« La volonté émise avant son accident par M. Lambert Vincent de ne pas être artificiellement maintenu en vie dans un état pauci-relationnel, a été rapportée par plusieurs membres de sa fratrie au Dr (…). »
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Des nouvelles de Vincent Lambert – et une mise en garde pour tous !
Non seulement Vincent Lambert est sauvé, il commence à reprendre des forces !C'est l'excellente, la magnifique nouvelle d'hier : à ses parents venus à son chevet, nourri et hydraté de nouveau depuis samedi après-midi, Vincent Lambert a souri. Souri d'un petit sourire en coin, joli et complice, qui le rend aux yeux de ceux qui l'aiment plus beau que n'importe quelle star.C'est l'une des gentilles aides-soignantes qui a obtenu ce sourire. Ces sourires. Ce sont elles qui soignent Vincent au jour le jour. Elles ont pour lui une affection visible, véritable. J'imagine qu'elles sont contentes de le voir revivre, après l'avoir vu volontairement privé de nourriture et d'une grande part d'hydratation par « décision collégiale » de « l'équipe médicale » du CHU de Reims.— Vous avez vu ? Quand je passe la main dans les cheveux de Vincent, il sourit, dit une des aides-soignantes.Et de joindre le geste à la parole :— M. Lambert ? Vous me reconnaissez ? Je suis revenue. Souriez-moi : je vais vous passer la main dans les cheveux.Et Vincent de sourire.Elle le lui dit deux fois encore : « Souriez ! » Et il l'a fait.Les parents, bouleversés de bonheur, ont vu qu'il ne s'agissait pas d'un rictus. Mais d'une réponse.C'est le moment de préciser un détail de ce dossier. J'avais parlé de « coma pauci-relationnel » à propos de Vincent Lambert. Un professeur de neurologie contacté par Jérôme Triomphe, avocat de la famille Lambert, a souligné qu'il est dans le cas de Vincent impropre de parler de « coma » : il est dans un « état pauci-relationnel », puisqu'il est conscient de son entourage et interagit avec lui.Si bien qu'une pièce versée au dossier par le CHU de Reims – pour justifier l'euthanasie lente de Vincent Lambert ! – note qu'un examen approfondi réalisé par des spécialistes du coma en Belgique ont conclu que le patient est dans un « état de conscience minimale plus », « avec une perception de la douleur et des émotions préservées ».Faut-il s'étonner dès lors que Vincent Lambert avait des épisodes « de pleurs, de cris, de sanglot (sic) » comme le précise le mémoire de défense du CHU de Reims par lequel il tentait de justifier la « décision médicale » de l'affamer à mort ?Ce même mémoire croit pouvoir déceler des directives anticipées informelles de la part de Vincent Lambert, dont parlent sa femme et certains de ses frères et sœurs en expliquant qu'il a dit à l'occasion, avant son accident, ne pas vouloir être maintenu artificiellement en vie.A la fin du mémoire de défense, on ose invoquer ceci :Sans compter que la nourriture et l'hydratation ne maintiennent pas « artificiellement » la vie, fût-ce en état de coma, notons ici l'incroyable glissement. Peut-on vraiment imaginer que ce jeune homme ait su ce qu'est un état pauci-relationnel ? Qu'il l'ait prévu, et prévu aussi quel serait son sentiment en ce cas ? Prévu qu'il demanderait à mourir faute de nourriture et d'eau ? Deux, trois mots prononcés au détour d'une conversation permettent-ils de faire cette incroyable extrapolation dont un médecin peut s'emparer pour couper les vivres à un malade ?Si c'est le cas – et c'est bien l'esprit de la loi Leonetti – il devient urgent de faire des directives anticipées écrites demandant de ne pas faire l'objet d'une décision d'abstention de soins ordinaires ayant pour objet de provoquer la mort ! Je crois bien qu'il va falloir rédiger une lettre type avec l'aide de médecins et de juristes spécialisés.Voici donc Vincent Lambert, 37 ans, tiré d'affaire, souriant, montrant un visage apaisé à ses parents.Il s'agit maintenant d'obtenir son transfert d'un service de soins palliatifs où il n'a rien à faire sous la houlette de spécialistes en gériatrie vers une unité capable de prendre en charge son handicap profond aussi bien que son état conscience diminuée mais réelle, avec une prise en compte de ses besoins émotionnels, puisqu'il ressent aussi bien la tristesse que la joie. -
Un prêtre tabassé : qui en parle ?
Lu sur Boulevard Voltaire :
"Lundi 13 mai, un prêtre a été passé à tabac au sein même de sa communauté religieuse, la communauté Saint Jean de la paroisse Saint-Ruf à Avignon. Par des Maghrébins. Vous ne le saviez pas ? Normal, tout le monde s’en fout!
Une recherche sur Internet montre l’ampleur du désintérêt que la nouvelle a suscité. [...]
Chez les politiques et au gouvernement, même ignorance. Aucun ministre n’est venu exprimer sa plus totale solidarité en promettant que les lâches ayant commis un acte si odieux seraient poursuivis et fermement punis.
Mais voilà, le Père Grégoire n’est qu’un catholique. Il est de cette religion maudite que la République laïcarde s’efforce depuis si longtemps d’étouffer, en espérant la voir un jour disparaître à tout jamais. Alors il ne faut pas trop en demander ! Et si ça avait été un imam ou un rabbin ?
C’est la question que s’est posée le père Marie-Christophe, responsable de la communauté. Et elle est légitime en effet, puisque d’exemples il n’en manque pas ! Chacun a en mémoire untel ou unetelle de la classe politico-journalistique qui, le visage constipé de circonstance, s’indigne avec force lorsqu’un tag antisémite est découvert sur une synagogue ou lorsqu’une tête de cochon surgelée est déposée devant une mosquée. Les grands mots sont alors employés, les comparaisons avec les zeureslesplussombresdenotrehistoire faites. Deux poids, deux mesures… [...]
Je terminerai en citant cette fois Monseigneur Cattenoz : « Ce quartier est progressivement pris en main par des gens de religion musulmane. (…) Ce quartier devient une zone de non-droit. Moi j’ai passé 15 ans en terre d’islam et là-bas, l’habit se respecte. Ici, à côté de l’archevêché, on m’interpelle dans la rue parce que je porte une croix. »"
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On ne lâche rien devant la mairie de Chemillé (Maine et Loire)
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APPEL POUR LA MANIF POUR TOUS DU 26 MAI 2013
Nous participerons, très déterminés, à la Marche pour tous du 26 mai contre le « mariage homo », pour y défendre l’exigence morale et politique et non politicienne, l’exigence trans-partisane d’abroger purement et simplement la loi nihiliste Hollande-Taubira de désintégration familiale et sociale.Nous marcherons poussés par notre fidélité aux valeurs chrétiennes et humaines du respect de la vie et de la famille.Nous marcherons contre le racisme véritablement anti-humain qui prétend substituer à l’humanité constituée par le couple de l’homme et de la femme une dialectique d’appartenance homosexuelle ou hétérosexuelle.Nous marcherons parce qu’enfin, à l’évidence, la majorité des marcheurs réprouve désormais expressément le traquenard d’une dialectique d’instrumentalisation des concepts psychiatriques de « phobie » et de « philie » qui aurait pu aboutir à un véritable détournement de la Marche. On a trop connu cela avec l’abomination des rééducations psychiatriques dans le monde soviétique.Nous marcherons dans le calme, l’amitié et la liberté, en effet pour tous, de manifester selon sa foi et sa sensibilité et non selon un carcan dictatorialement imposé.Nos amis pourront bien sûr à leur gré défiler avec leurs délégations provinciales, d’autres avec des mouvements selon leur sensibilité.Nous, avec les militants et adhérents et amis de nos organisations qui le souhaitent, vous donnerons rendez-vous [sur un point d'un des parcours dès que les tracés seront définitifs – J.S.].PREMIERS APPELANTS :Bernard AntonyRichard Haddad, éditeur, ancien président du Cercle National des étudiants de ParisDaniel Hamiche, rédacteur en chef de L’Observatoire de la ChristianophobieVivien Hoch, chercheur en philosophieJacques Le Morvan, Chrétienté-Solidarité, vice-président du Centre Henri et André CharlierCécile Montmirail, vice-présidente de l’AGRIFAbbé Vincent RibetonPasteur Saïd, communautés chrétiennes d’Afrique du nordMichel Seamb, Convergences AfricainesJeanne Smits, directrice de PrésentYvonne Soleil, Chrétienté-Solidarité-PersécutionsAbbé Guillaume de Tanouärn, Centre Saint PaulGuillaume de Thieulloy, directeur de Riposte catholiqueJérôme Triomphe, avocat de l’AGRIFFrançois Wagner, avocat de l’AGRIF -
Scandale fiscal et double discours sur l’attentat de Benghazi : Obama dans la tourmente
WASHINGTON (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – Après les révélations des agissements discriminatoires de l’administration fiscale américaine, Barack Obama a dû jurer ses grands Dieux qu’il n’était au courant de rien…
Pour profiter d’un régime fiscal de non‑imposition réservé aux associations caritatives, des groupes conservateurs ont, à partir de 2009, déposé des demandes auprès des services fédéraux du fisc. En fin de semaine dernière, le fisc a reconnu, en présentant ses excuses, que des dizaines d’entre elles avaient été soumises à un examen approfondi, alors que les associations proches des démocrates, beaucoup moins nombreux, en avaient été dispensées.
« Je peux vous affirmer que je n’étais au courant de rien avant qu’il n’y ait des fuites dans la presse », a déclaré M. Obama avant-hier lors d’une conférence de presse conjointe avec le Premier ministre turc, visiblement amusé de l’embarras de son hôte. Mercredi, à la suite de ce scandale, Obama a été contraint de limoger le chef par intérim du fisc. Son ministre de la Justice a de son côté tenté de calmer les Républicains, en annonçant une enquête approfondie, en parallèle avec celles qui sont menées par le Congrès.
Mais les ennuis d’Obama ne s’arrêtent pas là
Toujours lors de sa conférence de presse avant-hier avec Erdogan, Obama a dû répondre aux tirs croisés des journalistes au sujet du fiasco de l’intervention américaine en Libye. En septembre 2012, à Benghazi, un attentat a en effet coûté la vie à quatre Américains, dont l’ambassadeur. La Maison-Blanche, qui s’est retrouvée sur la défensive après s’être vu reprocher par ses adversaires républicains des incohérences dans son argumentaire sur cet attentat, avait tenté de faire taire la controverse mercredi en publiant 100 pages de courriers électroniques internes, alors que les Républicains l’accusent d’avoir essayé d’occulter le caractère terroriste de l’attentat.
Jeudi, devant un Erdogan de plus en plus réjoui, le président Obama a contre-attaqué réclamant du Congrès, en partie aux mains des Républicains, qu’il soutienne et finance le projet de la Maison-Blanche pour améliorer la sécurité des ambassades américaines dans le monde. 4,4 milliards de dollars devraient ainsi être dépensés sur l’année budgétaire en cours afin de renforcer la sécurité des postes à hauts risques, notamment dans le monde arabe. Lundi, le président avait tenté de faire diversion en accusant les Républicains de motivations purement politiciennes. Le « messie » Obama n’est décidément plus ce qu’il était…
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Manif pour Tous : « La décision du Conseil constitutionnel n’entame pas notre détermination »
BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) – Le Conseil constitutionnel a validé l’intégralité de la loi ouvrant le mariage et l’adoption à deux personnes de même sexe ce vendredi.
La haute juridiction présidé par Jean-Louis Debré a jugé que le « mariage » homosexuel était «un choix du législateur» et «n’était contraire à aucun principe constitutionnel». Même si «la législation républicaine antérieure à 1946 et les lois postérieures, ont jusqu’à présent regardé le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme, cette règle n’intéresse ni les droits et libertés fondamentaux, ni la souveraineté nationale, ni l’organisation des pouvoirs ».
Interrogé par Infos-Bordeaux, le coordinateur local de la Manif pour Tous, Raphaël de Bourayne, s’est déclaré « déçu, mais pas étonné ». « Nous sommes déçu que le Conseil constitutionnel n’ait pas écouté les arguments juridiques sur l’adoption, mais cette décision n’entame en rien notre détermination. Nous appelons tous les bordelais à une nouvelle manifestation le mardi 21 Mai Place de la Bourse à 18h00 ».
Avant la grande mobilisation nationale du 26 mai prochain à Paris (*), les opposants au projet Taubira multiplient les actions coup de poing. Avant-hier soir, plusieurs dizaines de jeunes gens ont déployé de nombreuses banderoles sur la rocade bordelaise suscitant l’approbation des automobilistes.
De même par exemple hier près de Langon des banderoles ont également été déployées :
(*) : Un train spécial au départ de Bordeaux est organisé : http://www.weezevent.com/tous-a-paris-le-26-mai-2013
Crédit photos : DR. http://fr.novopress.info/
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Marché du halal : connaître les faits pour ne pas subir
« Etats généraux du respect du consommateur et du bien-être animal ». A Paris, 25 mai 2013
A quelques jours des « Etats généraux du respect du consommateur et du bien-être animal », qui se tiendront à Paris le 25 mai prochain (renseignements sur le site http://vigilancehallal.com/), les chiffres du marché halal, la stratégie des marques et les perspectives sont analysés par J.H. d’Avirac, expert en marketing.
Soigneusement écartée par les médias officiels (prétendument laïcs) depuis la présidentielle, la problématique du halal, de la non-information du consommateur, du défaut de traçabilité sur les abattages rituels, de la souffrance animale, demeure et s’amplifie même par le caractère particulièrement juteux de ce segment de marché en très forte croissance.
Connaître les faits pour ne pas subir.
J.H. d’Avirac fait le point pour Polémia
Les chiffres du marché
Le marché mondial du halal représente 450 milliards d’euros et concerne 1,6 milliard de consommateurs potentiels. Sa croissance annuelle est de 10%.
La France est le marché le plus porteur en Europe, avec plus de 7 millions de consommateurs potentiels.
Le marché français du halal est estimé aujourd’hui à 7 milliardsd’euros (soit plus de deux fois le marché des produits bio). Il progressede plus de 10% (sans équivalent dans l’industrie agro-alimentaire).
49% des musulmans déclarent consommer de plus en plus de produits halal : la dynamique du marché français est donc liée à l’effet conjoint de l’augmentation du nombre d’acheteurs et de la progression de la quantité achetée par acheteur.
Chaque année, 1,1 milliard d’animaux sont abattus en France. Pour la seule région Ile-de-France, sur 5 abattoirs, un seul (spécialisé dans la viande de porc) n’abat pas les cheptels de façon rituelle. La certification halal génère un coût plus ou moins répercuté au consommateur final de 10 à 15 cts par kilo de viande.
La stratégie des marques
Les grandes marques nationales et internationales s’intéressent massivement à ce marché à forte croissance : DUC, FLEURY MICHON, HERTA, KNORR, LABEYRIE, LIEBIG, MAGGI…
Des marques « dédiées » souvent générées par les grands groupes, qui protègent ainsi leurs marques-phares de toute polémique : DOUNIA, ISLA DELICE, ISLA MONDIAL, MEDINA, SAABA, JUMBO, ZAKIA (Panzani), REGHALAL (LDC), NURDAN (Pierre Martinet)…
Des marques de distributeurs en progression : WASSILA de Casino (2009), CARREFOUR (2011). AUCHAN et LECLERC réfléchissent à des approches similaires.
Des investissements publicitaires en grands médias à l’image des grandes marques agro-alimentaires (cf. campagne Isla Delice).
Depuis le 1er septembre 2010, l’entreprise de fast-food Quick, dont l’Etat est actionnaire majoritaire via la Caisse des dépôts et consignations, a décidé de pérenniser l’offre exclusive de produits à base de viande halal dans 14 restaurants tests.
Le marché est dynamisé par l’innovation en matière d’offre produits (plats cuisinés, snacking), par la diffusion en GMS (grandes et moyennes surfaces) et par le développement des circuits spécialisés (HAL SHOP, BAKER MARKET, « Au Pays »).
Les GMS et les marques sont particulièrement attentives à un point-clé : 80% des ventes sont réalisées par de petits bouchers. Le marché de la viande halal est donc un marché à forte croissance « transférable » à moyen terme, grâce notamment à d’importants moyens marketing.
Perspectives
Depuis la vache folle, 70% des Français se déclarent sensibilisés ou très sensibilisés aux risques alimentaires et aux questions de traçabilité…
Deux conséquences :
- Une majorité de Français souhaite savoir si elle mange halal ou non (72% des Français désapprouvent la dérogation permettant de ne pas étourdir les animaux avant abattage) ;
- Attente en matière de certification, y compris chez les consommateurs de halal.
Pour 66% des Français, il revient à l’Etat de veiller à la sécurité et à la traçabilité des produits alimentaires.
Toutes les études marketing agro-alimentaires recommandent aujourd’hui de profiter de la « manne halal », en recherchant l’harmonisation des certifications et la mise en place d’un mix-marketing adapté, avec notamment de plus fortes dépenses publicitaires.
Halal Expo, Salon européen annuel dédié, qui se tient à Paris, regroupe 7.100 visiteurs professionnels, mobilisés pour faire croître la catégorie sur tous les marchés et tous les circuits.
Les récentes études d’opinion publiées en ce début d’année sur les craintes que suscite l’islamisation de la société française chez l’immense majorité de nos concitoyens invitent les industriels à modérer (momentanément ?) leurs ardeurs commerciales.
Dans ce contexte on ne peut que s’étonner de l’absence totale de bruit sur cette question volontairement congelée depuis le Salon de l’Agriculture de 2012 où les « professionnels », tétanisés par la polémique, avaient promis de clarifier la situation… Il est vrai que le cheval roumain est passé par là et, avant lui, quelques millions d’électeurs-moutons, les beaux fromages de Hollande et ses dindons de la farce. La basse-cour médiatique en oubliera ses convictions laïques, la cruauté du rituel, la taxe religieuse qui est imposée à tous. Il nous faut donc réveiller les « camarades » et leur rappeler les mots de Paracelse : « Ce qui est une nourriture pour l’un est un poison pour l’autre »… tout particulièrement lorsqu’une pratique s’attaque aux fondements mêmes de notre civilisation.
J.H. d’Avirac http://www.polemia.com
14/05/2013(Sources : Etudes Eurostaf 2011, Ubifrance, Credoc 2011, Halal Expo, IFOP 2010, Le Figaro, Xerfi 2009, Solis 2009).
Inscription aux Etats généraux : « voir 25 mai Réunion de vigilance halal à Paris »
Il faut s’inscrire obligatoirement :
- sur le site http://vigilancehallal.com/
- par mail à contact@vigilancehallal.com,
- par courrier à VH, BP 40003, 33490 St Macaire ou par téléphone (0620314104),
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Validation du mariage gay : la loi au-dessus de la nature !
Sur Boulevard Voltaire, une analyse contre-révolutionnaire que nous aurions pu signer à 100 %...
La comédie est terminée. Rideau. Le Conseil constitutionnel a tranché dans le sens attendu en validant la totalité de la loi Taubira. Nul n’en sera surpris : il n’est là que pour maîtriser les éventuels écarts de la loi, pas pour s’opposer à la politique générale d’un gouvernement.
En bref, cette décision ne mériterait aucun commentaire particulier si elle ne comportait un passage hautement intéressant :
En ouvrant l’accès à l’institution du mariage aux couples de personnes de même sexe, le législateur a estimé que la différence entre les couples formés d’un homme et d’une femme et les couples de personnes de même sexe ne justifiait plus que ces derniers ne puissent accéder au statut et à la protection juridique attachés au mariage ; qu’il n’appartient pas au Conseil constitutionnel de substituer son appréciation à celle du législateur sur la prise en compte, en matière de mariage, de cette différence de situation. [...]
François Teutsch - La suite sur Boulevard Voltaire
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Les messages subliminaux dans les dessins animés et le Rock
[Article de Laurent Glauzy en exclusivité pour Contre-info]
Dans les années 1970, les pays européens se dotent d’une législation interdisant les messages subliminaux. En 1988, entre les deux tours de la présidentielle, le scandale éclate. François Mitterrand, président en exercice, candidat à sa propre succession, aurait usé de cette technique dans le générique du 20 heures sur Antenne 2. Nombreux sont aussi ceux qui prétendent et argumentent que ces messages seraient utilisés à des fins peu louables, notamment dans les dessins animés et la musique Rock.
L’œil et l’oreille sont bombardés chaque jour de deux cent mille à quatre cent mille messages mais nous ne sommes conscients que d’une infime partie (5 % à 7 %) d’entre eux. L’inconscient n’a pas la capacité d’analyser cette forme de message. Il ne peut donc pas l’accepter ou le refuser. Le cerveau le mémorise alors directement. Nous savons par ailleurs que les Américains ont utilisé ces procédés pendant la guerre du Golfe, sous l’appellation d’armes non létales et non conventionnelles, pour annihiler la résistance des soldats ennemis.
Incitation à l’homosexualité
En Europe, un enfant regarde en moyenne la télévision trois heures et demie par jour. En une heure, il est la cible de trente actes de violence ou d’actes sexuels plus ou moins explicites. Par conséquent, son cerveau aura assimilé en dix jours trois cents messages ; en un mois, mille ; et dans une année près de douze mille. Les jeux Nintendo, Playstation, Gameboys, les dessins animés Pokemon, Digimon, Dragonball Zeta, Sailormoon, Beyblade constituent les vecteurs principaux de ce fléau.
Or le Japon, producteur de ces dessins animés, a interdit chez lui dès 1999 la diffusion des Sailormoon et Pokemon dont la traduction montre toute la malfaisance préméditée. Pokemon signifie « Pocket Monster » (le monstre de poche). Ce sont des démons ayant un pouvoir maléfique particulier. Un autre dessin animé très célèbre, Pikachu, signifie « cent fois plus puissant que Dieu ». DragOnball Z : le O de « DragOn » dessine en son centre le symbole satanique de l’étoile à cinq branches ou pentacle, ball fait référence à Baal, un démon que les Hébreux adorèrent dans le désert à la place de Dieu et auquel ils sacrifiaient des enfants en les immolant dans le feu. D’autres dessins animés comme les Razmokets, le jeu pour console vidéo Tomb Raider, détruisent l’identification sexuelle de l’enfant. Ce sont des corps de femme avec des comportements agressifs et très masculins. Les quelques femmes qui apparaissent dans les consoles Nintendo et Playstation sont toutes androgynes.
Les Simpson illustrent cette « parfaite anti-éducation ». Les personnages sont bien entendu laids, grossiers et stupides. Les Teletobbies représentent quatre peluches reprenant des symboles de la Gay Pride, un triangle inversé avec des couleurs rose, violet, des fleurs. Ils sont destinés à des enfants d’un an et demi, chez lesquels il a été constaté un comportement opposé à leur identité sexuelle.
Le vrai visage de l’empire Disney
Il est difficile d’étudier l’aspect démoniaque et destructeur des dessins animés sans entrer dans l’empire de Walt Disney. Une de ses dernières productions est Le roi Lion. Scar y symbolise le démon. Il apprend à son neveu, le petit lion, à se rebeller contre ses parents, et contre Dieu par le biais de son père « qui te restreint avec ses commandements et ses interdictions ». En images subliminales, le mot « Sex » apparaît cinq fois sur la pellicule. Sachant qu’il faut de 24 à 30 images pour créer l’effet d’un mouvement, l’œil ne peut rien détecter. Cette technique de l’image subliminale a été utilisée par Disney sur le dessin d’une femme nue crucifiée avec le visage du diable dans Bernard et Bianca, quand ils passent de nuit dans un palais volant sur le dos d’un albatros. A l’époque, la firme Disney avait dû payer 74 millions de dollars pour éviter un procès public. Elle avait présenté des excuses au spectateurs américains en reconnaissant qu’« il est vrai que Bernard et Bianca est une incitation à la pornographie infantile ». L’entreprise avait fait retirer 3,5 millions de pellicules. Aujourd’hui, des images subliminales ont été découvertes dans d’autres dessins animés comme La Petite Sirène, La Petite Sirène 2, La Belle et la Bête 2.
Sur l’affiche du film Le Silence des Agneaux, nous voyons un papillon posé sur la bouche d’une dame, où une tache blanche ayant la forme d’une tête de mort. Mais en regardant attentivement cette tache blanche, apparaissent neuf femmes nues. Que dire aussi des poupées Barbie de Mattel, détruisant toute notion de pudeur ? Il est vrai qu’elles développent l’instinct maternel, mais bizarrement, la jeune fille demandera à sa maman pourquoi sa poupée a des seins formés, des hanches aussi marquées et des jambes de stars de cinéma. Les mini-jupes, le maquillage suscitent un sentiment de vanité, des idées très précoces. Pour toutes ces raisons, en 1998, l’Italie est le premier pays à avoir interdit la poupée Barbie. Dans leur adaptation en dessin animé, les Bratz ont des têtes de démon dont certaines sont couronnées de l’auréole des Saints.
Musique satanique
La musique Rock, Pop, Techno, Rap, Reggae, Hip-Hop est émise sur une fréquence correspondant aux cadences des cultes africains comme les musiques de transe Vaudou ou Macumba. L’inventeur de ce nouveau rythme dans les années cinquante est l’Afro-Américain Little Richard. Sataniste déclaré, il transforme la manière d’écrire le Jazz. Il en fait une musique syncopée. Little Richard se convertira au chritianisme et reconnaîtra : « La musique que j’ai inventée n’est pas de la musique, mais un culte rendu à Satan ! » La première mouvance est le Soft Rock auquel appartint Elvis Presley. Vient ensuite l’Acid Rock (Acid signifiant Drogue), dont les Beatles sont le groupe emblématique. Leur formule Sex, Drugs and Rock and Roll exprime à l’origine un rapport sexuel dans une voiture. A ce mouvement succèdent des Rocks de plus en plus violents comme le Hard Rock, le Punk Rock avec les groupes Afrodite Child, Kiss ou Kings in Satanic Service. Le Black Rock recense des célébrités aux noms certes peu imaginatifs mais toujours très explicites : Sepultura, Venom, etc. Cette musique se joue avec une guitare basse qui émet des infrasons, une batterie cadençant des sons lourds et répétitifs jusqu’à 120 pulsations à la croche (la musique Techno atteint 380 à 420 pulsations). Leurs ondes font vibrer les masses liquides du corps humain, dans le ventre, la bouche et dans la région du cerveau avec le liquide céphalo-rachidien. Elles dérèglent la glande hypophyse qui se met à sécréter une hormone, l’endorphine ou morphine naturelle, provoquant les mêmes effets que de la drogue : le cerveau devient hyper réceptif aux influences extérieures. Il compense ce déséquilibre avec les glandes surrénales qui produisent les hormones sexuelles…
La personne se retrouve en état d’hyperexcitation sexuelle, de violence : elle est livrée à ses pulsions. Cette musique atteint 80 à 120 décibels. Au niveau supérieur, le niveau létal, le fonctionnement des organes principaux s’altèrent très rapidement. Cela explique que beaucoup d’adolescents souffrent de maladies cardiaques, oculaires, auditives, cérébrales, normalement observées sur des patients sexagénaires. A cela s’ajoute une autre nuisance, celle de la lumière stroboscopique et psychédélique. Elle est composée de rayons envoyés par des dizaines voire des centaines de spots. Au milieu de la discothèque, est suspendue une sphère composée de centaines de facettes ou petits miroirs qui réfléchissent dans toutes les directions les rayons des spots envoyant une lumière à une fréquence hertzienne réglée (bien entendu) sur le groupe qui se produit sur scène. Habituellement, au début, la fréquence des spots est de six impulsions à la seconde. A cette fréquence, nous perdons toute notion de profondeur et d’équilibre. Ces pertes d’équilibre font ensuite place à la perte des défenses psychologiques et à des comportements agressifs pour dissimuler ses propres angoisses. Quand le rythme monte jusqu’à quinze, vingt impulsions de lumière par seconde, il s’interfère avec la production des ondes alfa du cerveau, nécessaires au décodage de notre environnement. A vingt-cinq impulsions, le cerveau ne s’adapte plus : il bloque ! Que se passe-t-il ? Le sujet devient un vrai zombie. Il obéit aux pulsions les plus animales, à tous les messages extérieurs (et subliminaux). Et comme rien ne doit être laissé au hasard, ces lieux de déchéance abreuvent de vidéos érotiques ou pornographiques les jeunes dépravés, tentés de plus par la consommation facile d’ecstasy.
L’arme du futur
Qui sait que les Beatles ont eu recours aux messages subliminaux ? Cela démontre encore une fois l’étendue de cette pratique. Dans la chanson Revolution number one, il est répété à dix reprises « number 9 ». Quand ce morceau est écouté à l’envers, des paroles faisant implicitement référence à la crucifixion de Notre Seigneur, sont prononcées : « Turn me on, dead me » (excite-moi sexuellement homme mort). Dans Another one bite the dust, le groupe Queen prononce à quatre reprises ce titre. En sens inverse, nous entendons « Start to smoke marijuana » (commence à fumer de la marijuana). Dans I am slave for you de Britney Spears, à l’envers cela donne : « te quieto, te quieto, Satana, Satana, mi dulce dulce fruto » (Je t’aime Satan, mon fruit très doux). Dans Nunca te hare llorar des Back Street Boys, l’enregistrement à l’envers dit de crucifier Jésus et de se consacrer à Lucifer. Le chanteur italien Zucchero, dans Miserere, les paroles inversées de « A volte la migliore musica è il silenzio », produisent « Hashis, eroina ». Les groupes et chanteurs Las Ketchup, L5, Shakera, Jennifer Lopez, au succès aussi rapide qu’éphémère, ne cachent pas leur attirance pour Satan. Est-ce un hasard ?
Hesekiel Ben Aaron, troisième homme de l’Eglise de Satan, converti au christianisme, confirme cette sombre réalité. En 1985, il explique au journal New Solidarity que de nombreux groupes de Heavy Metal très célèbres comme Black Sabbath, The Blue Oyster Cult, The Who, Ozzy Osbourne adhèrent à la secte.
Laurent Glauzy http://www.contre-info.com
Article tiré de l’Atlas de géopolitique révisée, tome I.Laurent Glauzy est aussi l’auteur de :
Illuminati. « De l’industrie du Rock à Walt Disney : les arcanes du satanisme ».
Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale
Atlas de géopolitique révisée, tome II
Chine, l’empire de la barbarie
Extra-terrestres, les messagers du New-Age
Le mystère de la race des géantsLien permanent Catégories : actualité, culture et histoire, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire -
LE 26 MAI, 1er jour de LA LIBÉRATION DU PAYS RÉEL
Une bonne nouvelle, tout de même : chaque jour davantage, la lucidité gagne le pays réel. Pour preuve ? Cette récente étude du Pew Research Center, un centre d’études états-unien, réalisée entre le 2 et le 27 mars dans huit pays européens — Allemagne, France, Espagne, Italie, Grèce, Pologne, République tchèque et Royaume-Uni.
Cette étude doit tout de même refléter quelque peu la vérité puisque, au grand dam de nos gouvernants et des media officiels, elle indique que, désormais, une majorité de Français n’a plus confiance dans le projet européen. C’est même en France que la chute est la plus sévère. Alors qu’en 2012, dans la même enquête, 60 % de nos compatriotes se déclaraient encore favorables à l’Union européenne, douze mois plus tard, ils ne sont plus que 41 % : une baisse de dix-neuf points ! Même la confiance légendaire des Allemands dans une Union européenne qu’ils perçoivent comme une étape vers la reconstitution d’un grand empire sous hégémonie germanique s’érode lentement. S’ils sont encore 60 % à lui faire confiance, ils étaient 68 % en 2012 — une baisse qui traduit sans aucun doute la crainte des Allemands devant le fardeau apparemment sans fin des pays du sud. Toutefois, « aucun pays européen ne s’est aussi vite découragé et désillusionné que la France », commente le centre d’études. Seuls les Tchèques et les Grecs sont encore plus pessimistes.
Certes, c’est la situation économique catastrophique de la zone euro, à laquelle appartient la France, qui est la raison principale de cette défiance, une zone qui détient le record mondial du chômage et qui ne profite qu’à une Allemagne ayant su conserver son industrie aux dépens de ses partenaires qui lui ont financé le coût de sa réunification — Angela Merkel peut faire la leçon aux pays européens en difficulté : ayant passé sa jeunesse en Allemagne de l’Est, elle est la première à savoir que, sans les sacrifices de ses partenaires, jamais la RFA de l’époque n’aurait pu absorber une RDA en faillite.
On comprend que, dans ces conditions, 75 % des Allemands jugent « bonnes » leurs conditions économiques, contre 63 % en 2007, mais ce sont les seuls à être aussi optimistes ! « L’effort mené au cours du dernier demi-siècle pour créer une Europe plus unie est désormais la principale victime de la crise de l’euro. Le projet européen est désormais discrédité dans la plus grande partie de l’Europe », jugent les auteurs de l’étude. Aussi la confiance des Européens dans leurs différents pays légaux est-elle en chute libre — c’est particulièrement vrai pour les dirigeants français, Merkel étant la seule à conserver du crédit auprès de ses compatriotes.
Doit-on dès lors s’étonner que l’euro reste relativement populaire, puisque 60 % des sondés veulent conserver la monnaie unique, le soutien semblant même grandir en Italie et en Espagne, plus gravement touchées par la crise encore que la France ? Evidemment non, et on touche là à un phénomène que Maurras a su détecter très tôt en faisant remarquer que le suffrage universel est naturellement conservateur : autant dire qu’il ne craint rien tant que l’aventure ! Or quitter l’euro, ne serait-ce pas, pour ces pays, l’aveu définitif de leur échec à faire partie des pays qui comptent dans le monde, tant la propagande, depuis le traité de Maëstricht, c’est-à-dire depuis plus de vingt ans, a martelé que la monnaie unique était l’horizon indépassable de notre réussite mondiale ? Du reste, les mêmes qui avouent aujourd’hui leur défiance à l’encontre de l’Europe institutionnelle, et ce à juste titre, , si on le leur demandait, affirmeraient vouloir toujours rester au sein d’une Union au projet de laquelle ils ne croient plus. Ainsi le veut la nature d’une « opinion publique » tiraillée entre ce qu’il reste en elle du bon sens du pays réel et la soumission à la propagande distillée à longueur d’année sur toutes les antennes par les chiens de garde d’un pays légal qui a tous les moyens, ...ou presque, car il faut désormais compter, c’est vrai, avec internet et les réseaux sociaux, comme l’apprennent chaque jour à leurs dépens les membres d’un gouvernement désormais méprisés des Français et légitimement traqués par ceux qui défendent la famille. Toutefois, exiger de but en blanc la sortie de l’euro ou même un simple référendum sur la sortie de l’Union européenne sont, sur le plan électoral, de grossières erreurs tactiques : si la sortie de la monnaie unique est une nécessité autant économique que symbolique, si, à terme, une renégociation radicale des traités européens, avec, en cas de refus de certains de nos partenaires, une possible sortie de l’Union, se révèle pour la France un impératif pour recouvrer sa souveraineté, en revanche, en faire des enjeux électoraux, c’est courir à l’échec. L’annonce d’un traitement de choc provoque souvent le rejet du malade, surtout lorsque les symptômes sont encore supportables — c’est la raison d’être du traitement social du chômage — et que des oligarques apatrides lui ont appris depuis des décennies à chérir les causes de ses maux.
Que faire alors ? Poursuivre avec une détermination toujours plus grande le travail d’explication auprès de nos compatriotes — nous laissons aux europhiles l’indigne « pédagogie », signe de leur volonté d’infantiliser les peuples. Que, dans le cerveaux des Français, les murs de la prison Europe se fissurent, c’est une excellente nouvelle. A nous de faire en sorte que ces fissures deviennent des failles béantes. Mais il convient aussi d’accompagner tous les autres mouvements de refus. Car si l’Europe est la cause principale de nos malheurs, même, et peut-être surtout, sur le plans sociétal et idéologique, toutefois, elle ne sera pas seule à provoquer la colère définitive des Français contre un régime qui a perdu leur confiance. Le grand mouvement, né à l’automne dernier, et que ne comprennent ni une gauche rendue au libéralisme mais idéologiquement rance, ni une droite sans valeurs, est historiquement inouï en ce qu’il est le mouvement de fond des familles françaises, qu’il exprime l’instinct de survie d’un pays réel qui serait atteint dans son intégrité si triomphait le grand n’importe quoi anthropologique du mariage pour tous ou d’un quelconque CUC — quel acronyme hideux ! — et, avec, la marchandisation de l’être humain. Le social et l’anthropologique sont, aujourd’hui, tous deux convoqués par une idéologie de mort qui n’a jamais été aussi près d’imposer son empire. Cela, non pas l’ « opinion publique » de nos démocraties en triple faillite économique, politique et philosophique, mais l’intelligence naturelle de chaque père, de chaque mère, de chaque jeune, le comprend. C’est pourquoi le 26 mai prochain, le peuple de France devra descendre massivement dans la rue et crier à un pays légal autiste, à ceux qui sont installés aujourd’hui dans les ors de la république comme à ceux, tout aussi sourds, qui piaffent d’impatience de les remplacer, sa volonté d’un changement radical. En vue d’y procéder le plus rapidement possible. Une lutte à mort est engagée entre les peuples et l’hyperclasse mondiale dont la tentative hégémonique repose sur le mensonge démocratique. Mais le pays légal est désormais nu aux yeux du pays réel : pour la première fois depuis cinquante ans, les Français se rendent compte qu’il n’a plus rien à leur offrir. Pour éviter le triomphe du pire des pires, qu’il n’est pas totalement déraisonnable d’envisager, ne laissons pas passer la chance historique qui s’offre à nous.
François Marcilhac - L’AF N° 2863