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lobby - Page 2208

  • Le devoir d'inventaire (4) L'écran de fumée

    Une des techniques militaire visant à passer inaperçu aux yeux de l'adversaire a pour nom «écran de fumée». Ce brouillard artificiel peut s'obtenir de multiples façons notamment par l'intermédiaire de bombes ou de grenades. La technique que l'on peut qualifier d'opposée est celle qui permet de voir dans des circonstances où cela n'est que peu possible. C'est bien sur le cas pour la nuit où les défenseurs, s'ils pensent que des ennemis s'approchent de la position gardée, envoient des grenades éclairantes, faisant ainsi toute la lumière.

    La notion « d'écran de fumée » est aussi utilisée au sens figuré afin de définir le choix effectué consistant à masquer une information dont on ne veut pas qu'elle soit connue, par une autre censée occulter la première. C'est donc bien de désinformation dont il s'agit.

    Conscient des difficultés réelles qu'il éprouve, un gouvernement – c'est justement le cas aujourd'hui – peut donc détourner l'attention des Français vers une autre information qui va donc ainsi constituer une information factice. Tel fut le cas assez récemment pour l'idée du « mariage pour tous » qui ne concernait pas grand monde, à commencer par les homosexuels, ceux ci considérant que la notion de « mariage » est une caractéristique du monde hétéro. Le combat engagé dura des mois pendant lesquels le gouvernement pu respirer.

    La dissolution, aussi bien du mouvement « Troisième voie » que de « l'oeuvre française » procède de la même logique. En aucun cas, ces deux structures ne constituaient un danger pour le modèle politico-économique en place. Il va de soi que la procédure de dissolution, parce que fait rarissime, fait ouvrir les yeux et les oreilles de beaucoup. Pendant ce temps, les Français sont détournés des problèmes majeurs que connaît notre pays.

    En matière d'occultation, l'idéal restera toujours la guerre parce qu'elle se traduit presque toujours par l'union sacrée. Aussi parce qu'elle permet, même pour une démocratie, l'usage de la censure. Staline ne s'est pas trompé en se lançant à corps perdu dans la grande guerre patriotique, jouant le fait national contre l'agresseur allemand. Si d'aventure, il avait mobilisé au nom du communisme, le résultat eut pu être tout à fait différent.

    Croire comme le font beaucoup de Français, qu'au motif que nous vivons dans une démocratie, tout ce qui est annoncé est vrai et que rien n'est occulté, est totalement faux. A la limite même, c'est surtout dans la démocratie, puisque celle-ci dépend du corps électoral, que les gouvernements ont le plus intérêt à manipuler les masses.

    Ce qu'ils font très bien, avouons le.

    Alain Rebours

    http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EFZuAAFupEkgMsMotO.shtml

  • Sécurité : les étranges priorités de Manuel Valls…

     

    Décidément, les pays peuvent se jouxter tout en ne se ressemblant pas. L’Espagne et la France, par exemple. Brétigny-sur-Orge et Saint-Jacques-de-Compostelle, pour être plus précis. Là aussi, ce mercredi soir, une autre tragédie ferroviaire aura causé, au dernier décompte, 77 morts et on ne sait combien de blessés.

     

    À rebours de ce qui se passe chez nous, la mobilisation générale. Les secours qui affluent, les populations locales qui font ce qu’elles peuvent pour prêter main-forte aux secouristes, aux pompiers, aux ambulanciers, aux forces de l’ordre. Il y a même de braves gens qui se mobilisent afin de faire don de leur sang.

     

    Comme si l’esprit de saint Jacques veillait sur les lieux du drame, tandis que le pape François appelle à prier pour les morts, leurs proches, leurs familles.

     

    Et chez nous, donc… Ce qu’il serait injurieux de nommer une « jacquerie », tant il est vrai que le rapport est ténu, voire inexistant, entre nos paysans de jadis qui avaient parfois de bonnes raisons de se révolter, et ces hordes de crétins gavés de subventions municipales et de sous-culture, qui sont allés détrousser des cadavres et des mourants…

     

    Contrairement à ce que les plus hautes autorités de l’État ont prétendu, « pillage » il y a bel et bien eu, même si Éric Lallement, procureur de la République d’Évry, chargé de l’affaire, se refuse à employer le mot, jugeant qu’il ne recouvre aucun « terme juridique ». Pourquoi pas. Il n’empêche que quatre suspects sont toujours en cavale. Que les caméras de surveillance démontrent qu’ils sont arrivés sur les lieux du drame les mains vides, pour ensuite en repartir, les mêmes mains chargées de valises.

     

    À propos d’Évry, la ville dont Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, fut longtemps le maire… On sait désormais quelles sont ses priorités en matière de lutte contre la délinquance. Ainsi, ce mercredi dernier, par une étrange mais éclairante concomitance des faits, a-t-il dissous l’Œuvre française, mouvement créé par Pierre Sidos en 1968, ainsi que les Jeunesses nationalistes, sa branche « jeune ».

     

    Que les choses soient claires : on peut goûter ou non les idées de Pierre Sidos, juger son action politique pertinente ou pas. Mais nous sommes là dans le strict délit d’opinion. En effet, quels délits pénaux reprocher à ce groupuscule, dont la seule activité visible consiste à défiler, une fois l’an, le 1er mai, à la fête de Jeanne d’Arc ?

     

    Au contraire de la mouvance « antifa », on n’a jamais vu les militants de l’Œuvre française venir troubler l’ordre public en tentant de perturber les réunions de ses adversaires politiques. On ne les a jamais vus non plus faire le coup de poing contre tel ou tel sur la voie publique. Ah si… Une photo tournant sur Internet jusqu’à plus soif… Celle d’Alexandre Gabriac, patron des Jeunesses nationalistes en question. Avec bras tendu et brassard nazi ; photo qui lui a d’ailleurs valu une exclusion en bonne et due forme du Front national. Et alors ? À ce titre, il faudrait aussi dissoudre la famille des Windsor, ce qui pourrait faire désordre en ces temps d’heureux événement, sachant que le prince Harry, lui aussi, au cours d’une soirée manifestement fort avinée, fut photographié en semblable posture…

     

    Manuel Valls, qui se vante de son ascendance espagnole, ce qui est bien son droit et ce qui est tout à fait honorable, donne un piteux spectacle de ses priorités sécuritaires. Il est vrai qu’en France, passé six heures du soir et surtout dans des villes telles que Brétigny-sur-Orge, on n’ose plus sortir acheter le pain de peur de se faire agresser par ces hordes de nazis qui, la chose est bien connue, font régner la terreur dans les « quartiers ». Et dire que c’est ça, l’homme politique le plus populaire de France, à en croire les sondages…

     

    Nicolas Gauthier dans Boulevard Voltaire

    http://fr.altermedia.info/politique/securite-les-etranges-priorites-de-manuel-valls_49953.html

     

  • Les états d'âme de la police politique socialiste

     

    Retour en arrière sur les (ex)actions des forces de l'ordre sous l'ère Valls des premières manif pour tous jusqu'à ces derniers jours : 

     

    "De plus en plus de policiers sont au bord de la crise de nerfs. L’avocat de l’un d’entre eux le souligne comme un appel au secours : « Les policiers se sentent stigmatisés. » Ils s’étaient engagés dans la police pour protéger la France, la veuve et l’orphelin, les voilà de plus en plus souvent sur le trottoir obligés d’aller casser du manifestant catholique, du manifestant pas catholique ou même du passant tout court. Chez le Défenseur des Droits, le nombre de dossiers concernant les bavures policières à augmenté de 96%.

    La manifestation pour tous

     

     

    Pendant les manifestations des opposants au mariage homosexuel, déjà, on avait bien cru déceler un certain énervement des forces de police face à cette jeunesse qui se retrouve en masse dans la rue, souvent pour la première fois. Les consignes d’interpellation se multiplient, la police applique avec zèle les consignes, allant même jusqu’à arrêter un prêtre. (1)

     

    Un nom défraie la chronique des arrestations mouvementées: Nicolas. Poursuivi par une demi douzaine de policiers, ce dangereux apprenti terroriste à pour principale préoccupation de scander des slogans hostiles à notre Roi, pardon à notre président. En Hollandie, comme en Sarkozie, on ne traite pas très bien les opposants. En Russie on les accuse de fraude fiscale pour mieux les écarter, ici, on les accuse d’outrage à agents ou même de violences…

     

    Nicolas est l’un des fondateurs du mouvement des « veilleurs », ce mouvement qui organise des rassemblements qui ressemblent à des messes le soir, avec des bougies et des chants, pour protester contre la loi Taubira. Le 16 juin, après avoir participé à une manifestation près de la chaîne M6 où Hollande est en train de s’enfoncer encore un peu plus dans les profondeurs de son impopularité, Nicolas est poursuivi par des policiers. Il se réfugie dans une pizzeria d’où il sort finalement ficelé comme un saucisson par une dizaines de policiers héroïques qui risquent leur vie pour l’arrêter.

     

    Pour cet exploit et pour l’ensemble de son œuvre, Nicolas écope de 4 mois de prison, dont 2 fermes pour dégradations volontaires et rébellion contre les forces du désordre.

     

    Les opposants politiques

     

    Le 29 mai 2013, Valérie Trierweiler et Manuel Valls se rendent au théatre des Champs Elysée pour assister à une représentation. Alors que madame Trierweiler descend de voiture, quelques manifestants se mettent à crier : « Hollande, ta loi, on n’en veut pas ».

     

    Il faut voir avec quelle sauvagerie, les policiers se jettent sur les manifestants, coups de poings, coups de pieds, les jeunes sont traînés par terre.

     

    Un gamin d’une quinzaine d’années qui s’est fait plaquer au sol par 3 CRS dont 2 sont assis sur lui est paralysé par une clé de bras. Après un moment de calme, il retrouve son souffle et se remet à crier. « Hollande, ta loi, on en veut pas ».

     

    Les policiers se remettent immédiatement à l’écraser et l’un d’entre eux tente de lui casser le bras. A côté de lui, 2 jeunes filles sont tenues par 2 femmes policiers" (suite).
    http://www.lesalonbeige.blogs.com/
  • Monsanto se paye la plus grosse armée privée du monde

    Un cauchemar qui devient réalité… La multinationale en pointe dans la fabrication de pesticides et d’OGM s’offre la puissante société de mercenariat Academi (ex-Blackwater). Si vous ne connaissez pas Monsanto et son influence malfaisante sur les agricultures du monde entier, voyez ce reportage : « Le monde selon Monsanto »

    Lu sur le Réseau Voltaire :

    Academi (ex-Blackwater), la plus puissante armée privée du monde, indique avoir été cédé, sans indiquer ni le nom de l’acquéreur, ni le montant de la vente.

    Selon SouthWeb.org, c’est la multinationale de biotechnologies Monsanto qui est l’heureux acquéreur [1].

    Créé en 1901, Monsanto a débuté en fabriquant la saccharine utilisée par Coca-Cola. Durant la Seconde Guerre mondiale, il fournit l’uranium du projet Manhattan, puis durant la guerre du Vietnam, un puissant herbicide pour défolier la jungle, l’Agent orange. Depuis une trentaine d’années, Monsanto est devenu le leader mondial des organismes génétiquement modifiés. Avec un chiffre d’affaire annuel de 13,5 milliards de dollars, il est la 206e multinationale US.

    Academi été créé par Erik Prince en 1997 sous le nom Blackwater Worldwide. La société, dont certains dirigeants sont liés à des Églises évangéliques financées par le Pentagone, a joué en Afghanistan et en Irak un rôle comparable à celui de l’Ordre de Malte durant la guerre du Nicaragua. Elle est présidée par Billy Joe (Red) McCombs (347e fortune des USA), John Aschcroft (ancien Attorney general des États-Unis) et l’amiral Bobby R. Inman (ancien directeur de la National Security Agency et directeur adjoint de la CIA). Academi, qui travaille principalement pour le gouvernement US, a participé à la bataille de Tripoli (Libye) et recrute actuellement des combattants pour faire le jihad en Syrie.

    La croissance de Blackwater doit beaucoup au projet de privatisation des armées US défendu par l’ex-secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld. Cependant cette politique ayant été un échec et les restrictions budgétaires aidant, Academi ne se voit plus confier par Washington que des contrats de gardiennage ou d’escorte sur des théâtres d’opération et des opérations secrètes « non-revendiquées ». Sa réputation lui a également permis d’obtenir des contrats de mercenariat de petits États, notamment dans le Golfe persique.

    Selon SouthWeb, la vente d’Academi correspond à l’entrée de la Bill and Melinda Gates Foundation au capital de Monsanto. Créée par le fondateur de Microsoft et le spéculateur Warren Buffet (les deux premières fortunes des États-Unis), c’est la plus importante fondation « philanthropique » au monde. Elle a notamment lancé, avec la fondation Rockfeller, l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) qui vise à étendre l’usage des semences Monsanto sur le continent noir.

    http://www.contre-info.com

  • Immigration : un nécessaire renversement des perspectives politiques et idéologiques

    L’affaire est entendue : l’immigration en France et en Europe pose des problèmes économiques, sociaux, sécuritaires, culturels, civilisationnels de moins en moins admissibles. Il faut donc mettre un terme au processus migratoire. Mais comment ? Des réformettes à la marge ne régleront rien. Ce qu’il faut, c’est changer de paradigmes dominants. Polémia présente ici en douze points l’inventaire des bouleversements nécessaires pour inverser les flux migratoires.

     

    1 – Rétablir la liberté d’expression

     

    Depuis 1972, la loi Pleven, sous couvert de « lutter contre le racisme et l’antisémitisme », réprime la liberté d’expression. Une législation pénale de plus en plus extensive, appliquée lato sensu par des tribunaux politiquement corrects, rend de moins en moins facile la simple analyse de la réalité et a fortiori la possibilité de la faire connaître à l’opinion. Sans liberté d’expression, il n’y a pas de démocratie possible. Et sans diagnostic préalable, il n’y a pas de solution envisageable.

     

    2 – Supprimer le financement des associations immigrationnistes

     

    Les associations « antiracistes » et immigrationnistes vivent à 95% de subventions publiques. Elles se servent de cet argent pour encombrer les tribunaux : — devant les juridictions pénales pour réprimer la liberté d’expression de ceux qui ne pensent pas « bien » et pour exercer un chantage sur les autorités publiques nationales ou locales (« je ne te poursuis pas si tu me subventionnes »); une attitude en elle-même délictuelle; — devant les juridictions judiciaires et administratives pour défendre la cause des étrangers clandestins et des fraudeurs du droit d’asile ; en matière d’immigration, l’État n’a pas d’argent pour payer des avocats pour défendre la cause de la loi… mais il en donne à ceux qui la combattent !

     

    3 – Changer de paradigme moral : retrouver la fierté, rompre avec la repentance

     

    La France – comme l’Europe – souffre d’une idéologie culpabilisante. Jeunes générations et acteurs publics se voient constamment reprocher les malheurs de l’histoire : de la Seconde Guerre mondiale, de la colonisation ou de l’esclavage. Il faut en sortir : abroger les « lois mémorielles » et retrouver la fierté de notre passé.

     

    4 – Changer de paradigme juridique : renoncer à l’idéologie des droits de l’homme et recouvrer la souveraineté française sur les lois françaises

     

    Et pour cela dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme. Une Convention dont l’interprétation par la Cour européenne des droits de l’homme ne protège pas la liberté d’expression mais rend toutes nos lois de protection nationale inefficaces avant même d’être appliquées; une telle dénonciation est possible puisqu’elle est explicitement prévue par l’article 58 de la Convention (avec un préavis de six mois).

     

    5 – Sortir du mondialisme économique et du sans-frontiérisme, revenir au patriotisme économique

     

    L’immigration, c’est-à-dire « les délocalisations à domicile », est le pendant des délocalisations « offshore » : ce qui est à l’œuvre, c’est la même logique du mondialisme économique qui considère les hommes comme de simples marchandises. L’immigration, c’est aussi un moyen de faire baisser les salaires.

     

    La relocalisation, la préférence nationale à l’emploi, le patriotisme économique sont des concepts à faire entrer en résonance pour revitaliser notre économie : « fabriquer français avec des Français. » Le succès des produits « made in local », appuyé sur la notion de circuits courts inhérente au développement durable, illustre la popularité – et donc l’acceptation – potentielle de ce mouvement.

     

    6 – Rétablir de vraies frontières

     

    Les frontières de l’Union européenne sont des passoires. L’Union européenne ne sait d’ailleurs même pas où elle s’arrête.

     

    Or la frontière est une paroi protectrice : elle doit laisser passer ce qui est bon et maintenir à l’extérieur ce qui ne l’est pas. La France peut accueillir des étudiants étrangers à condition qu’ils soient en nombre limité et sérieusement sélectionnés. La France peut accueillir des réfugiés politiques à condition qu’il s’agisse de vrais réfugiés venant d’un tout petit nombre de pays. Pour le reste, la France doit drastiquement limiter les autorisations de séjour qu’elle accorde, ainsi que le nombre des visas attribués aux ressortissants des pays à risque. Il faut établir un contrôle préférentiel aux frontières pour les ressortissants de certains pays. Les pays d’émigration clandestine doivent figurer sur une liste noire. Il faut aussi comme les Suisses expulser tous les délinquants étrangers.

     

    Partout dans le monde, en dehors d’une « sphère occidentale » en repli depuis la crise financière de 2007 – 2008, on assiste à un retour en force de la notion de frontière : la France serait dans son rôle en assumant une fonction d’avant-garde dans le rétablissement, en Europe, de cette condition essentielle à l’exercice des libertés politiques et économiques.

     

    7 – Remettre en vigueur la liberté de préférence, abandonner la lutte contre les « discriminations »

     

    Il faut mettre un terme au racisme anti-français, anti-européen, antichrétien. Il faut aussi redonner vie au beau concept de préférence. C’est une liberté fondamentale que de pouvoir choisir librement ses collaborateurs, ses fournisseurs, ses aides à domicile, ses voisins, ses locataires, l’école de ses enfants. Y compris selon les critères de la nationalité, de la religion, de l’ethnie ou de la civilisation.

     

    8 – Adopter le principe de préférence nationale

     

    Les ressources financières de l’État sont rares, surtout dans un contexte budgétaire marqué par un fort endettement. Il faut donc fermer les robinets des déficits et par là même couper les pompes aspirantes de l’immigration : par la préférence nationale à l’emploi, aux prestations familiales et aux aides sociales.

     

    9 – Valoriser les principes de la civilisation française et refuser les mœurs étrangères

     

    Tout ne se vaut pas et le multiculturalisme est un échec reconnu. La sagesse est d’en revenir à l’identité française, celle des terroirs et des clochers. La France, ce n’est pas une abstraction, c’est une culture, c’est une civilisation, où les mosquées, les minarets, le voile islamique, l’abattage rituel banalisé, la viande de singe et le culte vaudou n’ont pas leur place. A fortiori dans l’espace public.

     

    10 – Réformer le droit de la nationalité

     

    Être français, cela s’hérite ou se mérite. Cela signifie en revenir au jus sanguinis, au droit de la filiation : est français l’enfant né de parents français; peut devenir français l’étranger qui appartient à la civilisation européenne d’expression française par les mœurs, par la culture, par la langue et par l’affectio societatis.

     

    11 – Mettre en œuvre la démocratie directe

     

    Ce n’est pas aux élites de dire ce qui convient au peuple. C’est au peuple de tracer les voies de son avenir : en s’exprimant directement sur les grands sujets par référendum; après des campagnes loyales partageant équitablement l’expression entre les thèses opposées.

     

    12 – Et en attendant ? Développer une attitude dissidente !

     

    Ne nous méprenons pas. Ces changements supposent un bouleversement du monde et le renversement des élites dirigeantes politiques, financières, médiatiques qui gouvernent. En attendant il faut développer une attitude dissidente : dans le choix de l’école de ses enfants, dans l’enseignement qui leur est délivré, dans la sélection de ses fournisseurs, dans l’achat local plutôt que dans l’achat global, dans l’affirmation sans complexes de ses convictions politiques, de sa foi religieuse ou de ses choix philosophiques, de ses préférences culturelles et gastronomiques.

     

    Polémia

     

    • Mis en ligne sur Polémia, le 9 décembre 2010.

  • LA CHASSE AUX SORCIÈRES DANS L'ÉDUCATION NATIONALE (arch 2010)

    Une idée couramment admise est que, pour être professeur de Lycée-Collège, il suffit de passer son CAPES ou l'Agrégation et qu'ensuite, après une année de stage, un stagiaire est titularisé de façon quasi automatique.
    Ceci est évidemment très théorique, puisque dans la pratique les enseignants aux idées nationales ou nationalistes sont traqués impitoyablement sous couvert de rapports soi-disant objectifs; « pas aptes pour l'enseignement ».
    Au delà des idées politiques, les professeurs possédant une personnalité seront broyés par une infantilisation due aussi bien aux élèves (il est perpétuellement demandé aux enseignants de se mettre au niveau de leur classe, et à la longue, leur niveau intellectuel et psychologique peut subir une régression) qu'à une hiérarchie étouffante et oppressante dont la légitimité n'est pas fondée sur le niveau intellectuel ou culturel. Les Proviseurs de Lycée et les Principaux de Collège sont d'anciens profs « bien notés », ce qui veut dire dans la pratique des personnes totalement soumises à l'institution et à l'idéologie officielle. Individus ternes, s'étant écrasés durant toute leur carrière pour monter dans les indices, ils deviennent aigris et haineux (avec un potentiel de haine souvent inimaginable derrière un paravent d'humanisme) vis à vis de tout professeur qui n'est pas conforme au moule prôné par l'éducation nationale et a conservé en lui-même un peu d'«être». Ils utilisent leur fonction de façon très politique, parfois comme de véritables commissaires politiques. Ce  comportement se retrouve aussi chez les inspecteurs qui cherchent à éliminer les « brebis galeuses ».
    On a donc droit à l'affichage des Droits de l'Homme et à des affiches favorables à l'Europe de Maastricht dans les salles de classes ....
    Dans la salle des Professeurs sur les panneaux syndicaux, placardage intensif d'affiches «contre» le racisme, la montée du fascisme et «pour» la tolérance ...
    Il existe au sein de cette même salle d'attente pour profs (au décor souvent digne de celui qui existe lorsque l'on attend à la Sécurité Sociale) une ambiance cucul, humanitariste, où la banalité, l'insignifiance dans l'expression sont les bienvenues, ce qui s'appelle une « collaboration avec l'équipe enseignante des plus fructueuse ».
    Tout ceci se traduit même au niveau vestimentaire où il est de bon ton de s'habiller comme un minable, la seule personne portant parfois encore une cravate (et une veste) est le Proviseur ou le Principal, qui se sentent peut-être ainsi légitimés dans leur pouvoir et reconnus en tant que tels.
    Quant aux autres le mot d'ordre est « n'être rien et n'avoir l'air de rien ». Formule qui peut être une définition de l'humanisme. L'Homme étant défini comme néant, les Droits de l'Homme étant une néantisation des particularismes, l'immigration une néantisation de l'homme blanc, Maastricht une néantisation des nations ...
    On comprend ainsi pourquoi la religion bouddhique est à la mode puisque qu'elle est la religion-philosophie du néant.
    Ce pseudo-égalitarisme ridicule montre à quel point l'enseignement actuel baigne dans une atmosphère humanitariste infantile. Les enseignants qui ont gardé un peu de fierté d'eux mêmes et qui ne partagent pas cette vision du monde doivent se méfier des autres, car tout propos peut-être rapporté à la direction quand il n'est pas conforme aux normes idéologiques. Ceci finit par dépersonnaliser les individus car ils doivent perpétuellement cacher leurs idées, ne pouvant jamais vraiment dire ce qu'ils pensent à la différence des petits profs de gauche pourrisseurs qui se vautrent dans un misérabilisme, bruyamment et avec jouissance, s'imposant par leur nombre.
    Être un Français de souche peut être un handicap, puisqu'on peut à tout moment être accusé par un élève de « racisme envers nos frères de couleur » (les profs étrangers ne sont pas persécutés dans ce domaine) , le racisme antifrançais ou antiblanc n'étant pas reconnu !
    Le professeur français et blanc finira par avoir une image négative de lui-même. Cela se répercutera au niveau des élèves, car leur propre identité est systématiquement dénigrée et dévalorisée. Le professeur «néant» devant s'écraser devant «l'être» des élèves appartenant à « d'autres cultures ». Les lycéens et collégiens se réfugieront donc dans la drogue et épouseront d'autres cultures et religions plus valorisantes à leurs yeux.
    Nous pouvons aussi souligner l'autodafé systématique qui est fait par certains enseignants de gauche dans les bibliothèques, vis à vis des revues et livres qui ne dénigrent pas la culture nationale.
    Les professeurs qui, malgré tout ont conservé une image positive d'eux-mêmes, des valeurs de leur pays, la fierté de soi seront mal notés par leur hiérarchie et on leur demandera de changer de personnalité. Ceux qui ne peuvent le faire ou ne sont pas encore titularisés seront éliminés ou mis à la retraite, et on soulignera leur manque de faculté d'adaptation.
    Cette véritable chasse aux sorcières a parfois des formes sournoises mais des conséquences dramatiques pour certains individus avec perte d'emploi et donc de ressources. Notre société totalitaire veut à tout prix fabriquer un moule d'homme universel : « celui qui n'est rien, défini à la naissance comme néant et rejoignant le néant ».
    par Patrice GROS-SUAUDEAU Statisticien - Économiste

  • Islam et République, les dangereuses insinuations de Noël Mamère

    BORDEAUX (via Infos-Bordeaux) – Toujours prompt à dénoncer les « catholiques intégristes », le maire de Bègles semble beaucoup plus frileux vis-à-vis des islamistes.

    Dans une tribune parue chez nos confrères de Rue 89, le député de Gironde réagit aux évènements de Trappes qui nous obligent « à réfléchir sur la vague d’islamophobie qui s’est emparée de notre pays » !

     

    L’ancien journaliste, loin de mettre en cause la violation manifeste de la loi par des musulmans voulant provoquer la République, s’interroge : « Pourquoi interpeller en plein ramadan une jeune femme voilée, sachant que durant cette période, un tel geste peut être interprété comme une provocation à l’égard des populations musulmanes ? ».

    Noel Mamère dénonce donc « un racisme d’Etat qui s’est lentement insinué dans la société française » et annonce sa proposition pour pallier aux problématiques communautaires des banlieues : « appliquer l’égalité réelle des droits, ce qui suppose un investissement sans commune mesure avec nos capacités actuelles ».

    Il est vrai que céder aux revendications de musulmans souhaitant imposer leurs normes et leurs coutumes religieuses en France, éviterait le conflit. Ce type de réflexion est typique d’une certaine gauche ayant gardé un fort esprit Munichois. Comme le disait Winston Churchill, « Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous aurez le déshonneur et vous aurez la guerre » !

    http://fr.novopress.info

  • Lettre à un veilleur

     

    Du fond de l'été, au coeur des vacances, au moment où certains croient et espèrent que les autres, tous les autres lâchent, nous recevons cette lettre à un Veilleur, à tous les Veilleurs, à tous ceux qui croient, à tous ceux qui veulent croire, à tous ceux qui espèrent, à tous ceux qui, si nombreux, ne lâchent rien, rien de rien.

     

    Veil"Je ne dirai pas mon nom. Je ne dirai rien sur moi. Rien, à part que j’ai 15 ans. Rien, à part que je ne suis pas homophobe, que je ne suis pas extrémiste, que je ne fais pas partie d’une secte, ni rien de ce genre, mais que je suis catholique, et que je fais partie, comme tous les adolescents, de la jeunesse française, et je m’intéresse à ces lois sociales qui sont discutées en ce moment, car elles vont constituer mon avenir, ton avenir, notre avenir, à nous les jeunes de France. Je ne dirai rien d’autre sur moi, rien, à part que, comme toi, ce soir, je veille.

    Dès le début, je savais que la loi Taubira allait passer, et pourtant, je n’ai rien lâché, j’espérais que je me trompais, que tout allait rentrer dans l’ordre. Et aujourd’hui, la loi est bel et bien passée, mais je ne lâche toujours rien. Je reste fidèle à ma façon de penser, à ma foi et aux engagements que j’ai pris un jour. Je veille, je prie, j’espère. Car je pense que contre un gouvernement qui nous ignore et nous méprise, ce sont nos meilleures armes, bien plus puissantes que les manifestations et la violence. Même si sur le moment, on se demande à quoi ces soirées passées à veiller vont servir, on se dit que cela ne servira sûrement à rien, je crois qu’on ne pense pas assez à l’avenir. Regarde les Vendéens par exemple : ils ont combattu pour leur foi et pour leur roi, peut-être en se demandant, comme nous ce soir, à quoi cela allait servir. VliEt aujourd’hui, trois siècles après, on parle encore d’eux ! On parle encore de ces paysans et de ces quelques nobles, qui ont eu le courage de se révolter contre un gouvernement qui les oppressait. J’aimerais tellement que dans trois siècles, on parle encore de notre mouvement, qu’on parle encore des veilleurs, qu’on parle encore de la Manif pour Tous… Alors, comme les Vendéens, Veilleur, je te demande de ne rien lâcher. De rester fidèle à toi-même, à ton idéal, à tes idées politiques, à tout ce qui te caractérise et fait de toi quelqu’un d’unique au monde.

    Malgré trois manifestations, et à chacune plus d’un million de personnes dans la rue, la loi est passée. Mais j’ai envie de dire, de crier, « Et alors ! » A la manière de Guillaume d’Orange dis-toi « qu’il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. ». Nous n’avons pas réussi à faire entendre notre voix. Alors ne t’arrête pas là ! N’abandonne pas ! Ne te dis pas « Après tout pourquoi pas ? » Non ! Pensons comme Tocqueville que « Ce qui met en danger la société, ce n’est pas la corruption de quelques uns, c’est le relâchement de tous. ». Veux-tu être la cause, par ton relâchement, de la perte de la société ? Non ? Alors ne lâche rien ! Je crois en toi. Ne te laisse pas influencer par les idées de la société moderne. Pense à moi, qui veille avec toi ce soir. Pense à ta famille. Pense à tous les manifestants, à tous les veilleurs, qui ont subit les violences policières, alors qu’ils n’avaient rien demandé. Pense à tous les innocents qui vont subir seuls les conséquences de cette loi. Que tu sois athée, catholique, protestant, juif, musulman, ou de je ne sais quelle autre religion encore, je ne te demande que quatre choses : prie, espère, veille, résiste. Pour la France, pour la famille, pour les manifestants et les veilleurs subissant des violences policières, pour les enfants.

    Courage ! Tout n’est pas fini ! Au contraire, tout vient à peine de commencer… Je crois en toi. Tu portes l’espérance, et moi aussi. On ne lâchera rien ! Jamais ! Jamais ! Jamais !

    Une veilleuse.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Quelques questions encore permises, par Le Crieur du Cœur

    Tous les commentaires et les« petites phrases », ainsi que les très profonds (donc creux !) discours dont on nous rebat les oreilles et les yeux depuis des décennies, ont une remarquable (mais peu remarquée) caractéristique : l’absence de tout recours et de tout retour à la source même des événements dont il est traité !
    Cette censure des mots et donc des idées est, elle, prétendue « correcte » !!! Alors qu’elle est, en réalité, la pire forme de mensonge ; elle rappelle cette constatation de triste mémoire, dont l’auteur était ministre de la propagande, le ministre nazi de Hitler, Goebbels : « Plus un mensonge est gros, plus il a de chances d’être cru… ».
    Pour accéder à la vérité aujourd’hui, il faut donc démasquer les politiques correcteurs, dévoiler les vérités cachées puis oubliées dans ce fatras médiatico-politique. Je vous propose aujourd’hui, quelques questions, car, à l’époque où l’on ose dire crûment que l’on veut, non seulement changer une société qui n’est pas si terrible que l’on nous le dit, mais que l’on a la folle prétention de changer, en un ou deux quinquennats (espoir fou) changer la civilisation !!!!¢ 
    Ma première question, la plus importante, concerne un credo qu’il faut traduire car il est fondamental : POURQUOI le slogan communiste n’a-t-il jamais été traduit ??? « De chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins » Mais si l’on traduit en langage clair cette escroquerie pseudo-intellectuelle, cela ne peut que donner : « Chacun bossera tant qu’il peut, et partagera les fruits de ses efforts avec ceux qui ne font rien de constructif (ou ne font rien du tout… » Vous connaissez beaucoup de partageux de ce genre ???
    La deuxième question est, elle aussi, primordiale : POURQUOI accepte-t-on passivement l’abus trompeur du mot « égalité » qui est à l’origine d’abus de droit sans nombre ; tout d’abord, parce que cette idée est absolument abstraite car elle recouvre une idée des plus néfastes : dans la nature, rien n’est « égal » à rien. Et l’idée  s’est propagée parmi des esprits incapable de mémoriser donc de comprendre un groupe de quelques mots dont la vraie formulation est « l’égalité des droits » et NON une idiote équivalence, ni une impossible car inhumaine similarité ; et même pas une singerie, car même les singes font preuve d’individualités !!! En fait, pour autant que l’on puisse l’imaginer, l’égalité de presque tous les individus ne semble se trouver que dans les fourmilières… Car la véritable égalité des droits, c’est le droit à être différent, ce qui implique des droits différents et non la stupide prétendue équivalence des sexes, des talents, mêlée à des identifications aussi arbitraires que fallacieuses…
    De là aurait dû surgir depuis longtemps une troisième question : POURQUOI nul ne parle jamais du droit aux droits ? Ah ! Mais oui ! Serait-ce parce que, dans la foi communiste, ce serait soulever la question épineuse du mérite ???
    Quatrième question : qu’est donc la démocratie ? C’est le pouvoir du Peuple ! Oui, mais QUI est vraiment « le peuple » ? Lorsque les masses populaires (vocabulaire marxiste méprisant) sont trompées ou embrigadées par des éléments tels que ceux du fascisme brun des années trente, ou rouge de 1917, ou par des extrémismes religieux et tant d’autres, la démocratie est vite assimilée au pouvoir d’une minorité agissante…
    Cinquième question : quelle soumission peut s’avérer « modérée » ? Demandez-le donc aux femmes battues, aux exploités des pays dit « émergents »… Et lorsque « soumission » se traduit par le mot « Islam », on peut se demander quel Islam est modéré : le chiite ? le sunnite ? le salafiste ? l’alaouite ? toutes ces tendances se combattent pourtant… ou bien celui dont les Tunisiennes souffrent ? ou les Égyptiennes ?
    Sixième question : dans quelles oubliettes est passée l’Histoire de France – si tant est qu’elle ait été un seul jour connue ?? au mépris de la réalité des relations internationales, critiquer aujourd’hui les USA sous le prétexte d’une indignation ignorante des réalités du monde qui les pousse à défendre un traître à sa patrie. Car la recherche du renseignement existe depuis des millénaires, bien avant la création des États tels que nous les connaissons aujourd’hui !!! Et de surcroît, que les USA éprouvent le besoin de savoir ce qui se trame au cœur ( ???) d’une Union Européenne oligarchique et fort bien payée**, qui devient de plus en plus soviétoïde, quoi d’étonnant ?? Toutes ces pastèques (n’oubliez pas : vert dehors mais rouge dedans comme disait Pasqua), ont-elles protesté lorsque Mitterrand  avait nommé ministre des transports, poste hautement stratégique, un certain Charles Hernu que toute la Presse a révélé avoir été un espion aux ordres de l’URSS ??? Et si notre pays cessait de se renseigner sur les desseins de certains pays, mais ce serait de la haute trahison !!!!
    Septième question : POURQUOI « être de gauche » implique-t-il être aveugle et sourd aux réalités du monde moderne ???
    Ces questions, il faut vraiment les crier, comme le fait pour vous Le Crieur du Cœur*
    **Un seul modeste exemple : Est-il exact que le salaire de la directrice du FMI est de l’ordre de mille euros par jour, sans compter la voiture de service, l’exonération d’impôts, et autres « menus »  avantages ???
    Post-scriptum : Correc-torts, gardez le silence !
    Il faut oser espérer que la sinistre politicaillerie-correctrice qui a déjà provoqué les tragédies qui ont assombri les « printemps arabes » ne vont pas recommencer à vilipender les généraux laïques qui viennent de libérer le peuple égyptien d’une dictature d’extrémistes religieux : et qu’elle ne va  ne va pas recommencer dans ses propos stupides, qui voudrait à tout prix que les mots : « général » et « armée » ne puissent jamais signifier liberté (notamment des femmes) et laïcité ! Ces pseudo-gauchistes demeurés ont oublié, c’est évident, qu’ils doivent leur liberté (de dire et médire) à des généraux, (dont je ne citerai que quelques noms de l’Histoire récente,  pour ne pas remonter jusqu’à notre Révolution) : De Gaulle, Leclerc, Juin, Montgomery, Eisenhower, Patton, Rokossovsky, Koniev, Joukov et bien d’autres ; et si, dans quelques pays moins connus, c’est l’armée qui garantit les libertés, alors, TAISEZ-VOUS, masturbateurs d’idées fallacieuses, et cessez de confondre libertés avec utopies… Car, une fois de plus, le délire verbal est le pire tueur de l’activité politique. Et cela aussi, il faut le crier pendant qu’il en est encore temps… Et, cette fois encore, c’est Le Crieur du Cœur qui sonne le tocsin…

  • Renaud Camus : Le Changement de peuple, par Louis Montarnal *

     

    Comment un peuple peut-il accepter de se laisser déposséder de lui-même ? Comment ses dirigeants peuvent-ils l’encourager à aller en ce sens et le persuader que toute autre direction, dont celle qui consisterait à vouloir persévérer dans son être, serait criminelle ?

     

    Est-ce fatigue ou lassitude, volonté de disparaître, inconscience, ethno-masochisme ? Cela s’explique-t-il aussi par le cosmopolitisme desdits dirigeants pour lesquels la France, « patrie des droits de l’homme », est la terre de tous par convention, contrat et naturalisation (toutes choses abominables mais qui permettent aisément aux métèques de parvenir) ?

    Quoi qu’il en soit, Renaud Camus fait partie de ces rares consciences qui sonnent le tocsin en espérant réveiller leur peuple assoupi du sortilège qui l’emprisonne. Après La Grande Déculturation (2008), Décivilisation (2011) et Le Grand Remplacement (2011), Le Changement de peuple constitue une nouvelle étape dans l’analyse lucide de notre bel aujourd’hui.

    Le peuple français assiste donc passivement à son remplacement par d’autres peuples sur son propre territoire (après de très rapides car, impossibles, phases de cohabitation), avec ce que cela suppose de changement de moeurs, d’usages, de coutumes, de traditions, de façon de voir le monde et d’habiter une patrie. Pour parler plus directement, l’africanisation et l’islamisation de la France entraînent sa tiers-mondisation et son ensauvagement.

    Le patronat, devenu apatride, n’est bien entendu pas pour rien dans une telle substitution tant les intérêts économiques à court terme et le profit le plus immédiat, dans un contexte de mondialisation, nécessitent la mise en concurrence la plus large possible des travailleurs afin de diminuer la masse salariale (c’est pourquoi, d’ailleurs, les nationalistes ne doivent pas négliger l’enseignement d’un certain socialisme non marxiste.) Au-delà, la fabrication en chaîne de « l’homme remplaçable », sans attaches ni assises, demeure dans la ligne de mire du capitalisme international.

    Parmi les autres causes de la « contre-colonisation », même si Renaud Camus ne s’y attarde guère, figure la politique de l’Union européenne.

    Les « voyous diversitaires » ne mènent pas seulement « la guerre ethnique pour le territoire » mais contraignent ou invitent les collaborateurs et les traîtres (parfois zélés) à promouvoir des politiques coûteuses dont les autochtones sont fiscalement et socialement victimes. Pourquoi construire tant de logements dits sociaux et sacrifier tant de paysages si ce n’est pour loger les nouveaux arrivants ? (Les indigènes, eux, resteront sur liste d’attente.) Pourquoi la situation des prisons est-elle si désastreuse si ce n’est parce que le nouveau peuple les a, elles aussi, colonisées ? Or, il n’y a pas de problème de logement, mais un problème d’immigration de masse ; il n’y a pas de problème de prisons, mais un problème d’immigration de masse ; il n’y a pas de problème de sécurité et de violence, il y a un problème d’immigration de masse.

    Pour masquer ces faits bruts et irréfutables, la propagande sociologisante et marxisante édifie un monde Potemkine, un « règne du faux » que Renaud Camus appelle le « fauxel » ou « faussel », « double inversé du réel et le recouvrant entièrement », dont l’antiracisme constitue le dogme central. Littéralement, l’essentiel est de ne pas en croire ses yeux.

    Lutter contre la tiers-mondisation et donc le déclin de la France supposerait de supprimer toutes les invitations ou incitations idéologiques et économiques à nous coloniser, de procéder à des expulsions massives et de réviser le code de la nationalité. Cela supposerait que le peuple français reprenne en main son destin, chasse les oligarques et redevienne une famille de familles avec, à sa tête, un chef de famille et non des hommes de paille interchangeables.

    En attendant, des écrivains font oeuvre salutaire et Renaud Camus est de ceux-là. Nous devons soutenir celui qui a été mis au ban de la bonne société littéraire et qui a rejoint les parias et les proscrits. C’est de leur rang que partira la Reconquête !

    Louis Montarnal - L’AF 2867  http://www.actionfrancaise.net

    Renaud Camus, Le Changement de peuple, chez l’auteur, 114 p., 8,70 euros + frais de port, www.renaud-camus.net.

    *Louis Montarnal est rédacteur à L’Action Française 2000.