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L'affaire Epstein I Xavier Raufer
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Rennes : un migrant arrivé en France en 2002, vivant du RSA, écope d’une 22e condamnation, dont 18 peines de prison ferme
Pour sa 22e condamnation, un ressortissant russe devra faire six mois de prison
Un ressortissant russe, demeurant à Rennes, contestait sa peine de six mois de prison ferme pour conduite sous l’emprise de stupéfiants. Pour sa 22e condamnation, la Cour de cassation maintient la décision.
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« Deepfakes ». 62 % des Français redoutent que ces hypertrucages perturbent l’élection présidentielle de 2027
Avec l’essor fulgurant de l’intelligence artificielle, les possibilités de générer ou transformer des images et des vidéos se sont démocratisées, rendant particulièrement aisée la réalisation de « deepfakes ». Le terme désigne des contenus hyper réalistes mais fictifs.
Au-delà de leur dimension souvent ludique, ces créations que l’on nomme aussi hypertrucages sont également susceptibles de véhiculer de fausses informations à grande échelle. Principalement connus pour viser des personnalités politiques et des célébrités, les « deepfakes » peuvent aussi cibler des anonymes, comme l’a montré le cas d’adolescentes espagnoles victimes à l’automne dernier de montages photos dégradants.
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États-Unis : le phénomène Sydney Sweeney, nouvelle égérie de la droite américaine sur les réseaux sociaux, qui préfigurerait la fin du wokisme
Sur les réseaux sociaux et dans les médias conservateurs, Sydney Sweeney est devenue malgré elle une idole dont le succès préfigurerait la fin du wokisme.
Actuellement à l’affiche du la comédie romantique événement Tout sauf toi, du dernier film Marvel en date Madame Web, et de la bonne surprise horrifique Immaculée, le nom Sydney Sweeney est sur toutes les lèvres. Repérée dans des séries comme Euphoria et The White Lotus, puis dans le cinéma indépendant avec notamment Reality l’année dernière, l’actrice américaine est en passe de devenir une nouvelle star d’Hollywood.
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Voiture électrique : crash violent dans le mur des réalités
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Paris : Anne Hidalgo a-t-elle déjà perdu la bataille des municipales ?
©Jacques Paquier-Wikimedia -
Les « généraux de plateau »
Attention ! ceci n’est pas une critique antimilitariste car on sait bien qu’il ne représentent qu’une infime minorité de l’armée française, mais plutôt le constat d’un phénomène socio-médiatique. Ils sont là désormais, fanfaronnant, omniprésents sur les « chaînes d’info en continu », ce nouvel outil de propagande. Ce qui est sidérant, c’est la ressemblance entre les « généraux de plateau », présupposés experts de la guerre d’Ukraine et les « médecins de plateau », appelés à commenter le déroulement de la crise sanitaire en 2020-2021 du haut de leur prétendue science des épidémies. La ressemblance entre les généraux de plateau et les médecins de plateau est frappante :
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Attaqué dans le Télégramme, Bernard Germain répond à l'affabulateur Erwan Chartier
Jeudi dernier, à l'occasion d'une réunion qu'il tenait à Lannion (22), le journal Le Télégramme a donné la parole à Erwan Chartier, auteur d'un livre vantant les "bienfaits" du grand remplacement, en particulier dans la commune de Callac qui, l'an dernier, à victorieusement résisté au projet d'implantation massive de migrants voulu par une fondation parisienne. Cliquez ici
Notre ami Bernard Germain, abondamment calomnié dans cet entretien, adresse ce jour au Télégramme le droit de réponse suivant :
Erwan Chartier est-il quelqu’un de sérieux ?
Dans son édition du 21 mars 2024, Le Télégramme de Brest a publié un article annonçant une réunion d’Erwan Chartier devant se tenir le soir même à Lannion pour y présenter son livre « Callac de Bretagne » qui rétablirait la « vérité » sur ce qui s’est passé à Callac et pourquoi le projet de faire venir des centaines de migrants dans ce petit bourg a été abandonné par la municipalité de gauche, soutenue par les élus de droite du conseil.
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Institutions européennes : entre ingérence étrangère, corruption et impunité
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Frédéric Mitterrand : halte à la tartufferie
Capture d'écran ©Europe 1Frédéric Mitterrand vient de mourir. Il est d’usage, quand on est de droite et chrétien - contrairement au communiste Boris Vian -, de ne pas cracher sur les tombes. On apprenait, autrefois, aux enfants à se signer et se découvrir au passage du corbillard, par respect pour le gisant à l’intérieur, au moment où il se présentait, transi, devant son créateur.
L’option la plus élégante aurait donc pu être le silence. Sauf que la surréaliste canonisation générale dont il fait l’objet dans les médias, le zèle de ses thuriféraires pour le porter au pinacle forcent à rétablir la vérité. Il ne manquerait plus qu’il soit - c’est tellement à la mode - panthéonisé.