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islamisme - Page 355

  • Attentats à Bruxelles et au Pakistan : la stratégie de la tension

    edition-spéciale-e1459440181702.pngLes media nous bassinent et nous promènent avec la traque des auteurs d’attentats. Comme si les exécutants de base étaient également les commanditaires. Mais qui désigne et enquête sur les donneurs d’ordre, les centres de commandement, les sources idéologiques du djihadisme et les causes des conflits qui ravagent le Levant ? À nous donc, individuellement et ensemble, de conduire l’effort de réflexion nécessaire pour dégager du fatras d’informations inutiles et dérisoires dont on nous abreuve, celles qui nous diront de quoi le terrorisme est le nom !

    Les archéo-néomarxistes vivent avec la croyance que l’hyperclasse apatride régnante forme un bloc monolithique, sans faille ni divergences internes quant à ses buts et aux moyens d’y parvenir. En cela ils commettent une erreur fort commune partagée par tous ceux qui pensent à demi. Prenons un exemple : en 2003 l’objectif désigné de l’armée américaine dans sa guerre contre l’Irak baasiste était officiellement le renversement d’un dictateur et l’instauration de la démocratie. Au-delà, ceux qui se croient, ou se prétendent, avisés ont cru découvrir la lune en avançant qu’il s’agissait d’une guerre du pétrole. Les premiers, les soldats, au moins ceux d’entre eux qui n’étaient pas dans la confidence, ont été les grands cocus de l’affaire. Et par rétorsion, désabusés, ce sont eux qui ont révélé le pot aux roses pour ce qui concernait les Armes dites de destruction massive. Armes inexistantes et odieuse tromperie dont les auteurs ne furent jamais ni poursuivis ni punis. Quant aux gros malins qui identifièrent l’or noir comme l’ultima ratio de la guerre, sans doute ne s’aperçurent-ils jamais de la balourdise de leurs analyses. Bien entendu l’enjeu énergétique existait mais les grands trusts pétroliers n’avaient qu’à demander et l’Irak, bien avant la chute du régime, se serait jetée dans leurs bras. La guerre était donc inutile. Pire, les parts du marché pétrolier dévolues aux Américains se sont vues réduites après guerre à la portion congrue, le gros du gâteau ayant été empoché par des compagnies asiatiques.

    Alors ? Les marxistes comme les géopoliticiens à courte vue n’ont pas vu que derrière l’empilement des intérêts trivialement matériels, terre-à-terre, se trouvaient de visées connexes, cachées, inavouées d’une toute autre portée. Les militaires vinrent déblayer le terrain, mais contrairement à leur naïve espérance, la démocratie ne fut pas au rendez-vous. Au contraire ! Démarra en 2004 un cycle, non refermé à ce jour, de violences et d’attentats plus meurtriers les uns que les autres, lesquels vus depuis l’Occident atteint de myopie aggravée, parurent être de simples affrontements interconfessionnels, chiites contre sunnites, participant d’une guerre intercommunautaire de basse intensité. Mais ce navrant Occident ne voulait pas voir ni savoir que mille et cent fois des forces non identifiées s’employèrent et s’efforcèrent d’allumer pour de bon le brasier de la guerre civile sans jamais y parvenir tout à fait. Des commandos sous faux drapeau et avec uniformes d’emprunts s’attaquèrent ainsi aux symboles religieux les plus précieux pour les mahométans, telle la mosquée de Samarra au nord de Bagdad1. Mais en vain. Une technique qui fut employée à moindre échelle mais avec plus de succès fut celle des tireurs embusqués qui parvinrent en mars 2011 dès les premiers jours de la contestation non violente des sunnites syriens contre le pouvoir central tenu par des alaouites (assimilés à des chiites), à transformer un ressentiment populaire souvent légitime en une insurrection armée. La même méthode fut utilisée un an plus tard, en février 2014, sur le Maïdan de Kiev pour jeter les uns contre les autres, fédéralistes russophones contre euratlantistes. Partout, en Orient et en Occident, les mêmes techniques, la même guerre terroriste se retrouvent. Une guerre déjà décrite par Flavius Josèphe au temps de l’empereur Titus, guerre terrible qui emporta plus tard l’empire des Tsars en mars 1917…

    RETOUR À L’ACTUALITÉ SANGLANTE

    Arrêtons ici cette digression liminaire. Laquelle n’est cependant pas tout à fait inutile parce que les actuels malheurs des Penjâbis ou des Belges, comme ceux récents des Français, viennent de là. Et de la sale guerre d’Irak inscrite ipso facto dans cette “guerre sans limites” au terrorisme déclarée par GW Bush le 20 septembre 2001 devant le Congrès, puis lors de son discours de l’Union le 20 janvier 2002. « Notre guerre contre le terrorisme commence avec Al-Qaïda, mais elle ne s’arrêtera pas là. Elle ne prendra fin qu’une fois que tous les groupes terroristes de portée mondiale auront été trouvés, arrêtés et vaincus » [Capitole20sept01].

    C’est en effet de ce moment précis — même si les racines du mal plongent dans des abysses épaisses multiséculaires — que nous devons dater l’origine des attentats du 13 novembre 2015 et du 22 mars 2016. La guerre occidentaliste s’abat sur l’Afghanistan le 8 octobre 2001 et s’achève, en principe, avec le départ des derniers contingents américains fin 2014. Guerre stupide, ruineuse2 et inutile puisque nous accueillons aujourd’hui en Europe des réfugiés afghans qui « fuient la guerre » ! Au demeurant prodigieux succès pour ceux qui sèment le chaos à travers le Continent et entendent régner sur les décombres des nations. En raccourci, rappelons que cette Al-Qaïda contre laquelle l’Amérique néoconservatrice partait en guerre en 2001 est le fruit de ses propres œuvres, créée avec la complicité des Services spéciaux pakistanais, l’ISI, avant même l’entrée des Soviétiques sur la scène afghane en 19793.

    Aujourd’hui cette formation terroriste que Washington et Langley ont abondamment utilisée en Bosnie et au Kossovo, constitue, sous le label Al-Nosra, le fer de lance de la politique de « regime change » mise en œuvre en Syrie, avec l’active complicité de Paris, Londres, Berlin toujours en avance d’une soumission et d’une basse servilité. Entretemps des djihadistes mal dégrossis et armées de cutters sont réputés avoir descendus trois tours de Manhattan avec seulement deux avions. Comprenne qui pourra. Mais chut, il est interdit de se poser la moindre question sous peine de se voir accuser de conspirationnisme, une altération de la pensée presque plus répréhensible que tous les crimes de sang réunis. […] Lire la suite…

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/attentats-a-bruxelles-et-au-pakistan-la-strategie-de-la-tension_156911.html#more-156911

  • Politique et éco N°84 : La guerre perdue contre l'islam radical

  • Le site "les villes contre l'islamisation désormais présent aussi sur facebook

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  • Tribune libre – Le temps des traîtres, par Vincent Revel

    Selon nos responsables, l’Europe est en guerre contre Daesh. Les attentats commis sur notre continent auraient soi-disant permis à nos politiques de comprendre la situation. A écouter nos bonimenteurs, le drame de Bruxelles aurait réveillé les consciences. Nous sommes nombreux à savoir qu’il n’en est rien.

    Les attentats en Belgique n’ont rien permis et n’ont rien changé. Nous sommes toujours dans les mêmes impasses. Il suffit de voir ce que sont devenues la loi sur la déchéance de la nationalité française pour les binationaux et les déviances communautaristes de la loi El Khomry. Le monde des Bisounours est toujours en place, recroquevillé sur ses espérances utopistes. Rien n’a changé, au contraire, tout s’accélère !

    L’antiracisme profite même du contexte pour culpabiliser un peu plus les victimes et enfoncer le clou de la repentance avec des courts métrages hallucinants dénonçant le racisme antisémite, anti-noir, islamophobe, tout en oubliant volontairement le racisme le plus commun actuellement : celui qui vise les Blancs. Les Européens de souche sont priés de faire profil bas en évitant toute démonstration de force comme ont osé le faire des patriotes belges à Bruxelles, tout de suite condamnés par l’establishment comme d’affreux hooligans ! S’ils le désirent, les Européens peuvent pleurer, poser des bougies, participer à des marches blanches mais ils ont surtout le devoir d’endosser, en silence si possible, le rôle du salaud.

    Pas plus aujourd’hui qu’hier, nous n’avons la possibilité d’avoir un véritable débat démocratique sur le danger de l’islamisation de l’Europe, sur l’immigration de masse et de remplacement, sur l’échec de l’idéologie multiculturelle et sur les fractures communautaires qui se dessinent un peu partout en Europe occidentale. Certains pays de l’Union, comme la Hongrie et la Pologne, essayent timidement de faire réagir leurs partenaires affaiblis.

    Au nom d’une globalisation, tueuse des identités charnelles, une volonté de dissolution et de déconstruction anime l’esprit des élites européennes. Timorées, molles, apeurées et enfermées dans des stéréotypes, ces élites ne sont plus capables actuellement d’être à la hauteur des événements tragiques qui nous touchent.

    La gestion calamiteuse de l’invasion des migrants, du soi-disant printemps arabe, de la crise en Ukraine et du conflit en Syrie en sont des exemples parfaits parmi tant d’autres. Nos élites, déconnectées de la réalité et des intérêts premiers de leurs patries, ne font que gesticuler au lieu d’agir. Leur grille de lecture des événements historiques ne fait qu’obéir à des impératifs idéologiques ou financiers extranationaux.

    Là où la Russie de Poutine, avec la Syrie, et dernièrement la libération de Palmyre, donne une leçon d’efficacité au camp occidental, nos dirigeants, empêtrés dans leurs nombreuses contradictions, ne peuvent qu’envoyer une image désastreuse de l’Europe. En continuant d’être les alliés inconditionnels de ceux qui financent l’islam sunnite wahhabite, directement impliqué dans les nombreux attentats islamiques, nos responsables politiques ne font qu’afficher leur incapacité à être de véritables chefs.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/

     

  • Propagande ”antiraciste” de France Télévision : islamophilie et francophobie

    Aux heures de grande écoute, France Télévision diffuse en boucle sur toutes ses chaines et sur Internet, des clips ”antiracistes”. selon une technique de ”vérité reconstituée digne du Reich nazi et des régimes communistes inédite dans ce pays. On applique les procédés de lavage de cerveau et de diffusion de mensonges de masse. La France est le seul pays occidental où la télévision et la radio d’État – en lien avec l’Éducation nationale – procède à une désinformation idéologique aussi agressive et décomplexée.

    France Télévisions utilise les techniques de propagande nazies

    Le budget de cette campagne télévisuelle choc se monte à 3 millions d’euros. La propagande s’inscrit dans un ” plan de lutte contre le racisme et l’antisémitisme ”, labellisé ”grande cause nationale” en 2015. La campagne est relayée sur Internet autour du hastag <TousUnisContreLaHaine>. Bien entendu, par ”haine” et ”racisme”, il faut entendre ceux des Français de souche, seuls coupables par définition du péché capital. Le ”racisme anti Blancs” pourtant omniprésent (voire seul présent), est évacué, nié, néantisé. Le monde virtuel de la propagande se substitue aux faits. Bienvenue au village Potemkine.

    Puisque les exactions racistes anti Arabes, anti Noirs ou les agressions anti musulmans de la part des Français de souche sont quasi inexistantes, on va les inventer, soit par faux témoignages, soit par clips vidéos prétendant reconstituer la réalité. Cette technique, très élaborée, celle de la propagande par désinformation mensongère et reconstitution cinématographique, a été mise au point par Josef Goebbels contre les juifs allemands. Elle n’avait jamais été utilisée jusqu’à présent – sauf dans les pays communistes. Il est intéressant, et inquiétant, de constater que l’État français est le seul en Occident à reprendre ces procédés audiovisuels nazis de propagande. (1)La campagne ”antiraciste” de France Télévision utilise le triptyque de Goebbels : 1) matraquage de slogans idéologiques ; 2) constitution de brefs témoignages audios et d’informations manipulés ; 3) fabrication de faux : documents filmés fictifs présentés ou suggérés comme étant des documentaires.  

    Une islamophobie inventée et fabriquée

    Une voix off féminine égrène le premier mensonge : les « actes islamophobes » explosent, « 2.000 de plus en 2015 qu’en 2014 » ! Ciel ! Ces chiffres bidons proviennent d’associations musulmanes subventionnées quiinventent purement et simplement, sans vérification, des ”agressions islamophobes”. Un tag sur une mosquée, un regard de travers à une femme voilée, voire même l’arrestation musclée d’un ”jeune” en flagrant délit par un policier, c’est un insupportable ”acte islamophobe”. En réalité, les ”actes islamophobes” et les agressions contre les musulmans (leurs mosquées, leurs cimetières, etc. ) sont inexistants. Ils représentent la communauté la plus protégée, la moins attaquée et la moins menacée de France. Et pourtant, incroyable paradoxe, c’est de ses rangs que provient l’immense majorité des auteurs de crimes, de délits, de vols, de viols, d’agressions, de trafics, d’exactions violentes, d’attentats et de massacres !    

    « Les actes anti–musulmans, ça commence par des mots. Ça finit par des crachats, des coups, du sang ».Solennel, dramatique, en lettres blanches sur fond noir, le slogan s’affiche. Et il se décline aussi en fonction du clip qui va suivre et des victimes, par exemple des Noirs.

    Exemple de scènes de ces clips : une bande de jeunes Blancs poursuit un Arabe, le jette à terre et le tabasse, puis l’abandonne, inanimé. La même scène se reproduit, mais, cette fois-ci, ceux qui sont molestés et roués de coups sont des Noirs. Derrière, en off, on entend des bribes de conversations, supposées être des micro-trottoirs ou des captures de dialogues entre Français de souche sur la voie publique. Les propos sont tous violemment anti Arabes et agressifs. En réalité tout a été écrit et enregistré en studio sur un scénario. Aucun de ces clips ou pseudo documents sonores ne décrit même 1% de la réalité.

    Un autre clip truqué montre des musulmans horrifiés parce qu’une tête de porc coupée a été fixée sur la grille de leur mosquée (sous–entendu par des Français de souche islamophobes). Invention pure et simple : jamais ce fait ne s’est produit. La seule tête coupée empalée a été celle du patron français de l’Arabe djihadiste terroriste Yassin Sahli, en juin 2015, à Saint Quentin Fallavier, qu’il a décapité avant de commettre un attentat raté aux bombonnes de gaz et d’acétone contre son usine. Une tête de porc virtuelle vaut plus qu’une tête de Français réelle.        

    Le gimmick de l’antisémitisme

    Le plus insupportable est, par amalgame, d’avoir mêlé l’antisémitisme à cette propagande contre le ”racisme” et l’ ”islamophobie”. Le slogan associé ”contre l’antisémitisme” apparaît tragiquement ridicule dans une campagne de propagande ”antiraciste” islamophile et arabophile. Tiens, tiens…pourquoi n’y–a-t–il pas de clips qui reconstituent des agressions antijuives ? Parce qu’il faudrait admettre que 100% des agressions antisémites, sont le fait des Arabo-musulmans, et des Noirs islamisés, et  non pas de Français de souche. Depuis quelques d’années, en France, l’explosion de l’antisémitisme (qui force des milliers de juifs à quitter l’Europe chaque année) a tout de même fait, outre les violences physiques et les sites Internet musulmans antisémites qui prolifèrent dans l’impunité la plus totale,  plus d’une dizaine de morts et près d’une centaine de blessés. Une première depuis 1945. Les auteurs sont tous issus des communautés africaines et arabo-musulmanes que victimise et innocente la propagande de France Télévisions. Aucun n’est issu de cette ”France de souche” tant détestée, ni des milieux cathos, identitaires, ”extrême –droite”, FN ou autres.

    Un gros problème pour la propagande : comment dénoncer l’antisémitisme tout en protégeant ses auteurs musulmans ? Dans certains milieux policiers à l’esprit tordu, il n’est pas exclu qu’on prépare des manipulations visant à organiser des actes ou attentats antijuifs dont les coupables seraient des Français de souche.  Quand un régime est capable de monter une campagne de trucages audiovisuels telle que celle de France Télévisions,  il est prêt à utiliser ses barbouzes pour tuer.          

     Une situation orwellienne :  l’agresseur  présenté comme victime.

    On marche sur la tête. Cette campagne de propagande pour dénoncer un racisme imaginaire anti-Arabes et anti – Noirs et une ”islamophobie explosive” a lieu au coeur d’une vague d’attentats meurtriers sans précédents perpétrés par des Arabes et des Maghrébins au nom de l’islam.  On tue au nom de l’islam, halte à l’islamophobie ! Des viols collectifs ont lieu à Cologne ?  Interdit de ”stigmatiser” les auteurs, victimes et non pas coupables ! Alors que les violences contre les Maghrébins, Africains, Moyen-Orientaux, musulmans en général sont, en Europe de l’Ouest, totalement inexistantes, France Télévisions nous ressort le mythe de la ratonnade. On est au cœur de l’inversion de la réalité, le mensonge absolu.

    L’immense majorité des agressions, exactions violentes et meurtrières, crapuleuses ou non, commises en France (de la petite criminalité au gangstérisme sans oublier le terrorisme) sont le fait de membres de cette communauté que l’État protège et dont il punit toute critique. La propagande d’État met donc l’accent sur la protection des Arabo-musulmans et des Noirs menacés de racisme et d’agressions alors que 90% des faits de racisme et d’agression sortent de leur rang. On marche sur la tête.

    On ensanglante la France (et de multiples autres pays) au nom de l’islam mais l’islamophobie est décrétée délit principal et sévèrement punie. L’État poursuit le ”racisme” anti-arabo musulman et anti Noirs totalement inexistant, mais le racisme anti Blancs est, partout ,un fait social en extension rapide, qui touche les classes populaires des ”petits Blancs”  jusqu’à l’école ; il est à la fois dissimulé (par les médias) et impuni (par la justice). Par ailleurs, les vandalismes contre les lieux chrétiens sont totalement ignorés.

     Le message est clair : l’État néo policier français sera impitoyable exclusivement envers les Français de souche qui oseront, sous prétexte de se défendre, résister et s’en prendre à l’agresseur. Les communautés allogènes et musulmanes en France sont devenues intouchables, bénéficiant d’une protection d’État, on pourrait dire d’un droit à l’exaction et à  l’invasion. 

    Le racisme anti Blancs et la volonté ethnocidaire.

    Le racisme antifrançais et anti–Blancs, dissimulé en ”antiracisme”, se manifeste chez les intellectuels et les politiques, notamment dans les rangs de l’islamo-gauchisme. De manière explicite, sans précaution, Jean –Luc Mélenchon déclarait : « je ne pourrais pas vivre dans un arrondissement où il n’y aurait que des blonds aux yeux bleus ». Ce propos relève du racisme (masochiste) anti–Blancs, de plus pathologique avec ce fantasme du ”blond aux yeux bleus”. Ce qui en dit long sur les obsessions raciales de ce personnage. Si quelqu’un disait qu’il ne pourrait pas vivre dans un arrondissement avec uniquement des Arabes et des Noirs, il serait traîné devant les tribunaux.

    La clé de tout cela, c’est une volonté ethnocidaire, à la fois démographique et culturelle, de la part des autorités contre la population de souche européenne, en collaborant avec les forces de l’islam invasif. Une dernière chose : cette campagne de clips montrant des Français de souche, agressant des Arabes, des musulmans, des Noirs n’a pas, à mon avis, uniquement pour but de culpabiliser les autochtones comme criminels imaginaires (”racistes intrinsèques”) mais aussi de provoquer des réactions de violence contre les populations françaises  de souche.

    En visionnant les clips de France Télévisions, relayés sur Internet, beaucoup de ”jeunes des banlieues”, extrêmement sensibles au lavage de cerveau, excités par les scènes de ratonade, vont croire qu’il s ‘agit de documentaires  réels. Le but – dissimulé –  est de pousser ces populations à la haine antifrançaise raciste et à commettre des agressions. Cette campagne de France Télévisions aura pour conséquence (volontaire ?) de créer des incidents ethniques en désignant le Français de souche comme un agresseur raciste. Certaines forces au pouvoir espèrent–elles une guerre civile ethnique ? Elles jouent avec le feu. Car, dans l’histoire, quand on déclenche une guerre, il faut pouvoir la gagner. 

    (1) Les services  cinématographiques du ministère de la Propagande de Goebbels reconstituaient des ghettos juifs polonais avec des gens heureux ; et, ausssi, plus tard, inventaient des scènes de vie paisible et joyeuse dans des camps de ”déplacés” juifs.  Films d’actualités diffusés dans toutes les salles de cinéma. France Télévision a repris exactement le même procédé de propagande nazie dans ses clips : présenter (implicitement ou explicitement) une fiction scénarisée comme un documentaire, le mensonge comme la vérité.

    http://www.gfaye.com/propagande-antiraciste-de-france-television-islamophilie-et-francophobie/

  • Attaque contre le Bataclan : les militaires de Sentinelle ont refusé d’intervenir !

    Le 13 novembre dernier, des militaires de l’Opération Sentinelle, qui patrouillaient à proximité du Bataclan attaqué par les terroristes islamistes, ont refusé de prêter main-forte aux policiers qui intervenaient ! Pendant que les cadavres s’amoncelaient, ils attendaient les ordres ! Cette incroyable révélation a été faite, quatre mois après les faits, par Jean-Luc Taltavull, secrétaire général adjoint du Syndicat des commissaires de la police nationale, réputé être un homme modéré et prudent.

    Le 23 mars dernier, Jean-Luc Taltavull est auditionné par la Commission d’enquête parlementaire « relative aux moyens mis en œuvre par l’État pour lutter contre le terrorisme depuis le 7 janvier 2015 », c’est-à-dire depuis l’attaque de Charlie Hebdo. Voici sa déclaration :

    « Il y avait des gens de Sentinelle qui étaient à proximité du Bataclan. […] Un gardé de la Brigabe anti-criminalité, qui était sur la porte de secours, a dit à des militaires : “Allez, on y va !“ […] Le détachement a dit : “Non, je n’ai pas d’ordre pour bouger.“ Alors il lui a dit : “Bon, passe-moi ton Famas.“ […] L’autre évidemment, son arme, il n’allait pas la lâcher… »

    Il ne l’a donc pas lâchée… Et le policier de la BAC est parti, seul, avec son  fusil à pompe, à l’assaut du Bataclan aux mains des terroristes équipés, eux, de kalachnikov…

  • Alain Juppé a tort : il y a des dizaines de Molenbeek en France

    Il démontre une nouvelle fois qu’il est totalement à côté de la plaque en sous-estimant le danger islamiste en France.
    Patrick Kanner, ministre de la Ville, déclarait récemment dans un éclair de lucidité tardif : « Il y a aujourd’hui, on le sait, une centaine de quartiers en France qui présentent des similitudes potentielles avec ce qui s’est passé à Molenbeek. » Molenbeek, quartier bruxellois observé attentivement par l’ensemble des médias mondiaux depuis les attentats de Paris, a envoyé une partie non négligeable de ses jeunes habitants au djihad en Syrie. Le problème ne date d’ailleurs pas d’hier. La ville est scrutée depuis le début des années 2000 par les experts du renseignement. En matière de terrorisme islamiste, tous les chemins mènent à Molenbeek : de l’assassinat du commandant Massoud à l’explosion de la gare d’Atocha en Espagne, en passant par l’attentat raté du Thalys ou bien encore les derniers attentats parisiens et bruxellois.

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  • En Syrie, des terroristes armés par le Pentagone combattent ceux armés par la CIA !

    DAMAS (NOVOpress) : C’est une facette méconnue du conflit syrien : les affrontements entre la CIA et le Pentagone par factions terroristes interposées sur le théâtre d’opérations syriens. Le 27 mars dernier, le Los Angeles Times y a consacré une enquête édifiante. Nous en avons traduit cet extrait :

    « Les milices syriennes armées par les différents intervenants de la machine de guerre américaine ont commencé à se battre entre elles dans les plaines entre la ville assiégée d’Alep et la frontière turque, soulignant combien les forces US présentes contrôlent mal les groupes qu’ils ont financés et entraînés dans cette guerre civile depuis cinq ans.

    Les combats se sont intensifiés au cours des deux derniers mois. À la mi-février, une milice armée par la CIA appelée Fursan al Haq, ou Chevaliers de la Justice, a été repoussée hors de la ville de Marea, à environ 30 km au nord d’Alep, par les forces alliées… du Pentagone. reculant vers les zones contrôlées par les Kurdes, à l’est. « Nous nous battrons contre toute faction qui nous attaque, quels que soient ses soutiens », a déclaré dans une interview le major Fares Bayoush, chef des Fursan al Haq. Les combattants rebelles décrivent des affrontements similaires dans la ville d’Azaz, un point de transit clé entre Alep et la frontière turque, et, le 3 mars, dans le quartier de Sheikh Maqsud à Alep.

    « C’est une guerre compliquée, multi-facettes, où nos options sont très limitées », a déclaré un responsable américain sous couvert d’anonymat. « Nous savons que nous avons besoin d’un partenaire sur le terrain. Nous ne pouvons pas vaincre Daech sans cette partie de l’équation, donc nous continuons essayer de nouer des relations. »

    Le président Obama a autorisé ce mois-ci un nouveau plan du Pentagone pour former et armer des « rebelles » syriens, en relançant un programme suspendu à l’automne après une série de revers embarrassants où une grande partie des munitions et des camions américains avaient été retrouvés chez un groupe terroriste affilié à Al Qaida.

    Le Pentagone avait alors déployé des forces spéciales dans les zones tenues par les Kurdes dans le nord-est de la Syrie pour mieux se coordonner avec les milices locales et faire en sorte que les groupes terroristes soutenus par les États-Unis ne s’entre-déchirent pas. Mais ces escarmouches sont devenues routinières.

    L’an dernier, le Pentagone a contribué à créer une nouvelle coalition militaire, les Forces démocratiques syriennes. Le but était d’armer le groupe et de se préparer à prendre le territoire de l’Etat islamique en Syrie orientale et à fournir des informations pour les frappes aériennes américaines. […]

    Alors que les actions du Pentagone font partie d’un effort manifeste des États-Unis et de ses alliés contre l’État islamique, le soutien de la CIA vise uniquement à renverser le gouvernement d’Assad.

    Dans un premier temps, les deux mouvements opéraient principalement dans les zones éloignées de la Syrie, les Forces démocratiques syriennes soutenues par le Pentagone dans la partie nord-est du pays et les terroristes soutenus par la CIA plus à l’Ouest. Mais au cours des derniers mois, les frappes russes contre tous les combattants anti-Assad dans le nord-ouest de la Syrie ont diminué leur territoire d’influence et ils se retrouvent maintenant voisins. »

    http://fr.novopress.info/

  • Trois mosquées de Béziers sur cinq refusent de signer la charte de bonne conduite

    Lu sur l'Observatoire de l'islamisation :

    "La Charte proposée de bonne conduite signée par deux mosquées de Béziers, a été refusée par trois, dont la plus grande, c’est inquiétant. Les imams et les représentants des mosquées de Béziers doivent à ses yeux s’engager :

    « à ne prêcher qu’en français et en toutes circonstances » ;
    « à ne faire aucun appel public à la prière, notamment dans la rue, sous quelque forme que ce soit » ;
    « à ne pas poursuivre d’activités et à entretenir des liens avec des associations ou des mosquées, en France ou à l’étranger,appartenant aux courants les plus extrêmistes salafiste et Frères musulmans » ;
    « à ne pas diffuser les discours ou faire la promotion des cheikhs ou «savants» saoudiens wahhabites, des cheikhs des Frères musulmans de tous les pays » ;
    « à ne pas promouvoir les textes et livres qui prescrivent le jihad ou la peine de mort pour, entre autres, les apostats, les athées ou les homosexuels » ;
    « à ne recevoir aucun financement d’un Etat étranger, d’une collectivité d’un Etat étranger ou d’une association étrangère »."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/04/trois-mosqu%C3%A9es-de-b%C3%A9ziers-sur-cinq-refusent-de-signer-la-charte-de-bonne-conduite.html