Par Jacob Maxime, diplômé de science politique, Gilet jaune et coauteur avec Fiorina Lignier du livre Tir à vue
« L’islamisme que nous combattons n’a [pas de] religion » : cette phrase, prononcée par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, le 4 février 2021 sur Europe 1, suffit à comprendre qu’il n’a pas la volonté de s’attaquer à l’islamisme. Pour aller plus loin, l’Observatoire de l’islamisation a publié un article long et détaillé, intitulé « Lutte contre l’islamisme : les 7 péchés de Gérald Darmanin », qui démontre point par point que Darmanin ne souhaite pas nous débarrasser de la menace islamiste. Polémia vous produit ici un résumé de ce papier, mais n’hésitez pas, pour en savoir plus, à visiter le site de l’Observatoire de l’islamisation.
1) Pour commencer, Darmanin est dans la demi-mesure concernant les 4 100 étrangers fichés pour terrorisme présents en France, il ne souhaite pas tous les expulser. Il focalise son action uniquement sur une partie d’entre eux : les clandestins qui sont au nombre de 850, alors qu’il pourrait faire expulser cinq fois plus de personnes s’il visait tous les étrangers signalés.