Tour de France : les images que les Français n'ont pas vues
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Tour de France : les images que les Français n'ont pas vues
Avec AFP http://www.francepresseinfos.com/
LAVAL (NOVOpress) – Jean Arthuis, le président du conseil général de Mayenne (UDI) veut mettre fin à tout nouvel accueil de mineurs isolés étrangers dans le département. Un arrêté du 24 juillet signé par le sénateur et ancien ministre met fin « à tout nouvel accueil de jeunes étrangers isolés par le service de l’aide sociale à l’enfance » dans la Mayenne. Pour Jean Arthuis, cet arrêté est « une alerte adressée au gouvernement car nous sommes arrivés à saturation » en matière d’accueil d’étrangers.
« Le problème rencontré ici est la saturation des lieux d’hébergement. Il y a 5 ans, j’en recevais cinq par an, aujourd’hui 57 », a déclaré Jean Arthuis à l’Express. Le président du conseil général de Mayenne précise les coûts aux frais du contribuable : « La prise en charge coûte entre 130 et 150 euros par jour. Pendant les 5 premiers jours, l’État rembourse à hauteur de 250 euros ». Selon lui, face à ce déferlement de déracinés « l’État refuse de s’attaquer au problème par le bon bout. Il s’évertue à s’attaquer à la répartition entre les départements, alors que selon moi, le problème, c’est plutôt le contrôle de l’immigration ».
Les ministres de la Justice, Christiane Taubira et de l’Intérieur, Manuel Valls, ont « déploré » mardi la décision « illégale » de Jean Arthuis. « L’Etat ne saurait accepter de distinguer les mineurs accueillis en fonction de leur nationalité », affirment les ministres. Une prise de position de nouveau en faveur de l’invasion migratoire alors que les Français, au nom du respect de leur identité, de leur sécurité et d’une grave crise économique, ne peuvent accueillir toute la détresse du monde.
Alors même qu'elle est dénigrée publiquement par une de ses anciennes porte-parole, la présidente de la Manif pour Tous, Ludovine de la Rochère a aussi essuyé les foudres d'Act-Up. Tentative de réponse à l'épineuse question en titre par 24heuresactu :
"Aucune place n’est laissée au doute : les affiches placardées sur le bâtiment de la fondation Jérôme Lejeune représentent bien la présidente de la Manif Pour Tous. Les nazillons d’Act Up ont écrit le nom de leur victime en toutes lettres : « Ludovine de la Rochère » avec le motif de leur rage : « présidente de la Manif Pour Tous ». L’insulte est en caractères grands et gras, telle une étoile jaune bien discriminatoire : « homophobe », et dramatisée par la mise en scène d’une peinture rouge aspergée sur le bâtiment, sensée représenter du sang. Fiers de leur méfait, les milices du parti socialiste le signent : « Act Up Paris ».
Libé se charge ensuite de la sale besogne : désinformer l’opinion publique. Selon le titre de l’article paru dans le quotidien, « Act up affole les opposants au mariage homo ». Voilà qui est instructif, car l’info n’était pas sur l’affiche : il y a donc bien un lien avec les manifestations populaires massives de mai-juin 2013 et surtout avec celles qui se préparent pour la rentrée de septembre 2013. En réalité, ce ne sont pas les opposants au mariage homo qui s’affolent comme le prétend Libé, mais le gouvernement socialiste sous influence, qui commence à redouter une mobilisation populaire massive dès la rentrée de septembre 2013.
Les options idéologiques de Libé transparaissent à toutes les lignes : Act up est présentée comme une association légitime, car luttant contre le sida. La fondation Jérôme Lejeune serait « très pieuse », ironie toute voltairienne, et Ludovine de la Rochère aurait « fait les frais de l’agitation des esprits » selon le quotidien. Libé va jusqu’à donner la parole à l’agresseur, Aurélien Selle, chargé de communication d’Act Up, qui essaye de se justifier : « La fondation Lejeune est un lieu doublement intéressant. D’une part en raison des liens personnels de Ludovine de la Rochère, et d’autre part en raison du soutien officiel que la fondation a apporté à la Manif pour tous.»
Voilà donc dévoilée la motivation de cette association de malfaiteurs : il s’agit bien d’une attaque ciblée contre Ludovine de la Rochère : une entreprise de démolition de l’individu. La stratégie de démolition est classique : de la même manière que le lobby Bergé-Augier-Valls avait réussi à faire craquer Frigide Barjot en juin 2013, il va maintenant mettre la pression sur Ludovine de la Rochère en espérant un faux pas ou une démobilisation de la militante pacifique. Cette tentative de démolition est préventive, car la rentrée s’annonce chaude : C’est bien La Manif Pour Tous qui affole le gouvernement socialiste, et non l’inverse comme titre Libé" (suite).
L’asile accordé à Edward Snowden était la goutte de trop : le président des Etats-Unis annule sa visite à Moscou. Sur place, la presse est deçue et craint deux ans d’âge de glace dans les relations américano-russes.
C’est une événement sans précédent depuis la fin de la guerre froide. Barack Obama refuse de rencontrer le président russe Vladimir Poutine après que Moscou ait attribué l’asile pour une année au lanceur d’alerte américain Edward Snowden. L’homme, dont Washington demande l’extradition depuis des semaines, n’est pourtant que le dernier litige en date, après plusieurs mois de tensions.
Les Etat-Unis déplorent notamment l’interdiction faites aux familles américaines d’adopter des enfants russes, l’obligation des ONG recevant des financements étrangers de s’enregistrer comme “agents de l’étranger“ et l’adoption d’une législation sanctionnant la “propagande homosexuelle” devant mineurs de peines de prison.
Mais à Moscou, les réactions sont réservées, teintées de déception et de politesse.
La décision de Barack Obama “est liée au cas de l’ex-collaborateur des services secrets américains Edward Snowden, une situation qui n’a pas été créée par nous“, a déclaré Youri Ouchakov, conseiller du président Vladimir Poutine, cité par le journal en ligne Vzgliad. Pour lui, “cela prouve que les Etats-Unis ne sont pas prêts à construire les relations avec la Russie sur des bases d’égalité“.
“Le refroidissement entre Washington et Moscou va retarder la discussion sur des questions importantes [la défense anti-missile, la réduction d’armes conventionnels, la guerre en Syrie, le programme nucléaire iranien, l'affaire Snowden, etc.] jusqu’à ce qu’une nouvelle ‘fenêtre d’opportunité’ s’ouvre, mais cela n’arrivera pas avant un à deux ans“, analyse le quotidien russe Nezavissimaïa Gazeta.
De son côté, le directeur de l’Institut russe des Etats-Unis et du Canada, Serguéï Rogov, constate que “la crise dans les relations bilatérales n’a pas pu être évitée, et une chance a été perdue de donner une nouvelle impulsion à l’agenda russo-américain“.
Le quotidien russe Izvestia qualifie la réaction d’Obama d’ “asymétrique“, qui “met en péril la relance des relations bilatérales“. L’expert de la Fondation russe pour le développement de la société civile, Maxime Minaev, rappelle qu’en 2010, “la traîtrise de l’agent du service de contre-espionnage russe Alexandre Poteev et l’arrestation d’un groupe d’espions russes qui s’en est suivie, n’ont pas conduit à l’annulation de la visite aux Etats-Unis du président Dmitri Medvedev“.
Pour le directeur de l’Institut de recherche politique russe Serguéï Markov, Obama a été victime du “puissant lobby de la guerre froide au Sénat et au Congrès, et qui l’empêche d’améliorer les relations avec la Russie“.
L’optimisme raisonnable est pourtant de mise, estime dans les pages de Nezavissimaïa Gazeta l’académicien Alexéï Arbatov, car “dès qu’une nouvelle porte politique s’ouvrira, on pourra trouver un compromis, il n’existe pas d’obstacles infranchissables. Par le passé, il y avait aussi des problèmes complexes, mais les deux pays les ont résolus.”
Le conseiller du président Youri Ouchakov ajoute que “dans les relations russo-américaines, il y a beaucoup d’émotions négatives, et une discussion entre les deux présidents aurait été utile, mais – hélas – le refus d’Obama de venir à Moscou ne permet pas d’entamer le dialogue“. Mais le spécialiste de tempérer : “Il faut accepter cette décision [d'Obama] calmement. Le monde ne se retournera pas, et le ciel ne tombera pas sur la terre“.
Et puisqu'on parle de la Roche-Sur-Yon, voici un nouveau témoignage des répressions policières subies par les manifestants :
"Selon ce qui semble n’avoir été, à l’époque, qu’une légende, Grigori Potemkine, ministre et favori de la tsarine Catherine II, aurait fait ériger, en carton pâte, des « villages Potemkine » d’apparence opulente, pour masquer à l’impératrice la misère des villages de Crimée. Quand il ne fait pas référence à un célèbre cuirassé, ce nom de Potemkine est devenu synonyme de mensonge d’un pouvoir refusant de voir le peuple réel.
Chronique de Laurence Maugest.
Période estivale. La nature exhale ses fondamentaux, parfois repris par les médias qui nous ont montré des milliers de personnes dans les rues britanniques portées par une question de fond touchant le ventre rond de leur jolie princesse : « S’agira-t-il d’un garçon ou d’une fille ? »
Le peuple semble bien ignorant de l’avancée égalitaire censée nous libérer de ces considérations simplistes ! Heureusement, l’avenir est assuré par nos élites qui parlent d’homosexualité à nos enfants dès la maternelle pour leur éviter la pathologie de la discrimination.
Béotiennes de l’idéologie du genre, parfaitement rétrogrades, ces foules incultes ne lisent pas les livres de leurs progénitures. Car, en effet, l’unique question légitime qu’elles devraient se poser est : quel sexe se choisira lui-même l’enfant roi dans 12 ou 15 ans ?
Nos amis britanniques doivent attendre que le bébé « bien né » grandisse et choisisse, pour ses jeux, une panoplie de cow-boy ou des robes de princesse. Suspense… Cet enfant sera peut-être reine.
Les presses britanniques et mondiales s’emballent, les satellites frétillent, « the royal baby is born », belle fortune pour les enseignes mondialisées qui vont se mettre à l’heure du nouveau-né.
Du vin et des jeux pour amuser le peuple, du « buzz » pour le divertir jusqu’à l’abrutissement : rien ne change sous nos cieux où flottent les chansonnettes de l’égalitarisme qui dissimulent, derrière leurs mélodies faciles de supermarché, les chiffres disharmonieux de l’avortement qui atteignent leur acmé européenne (*) dans cette île britannique à genoux devant son enfant roi.
C’est un bel été ! Un peu mouvementé dans les banlieues parisiennes, certes, mais nos instances veillent.
La complémentarité police-justice est accomplie. Là où la police prend des coups sur la tête, la justice apaise les petits jeunes qui brûlent et saccagent leur cité. Nicolas Bernard-Buss doit réaliser combien la vie peut être douce si l’on accepte d’être tout simplement traité en criminel lorsque l’on est innocent et en victime lorsque l’on est coupable.
Le ciel est bleu, la plage ou les vallées de nos montagnes nous attendent mais un vent de spiritualité persiste. Depuis novembre 2012, les jeunes et moins jeunes Français, veilleurs, marcheurs ou « klaxonneurs », nous ont signifié avec ferveur que l’âme existe encore et que l’asservissement « médiatico-déraciné pour globalisation rapide » n’est pas encore parvenu à la victoire d’un gouvernement mondial régenté par les grands manitous de la finance.
Laissez-nous respirer, Messieurs, Mesdames (parité oblige !) les journalistes que l’on entend trop ! Ne venez pas gâcher nos jolies matinées d’été par vos chroniques allergènes.
Voilà que le sable chaud de l’été se gonfle au passage pernicieux de vos tentacules de boas constrictors ! L’étouffement guette le vacancier ou le travailleur fatigué à l’écoute de chroniques formatées jusqu’à l’outrance. A l’aube des JMJ, le ton assuré d’un chroniqueur nous tétanise lorsqu’il assène sa grande révélation du jour : « Ce n’est pas un hasard si le président parfaitement normal et le pape partagent le même prénom, mais c’est un signe… ! » Voilà, c’est dit, message touchant, à la frontière de l’ésotérisme, entendu sur une radio à audience nationale.
Dans un contexte acidulé, la grande farce des médias confond le cosmopolitisme, véritable rouleau compresseur des cultures singulières de nos nations, et l’universalisme intemporel de la chrétienté basée, en premier lieu, sur le sacré de la vie et sur la part de divinité en l’homme.
Ces valeurs, M. François Hollande les bafoue allégrement, du mariage homosexuel aux expérimentations sur l’embryon, en passant par la négation de la complémentarité des sexes ou bien par la PMA déjà en gestation dans la torpeur estivale.
Profitons du soleil qui dissimule les ombres, oublions les radios bruyantes à fort potentiel commercial, contemplons le monde réel et allons en chœur préparer nos bannières pour septembre en nous souvenant bien que l’union fait la force !
Laurence Maugest
23/07/2013 http://www.polemia.com
(*) Le Royaume Uni, la France et la Roumanie arrivent en tête du nombre d’avortements dans les pays de l’Union européenne des 27, avec respectivement 215.975, 209.913 et 127.907 interruptions volontaires de grossesse (chiffres de 2008 répertoriés dans l’étude de l’Institut de politique familiale de 2010) : http://www.cpdh.info/~cpdhpdf/RapportIPF2010.pdf
Depuis le 22 juillet, le Parlement italien débat d'une mesure contre les discriminations envers les LGBT. Il s'agit de modifier une loi italienne en matière de lutte contre les discriminations, la loi Mancino. Cette loi adoptée en 1993 condamne les actes de discriminations, les violences et les incitations à la haine fondées sur la religion, de l'origine ou de la couleur de peau. Aujourd'hui, elle pourrait donc être modifiée afin que l'homophobie et la transphobie y soient incluses et traitées.
Les défenseurs de la famille ne lâchent rien:
Malgré les vacances quelque 400 personnes (selon la presse) brandissant des drapeaux de la « Manif pour tous Italia » qui revendique des liens étroits avec la Manif pour tous française ont manifesté à proximité de l’Assemblée italienne lundi soir à Rome pour dénoncer le flou du texte qui en fait, selon Il Tempo, une « loi bâillon » qui aurait pour effet d’empêcher toute critique raisonnée du « mariage » des homosexuels et de l’adoption par des couples homosexuelles. Six mois à 4 ans de prison : voilà le tarif qui pourrait s’appliquer à ceux qui continueraient de définir le mariage comme l’union entre un homme et une femme et à revendiquer le droit pour l’enfant d’avoir un père et une mère.
En France, la loi "anti-homophobie", première étape vers la légalisation du mariage homosexuel, date de 2004, sous l'ère Chirac/Raffarin.
POITIERS (NOVOpress) – L’Observatoire de l’islamisation rapporte le 8 août une nouvelle provocation musulmane. Un groupe de mahométans vient de profaner un haut lieu de l’identité française : le site de la bataille de Poitiers. Les “voyous” posent fièrement devant un panneau commémoratif de la victoire des Francs contre les envahisseurs islamiques en 732.
Trois hommes, dont un barbu islamique et un autre portant un t-shirt à la gloire de l’islam (photo), font le signe de la « quenelle ». Popularisé par l’humoriste Dieudonné, l’acte de glisser une quenelle signifie entuber quelqu’un, le mettre à l’amende, l’humilier. On imagine l’indignation immédiate du gouvernement socialiste si des individus diffusaient une photo sur Internet où on les verrait faire un bras d’honneur devant la mosquée de Paris…
Crédit photo : DR http://fr.novopress.info