Jean-Pierre Albertini a perdu son fils, Stéphane, alors âgé de 39 ans, assassiné au Bataclan, le 13 novembre 2015. En 2020, Jean-Pierre Albertini a écrit un livre, Mourir au Bataclan, livre qu’il a dédié à son petit-fils, fils de Stéphane.
islamisme - Page 84
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Son fils est mort au Bataclan – « Plus que dans la colère, je suis dans l’obligation d’agir et de participer à l’endiguement de cette idéologie mortifère »
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Élisabeth Lévy : “Le nouveau boulanger de l’Élysée est un islamiste bon teint. Ses propos le disqualifient pour servir la table présidentielle”
Makram Akrout fait la meilleure baguette de Paris et sera donc le nouveau boulanger de l’Élysée. Mais tout n’est pas tout rose pour celui qui était un ancien sans-papier.
Élisabeth Lévy revient sur celui qui a posté des messages sans ambiguïté sur les réseaux sociaux il y a quelques années. -
Le silence éloquent de Salah Abdeslam
Jean-Frédéric Poisson sur le procès des attentats du 13 novembre 2015.
Depuis le 8 septembre se tient le procès des attentats terroristes du 13 novembre 2015. Un événement douloureux pour les familles de victimes dont la douleur est cruellement ravivée. Si certains n’attendent rien de particulier de cet événement médiatique, d’autres au contraire souhaitent obtenir justice pour leurs disparus. D’autres encore déclarent qu’ils ne souhaitent pas de récupération politique autour de ce procès. Pourtant, et malgré tout le respect que nous devons à ces victimes, il n’est pas question d’éviter ce sujet. En effet, l’enjeu de cet événement va bien au-delà d’un simple procès. Il met en lumière la lutte qui s’est amorcée entre deux civilisations incompatibles. Une lutte dont beaucoup de Français semblent ne pas avoir conscience, sans doute par méconnaissance de nos adversaires.
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De l’islamisation rampante en France : cas d’école sur la complicité de LFI
Heure des Pros, vendredi 24 septembre matin. Au lendemain du débat entre M.Mélenchon et M.Zemmour. Pascal Praud évoque en particulier auprès de David Guiraud, porte-parole jeunesse de La France Insoumise, ces « minorités actives qui veulent imposer sur notre sol des coutumes, des mœurs qui n’existaient pas avant ». Entre 7’24’’ et 9’02’’ :
« Moi, dans un domaine que je connais bien, le football, je pourrais vous rapporter les témoignages de présidents de club qui en permanence doivent gérer des demandes nouvelles. C’est quoi des demandes nouvelles ? Des gens qui viennent les voir en disant : « je ne veux pas que l’attaché de presse soit une femme ». C’est ça la réalité ».
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Quand « mariage musulman » rime avec « dangers et débordements »
Les mariages communautaires, un fléau amené à perturber chaque commune française ! Le week-end dernier, un cortège de mariage musulman a déferlé dans les rues d’une petite commune picarde. Aucune région ne semble plus épargnée par l’immigration et ses conséquences…
En terrain conquis
71 infractions recensées, 100 points de permis de conduire retirés, près de 10 000 euros d’amendes attribués : voilà le bilan d’un cortège de mariage ayant chahuté la ville de Laigneville (Oise) dimanche dernier sur les coups de 13 heures.
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Marion Maréchal devant Viktor Orban : “D’ici 50 ou 60 ans il n’est pas exclu que la France devienne une république islamique” (Vidéo)
Marion Maréchal devant Viktor Orban : “D’ici 50 ou 60 ans il n’est pas exclu que la France devienne une république islamique” (Vidéo)
Marion Maréchal s'exprime sur le grand remplacement et prédit une république islamique en France d'ici 2070. À Budapest devant Viktor Orban. #BudapestDemographicSummit pic.twitter.com/V1c6EkjqxY
— Livre Noir (@Livrenoirmedia) September 23, 2021
L’intervention complète :
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L’armée française décapite Daech au Sahel, par Antoine de Lacoste.
L’EIGS, l’État islamique au Grand Sahel, vient de subir une perte importante avec l’élimination de son chef Adnan Abou Walid al-Sahraoui (appelé AWAS par l’armée). Il est peut-être exagéré de parler de « coup décisif », comme l’a fait Florence Parly, le ministre des Armées, mais c’est tout de même une étape importante dans la lutte contre le Daech local dont la structure est très centralisée.
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Ce que devrait révéler le procès des attentats du 13 novembre 2015, par Philippe FRANCESCHI (Consultant en sécurité).
OPINION. Failles dans le renseignement, capacité à détecter les signaux de radicalisation, évaluation du risque terroriste… Le procès des attentats du 13 novembre 2015 doit être l’occasion de repenser le maillage territorial français de la lutte antiterroriste.
Au moment où s’ouvre le procès des attentats du 13 novembre 2015, les victimes et familles de victimes, mais aussi tous les Français sont en attente de vérités. D’abord celle des auteurs et de leurs complices qui risquent fort de ne pas être dévoilées, mais aussi celle des responsables politiques et opérationnels des services de renseignement. Patrick Calvart, le Directeur général de la sécurité intérieure (DGSI) de l’époque ainsi que Bernard Bajolet, le Directeur général de la sécurité extérieure (DGSE) comparaîtront à la barre. Ils devraient confirmer les « angles morts » juridiques qui existaient dans notre politique de lutte contre le terrorisme à l’époque, évoqués dans leurs auditions devant la commission d’enquête parlementaire le 5 juillet 2016 sur les moyens mis en œuvre par l’État après le 7 janvier 2015 pour lutter contre le terrorisme et qui persistent en partie aujourd’hui.
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Le procès oublié de l’islamisme et ses valets, par Ivan Rioufol
La France, terrorisée par un virus, est-elle armée pour faire face à l’islam qui tue ? Le procès des attentats du 13 novembre 2015 (130 morts, à Saint-Denis et Paris) s’est ouvert mercredi à Paris et durera neuf mois. Il racontera l’horreur de ce vendredi soir. Un commando de dix djihadistes, dépêchés par l’État islamique en Syrie, faucha à la kalachnikov des vies sur des terrasses de bistrots (Le Carillon, Le Petit Cambodge, À la bonne bière, La Belle Équipe, Cosa Nostra).
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Procès des attentats du 13 novembre – Salah Abdeslam, toute honte bue
Sans qu’il y ait de lien entre islam et islamisme, le terroriste Salah Abdeslam a ouvert son procès avec la chahada, profession de foi musulmane. Une tranquille affirmation de soi devant la cour d’assises laïque et républicaine.
Près de six ans après l’explosion de barbarie islamiste qui a ensanglanté Paris, le procès des terroristes a enfin débuté. Un procès historique, le « procès du siècle » même pour certains observateurs. Ce sont en effet 20 personnes qui comparaissent aujourd’hui devant la cour d’assises spéciale de Paris pour leur implication, à des degrés divers, dans la préparation et la réalisation des attentats du 13 novembre 2015. Un procès sous haute sécurité qui compte 1 800 parties civiles, plus de 300 avocats et qui devrait durer neuf mois.