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islamisme - Page 358

  • À Palmyre, les djihadistes pouvaient acheter une femme 3 euros pour six mois

    La bataille pour reprendre Palmyre aux djihadistes s’est achevée, il y a une semaine, mais il y a toujours des explosions. Toute la ville a été piégée par l’État islamique. Des milliers de mines sont disséminées un peu partout.

    Une équipe de France 2, autorisée à accompagner l’armée syrienne, a pu filmer et recueillir un certain nombre de témoignages.

    Derrière eux, les djihadistes ont laissé un tas de documents, des registres qui montrent que tout a été inventorié, noté. On apprend, par exemple, que les islamistes pouvaient acheter une femme 3 euros pour six mois. Par ailleurs, des listes issues du tribunal islamique montrent que toute désobéissance était punie : fumer valait, par exemple, 15 jours de prison.


     

    http://fr.novopress.info/

  • Syrie : les Russes, le Hezbollah et les Iraniens à la porte d’Alep

    La mort du porte-parole de la branche d’Al-Qaïda en Syrie, le dénommé Abou Firas as-Souri (le syrien) semble se confirmer de plus en plus, en l’absence de démenti de la part du front al-Nosra.
    Au moment où se prépare la bataille pour sécuriser la province sud d’Alep, où les miliciens du Nosra et Cie ont multiplié ces derniers jours leurs violations du cessez-le feu, abattant un avion militaire syrien et bombardant les quartiers loyalistes d’Alep.
    Un enfer de tous les côtés
    « Toutes les forces russes, celles du Hezbollah et des Iraniens sont arrivées à Alep et la bataille servira de leçon au front-al-Nosra et Cie », a menacé le commandant des opérations terrestres de l’armée syrienne, dans un ultimatum lancé ce mardi aux miliciens armés, dans lequel il a averti que l’armée allait ouvrir contre eux « les feux de l’enfer » de tous les côtés.
    Selon le correspondant de la télévision al-Manar, il a demandé aux habitants d’éviter de se trouver dans les quartiers où les miliciens sont retranchés et qui seront un champ de bataille dans les heures prochaines.
    Avion abattu, et 14 aleppins tués
    Auparavant, l’agence syrienne Sana a révélé qu’un avion militaire syrien a été abattu via un missile sol-air sur la colline de la localité al-Eis, située à cheval entre la province sud d’Alep et la province nord d’Idleb.
    Alors que l’OSDH a indiqué que le sort du pilote est toujours inconnu, la chaine de télévision pro saoudienne al-Arabiyyat a affirmé qu’il a été fait prisonnier par le front al-Nosra et emmené vers l’un de ses sièges. Elle a néanmoins publié une photo de lui, reprise des réseaux sociaux, et dans laquelle il apparait tué (Photo en bas).
    Cette localité a fait l’objet d’un assaut lancé depuis 48 heures par les milices armées alliés du Nosra, rompant une énième fois la trêve rentrée en vigueur depuis le 8 mars dernier.
    Les miliciens ont également pilonné sporadiquement les quartiers loyalistes d’Alep, et il est question de 14 martyrs et de 50 blessés, parmi les habitants du quartier cheikh Maksoud, durant ces dernières 48 heures.
    Qui a abattu Abou Firas
    C’est alors que la bataille battait son plein dans cette région, dimanche dernier, qu’un important chef du front al-Nosra, Abou Firas as-Souri a été abattu ainsi que son fils et une vingtaine de miliciens du front al- Nosra et de Jund al-Aqsa, dont certains sont originaires d’Ouzbékistan.
    L’information a été confirmée par l’Observatoire syrien des droits de l’homme, instance médiatique de l’opposition pro occidentale, mais qui hésitait pour l’attribution des raids aux avions russes ou syriens, rapporte l’AFP.
    Or, depuis quelques heures, l’agence Reuters a relayé la déclaration du porte-parole du Pentagone Peter Cook dans laquelle il rend compte d’un raid américain qui a visé une réunion d’importants responsables d’Al-Qaïda au nord-ouest de la Syrie et que les responsables américains veulent s’assurer qu’Abou Firas a bel et bien été tué.
    Histoire d'Abou Firas
    Ce dernier, originaire de la localité de Madaya proche de Damas, de son vrai nom Redwane Nammous, est un ancien officier de l’armée syrienne depuis les années 70 du siècle dernier.
    Il a fait défection très tôt, et a été reconnu impliquée dans le « massacre de l’artillerie », perpétré dans le quartier Ramousseh en juin 1979.
    Il avait facilité à la branche armée des Frères Musulmans de Syrie, connue sous l’appellation « l’avant-garde combattante » d’entrer dans une école militaire et d’abattre entre 50 et 82 de ses étudiants, selon la version officielle.
    A cette époque, les Frères musulmans menaient une lutte sans merci contre le pouvoir en place, dirigé par le président syrien défunt Hafez al-Assad, le père de l’actuel. Abattant aussi bien les militaires que des employés du secteur public, ou des membres du parti Baas au pouvoir.
    Au début des années 80, Abou Firas s’est rendu au Pakistan et en Afghanistan pour rejoindre les rangs d’Al-Qaïda et était très proche de Ben Laden.
    Il se trouvait au Yémen depuis 2003, avant qu’il ne décide de se rendre en Syrie, en 2013, au moment de la crise entre Daesh et le Nosra.
    Proche du numéro actuel d'al-Qaïda Ayman al-Zawahiri, il est parvenu à resserrer ses rangs, occupant des postes-clés. Ayant fait partie de son conseil choura, il été désigné comme son porte-parole avant d’être nommé responsable des écoles religieuses.
    Avant sa mort, il s'est fait remarquer par son opposition farouche à la demande de la milice alliée du front al-Nosra, les Ahrar al-Cham, de se démarquer d'al-Qaïda. L'accusant d'être payé par des services de renseignements régionaux et internationaux.
    Sa mort est une perte pour l'aile dure du Nosra, d'autant que sa position n'est pas partagée par l'aile moins dure, celle dirigée par Abou Mariam al-Qahtani , Youssef Arajani, et d'autres, plus enclins à collaborer avec la milice pro occidentale Armée syrienne libre (ASL) et avec l'Occident en général.

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_international/EuVAAuAFApMQOGCkAu.shtml

  • Zineb peut être une chance pour la France

    Cette journaliste a le cœur à gauche. Mais quand elle parle de l’islam, elle utilise un langage qui vaut à d’autres le qualificatif de facho.
    On présente Zineb El Rhazoui, journaliste à Charlie Hebdo, comme la femme la plus menacée de France. Personne ne peut douter du courage de celle qui risquait, au Maroc, six mois de prison en organisant, en plein ramadan, le mouvement des « Déjeuneurs ».

    Nous avions repéré cette femme qui, en 2011, lors d’une réunion plénière des Verts, avait pulvérisé, depuis la salle, micro en main, sept minutes durant, Driss El Yazami, conseiller du roi, que les écolos, toujours aussi finauds, avaient eu la bonne idée d’inviter pour soutenir les printemps arabes !

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  • Guerre civile et islamisme : Les millionnaires quittent la France en masse

  • Dix mille millionnaires auraient quitté la France en raison de la montée des tensions

    Le fait que les plus riches abandonnent le navire est inquiétant et le gouvernement devrait se poser les bonnes questions :

    "La montée des tensions, notamment après les attentats islamistes à Paris en 2015, a contribué à l’accélération de l’exode des personnes les plus aisées du pays, selon une rapport récent. (...)

    La France arrive en tête de classement avec 10 000 millionnaires ayant quitté le pays en un an, soit 3% du nombre total vivant dans l’Hexagone. Parmi les villes impactées par ces départs, Paris arrive en tête avec 7 000 millionnaires qui ont sont partis pour s’installer au Royaume-Uni, aux USA, au Canada, en Australie ou en Israël.

    “L’énorme émigration des millionnaires depuis la France est notable, la France étant lourdement impactée par l’accroissement des tensions entre chrétiens et musulmans, surtout dans les zones urbaines. Nous estimons que l’émigration des millionnaires depuis la France va s’accélérer durant la prochaine décennie à mesure que les tensions vont continuer d’augmenter“ avertit le rapport.

    Bien entendu, Le Monde et le gouvernement n'apprécient pas cette étude du cabinet d’analyse sud-africain New World Wealth, relayée notamment par le site d'information International Business Times sans doute à cause de la façon dont ces journalistes "étrangers" perçoivent la situation, pourtant dramatique, en France :

    "Insuffisant donc pour évaluer la fiabilité des chiffres donnés dans l’enquête, ainsi que pour savoir dans quelle mesure l’apparition de « tensions religieuses » est apparue pour justifier des départs (...) Le problème, c’est que, jusqu’ici, les études sur les départs de personnalités fortunées ne mettent pas en évidence des motivations religieuses (...)

    Si c’était avéré, ce serait un élément nouveau et inquiétant, nous précise Hélène Conway-Mouret (PS), ex-ministre déléguée des Français de l’étranger et actuellement sénatrice des Français établis hors de France.Mais jusqu’ici, je n’ai jamais rencontré une seule personne dans ce cas, y compris après les attentats de 2015. En général, les gens ne fuient pas la France parce que ce serait devenu un pays invivable. Quand je rencontre des Français, ils me disent plutôt partir pour des opportunités économiques. "

    La ministre n'a jamais rencontré une personne dans ce cas. Comme si les millionnaires allaient s'épancher auprès des socialistes ! Tout va donc très bien, madame la Marquise.... On ne change rien.

    Je trouve, au contraire, que cette étude reste tout à fait crédible. Il n'est pas rare d'entendre des familles dire qu'elles envisagent de quitter la France pour préserver leur avenir. Et il ne s'agit pas forcément de millionnaires. Cela avait même été médiatiquement mise en avant début 2015 à propos des nombreux départs de juifs vers Israël. Mais il est vrai que vouloir se mettre à l'abris des attentats terroristes ou des tensions dues à la montée du communautarisme n'est pas une "motivation religieuse".

    Philippe Carhon

  • Attentats à Bruxelles et au Pakistan : la stratégie de la tension

    edition-spéciale-e1459440181702.pngLes media nous bassinent et nous promènent avec la traque des auteurs d’attentats. Comme si les exécutants de base étaient également les commanditaires. Mais qui désigne et enquête sur les donneurs d’ordre, les centres de commandement, les sources idéologiques du djihadisme et les causes des conflits qui ravagent le Levant ? À nous donc, individuellement et ensemble, de conduire l’effort de réflexion nécessaire pour dégager du fatras d’informations inutiles et dérisoires dont on nous abreuve, celles qui nous diront de quoi le terrorisme est le nom !

    Les archéo-néomarxistes vivent avec la croyance que l’hyperclasse apatride régnante forme un bloc monolithique, sans faille ni divergences internes quant à ses buts et aux moyens d’y parvenir. En cela ils commettent une erreur fort commune partagée par tous ceux qui pensent à demi. Prenons un exemple : en 2003 l’objectif désigné de l’armée américaine dans sa guerre contre l’Irak baasiste était officiellement le renversement d’un dictateur et l’instauration de la démocratie. Au-delà, ceux qui se croient, ou se prétendent, avisés ont cru découvrir la lune en avançant qu’il s’agissait d’une guerre du pétrole. Les premiers, les soldats, au moins ceux d’entre eux qui n’étaient pas dans la confidence, ont été les grands cocus de l’affaire. Et par rétorsion, désabusés, ce sont eux qui ont révélé le pot aux roses pour ce qui concernait les Armes dites de destruction massive. Armes inexistantes et odieuse tromperie dont les auteurs ne furent jamais ni poursuivis ni punis. Quant aux gros malins qui identifièrent l’or noir comme l’ultima ratio de la guerre, sans doute ne s’aperçurent-ils jamais de la balourdise de leurs analyses. Bien entendu l’enjeu énergétique existait mais les grands trusts pétroliers n’avaient qu’à demander et l’Irak, bien avant la chute du régime, se serait jetée dans leurs bras. La guerre était donc inutile. Pire, les parts du marché pétrolier dévolues aux Américains se sont vues réduites après guerre à la portion congrue, le gros du gâteau ayant été empoché par des compagnies asiatiques.

    Alors ? Les marxistes comme les géopoliticiens à courte vue n’ont pas vu que derrière l’empilement des intérêts trivialement matériels, terre-à-terre, se trouvaient de visées connexes, cachées, inavouées d’une toute autre portée. Les militaires vinrent déblayer le terrain, mais contrairement à leur naïve espérance, la démocratie ne fut pas au rendez-vous. Au contraire ! Démarra en 2004 un cycle, non refermé à ce jour, de violences et d’attentats plus meurtriers les uns que les autres, lesquels vus depuis l’Occident atteint de myopie aggravée, parurent être de simples affrontements interconfessionnels, chiites contre sunnites, participant d’une guerre intercommunautaire de basse intensité. Mais ce navrant Occident ne voulait pas voir ni savoir que mille et cent fois des forces non identifiées s’employèrent et s’efforcèrent d’allumer pour de bon le brasier de la guerre civile sans jamais y parvenir tout à fait. Des commandos sous faux drapeau et avec uniformes d’emprunts s’attaquèrent ainsi aux symboles religieux les plus précieux pour les mahométans, telle la mosquée de Samarra au nord de Bagdad1. Mais en vain. Une technique qui fut employée à moindre échelle mais avec plus de succès fut celle des tireurs embusqués qui parvinrent en mars 2011 dès les premiers jours de la contestation non violente des sunnites syriens contre le pouvoir central tenu par des alaouites (assimilés à des chiites), à transformer un ressentiment populaire souvent légitime en une insurrection armée. La même méthode fut utilisée un an plus tard, en février 2014, sur le Maïdan de Kiev pour jeter les uns contre les autres, fédéralistes russophones contre euratlantistes. Partout, en Orient et en Occident, les mêmes techniques, la même guerre terroriste se retrouvent. Une guerre déjà décrite par Flavius Josèphe au temps de l’empereur Titus, guerre terrible qui emporta plus tard l’empire des Tsars en mars 1917…

    RETOUR À L’ACTUALITÉ SANGLANTE

    Arrêtons ici cette digression liminaire. Laquelle n’est cependant pas tout à fait inutile parce que les actuels malheurs des Penjâbis ou des Belges, comme ceux récents des Français, viennent de là. Et de la sale guerre d’Irak inscrite ipso facto dans cette “guerre sans limites” au terrorisme déclarée par GW Bush le 20 septembre 2001 devant le Congrès, puis lors de son discours de l’Union le 20 janvier 2002. « Notre guerre contre le terrorisme commence avec Al-Qaïda, mais elle ne s’arrêtera pas là. Elle ne prendra fin qu’une fois que tous les groupes terroristes de portée mondiale auront été trouvés, arrêtés et vaincus » [Capitole20sept01].

    C’est en effet de ce moment précis — même si les racines du mal plongent dans des abysses épaisses multiséculaires — que nous devons dater l’origine des attentats du 13 novembre 2015 et du 22 mars 2016. La guerre occidentaliste s’abat sur l’Afghanistan le 8 octobre 2001 et s’achève, en principe, avec le départ des derniers contingents américains fin 2014. Guerre stupide, ruineuse2 et inutile puisque nous accueillons aujourd’hui en Europe des réfugiés afghans qui « fuient la guerre » ! Au demeurant prodigieux succès pour ceux qui sèment le chaos à travers le Continent et entendent régner sur les décombres des nations. En raccourci, rappelons que cette Al-Qaïda contre laquelle l’Amérique néoconservatrice partait en guerre en 2001 est le fruit de ses propres œuvres, créée avec la complicité des Services spéciaux pakistanais, l’ISI, avant même l’entrée des Soviétiques sur la scène afghane en 19793.

    Aujourd’hui cette formation terroriste que Washington et Langley ont abondamment utilisée en Bosnie et au Kossovo, constitue, sous le label Al-Nosra, le fer de lance de la politique de « regime change » mise en œuvre en Syrie, avec l’active complicité de Paris, Londres, Berlin toujours en avance d’une soumission et d’une basse servilité. Entretemps des djihadistes mal dégrossis et armées de cutters sont réputés avoir descendus trois tours de Manhattan avec seulement deux avions. Comprenne qui pourra. Mais chut, il est interdit de se poser la moindre question sous peine de se voir accuser de conspirationnisme, une altération de la pensée presque plus répréhensible que tous les crimes de sang réunis. […] Lire la suite…

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/attentats-a-bruxelles-et-au-pakistan-la-strategie-de-la-tension_156911.html#more-156911

  • Politique et éco N°84 : La guerre perdue contre l'islam radical

  • Le site "les villes contre l'islamisation désormais présent aussi sur facebook

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  • Tribune libre – Le temps des traîtres, par Vincent Revel

    Selon nos responsables, l’Europe est en guerre contre Daesh. Les attentats commis sur notre continent auraient soi-disant permis à nos politiques de comprendre la situation. A écouter nos bonimenteurs, le drame de Bruxelles aurait réveillé les consciences. Nous sommes nombreux à savoir qu’il n’en est rien.

    Les attentats en Belgique n’ont rien permis et n’ont rien changé. Nous sommes toujours dans les mêmes impasses. Il suffit de voir ce que sont devenues la loi sur la déchéance de la nationalité française pour les binationaux et les déviances communautaristes de la loi El Khomry. Le monde des Bisounours est toujours en place, recroquevillé sur ses espérances utopistes. Rien n’a changé, au contraire, tout s’accélère !

    L’antiracisme profite même du contexte pour culpabiliser un peu plus les victimes et enfoncer le clou de la repentance avec des courts métrages hallucinants dénonçant le racisme antisémite, anti-noir, islamophobe, tout en oubliant volontairement le racisme le plus commun actuellement : celui qui vise les Blancs. Les Européens de souche sont priés de faire profil bas en évitant toute démonstration de force comme ont osé le faire des patriotes belges à Bruxelles, tout de suite condamnés par l’establishment comme d’affreux hooligans ! S’ils le désirent, les Européens peuvent pleurer, poser des bougies, participer à des marches blanches mais ils ont surtout le devoir d’endosser, en silence si possible, le rôle du salaud.

    Pas plus aujourd’hui qu’hier, nous n’avons la possibilité d’avoir un véritable débat démocratique sur le danger de l’islamisation de l’Europe, sur l’immigration de masse et de remplacement, sur l’échec de l’idéologie multiculturelle et sur les fractures communautaires qui se dessinent un peu partout en Europe occidentale. Certains pays de l’Union, comme la Hongrie et la Pologne, essayent timidement de faire réagir leurs partenaires affaiblis.

    Au nom d’une globalisation, tueuse des identités charnelles, une volonté de dissolution et de déconstruction anime l’esprit des élites européennes. Timorées, molles, apeurées et enfermées dans des stéréotypes, ces élites ne sont plus capables actuellement d’être à la hauteur des événements tragiques qui nous touchent.

    La gestion calamiteuse de l’invasion des migrants, du soi-disant printemps arabe, de la crise en Ukraine et du conflit en Syrie en sont des exemples parfaits parmi tant d’autres. Nos élites, déconnectées de la réalité et des intérêts premiers de leurs patries, ne font que gesticuler au lieu d’agir. Leur grille de lecture des événements historiques ne fait qu’obéir à des impératifs idéologiques ou financiers extranationaux.

    Là où la Russie de Poutine, avec la Syrie, et dernièrement la libération de Palmyre, donne une leçon d’efficacité au camp occidental, nos dirigeants, empêtrés dans leurs nombreuses contradictions, ne peuvent qu’envoyer une image désastreuse de l’Europe. En continuant d’être les alliés inconditionnels de ceux qui financent l’islam sunnite wahhabite, directement impliqué dans les nombreux attentats islamiques, nos responsables politiques ne font qu’afficher leur incapacité à être de véritables chefs.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/

     

  • Propagande ”antiraciste” de France Télévision : islamophilie et francophobie

    Aux heures de grande écoute, France Télévision diffuse en boucle sur toutes ses chaines et sur Internet, des clips ”antiracistes”. selon une technique de ”vérité reconstituée digne du Reich nazi et des régimes communistes inédite dans ce pays. On applique les procédés de lavage de cerveau et de diffusion de mensonges de masse. La France est le seul pays occidental où la télévision et la radio d’État – en lien avec l’Éducation nationale – procède à une désinformation idéologique aussi agressive et décomplexée.

    France Télévisions utilise les techniques de propagande nazies

    Le budget de cette campagne télévisuelle choc se monte à 3 millions d’euros. La propagande s’inscrit dans un ” plan de lutte contre le racisme et l’antisémitisme ”, labellisé ”grande cause nationale” en 2015. La campagne est relayée sur Internet autour du hastag <TousUnisContreLaHaine>. Bien entendu, par ”haine” et ”racisme”, il faut entendre ceux des Français de souche, seuls coupables par définition du péché capital. Le ”racisme anti Blancs” pourtant omniprésent (voire seul présent), est évacué, nié, néantisé. Le monde virtuel de la propagande se substitue aux faits. Bienvenue au village Potemkine.

    Puisque les exactions racistes anti Arabes, anti Noirs ou les agressions anti musulmans de la part des Français de souche sont quasi inexistantes, on va les inventer, soit par faux témoignages, soit par clips vidéos prétendant reconstituer la réalité. Cette technique, très élaborée, celle de la propagande par désinformation mensongère et reconstitution cinématographique, a été mise au point par Josef Goebbels contre les juifs allemands. Elle n’avait jamais été utilisée jusqu’à présent – sauf dans les pays communistes. Il est intéressant, et inquiétant, de constater que l’État français est le seul en Occident à reprendre ces procédés audiovisuels nazis de propagande. (1)La campagne ”antiraciste” de France Télévision utilise le triptyque de Goebbels : 1) matraquage de slogans idéologiques ; 2) constitution de brefs témoignages audios et d’informations manipulés ; 3) fabrication de faux : documents filmés fictifs présentés ou suggérés comme étant des documentaires.  

    Une islamophobie inventée et fabriquée

    Une voix off féminine égrène le premier mensonge : les « actes islamophobes » explosent, « 2.000 de plus en 2015 qu’en 2014 » ! Ciel ! Ces chiffres bidons proviennent d’associations musulmanes subventionnées quiinventent purement et simplement, sans vérification, des ”agressions islamophobes”. Un tag sur une mosquée, un regard de travers à une femme voilée, voire même l’arrestation musclée d’un ”jeune” en flagrant délit par un policier, c’est un insupportable ”acte islamophobe”. En réalité, les ”actes islamophobes” et les agressions contre les musulmans (leurs mosquées, leurs cimetières, etc. ) sont inexistants. Ils représentent la communauté la plus protégée, la moins attaquée et la moins menacée de France. Et pourtant, incroyable paradoxe, c’est de ses rangs que provient l’immense majorité des auteurs de crimes, de délits, de vols, de viols, d’agressions, de trafics, d’exactions violentes, d’attentats et de massacres !    

    « Les actes anti–musulmans, ça commence par des mots. Ça finit par des crachats, des coups, du sang ».Solennel, dramatique, en lettres blanches sur fond noir, le slogan s’affiche. Et il se décline aussi en fonction du clip qui va suivre et des victimes, par exemple des Noirs.

    Exemple de scènes de ces clips : une bande de jeunes Blancs poursuit un Arabe, le jette à terre et le tabasse, puis l’abandonne, inanimé. La même scène se reproduit, mais, cette fois-ci, ceux qui sont molestés et roués de coups sont des Noirs. Derrière, en off, on entend des bribes de conversations, supposées être des micro-trottoirs ou des captures de dialogues entre Français de souche sur la voie publique. Les propos sont tous violemment anti Arabes et agressifs. En réalité tout a été écrit et enregistré en studio sur un scénario. Aucun de ces clips ou pseudo documents sonores ne décrit même 1% de la réalité.

    Un autre clip truqué montre des musulmans horrifiés parce qu’une tête de porc coupée a été fixée sur la grille de leur mosquée (sous–entendu par des Français de souche islamophobes). Invention pure et simple : jamais ce fait ne s’est produit. La seule tête coupée empalée a été celle du patron français de l’Arabe djihadiste terroriste Yassin Sahli, en juin 2015, à Saint Quentin Fallavier, qu’il a décapité avant de commettre un attentat raté aux bombonnes de gaz et d’acétone contre son usine. Une tête de porc virtuelle vaut plus qu’une tête de Français réelle.        

    Le gimmick de l’antisémitisme

    Le plus insupportable est, par amalgame, d’avoir mêlé l’antisémitisme à cette propagande contre le ”racisme” et l’ ”islamophobie”. Le slogan associé ”contre l’antisémitisme” apparaît tragiquement ridicule dans une campagne de propagande ”antiraciste” islamophile et arabophile. Tiens, tiens…pourquoi n’y–a-t–il pas de clips qui reconstituent des agressions antijuives ? Parce qu’il faudrait admettre que 100% des agressions antisémites, sont le fait des Arabo-musulmans, et des Noirs islamisés, et  non pas de Français de souche. Depuis quelques d’années, en France, l’explosion de l’antisémitisme (qui force des milliers de juifs à quitter l’Europe chaque année) a tout de même fait, outre les violences physiques et les sites Internet musulmans antisémites qui prolifèrent dans l’impunité la plus totale,  plus d’une dizaine de morts et près d’une centaine de blessés. Une première depuis 1945. Les auteurs sont tous issus des communautés africaines et arabo-musulmanes que victimise et innocente la propagande de France Télévisions. Aucun n’est issu de cette ”France de souche” tant détestée, ni des milieux cathos, identitaires, ”extrême –droite”, FN ou autres.

    Un gros problème pour la propagande : comment dénoncer l’antisémitisme tout en protégeant ses auteurs musulmans ? Dans certains milieux policiers à l’esprit tordu, il n’est pas exclu qu’on prépare des manipulations visant à organiser des actes ou attentats antijuifs dont les coupables seraient des Français de souche.  Quand un régime est capable de monter une campagne de trucages audiovisuels telle que celle de France Télévisions,  il est prêt à utiliser ses barbouzes pour tuer.          

     Une situation orwellienne :  l’agresseur  présenté comme victime.

    On marche sur la tête. Cette campagne de propagande pour dénoncer un racisme imaginaire anti-Arabes et anti – Noirs et une ”islamophobie explosive” a lieu au coeur d’une vague d’attentats meurtriers sans précédents perpétrés par des Arabes et des Maghrébins au nom de l’islam.  On tue au nom de l’islam, halte à l’islamophobie ! Des viols collectifs ont lieu à Cologne ?  Interdit de ”stigmatiser” les auteurs, victimes et non pas coupables ! Alors que les violences contre les Maghrébins, Africains, Moyen-Orientaux, musulmans en général sont, en Europe de l’Ouest, totalement inexistantes, France Télévisions nous ressort le mythe de la ratonnade. On est au cœur de l’inversion de la réalité, le mensonge absolu.

    L’immense majorité des agressions, exactions violentes et meurtrières, crapuleuses ou non, commises en France (de la petite criminalité au gangstérisme sans oublier le terrorisme) sont le fait de membres de cette communauté que l’État protège et dont il punit toute critique. La propagande d’État met donc l’accent sur la protection des Arabo-musulmans et des Noirs menacés de racisme et d’agressions alors que 90% des faits de racisme et d’agression sortent de leur rang. On marche sur la tête.

    On ensanglante la France (et de multiples autres pays) au nom de l’islam mais l’islamophobie est décrétée délit principal et sévèrement punie. L’État poursuit le ”racisme” anti-arabo musulman et anti Noirs totalement inexistant, mais le racisme anti Blancs est, partout ,un fait social en extension rapide, qui touche les classes populaires des ”petits Blancs”  jusqu’à l’école ; il est à la fois dissimulé (par les médias) et impuni (par la justice). Par ailleurs, les vandalismes contre les lieux chrétiens sont totalement ignorés.

     Le message est clair : l’État néo policier français sera impitoyable exclusivement envers les Français de souche qui oseront, sous prétexte de se défendre, résister et s’en prendre à l’agresseur. Les communautés allogènes et musulmanes en France sont devenues intouchables, bénéficiant d’une protection d’État, on pourrait dire d’un droit à l’exaction et à  l’invasion. 

    Le racisme anti Blancs et la volonté ethnocidaire.

    Le racisme antifrançais et anti–Blancs, dissimulé en ”antiracisme”, se manifeste chez les intellectuels et les politiques, notamment dans les rangs de l’islamo-gauchisme. De manière explicite, sans précaution, Jean –Luc Mélenchon déclarait : « je ne pourrais pas vivre dans un arrondissement où il n’y aurait que des blonds aux yeux bleus ». Ce propos relève du racisme (masochiste) anti–Blancs, de plus pathologique avec ce fantasme du ”blond aux yeux bleus”. Ce qui en dit long sur les obsessions raciales de ce personnage. Si quelqu’un disait qu’il ne pourrait pas vivre dans un arrondissement avec uniquement des Arabes et des Noirs, il serait traîné devant les tribunaux.

    La clé de tout cela, c’est une volonté ethnocidaire, à la fois démographique et culturelle, de la part des autorités contre la population de souche européenne, en collaborant avec les forces de l’islam invasif. Une dernière chose : cette campagne de clips montrant des Français de souche, agressant des Arabes, des musulmans, des Noirs n’a pas, à mon avis, uniquement pour but de culpabiliser les autochtones comme criminels imaginaires (”racistes intrinsèques”) mais aussi de provoquer des réactions de violence contre les populations françaises  de souche.

    En visionnant les clips de France Télévisions, relayés sur Internet, beaucoup de ”jeunes des banlieues”, extrêmement sensibles au lavage de cerveau, excités par les scènes de ratonade, vont croire qu’il s ‘agit de documentaires  réels. Le but – dissimulé –  est de pousser ces populations à la haine antifrançaise raciste et à commettre des agressions. Cette campagne de France Télévisions aura pour conséquence (volontaire ?) de créer des incidents ethniques en désignant le Français de souche comme un agresseur raciste. Certaines forces au pouvoir espèrent–elles une guerre civile ethnique ? Elles jouent avec le feu. Car, dans l’histoire, quand on déclenche une guerre, il faut pouvoir la gagner. 

    (1) Les services  cinématographiques du ministère de la Propagande de Goebbels reconstituaient des ghettos juifs polonais avec des gens heureux ; et, ausssi, plus tard, inventaient des scènes de vie paisible et joyeuse dans des camps de ”déplacés” juifs.  Films d’actualités diffusés dans toutes les salles de cinéma. France Télévision a repris exactement le même procédé de propagande nazie dans ses clips : présenter (implicitement ou explicitement) une fiction scénarisée comme un documentaire, le mensonge comme la vérité.

    http://www.gfaye.com/propagande-antiraciste-de-france-television-islamophilie-et-francophobie/