terrorisme / Les djihadistes infiltrent les aéroports

  • Intervention de Louis Aliot à la conférence sur la crise terroriste en Europe

  • En Irak, Daech a perdu la moitié du territoire conquis

    Depuis décembre et la perte de la grande ville de Ramadi, les djihadistes du groupe État islamique (EI) perdaient du terrain face à l'armée irakienne dans la grande province d'Al-Anbar. En fait, selon le Pentagone, Daech ne cesse de reculer sur le terrain : selon le porte-parole de la Défense américaine, Peter Cook, l'EI a perdu « environ 45% » du territoire qu'il avait conquis en Irak.
    Et « le chiffre pour la Syrie est compris quelque part entre 16 et 20% », a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse à Arlington.
    En juin 2014, le groupe ultra-radical sunnite avait lancé une offensive en Irak qui lui avait permis de s'emparer de vastes pans du territoire irakien à l'ouest et au nord de Bagdad, puis de prendre la capitale de la province d'Al-Anbar, Ramadi, en 2015. L'armée irakienne, les milices et les forces kurdes - encadrés notamment par 400 militaires français - ont repris Ramadi fin 2015, ainsi que la ville de Hit.
    Image
    Les djihadistes ont cependant toujours la mainmise sur Fallouja, ainsi que la grande majorité de la province de Ninive (nord), dont sa capitale et deuxième ville d'Irak, Mossoul. Mossoul est l'objectif de la coalition internationale, qui espère récupérer la ville d'ici à la fin de l'année. Quatre importants centres de commandement ont ainsi été bombardés mi-avril.
    S'il cède du terrain, l'EI reste capable de mener des attentats meurtriers dans les territoires contrôlés par le gouvernement fédéral, comme à Bagdad où trois attentats revendiqués par le groupe jihadiste ont fait près de 100 morts en une journée la semaine dernière.
    Les déclarations du Pentagone sont cependant à relativiser. Le 26 avril dernier, le secrétariat d’État à la Défense affirmait que le nombre de combattants étrangers passant les frontières pour aller aider Daech avait été divisé par dix en 2015, passant de 2 000 à 200 par mois. La semaine dernière, la conseillère en contre-terrorisme de la Maison Blanche affirmait, elle, que « le flux des combattants étrangers est à une échelle jamais vue auparavant ».

    Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuyFuZlpEERPWWnjDt.shtml

  • Génération identitaire dans la rue le samedi 28 mai à Paris

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    Les militants de Génération identitaire seront dans la rue le samedi 28 mai à Paris. Génération identitaire appelle en effet à une manifestation autour du mot d’ordre : « On est chez nous ! »

    Dans un communiqué, l’organisation explique :

    « L’année 2015, entre attentats islamistes et invasion migratoire, a marqué un tournant dans l’histoire contemporaine de notre pays. Depuis trop longtemps, les Français se taisent, sont petit à petit remplacés, et meurent sous les balles d’enfants de l’immigration. Il est temps d’afficher notre détermination à continuer à vivre sur notre terre, selon nos lois, nos valeurs, dans le respect de notre identité. Face à l’urgence, l’heure n’est plus à l’attentisme. Montrons au pouvoir socialiste que les Français sont toujours là, et que l’on est encore chez nous ! »

    Le rendez-vous est fixé le 28 mai place Monge, à partir de 15 heures.

    http://fr.novopress.info/

  • Attentats du Bataclan : “Je suis dégoûté, les Français ne blâment pas l’islam, ils ont plus peur que je promeuve la xénophobie” (Chanteur des Eagles of Death Metal)

    Jesse Hughes, le chanteur du groupe qui se produisait au Bataclan lors de l’attaque terroriste du 13 novembre,  se déclare catholique, il est pour le port d’arme, pour Trump et pour le droit à la vie.
    Ne s’embarrassant pas de politiquement correct, il se livre dans une interview sans fard (et dans un langage très fleuri) à Takimag, dont voici quelques extraits :

    « Un jour après, au stade, les musulmans ont sifflé la minute de silence et nous n’en avons pratiquement pas entendu parler dans la presse. J’ai vu des musulmans faire la fête dans la rue pendant les attaques. Je l’ai vu de mes propres yeux. En direct ! Comment savaient-ils ce qui se passait ? Il devait y avoir une coordination. » […]

    « J’ai été à Paris après les attaques et j’étais dégoûté de voir le manque de colère. Ils ne blâmaient pas l’islam. En fait, beaucoup blâmaient les juifs. Ils semblaient beaucoup plus inquiets à notre sujet, de peur que nous fassions la promotion de la xénophobie, que blâmer les terroristes. » […]

    « Ils savent qu’il y a tout un tas de gosses blancs là qui sont stupides et aveugles. Vous avez ces jeunes blancs qui vivent bien, qui ont grandi dans un environnement gauchiste depuis la maternelle, inondés de notions pompeuses qui ne sont que du vent. Regardez où ça les mène maintenant.»

    Par ailleurs, Jesse Hughes renouvelle ses assertions selon lesquelles les terroristes ont bénéficié de la complicité d’agents de sécurité du Bataclan, et ont cherché à épargné les musulmans présents.

    Traduction et entretien complet : Breizatao

    http://www.contre-info.com/attentats-du-bataclan-je-suis-degoute-les-francais-ne-blament-pas-lislam-ils-ont-plus-peur-que-je-promeuve-la-xenophobie-chanteur-des-eagles-of-death-metal

  • Ménard, Lemoine et Raufer réunis pour parler des « Molenbeek français »

    « La réalité des Molenbeek français » : tel est le thème retenu pour le prochain dîner-débat de La Droite libre qui réunira, le 15 juin à Paris, le maire de Béziers, Robert Ménard, le maire de Montfermeil (Seine-Saint-Denis), Xavier Lemoine, et le criminologue Xavier Raufer

    Tous trois, promet La Droite libre dans l’annonce de cet événement dont l’intitulé, inspiré de la campagne de Génération identitaire Paris, risque de faire couler beaucoup d’encre, « feront part de leurs analyses et des réponses à apporter au cancer qui ronge […] beaucoup de quartiers d’une France qui n’a rien à envier à la Belgique, avec ses zones de non-droit où règne […] l’islamisme le plus radical.

    Christian Vanneste, président de La Droite libre, a par ailleurs annoncé sa présence au Rendez-Vous de Béziers organisé par Robert Ménard.

  • Les bus londoniens afficheront "Gloire à Allah" pendant le ramadan

    Cela n'a rien à voir avec l'élection d'un maire musulman à la tête de la capitale britannique  puisque ces publicités à la gloire d'Allah se multiplieront sur les 640 bus de Londres, Birmingham, Manchester, Leicester et Bradford où la communauté musulmane est importante (3 millions rien qu'à Londres) :

    6a00d83451619c69e201b7c85d3022970b-320wi.gif«Subhan Allah». «Gloire à Allah». Ces mots seront affichés pendant deux mois sur les fameux bus rouges londoniens. Une campagne de publicité lancée par la branche londonienne de l'association Islamic Relief (Secours islamique en français), la plus importante ONG islamique britannique, qui collecte des fonds pour venir en aide notamment aux victimes de la guerre en Syrie, et a déjà envoyé 178 millions d'euros là-bas.Le début de la campagne coïncidera avec le mois de Ramadan qui se tient en juin (...)

    Cette campagne aux tonalités religieuses n'est pas du goût de tout le monde. Si les Britanniques n'ont pas la même conception de la laïcité qu'en France, et que les religions occupent sans problèmes l'espace public, certains s'offusquent d'un deux-poids, deux mesures. En effet, pendant la période de Noël, une publicité de l'église d'Angleterre qui faisait la promotion d'un site internet cherchant à inciter les gens à prier, Just pray, avait été proscrite de plusieurs cinémas. On y voyait l'archevêque de Canterbury réciter le Notre Père avec plusieurs autres fidèles. Le spot publicitaire devait être projeté avant le film Star Wars, mais il avait été bloqué par la Digital Cinema Media, l'agence qui contrôle la publicité dans les plus grandes salles de cinéma du pays.

    «Si nous autorisons cette publicité en faveur de l'islam, nous devons aux Chrétiens plus de liberté pour s'exprimer» a ainsi affirmé Andrea William, directrice de l'association Christian Concern. Dans le Daily Mail, Simon Calvert, directeur de l'Institut chrétien, affirme quant à lui que cette publicité «indique le début d'une nouvelle ère d'expression de la foi chrétienne, qui est devenue persona non grata».

    Philippe Carhon

  • En Allemagne, Merkel accusée d’exposer l’UE à un chantage turc

    La politique étrangère de la chancelière est critiquée à la fois par ses adversaires mais aussi par certains de ses alliés.

    La chancelière allemande Angela Merkel écoutant le président turc Recep Tayyip Erdogan, lors d’une conférence de presse à Berlin, le 4 février 2016. Crédits photo : Axel Schmidt/AP

    Plusieurs responsables allemands ont accusé ce week-end Angela Merkel de trop mettre l’Europe dans les mains de la Turquie. Et d’exposer l’Union européenne à un chantage du président Recep Tayyip Erdogan. « Je ne suis pas contre des discussions avec la Turquie, mais je crois qu’il est dangereux de devenir aussi dépendant d’Ankara », a ainsi déclaré Horst Seehofer, chef de file de la CSU, le parti conservateur bavarois allié de la CDU d’Angela Merkel.

    Des membres du SPD (Parti social-démocrate, partenaire de coalition de la CDU), de la gauche radicale ou des Verts, ont aussi exprimé leur préoccupation. Cem Özdemir, codirigeant des Verts, le parti écologiste allemand, et fils d’immigrés turcs, a ainsi déclaré à Welt am Sonntag que l’accord avec Ankara exposait l’Europe au risque d’un chantage, en jugeant qu’Angela Merkel était en grande partie responsable de la situation. Sahra Wagenknecht, membre du parti de gauche radicale Die Linke (La Gauche) a aussi évoqué le risque de « chantage », estimant qu’Erdogan « se sent nettement renforcé pour piétiner les droits de l’homme ». [....]

    La suite sur Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?En-Allemagne-Merkel-accusee-d

  • Guerre en Syrie : un conflit appelé à durer ?

    PARIS (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Nous nous étions réjouis de la nouvelle de la récupération de Palmyre par les troupes syriennes. Voilà qu’hier, on apprend que Palmyre est encerclée de toute part par Daesh. Ce conflit terrible, qui a déjà fait plus de 260 000 morts, semble donc ne jamais devoir s’arrêter.

    Mais quel est donc l’état actuel du conflit ? Il faut savoir quels sont les principaux belligérants. La Syrie d’el‑Assad doit faire face à l’Etat islamique, mais aussi aux opposants à son régime, bénignement appelés « rebelles », qui sont souvent des dérivés d’Al‑Nosra et Al‑Qaeda. Daesh, ou état islamique on l’a compris, est l’ennemi de tout le monde. Assad est quant à lui soutenu par ses alliées, à savoir la Russie, l’Irak, l’Iran et le Liban. Les autres ennemis de Daesh, ce sont la coalition US, qui rassemble les pays européens dont la France et les pays du golfe. Cette coalition frappe Daesh, mais soutient aussi les rebelles.

    On comprend donc mieux pourquoi l’armée syrienne peine face à Daesh. « Cela fait cinq ans que le peuple syrien meurt » s’écrit Riad Hijab coordinateur de l’opposition, « Nous voulons des actes, et non plus des paroles, de la part de nos amis ». La complexité de ce conflit, dû à la multiplication toujours croissante du nombre d’acteurs, prolonge le conflit, et donc le nombre de morts et de destructions de villes.

    Pour illustrer le coup de poignard dans le dos que représentent les rebelles, il suffit de regarder les nouvelles d’hier. Un raid rebelle a tué plusieurs soldats de l’armée syrienne et enlevé des civils ; à Alep, les combats ont repris entre armée syrienne et rebelles et cela malgré la trêve.

    « Ma priorité est de régler cette crise à travers un dialogue politique » a annoncé hier le secrétaire général des Nations unies. Néanmoins, résoudre ce conflit « pourrait prendre du temps », a‑t‑il ajouté. Vladimir Poutine a pourtant dû essuyer le refus d’ajouter sur la liste noire de l’ONU certains groupes rebelles. Le paradoxe de la position américaine est saisissant.