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lobby - Page 2304

  • Résistance et reconstruction

    Lu sur Liberté politique.com

    Le Conseil constitutionnel a tranché : la loi Taubira est conforme à la Constitution. Sans tarder, François Hollande a promulgué le texte, dans la nuit, comme si le « changement de civilisation » ne pouvait attendre.

    Cette décision n’affaiblit en rien notre détermination. Elle appelle une résistance ajustée, pour durer et reconstruire.

    La loi Hollande-Taubira est une loi illégitime. On ne peut pas retirer aux enfants le droit d’avoir un père et une mère sans trahir la vérité et la justice. « Un mensonge d’État » a dénoncé le cardinal Barbarin.

    À dire vrai, la décision du Conseil n’était guère inattendue. Roland Hureaux avait pointé l’embarras des juges de la rue Montpensier : dans une société post-moderne, relativiste, comment reconnaître la primauté d’une loi universelle non écrite ?

    Depuis que la justice ne dit plus le juste mais la règle, la démocratie n’est plus que fonctionnelle. Tout est permis, pourvu que la procédure soit respectée. Les « Sages » ne sont plus des magistrats, mais des experts, chargés de vérifier la concordance des textes. Ils décident même souverainement de ne pas répondre aux arguments qui ne leur conviennent pas, comme l’a souligné le professeur Nicolas Mathey dans son analyse de l’avis du Conseil pour Liberté politique.

    Philippe de Saint-Germain - La suite sur Liberté politique.com

    http://www.actionfrancaise.net

  • Paris : Meeting de soutien aux 4 de Poitiers, Samedi 25 Mai à 18h

    http://www.fdesouche.com/

  • « Mariage homo » : rétrospective de la violence gratuite des flics contre les manifestants

    À garder dans un coin de la tête pour le 26 mai…

  • Un collectif appelle à la manif pour tous du 26 mai

     

    Nous participerons, très déterminés, à la Marche pour tous du 26 mai contre le « mariage homo », pour y défendre l’exigence morale et politique et non politicienne, l’exigence trans-partisane d’abroger purement et simplement la loi nihiliste Hollande-Taubira de désintégration familiale et sociale.
    Nous marcherons poussés par notre fidélité aux valeurs chrétiennes et humaines du respect de la vie et de la famille.
    Nous marcherons contre le racisme véritablement anti-humain qui prétend substituer à l’humanité constituée par le couple de l’homme et de la femme une dialectique d’appartenance homosexuelle ou hétérosexuelle.¢
     

    Nous marcherons parce qu’enfin, à l’évidence, la majorité des marcheurs réprouve désormais expressément le traquenard d’une dialectique d’instrumentalisation des concepts psychiatriques de « phobie » et de « philie » qui aurait pu aboutir à un véritable détournement de la Marche. On a trop connu cela avec l’abomination des rééducations psychiatriques dans le monde soviétique.
     
    Nous marcherons dans le calme, l’amitié et la liberté, en effet pour tous, de manifester selon sa foi et sa sensibilité et non selon un carcan dictatorialement imposé.
     
    Nos amis pourront bien sûr à leur gré défiler avec leurs délégations provinciales, d’autres avec des mouvements selon leur sensibilité.
     
    Nous, avec les militants et adhérents et amis de nos organisations qui le souhaitent, vous donnerons rendez-vous [sur un point d'un des parcours dès que les tracés seront définitifs – J.S.].¢
    Le blog de Jeanne Smits

    PREMIERS APPELANTS :
     
    Bernard Antony
     
    Richard Haddad, éditeur, ancien président du Cercle National des étudiants de Paris
     
    Daniel Hamiche, rédacteur en chef de L’Observatoire de la Christianophobie
     
    Vivien Hoch, chercheur en philosophie
     
    Jacques Le Morvan, Chrétienté-Solidarité, vice-président du Centre Henri et André Charlier
     
    Cécile Montmirail, vice-présidente de l’AGRIF
     
    Abbé Vincent Ribeton
     
    Pasteur Saïd, communautés chrétiennes d’Afrique du nord
     
    Michel Seamb, Convergences Africaines
     
    Jeanne Smits, directrice de Présent
     
    Yvonne Soleil, Chrétienté-Solidarité-Persécutions
     
    Abbé Guillaume de Tanouärn, Centre Saint Paul
     
    Guillaume de Thieulloy, directeur de Riposte catholique
     
    Jérôme Triomphe, avocat de l’AGRIF
     
    François Wagner, avocat de l’AGRIF
  • 21 mai : manifestation à Bordeaux

    21 mai : manifestation à Bordeaux

     

    La Manif Pour Tous 33 (LMPT 33), appelle tous les girondins à se rendre à Paris le 26 Mai.

     

    En attendant, LMPT33 propose un tour de chauffe et donne rendez-vous à TOUS, Mardi 21 mai à 18h30, PLACE DE LA BOURSE A BORDEAUX pour une marche bruyante jusqu’à la Place Pey Berland.

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les premiers pas du courage civique : refuser le mensonge

    Par A. Soljenitsyne, à Moscou, le 12 février 1974.

    Il fut un temps où nous n’osions piper mot, fût-ce d’un chuchotement. Maintenant, voyez, nous écrivons pour le Samizdat, nous le lisons ; réunis dans les fumoirs d’un institut de recherche, nous ne nous lassons pas de nous plaindre : qu’est-ce qu’ils ne vont donc pas encore aller chercher, où ne vont-ils pas encore nous entraîner ! Et cette vantardise cosmique inutile, quand on n’a rien dans son propre pays à se mettre sous la dent, et ces régimes barbares qu’ils renforcent aux antipodes, et les guerres civiles qu’ils attisent, et Mao qu’ils ont fait grandir (à nos frais), et c’est encore nous qu’ils vont jeter contre lui, et il faudra bien marcher. Où aller, d’ailleurs ? Et ils font un procès à qui ils veulent, et les gens bien portants, qu’ils transforment de force en débiles mentaux, toujours et toujours eux, et nous, nous sommes impuissants.

    C’est déjà le fond de l’abîme, la mort universelle de l’esprit est imminente, la mort physique aussi dans le brasier qui nous engloutira tous, nous et nos enfants. Et nous continuons, comme devant, de sourire peureusement et de balbutier indistinctement :
    — Mais comment pourrions-nous bien nous y opposer ? Nous sommes sans forces.

    Nous sommes si irrémédiablement déshumanisés que pour toucher notre modeste ration de nourriture aujourd’hui, nous sommes prêts à sacrifier tous nos principes, notre âme, tous les efforts de nos ancêtres, toutes les espérances de nos descendants, tout, pourvu qu’on ne touche pas à notre chétive existence. Nous avons perdu toute fermeté, toute fierté, toute chaleur du cœur. Nous ne craignons même plus la mort atomique, nous n’avons plus peur d’une troisième guerre mondiale (on trouvera bien toujours un recoin pour se cacher), nous avons peur simplement de faire les premiers pas du courage civique ! Ah ! ne pas s’écarter du troupeau, ne pas faire un pas solitaire, pour risquer de se retrouver tout d’un coup privé de petits pains blancs, privé de chauffe-eau, interdit de séjour à Moscou !
    Or, nous pouvons tout ! Mais nous nous mentons à tiques, et cela est bien entré en nous, cela nous fait une existence commode, cela suffit pour toute la vie : le milieu, les conditions sociales, impossible d’y échapper, la réalité objective détermine la conscience, que sommes-nous, nous autres, là-dedans ? Nous n’y pouvons rien.

    Or, nous pouvons tout ! Mais nous nous mentons à nous-mêmes pour nous tranquilliser. Ce n’est pas leur faute à eux, c’est la nôtre, la nôtre SEULEMENT !

    Objection : mais, de fait, que pourrions-nous bien inventer ? Nos bouches sont bâillonnées, on ne nous écoute pas, on ne nous demande pas notre avis. Comment les contraindre à nous écouter ?

    Les convaincre qu’ils ont tort ? Impossible.

    Le plus naturel: les soumettre à de nouvelles élections, mais cela n’existe pas dans notre pays.

    En Occident, les gens connaissent les grèves, les manifestations de protestation, mais nous, nous sommes trop abattus, cela nous fait peur : comment ? Comme cela, brusquement, refuser de travailler ! comme cela, descendre dans la rue !

    Quant aux autres voies, ces voies fatidiques dont l’histoire russe, au siècle dernier, a fait l’amère expérience, à plus forte raison, elles ne sont pas pour nous. Sincèrement, on ! Aujourd’hui que toutes les haches ont fini de faire leur travail, que tout ce qui avait été semé a levé, nous voyons dans quelle erreur étaient tombés, dans quelles fumées s’étaient égarés ces jeunes gens si sûrs d’eux-mêmes qui pensaient au moyen de la terreur, d’un soulèvement sanglant et de la guerre civile, apporter au pays la justice et le bonheur. Non, merci, ô dispensateurs de lumières ! Car maintenant, nous savons que l’infamie des méthodes se multiplie dans l’infamie des résultats. Que nos mains restent pures !
    Ainsi, le cercle est fermé ? Et, de fait, il n’y a pas d’issue ? Et il ne reste plus qu’à attendre, les bras croisés, que quelque chose arrive de soi-même ?…

    Mais ce qui nous colle à la peau ne se détachera pas de soi-même si nous continuons, jour après jour, à l’admettre, à l’encenser et à l’affermir, si nous ne nous arrachons pas à ce qui lui est le plus sensible.

    Au MENSONGE.

    Quand la violence fait irruption dans la vie paisible des hommes, son visage flamboie d’arrogance, elle porte effrontément inscrit sur son drapeau, elle crie : « JE SUIS LA VIOLENCE ! Place, écartez-vous, ou je vous écrase ! » Mais la violence vieillit vite. Encore quelques années et elle perd son assurance, et pour se maintenir, pour faire bonne figure, elle recherche obligatoirement l’alliance du mensonge. Car la violence ne peut s’abriter derrière rien d’autre que le mensonge, et le mensonge ne peut se maintenir que par la violence. Et ce n’est ni chaque jour, ni sur chaque épaule que la violence pose sa lourde patte : elle n’exige de nous que notre obéissance au mensonge, que notre participation quotidienne au mensonge et c’est tout ce qu’elle attend de ses loyaux sujets.

    Et c’est là justement que se trouve, négligée par nous, mais si simple, si accessible, la clef de notre libération : LE REFUS DE PARTICIPER PERSONNELLEMENT AU MENSONGE ! Qu’importe si le mensonge recouvre tout, s’il devient maître de tout, mais soyons intraitables au moins sur ce point : qu’il ne le devienne pas PAR MOI !

    Et cela, c’est une brèche dans le cercle imaginaire de notre inaction, pour nous : la plus facile à réaliser, pour le mensonge : la plus destructrice. Car lorsque les hommes tournent le dos au mensonge, le mensonge cesse purement et simplement d’exister. Telle une maladie contagieuse, il ne peut exister que dans un concours d’hommes.

    Nous ne sommes pas appelés à — nous ne sommes pas mûrs pour — aller sur la place publique et proclamer à grands cris la vérité, et dire tout haut ce que nous pensons tout bas. Ce n’est pas pour nous, cela fait peur.
    Mais refusons au moins de dire ce que nous ne pensons pas !

    Voilà donc notre voie, la plus facile, la plus accessible, étant donné notre couardise organique et enracinée, c’est une voie bien plus facile (chose terrible à dire) que la, désobéissance civique à la Gandhi.

    Notre voie : NE SOUTENIR EN RIEN CONSCIEMMENT LE MENSONGE ! Conscient de la frontière au-delà de laquelle commence le mensonge (chacun la voit de façon différente), reculer en deçà de cette frontière gangrenée. Ne pas renforcer au moyen des baleines de corset ou des écailles de l’idéologie, ne pas coudre de loques pourries, et nous serons frappés de voir avec quelle rapidité, quelle absence de résistance le mensonge tombera à terre, et ce qui doit être nu apparaîtra au monde dans sa nudité.

    Ainsi donc que chacun d’entre nous, au travers de notre pusillanimité, que chacun d’entre nous fasse son choix : ou bien demeurer un serviteur conscient du mensonge (oh ! bien sûr, pas par penchant naturel, mais pour nourrir sa famille, pour élever ses enfants dans l’esprit du mensonge !), ou bien considérer que le temps est venu de se secouer, de devenir un homme honnête, digne d’être respecté et par ses enfants et par ses contemporains. Alors, à dater de ce jour :
    — il n’écrira plus désormais, ni ne signera, ni ne publiera d’aucune façon aucune phrase constituant, selon lui, une déformation de la vérité ;
    — des phrases de ce genre, que ce soit au cours d’une conversation privée ou publiquement, il n’en prononcera ni de lui-même, ni en répétant une leçon, ni en qualité de propagandiste, de professeur ou d’éducateur, ni sur scène dans un rôle de théâtre ;
    — que ce soit picturalement, sculpturalement, photographiquement, musicalement, il ne représentera, n’accompagnera, ne diffusera la moindre idée mensongère, la moindre déformation qu’il aura distinguée de la vérité ;
    — il ne produira ni oralement, ni par écrit, aucune citation « directive », par désir de plaire, à titre de contre-assurance, pour assurer le succès de son ouvrage, s’il n’est ,pas entièrement d’accord sur la pensée citée ou bien si elle n’est pas exactement pertinente à son propos ,
    — il ne se laissera pas contraindre à aller à une manifestation ou à un meeting contre son gré ou sa volonté. Il ne prendra, il ne portera aucune banderole, s’il n’est pas entièrement d’accord sur le slogan qui figure sur elle :
    — il ne lèvera pas la main en faveur d’une motion à laquelle il ne se rallie pas sincèrement ; il ne votera ni publiquement ni à bulletin secret pour une personne qu’il tient pour indigne ou douteuse ;
    — il ne se laissera pas entraîner de force à une réunion où il peut s’attendre à voir discuter une question de façon coercitive, déformée ;
    — il quittera sur-le-champ toute salle de séance, de réunion, de cours, de spectacle, de cinéma, dès qu’il aura entendu un orateur y proférer un mensonge, une ineptie Idéologique ou des phrases de propagande impudente ;
    — il ne s’abandonnera pas (ni n’achètera au numéro) à un journal ou à une revue qui déforme l’information ou passe sous silence des faits essentiels.
    Notre énumération, cela va de soi, ne recouvre pas tous les cas possibles et nécessaires où il faut s’écarter du mensonge. Mais quiconque sera entré dans la voie de la purification n’aura aucune peine à discerner d’autres cas avec une clairvoyance nouvelle.

    Eh oui, les premiers temps seront difficiles. Il en est qui se retrouveront momentanément sans travail. Les jeunes gens qui voudront vivre selon la vérité se verront fortement compliquer les premiers pas de leur jeune existence : jusqu’aux leçons qu’il faut réciter à l’école, tout est truffé de mensonges, il faut choisir. Mais pour quiconque veut être honnête, il n’existe pas d’échappatoire : il ne se passe pas de jour où chacun de nous, fût-ce dans les matières scientifiques tiques et techniques les plus exemptes de danger, ne soit contraint à faire l’un ou l’autre des pas que nous venons de dire, du côté de la vérité ou du côté du mensonge ; du côté de l’indépendance spirituelle ou du côté de la servilité spirituelle. Celui qui manquera de courage au point de renoncer à défendre son âme, que celui-là n’aille pas s’enorgueillir de ses idées d’avant-garde, se targuer d’être académicien ou « artiste du peuple », personnalité émérite ou général, qu’il se dise : je suis un veau et un poltron, je n’ai besoin que d’une chose : avoir mangé et être bien au chaud.

    Cette voie elle-même, la plus modérée des voies de la résistance, sera difficile à suivre pour les hommes encroûtés que nous sommes. Combien plus facile, tout de même, que de faire la grève de la faim ou de s’arroser d’essence, le corps enveloppé de flammes, les yeux éclatés sous l’effet de la chaleur ; nous autres, nous trouverons toujours du pain noir et de l’eau claire pour notre famille.

    Trahi par nous, trompé par nous, ce grand peuple d’Europe, en vérité, le peuple tchécoslovaque ne nous a-t-il pas montré qu’une poitrine sans défense peut tenir même contre un char, s’il bat en elle un cœur digne ?

    Une voie difficile ? La moins difficile, pourtant des voies possibles. Un choix difficile pour le corps, le seul choix possible pour l’âme. Une voie difficile, certes, mais Il y a d’ores et déjà chez nous des hommes et des femmes, par dizaines même, qui tiennent bon DEPUIS DES ANNÉES sur tous nos points, qui vivent selon la vérité.

    Il ne s’agit donc pas d’être les premiers à s’engager dans cette voie, mais de SE JOINDRE AUX AUTRES ! La route sera d’autant moins longue et pénible que nous serons plus unis, plus nombreux à nous y engager ! Si nous sommes des milliers, personne ne pourra venir à bout de nous. Des dizaines de milliers, et notre pays deviendra méconnaissable !

    Mais si nous cédons à la peur, cessons alors aussi de récriminer contre ceux qui ne nous laissent pas respirer librement : c’est nous-mêmes qui nous en empêchons ! Courbons l’échine, attendons encore, et nos frères biologistes ne tarderont pas à trouver le moyen de lire dans nos pensées et de modifier nos gènes.

    Si nous cédons là aussi, nous prouverons que nous sommes des nullités, des irrécupérables et c’est à nous que s’applique le mépris de Pouchkine :

    Que sert à des troupeaux d’être libres ?
    Le lot qui leur échoit est d’âge en âge
    Un joug, des grelots et un fouet.

    http://www.printempsfrancais.fr

  • Ce n’est pas en Syrie, c’est dans la France du dictateur Hollande

    La vidéo présentée sur NDF nécessite une deuxième article, bien différent du premier pour montrer la gravité des enjeux. Voici les deux seules hypothèses de travail à envisager à froid, hors tout sentiment.

    Risquer sa vie au Panthéon

    Première hypothèse : tout est fabriqué avec des acteurs plus ou moins manipulés.

    Techniquement, cela n’a rien d’impossible. On a déjà vu le coup avec les bébés prétendument arrachés des couveuses, les armes de destruction massive, et la suite. D’autres exemples sont à disposition, dont le célèbre et morbide « coup de Carpentras » au profit de la bande du François alors en place, à qui se réfère l’actuel. Mais alors pourquoi ? Et au profit de qui ? Dans ce cas, les grosses caisses médiatiques auraient déjà sonné leur tocsin de circonstance.

    Évidemment, on peut toujours envisager le coup du billard à huit bandes : les flics piégés par un faux manifestant, on monte une enquête interne, on condamne trois lampistes, on fait donner la publicité nécessaire, on charge les juges de gauche de mettre le paquet pour faire oublier leur mur des cons, le Valls gazeur se refait une virginité, sur laquelle rebondit le président délégitimé.

    En faveur de cette hypothèse, il y a la rapidité d’apparition de ce faux faisant croire que le blessé est mort. Et la disparition du dit blessé jusqu’à ce jour (à ma connaissance), alors que nous sommes submergés de communiqués médicaux sur les deux malheureux malades atteints d’un virus potentiellement mortel. [...]

    La suite sur Nouvelles de France

    http://www.actionfrancaise.net

  • Des comités d'accueil pour les représentants de l'UMP ?

    Le débat semble être lancé au sein de l'UMP à propos due la loi Taubira en cas d'alternance comme l'explique Le Point :

    "Que faire de la loi sur le mariage homosexuel en cas d'alternance en 2017 ? Cette question, qui pèse déjà sur les municipales de 2014, divise l'UMP, dont le président, Jean-François Copé, navigue entre partisans et adversaires d'une abrogation. Dans l'immédiat, si la participation à la manifestation du 26 mai pour la défense de la famille constitue un autre point de clivage - Jean-François Copé ira, mais pas François Fillon -, les responsables du parti se retrouvent en revanche pour ne pas embrayer sur la position du maire UMP de Vienne (Isère), Jacques Remillet, qui a déclaré lundi dans le Figaro refuser "de célébrer les mariages de même sexe"."

    Au sein de l'UMP, la plupart des responsables (Fillon, Juppé, NKM, Copé) semble avoir déjà renoncé à considérer ce débat comme un changement de civilisation puisque très peu voire aucun ne parlent d'abrogation. A quoi cala aura-t-il donc servi pour des millions de Français de descendre dans la rue si, au final, il faut abandonner le combat 4 ans après ? Ainsi, Luc Chatel, ancien ministre de l'Education et responsable de l'introduction du gender à l'école déclare :

    "Je crois qu’il faut, si nous voulons reconquérir le coeur des Français, si nous voulons retrouver leur confiance, je crois qu’il faut être crédibles et responsables. C’est un texte que nous avons condamné, sur lequel je me suis opposé mais je ne crois pas qu’on reviendra en arrière. Sur des sujets aussi sensibles que cela, qui sont des sujets de société, très personnels, il faut respecter la sensibilité, l’avis de chacun"

    En clair, nous avons fait semblant d'être d'accord avec les millions de Français scandalisés par cette loi pour retrouver des électeurs perdus mais pas au point d'être courageux en 2017. François Hollande sera ravi de savoir qu'il pourra ainsi être réélu haut la main en 2017... Et ce n'est pas la poudre aux yeux de l'union civile, véritable arnaque sémantique, lancée par certains, dont Hervé Mariton, qui changera quoi que ce soit !

    On ne lâche rien : ni loi Taubira, ni union civile, abrogation pure et simple ! 

    Philippe Carhon  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Mariage homosexuel : pourquoi l’UMP se moque-t-elle du bon peuple ?

    Louis Tode entraîne son lecteur dans un vaste retour en arrière implacable.
    Dans un long entretien donné à trois journalistes du « Monde » et publié dans ce quotidien des 19-20 mai 2013, Jean-François Copé annonce qu’ « une fois au pouvoir, il nous faudra réécrire le texte sur le mariage gay » et il « appelle les partisans de La Manif pour tous à “ transformer cet engagement ” dans les urnes », sous entendant, bien évidemment, avec un bulletin de vote pour l’UMP. Il ne se prive d’ailleurs pas, à l’occasion de cet entretien, de déclarer que le seul recours contre cette loi socialiste, c’est l’UMP et rien d’autre.
    Polémia

    Retour en arrière

    L’UMP court après la Manif pour tous, cherche à tout prix à se réapproprier ce grand mouvement populaire contre la dénaturation du mariage, la préservation des valeurs face à un pouvoir voulant à tout prix écraser ce qui reste de civilisation, d’ordre et de beauté dans notre société, afin de mieux la guider vers la médiocrité, la décadence et l’hédonisme. Les Français seront-ils dupes ? Il reste à souhaiter que non !
    Mais malgré cette écœurante tentative d’OPA du mouvement par le prétendu principal parti de droite, celui-ci, à la lumière de ses votes et de son histoire, est il crédible pour défendre la famille et la vie ?
         C’est sous la droite qu’a été voté l’avortement en 1974, et l’ensemble des gouvernements et majorités de droite depuis maintenant 40 ans ne l’ont jamais supprimé ; les conditions n’ont jamais été alourdies, jamais un grand projet de soutien à la vie pour encourager à ne pas avorter n’a été pensé et mis en place, malgré 10 ans de majorité absolue de la droite (Elysée, Sénat, Assemblée nationale, entre 2002 et 2012) ;
         C’est encore sous la droite qu’a été votée la loi sur le divorce, déstructurant totalement la cellule familiale ; au lieu d’opérer une reconquête de la morale et de défense de la famille, le pouvoir « de droite » se plie déjà à l’idéologie de la déconstruction et du néant ;
         C’est sous un président de droite qu’a été voté le PACS, en 1998, auquel la droite a au début fait semblant de s’opposer, pour aujourd’hui l’invoquer avec fierté et proposer de l’améliorer pour contrer le mariage homosexuel, alors même qu’il est bien évident que le premier mène inexorablement vers le second ;
         En 2006, Nicolas Sarkozy se déclare favorable à un « contrat d’union civique », faisant un pas vers la mariage gay ;
         En 2008, plusieurs députés UMP, dont Alain Milon, Henri de Richemont et Nadine Morano s’expriment en faveur de la Gestation pour autrui (GPA, plus vendeur que « mères porteuses »…) ;
         En 2009, une trentaine de députés UMP emmenés par André Wojciechowski proposent de légaliser l’euthanasie, arguant que « les mœurs doivent évoluer » ;
         Toujours en 2009, l’UMP propose un texte de loi visant à reconnaître le statut du beau parent ; encore un pas vers le mariage gay en reconnaissant alors l’homoparentalité et en lui donnant un statut juridique. L’une des opposantes qui se fait connaître est alors Béatrice Bourges, porte parole du collectif pour l’enfant.
         Le 11 mai 2011, le gouvernement français, UMP, signe la convention d’Istanbul, qui impose d’ « éradiquer toute pratique fondée sur un rôle stéréotypé des femmes et des hommes » (Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique). La théorie du genre est officiellement reconnue par l’UMP et le gouvernement français.
        Le projet de loi visant à autoriser le mariage entre personnes du même sexe a été voté grâce au vote pour ou abstention des députés et sénateurs UMP (NKM, Apparu, Lellouche, etc.). Ces parlementaires n’ont toujours pas été suspendus (à la différence de le tête de liste UMP de Gamache qui a passé une alliance avec le FN, preuve du sens des priorités à l’UMP ) ;
         L’UMP a durant ses années d’exercice du pouvoir grassement financé le lobby lesbiennes/gay/bi/trans, notamment, entre autre, par le biais de son association interne Gaylib, promouvant l’homosexualisme au sein de l’UMP.
    Malgré ses grandes déclarations de soutien à la Manif pour tous, n’oublions pas que l’UMP a tout d’abord déclaré qu’elle ne reviendrait pas sur le mariage homosexuel (comme elle a accepté le PACS), avant, constatant l’ampleur du mouvement, d’envisager, comme le fait Jean-François Copé aujourd’hui, à « réécrire la loi », en cas de victoire en 2017.
    Les Français doivent ouvrir les yeux sur ce qu’est vraiment la fausse droite, et ne plus se laisser bercer d’illusions.
     Louis Tode 14/05/2013 http://www.polemia.com

  • Le SIEL manifestera le 26 mai à Paris

    IL FAUT QUE LE SIEL MOBILISE UN MAXIMUM
    DERRIÈRE "LA MANIF POUR TOUS" ET "LE PRINTEMPS FRANÇAIS" !
    Rendez-vous aux prochaines manifestations des collectifs
    "La Manif pour tous" et "Printemps Français"
    Le SIEL appelle à participer (sur Paris)
    à la manifestation du dimanche 26 mai
    consacrée "à la défense de la famille"
    (Point de convergence : soit les Invalides, soit le Champ-de-Mars)

    Communiqué de Souveraineté Indépendance et Libertés

    Devant la situation du pays et l'extrême faiblesse de la légitimité gouvernementale, l'idée d'un Gouvernement de Salut Public dépassant les rigidités des partis s'impose aux esprits. Le 9 mai, M. Dupont-Aignan appelait de ses vœux une Union Nationale regroupant aussi bien des personnalités du Front National que du Front de gauche.
    Le SIEL juge intéressante cette proposition, mais estime que sa base politique ne saurait procéder que d'une alliance ouverte entre les différentes oppositions de droite, alliance qui s'esquisse d'ores et déjà dans plusieurs villes de France en vue des prochaines élections municipales.
    Pour beaucoup d'élus, cadres ou membres de l'UMP, cette alliance parait s'imposer, lors des scrutins locaux, face à une gauche qui pour sa part sait s'allier malgré d'importantes divergences de vues entre ses composantes.
    Un exemple vient d'en être donné à Gamaches (Somme), où un candidat UMP, Arnaud Cléré, ouvre sa liste à des membres du FN. La très brutale mesure d'exclusion dont il a aussitôt fait l'objet témoigne significativement de la hantise des états-majors de l'UMP devant la multiplication de telles initiatives, qu'ils savent potentiellement nombreuses.
    Elle témoigne aussi du désarroi d'un parti sans véritable chef, et profondément divisé, notamment entre ses dirigeants et leur base.
    Le SIEL, auquel M. Cléré a d'ailleurs adhéré ce jour, regrette cette réaction, comme il regrette que MM Copé et Fillon se montrent plus ouverts aux propositions de gauche (voir la liberté de vote sur le « mariage homosexuel ») qu'au dialogue avec les formations de droite. Il regrette aussi que les personnalités de l'UMP qu'il convie à ses manifestations dédaignent de s'y rendre, tout en se réjouissant d'exceptions notables, en particulier d'élus UMP de la région parisienne.

    Soucieux qu'il ne soit pas fait obstacle à un mouvement d'union largement spontané et comme naturel, le président fondateur du SIEL, Paul Marie Coûteaux, a écrit aux dirigeants de l'UMP, et à travers eux à ses cadres et militants, leur proposant d'explorer les voies d'un PROGRAMME COMMUN DE SALUT PUBLIC que la catastrophique situation du pays rendra tôt ou tard nécessaire, et inévitable.

    http://www.francepresseinfos.com/