Il y a un an, Brahim Aouissaoui, Tunisien de 22 ans, pénétrait dans la basilique Notre-Dame de l’Assomption à Nice à 8 h 29 du matin. Vingt minutes plus tard, il avait déjà commis un triple massacre : Nathalie Devillers, Vincent Loquès le sacristain et Simone Barreto, tous trois coupables d’être venus prier de bon matin, étaient assassinés, égorgés. Les derniers mots de Simone Barreto – « Dites à mes enfants que je les aime » (France 3) – symbolisent à eux seuls cette vérité, cruelle et nue : par cet acte islamiste, c’est toute une famille, ici catholique, qui est endeuillée. Alors qu’il vociférait « Allah Akbar », le terroriste était criblé de 11 balles. Touché à l’abdomen et aux jambes, il est transporté à l’hôpital de Nice où ses seules paroles furent « des invectives islamistes ».
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Attentat de Nice, un an après : le djihadiste Brahim Aouissaoui plaide toujours l’amnésie
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LES BRETONNES NE VEULENT PAS CONNAITRE LE MÊME SORT QUE LES FEMMES AFGHANES
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Islamisation et immigration… D’un délire idéologique à l’autre
Par Gérard Dussouy, professeur émérite des universités, essayiste ♦ De tous les bords en Europe, le déni du réel et le délire idéologique qui va avec l’emportent. Il est vrai que moins les hommes n’ont de prise sur la réalité et plus ils s’en remettent à des représentations mythifiées. C’est un constat vérifié depuis longtemps par les sociologues pragmatistes. D’un côté, il y a tous ceux qui s’accrochent à leur vision universaliste et naïvement humanitaire, alors que la réalité du choc des civilisations et des empires s’impose à leurs yeux, et d’un autre côté, ceux qui entretiennent la nostalgie d’une souveraineté nationale perdue, et qui ne peut plus être parce qu’elle est déconnectée de la puissance.
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C’était il y a un an : l’attentat de Nice
Il y a un an, jour pour jour, le 29 octobre 2020, Nadine Devillers, 60 ans, Vincent Loquès, le sacristain de l’église, 55 ans, et Simone Barreto Silva, une Franco-brésilienne de 44 ans, sont morts lors de l’attentat au couteau de la basilique Notre-Dame de l’Assomption à Nice.
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La Vérité sur Taha Bouhafs | Contre-enquête [vidéo]
28/10/2021 – FRANCE (NOVOpress)
Vendredi 17 septembre dernier, le journaliste Taha Bouhafs porte plainte contre le site d’actualité Fdesouche en raison de la publication d’une liste de plusieurs centaines de personnalités fichées “islamogauchistes”, et dans laquelle son nom figure.Largement soutenu par des élus de gauche, des Insoumis aux écologistes, des syndicats journalistiques et par son camp, Taha Bouhafs vient pourtant tout juste d’être condamné ce mardi 28 septembre par le tribunal judiciaire de Paris pour injure raciste envers une policière, Linda Kebbab, après l’avoir traitée d’Arabe de service. Le journaliste, connu aussi pour avoir qualifié Sonia Mabrouk de « collabeur », se lance donc dans un nouveau combat judiciaire.
Pour décrypter la situation du polémiste, Livre Noir a mené sa contre-enquête : Taha Bouhafs est-il vraiment journaliste ou bien un militant politique au service de l’islamogauchisme ?
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Dissolution de la Coordination contre le racisme et l’islamophobie : le gouvernement dévoile l’affaire du voile
Après la dissolution, en novembre 2020, du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), accusé d’être une officine islamiste œuvrant contre la République, c’est l’association Coordination contre le racisme et l’islamophobie (CRI) qui a été dissoute en Conseil des ministres, le 20 octobre dernier.
À quelques mois de l’élection présidentielle, le gouvernement a décidé de sortir la tête du sable pour sanctionner les dangereux agissements du CRI, comme il s’est subitement réveillé récemment pour interdire l’infernale Ligue de défense noire africaine après des années d’impunité.
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Lille : un terroriste échappe à son expulsion en refusant les tests PCR
Un détenu condamné pour terrorisme a, pour l’instant, réussi à échapper à son expulsion vers le Maroc en refusant, à quatre reprises, de faire un test PCR, rapporte La voix du Nord.
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Sur Front Populaire, Islam, islamisme, assimilation : ce qu'en ont dit Éric Zemmour et Michel Onfray.
Retrouvez les meilleurs moments du débat "Accords & Désaccords" entre Éric Zemmour et Michel Onfray au Palais des Congrès.
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« Allah akbar ! » : à Valence, c’est l’hommage à Samuel Paty
Voici l’une des 98 « incivilités » relevées vendredi dernier, lors de l’hommage au professeur décapité. Cela s’est passé au collège Jean-Zay de Valence. Un garçon a hurlé « Allah akbar » pendant l’hommage, le cri du tueur de Paty. L’affaire n’a été connue que ce mardi, quand le papa du collégien islamiste est venu réitérer son soutien au fiston, en en rajoutant une couche.
Il y a énormément de collèges Jean-Zay en France, bien plus qu’il n’y aura jamais de collèges Samuel Paty, car c’est beaucoup moins risqué. Nous ne sommes plus en 1944, et l’occupant n’est plus le boche…
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Jean-Paul Brighelli : « Ces établissements ont comme élèves des futurs djihadistes », par Marc Eynaud.
Jean-Paul Brighelli revient sur les hommages à Samuel Paty perturbés et dénonce la montée en puissance du niveau de violence des élèves chez qui il n’y a plus aucun tabou.
https://soundcloud.com/bvoltaire/jean-paul-brighelli-157079960
Vous êtes professeur et avez publié plusieurs livres (La Fabrique du crétin, C’est le français qu’on assassine…). Un hommage à Samuel Paty a eu lieu dans toutes les écoles de la République. Ce jour-là, 98 faits inquiétants ont été recensés. C’est comme si nous les comptions comme le nombre de voitures brûlées la nuit du Nouvel An. Cela va-t-il devenir un rituel ?
J’ai peur que ce soit, en effet, comme les voitures brûlées, le jour de l’An, et qu’on minimise le phénomène de façon à ce qu’il n’y ait pas d’incitation à copier.