
Pierre Gentillet sur CNews : « Si j’étais père, jamais je n’accepterai que mon enfant grandisse dans la même classe qu’un enfant de djihadiste revenu de Syrie » (Vidéo).
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Pierre Gentillet sur CNews : « Si j’étais père, jamais je n’accepterai que mon enfant grandisse dans la même classe qu’un enfant de djihadiste revenu de Syrie » (Vidéo).

Parmi elles, la femme d’un djihadiste connu des autorités françaises. Il s’agit de la femme de Sabri Essid, un djihadiste très connu de nos services de renseignements. Mentor de Mohammed Merah, proche des frères Clain, Sabri Essid était un des maillons forts de la cellule djihadiste d’Artigat. En 2014, il part en Syrie avec femme et enfant. Il serait mort sur zone en 2018. Sa femme a donc été rapatriée ce mardi en France.
Le 19 avril 2022, Christophe Castaner, Bernard Laporte, Karim Zeribi, Francis Spziner, Jean-Pierre Elkabbach ou encore l’association Musulmans de France ont participé à un “iftar républicain” de soutien à la candidature d’Emmanuel Macron organisée par la Grande Mosquée de Paris. Une soirée commanditée par le pouvoir algérien.

Les courants islamistes ne manquent pas d'imagination pour provoquer les autorités publiques et tester leurs réactions. Après les burkinis dans les piscines ou sur les plages, voici qu'apparaît, à l'école cette fois, un nouveau phénomène vestimentaire. Le journal L'Opinion révèle que des élèves se mettent à porter abayas et kamis, inhabituels en France, qualifiant leur tenue de « culturelle ». Ce costume est peut-être courant dans certains pays du Moyen-Orient, mais que peut-il signifier en France, qui n'est pas, que l'on sache, de tradition musulmane ?
Depuis quelques années, les débats sur les tenues des élèves dans les collèges et lycées sont légion[1]. Bien souvent, le scénario est le même : une élève (puisque ce sont majoritairement des jeunes filles qui se retrouvent au centre de ces épisodes) se rend dans son établissement dans une tenue considérée comme trop provocatrice ou inadaptée à l’étiquette de son lieu d’étude, ce qui encourage les professeurs ou les personnels administratifs à exiger que l’élève en question se change ; s’en suit une interminable discussion sur le caractère oppressif d’une telle demande, qui serait la manifestation du patriarcat ou de la masculinité toxique dans le milieu scolaire. La nouveauté qui s’annonce, c’est que la pression démographique africaine et maghrébine à l’œuvre tend à constituer une nouvelle opposition à ce discours néo-féministe. En conséquence, la droite est piégée dans la position à adopter.

“Là-dessus je vais être très clair, la politique que je veux conduire est toujours la même, celle de la vérité. Il ne doit y avoir aucun tabou, aucun interdit et non plus aucun fantasme. Donc moi je veux de la vérité, de la clarté sur tous les chiffres. Et ensuite je veux que la loi de la République s’applique”, a-t-il ajouté. “Et la loi est très claire: pour tous les élèves dans nos écoles, il n’y a pas de signes religieux, quels qu’ils soient”, a-t-il encore dit.

L’islamisme et le wokisme sont-ils compatibles ? Il semble que oui. Le think tank de droite Fondapol a publié une enquête intitulée : La montée en puissance de l'islamisme woke dans le monde occidental.
Avec l’installation de populations de plus en plus importantes dans les pays autrefois chrétiens, les islamistes ont dû revoir leur copie face à leur projet bien trop radical.

L’ambiance est électrique à Guyancourt. Cette commune des Yvelines accueillait déjà une mosquée depuis 2014, ou plutôt une ancienne école communale tenait lieu de lieu de culte pour les musulmans de la commune. Or, un projet de vraie mosquée est à l’étude, un projet validé par la mairie malgré les protestations des riverains. Si certains craignent un trafic automobile perturbant ou d’éventuelles pollutions sur un étang situé à proximité, d’autres sont plus catégoriques : pas de mosquée à Guyancourt !
27/05/2022
La chambre des appels correctionnels de la cour de Toulouse va consacrer une journée d’audience, lundi, aux propos tenus lors d’un prêche à la grande mosquée d’Empalot par l’imam Tataiat. Cet homme de foi, fonctionnaire de l’Etat algérien installé à Toulouse depuis 1987, a toujours contesté l’antisémitisme de ses propos. Pour lui, son prêche où il incitait ses fidèles à “tuer les juifs” a été mal interprété.
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À l’issue de l’audience en juin 2021 où le parquet avait requis 6 mois de prison avec sursis estimant le délit de provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence constitué, le tribunal avait relaxé l’imam. Les juges, s’ils estimaient les propos “maladroits“, les pensaient non discriminatoires. Le parquet avant, rapidement, fait appel.
Lundi devant la chambre des appels correctionnels, l’audience est programmée sur l’ensemble de la journée. Le procureur général Franck Rastoul portera l’accusation. La décision sera, comme c’est la règle devant la cour d’appel, placée en délibéré.

De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités à propos de l’affaire du burkini dans les piscines de Grenoble :