Par Paul Tormenen, juriste et spécialiste des questions migratoires ♦ Lors de la convention de la droite à l’automne 2019, Éric Zemmour a fait quelques déclarations tonitruantes qui lui ont valu d’être condamné l’année suivante. Parmi celles-ci figure « l’islamisation de la rue ». Cette suite judiciaire a détourné l’attention d’un phénomène bien réel, que chacun peut pourtant constater : de plus en plus de femmes musulmanes portent le voile islamique et des tenues « ethniques ». Pour paraphraser Charles Péguy, en la matière comme dans d’autres, il faut autant essayer de voir ce que l’on voit que de dire ce que l’on voit, en tentant d’échapper aux foudres des ligues de vertu. Que nous dit ce phénomène sur l’évolution de la société française et la transformation de notre pays ?
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Le voile islamique, signe visible de la transformation de la société française
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« Mécréantes », « Salopes ». Un homme fiché S s’en prend à l’équipe d’un restaurant à Bayonne
Dimanche 4 juillet, un homme de 32 ans d’origine malgache a menacé de mort le patron d’un restaurant, avant de revenir, le lendemain, pour insulter son équipe. Présenté au tribunal, jeudi après-midi, il a écopé d’un an de prison ferme, selon France Bleu.
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Livre : L’islamisme à la conquête des entreprises, Leslie J. Shaw et Alexandre del Valle
En novembre 2017 se tenait à Paris, au Cercle national des armées, le premier colloque mondial consacré au radicalisme islamique sur le lieu de travail. À ce colloque, organisé par le FIRM (Forum on Islamic Radicalism and Management), succédaient en 2018 deux autres sur le même thème, au Capitole à Washington, puis au palais du Luxembourg.
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Justice des mineurs : les foyers et centre éducatifs fermés gangrenés par le séparatisme religieux
« Discrimination ». Un mot pour résumer la peur, dire la hantise, celle qui paralyse toutes nos institutions au point de les détourner de leurs missions.
Taire la vérité par peur de discriminer, voilà dans quoi nous sommes empêtrés depuis des décennies. À ce jeu, on a pourri l’école, imposant ce nivellement par le bas qui nous vaut, aujourd’hui, la queue de peloton dans les classements internationaux.
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« Tu prends un couteau, tu vas dans une église » : l’organisation de l’assassinat du père Hamel
Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel était égorgé par deux terroristes islamistes, Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean, alors qu’il célébrait la messe à l’église de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime).
L’hebdomadaire La Vie a pu se procurer des documents inédits constituant une source d’informations et d’enseignements retraçant une partie des préparatifs de l’attaque à Saint-Étienne-du-Rouvray, juste une semaine avant.
« Tu vas dans une église… tu déglingues tout le monde »
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Violences conjugales Allah mode de chez eux !
La chronique de Philippe Randa
L’affaire Valérie Bacot vient de défrayer la chronique judiciaire française : à peine condamnée et libérée à la barre pour avoir envoyé en un enfer mérité son tourmenteur violeur, proxénète et alcoolique, elle se retrouve néanmoins « vidée mentalement et physiquement » par des années de violences et d’humiliations. Au moins, est-elle en vie.
Outre-Rhin, autre exemple de violences conjugales, mais sur fond de religion, cette fois. Avec une victime envoyée ad patres.
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Les pourriticards devraient être dans le box en compagnie des terroristes islamistes
Patrick Jardin, entrepreneur, est le père de Nathalie, assassinée au Bataclan, le 13 novembre 2015, lors de l’attaque islamiste. Il a écrit un livre, qui est un cri de colère.
- Colère contre les barbares islamistes.
- Colère contre la lâcheté des politiciens qui n’ont rien fait pour s’opposer à l’islamisation de la France.
Il s’exprime sur le futur procès de l’attentat du Bataclan :
Vendredi matin, matinée de travail avec mon avocat : en effet, dès le 8 septembre, je dois subir le procès des auteurs du massacre du Bataclan, presque six ans après cette tuerie.
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Terrorisme islamique : bref retour sur la « méthode allemande ».
Depuis l’arrivée massive de musulmans en Europe en 2015, à l’appel de la chancelière Angela Merkel, nous n’avons cessé de dénoncer les mensonges des autorités allemandes qui s’efforcent de nier, chaque fois qu’elles le peuvent, la réalité des crimes islamiques maquillés en crises de démence. C’est ce que nous avons appelé, dès le début, la « méthode allemande » : CE NE SONT PLUS DES TERRORISTES, CE SONT DES MALADES MENTAUX. ILS NE SONT DONC PAS RESPONSABLES DE LEURS ACTES ET LES AUTORITÉS NE LE SONT PAS NON PLUS DE LEUR INCOMPÉTENCE !
Nous rappelions ces évidences après le nouvel attentat perpétré en Bavière, vendredi dernier, qui a fait trois morts et plusieurs blessés graves… au couteau (https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2021/06/26/la-methode-allemande-a-loeuvre/) et nous nous étonnions du silence des médias germaniques sur une telle ignominie.
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Fonds européens dans les poches islamistes ? Circulez, il n’y a rien à voir !, par Diego Valero.
Les fonds européens tomberaient-ils parfois, au détour de procédures bureaucratiques truffées de buzz words et de cahier des charges prêts à penser, dans les poches d’organisations islamistes ?
Quand cette question est posée telle quelle par le très sérieux Transatlantic Institute au cours d’un événement réunissant une vice-présidente du Parlement européen centriste et la députée européenne spécialiste toute catégorie du contrôle budgétaire, alors, la réponse ne fait aucun doute. Et la Commission européenne, gérante des deniers européens, aurait tout intérêt à prendre ces avertissements au sérieux et arrêter de botter en touche, ce qu’elle fait déjà depuis plusieurs années.
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L’islamiste Abdelhakim Sefrioui mis en examen pour « complicité d’assassinat » de Samuel Paty
Abdelhakim Sefrioui, militant islamiste inscrit au fichier des personnes radicalisées et installé en France depuis 1982, reste mis en examen pour « complicité d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste » du professeur Samuel Paty, décapité par un Tchétchène le 16 octobre 2020. La cour d’appel de Paris a confirmé sa mise en examen ce lundi.
Retour sur le rôle d’Abdelhakim Sefrioui dans l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine dans les Yvelines.