Interviews larmoyantes dans les grands médias, plaintes contre le Quai d’Orsay, grèves de la faim, appels d’élus à « la mobilisation », et même déplacement de parlementaires en Syrie : depuis plusieurs semaines, les idiots utiles de l’islamo-terrorisme réclamant le rapatriement immédiat des quelque 120 « Françaises » et de leurs 200 enfants détenus en Syrie en raison de leur engagement aux côtés des bourreaux de l’EI ne cessent d’accentuer leur pression sur le gouvernement pour obtenir le retour sur notre sol de ces « bombes à retardement ». Une mobilisation qui n’est pas sans poser de problèmes au président Macron qui, après avoir dans un premier temps annoncé la mise en œuvre d’un « plan de rapatriement massif », a très vite changé son fusil d’épaule et opté pour des retours « au cas par cas », devant la colère de l’opinion publique.
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Rapatriement des « Françaises » ayant rejoint l’EI en Syrie – La mobilisation des idiots utiles de l’islamo-terrorisme
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La conquista islamiste dans les Yvelines, par Jérôme Serri.
Dans les Yvelines, en juin 2016, c’est un couple de policiers qu’on assassine à Magnanville. En octobre 2020, c’est un professeur d’histoire qu’on décapite à Conflans-Sainte-Honorine. En février 2021, c’est un professeur de philosophie qui, à Trappes, est menacé de mort.
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Comment l’islamo-gauchisme se répand depuis plus de quarante ans pour atteindre les rives droite de la scène politique, par Christian Montagard.
Georges Marchais (pour les plus jeunes) fut secrétaire général du Parti communiste français dans les années 1970-1980. Il déclarait (je cite) : « Il faut stopper l’immigration officielle et clandestine. Il est inadmissible de laisser rentrer de nombreux travailleurs immigrés en France, alors que notre pays compte deux millions de chômeurs français et immigrés. » Son parti s’opposait à la construction de mosquées et d’écoles coraniques.
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Islamo-gauchisme Quelle police de la pensée ?, par Gérard Leclerc.
© Jordan L’Hôte / CC by
La polémique lancée à propos de l’islamo-gauchisme n’est pas près de s’éteindre. Elle met en cause les enjeux de notre société actuelle pour une période dont on ne peut percevoir le terme et elle rappelle le précédent de l’après-guerre.
Afin de stigmatiser l’intervention de Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, à l’encontre de l’islamo-gauchisme, Jean-Luc Mélenchon a dénoncé une « police de la pensée ». Formule aussitôt rejetée par la ministre, qui au contraire se réclame de la totale liberté de recherche à l’université. Bien loin de vouloir, par son enquête, brider de quelque façon cette liberté, Frédérique Vidal entend protéger le pluralisme à l’encontre de la tentation de la pensée unique. L’expression « police de la pensée » appartient à George Orwell, le grand romancier anglais, qui, dans 1984, s’était employé à dévoiler les mécanismes du totalitarisme, singulièrement dans l’assujettissement des esprits, par le biais du sinistre ministère de la Vérité.
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En France, les Arabo-musulmans imposent un antisémitisme du quotidien.
Et nos dirigeants politiques comme beaucoup de nos médias officiels mais, pire, un nombre croissant d’enseignants ou de juges en sont responsables. Car la dhimmitude est un nouveau plafond de verre imposé chaque jour davantage par l’islam et ses sbires (https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2020/12/29/a-ne-lorgner-que-sur-lantisemitisme-suranne-des-siecles-passes/). Comme ce fut le cas en Allemagne à partir de 1933. Mais, cette fois-ci, nul ne pourra dire qu’il ne savait pas.
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Scandaleux et fou : faire l’apologie du terrorisme ne suffit pas pour remettre en cause le statut d’un réfugié !
Ils sont devenus fous ou suicidaires ! En tout cas, il vaut mieux être un Tchétchène bénéficiant du droit d’asile qu’un pauvre Français de souche dénonçant l’invasion migratoire. C’est la conclusion que l’on peut tirer de cette nouvelle affaire abracadabrantesque comme aurait dit feu Jacques Chirac, le dernier de nos “rois fainéants” (sic dixit Macron 1er, empereur de la ploutocratie triomphante).
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ISLAMO-GAUCHISME OU MACRONISME, MÊME COMBAT : DISSOUDRE LA FRANCE ?
Les Tambours de Bronze sont des instruments sonores du sud-est asiatique qui furent employés par les Chinois contre les peuples de la frontière afin de leur faire croire à une menace en l’occurrence illusoire. Faire un énorme tapage dans une direction fait fuir l’ennemi ou le gibier dans l’autre sens et pourquoi pas dans le piège tendu à l’opposé. Le rabattage présidentiel a commencé. Le piège tendu est le centrisme rassurant des macron-compatibles rassemblés autour d’un socialiste progressiste “nouvelle-gauche” qui aura fait retentir les tambours à sa gauche et à sa droite pour faire croire qu’il est au centre. La stratégie est simple : n’avoir qu’un adversaire à droite, battu par l’addition des voix de gauche résolument hostiles à son élection et des voix “modérées” séduites par le double combat mené par le pouvoir actuel contre “l’islamo-gauchisme” et contre l’extrême-droite.
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Menus sans viande dans les cantines scolaires de Lyon : Les écolos se font les complices de l’islamisation de la France
C’est une des définitions de l’islamo-gauchisme. La polémique sur la suppression de la viande dans les cantines de la ville de Lyon décidée par le maire EELV de Lyon permet d’apprendre que 40% des familles y choisissent les menus sans viande car celle-ci ne serait pas halal !
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Sur Sud Radio, Thaïs Descufon / Stella Kamnga : « Génération Identitaire : une dissolution contestable ? ».
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« On ne dissout pas une génération » – Reportage à la manif de Génération identitaire
A l’appel de Génération identitaire, environ 2 000 manifestants se sont retrouvés samedi sur la place Denfert-Rochereau à Paris, pour protester contre la procédure de dissolution de cette association, procédure engagée le 13 février par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin. Cette décision scandaleuse ne repose que sur des fondements juridiques extrêmement faibles pour ne pas dire inexistants (lire l’entretien avec Thaïs d’Escufon dans Présent du 18 février). « Toute la question est de savoir si c’est le droit qui va être jugé. Si c’est le droit, nous allons gagner. C’est une certitude. Si la politique prend le pas sur le droit, nous allons très probablement perdre. C’est une évidence », nous explique Clément Martin, porte-parole de GI.