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lobby - Page 2432

  • La monnaie et le social Clientélisme

    Commençons par deux petits rappels dans les acquis :
    
Le Social Clientélisme est ce régime politique qui se maintient au pouvoir en achetant les voix des électeurs grâce à des emprunts qui seront remboursés par leurs enfants ou leurs petits- enfants. Il ne s’agit en aucune façon d’un régime démocratique puisque la Démocratie se définit par le vote des impôts et que nos enfants ou petits enfants qui ne sont pas encore nés et ne peuvent donc certainement pas voter sur des prélèvements dont ils ne sauraient être l’objet. (Pour de plus amples explications, voir « l’Etat est mort vive l’état » François Bourin éditeur Nov 2010).
Rip Van Winkle , est cet homme qui partit un beau jour d’été 1810 de chez lui dans l’Etat de New-York, s’endormit à l’ombre d’un arbre et se réveilla… trente ans après pour trouver son épouse décédée, ce qui ne le chagrina guère car elle était fort désagréable, mais ce qui lui permit de finir ses jours tranquillement chez sa fille qui ne crut jamais trop à son histoire….


    Ex1=Imaginons que notre Rip Van Winkle se soit endormi en France en 1789 (et non pas aux USA en 1810) et qu’il se soit réveillé en 1820. Plus rien de ce qui faisait le Royaume de France n’existait, la Révolution Française étant passée par là. Et donc il aurait eu bien du mal à s’adapter

    

Ex2=Imaginons que notre Rip se soit endormi plutôt en 1889, quelque part en Europe. S’il se réveille en 1920, alors là, le monde a vraiment changé. L’Empire Austro Hongrois n’existe plus, la Russie s’est transformée en Union Soviétique, le Japon est la première puissance Asiatique, les USA sont en train de devenir la première puissance industrielle, l’Allemagne en pleine déconfiture est ruinée et est devenue une République, la Pologne est de retour…



    Ex3=Enfin, supposons que notre héros se soit endormi cette fois en 1989.Nous ne sommes pas au bout de son sommeil, mais déjà l’Union Soviétique a disparu, la Chine est devenue capitaliste, l’Allemagne s’est réunifiée, la Tchequo-Slovaquie n’existe plus, la Lituanie est redevenue un pays indépendant avec les autres pays Baltes, le Moyen Orient est en plein bouleversement, les monnaies nationales ont disparu en Europe un peu partout et la moitié de l’Europe, celle du Sud, est en faillite .



    En fait, il semble bien que la durée de vie de la plupart des institutions humaines depuis l’émergence du capitalisme et de la Révolution Industrielle soit d’environ 70 ans. Au bout de 70 ans, les Institutions deviennent tellement rigides et inflexibles qu’il n’y a pas d’autre solution que leurs disparitions, en général dans des convulsions extraordinaires. Et ici, je vais me livrer à une petite analyse sociologique, tout à fait Marxiste

    

Pour Marx, l’infrastructure économique détermine toujours la superstructure politique. Par la, il veut dire que le mode de production génère à terme une structure politique qui lui est favorable. Notre organisation politique actuelle vient de la Révolution Industrielle qui organisait les activités humaines en immenses rassemblements structurés en forme de « pyramides”. Au sommet « le chef » donnant des « ordres » à sa hiérarchie, laquelle les fait descendre vers le bas et rien ne remonte du bas vers le haut. C’est le mode organisationnel des « Konzerns » ou des puissants Trusts Américains ou Anglais et bien sur des Parti Communiste ou Nazi tant le modèle politique se mit à calquer cette forme d’organisation

    

Le modèle précédent (celui de la fin du XVIII) était fondé sur la possession de la terre par l’aristocratie menant à la domination de cette dernière dans l’appareil politique et il fut bien entendu détruit par la Révolution Industrielle, pour laisser la place au suivant, le modèle hiérarchique. Lorsque le système économique se « paye » un système politique devenu obsolescent, cela s’appelle une Révolution et de nombreuses structures que chacun croyait immortelles ( ie: la Royauté, l’Union Soviétique) disparaissent. Et bien, la même chose est en train de se passer.



    Le capitalisme est en train de changer à toute allure.



    La structure pyramidale d’autrefois, ou la valeur ajoutée était créée par la mise en face de capitaux et de populations immenses est en train d’être remplacée par un système ou la valeur ajoutée est créée par l’invention. L’inventeur remplace le manager, le commando, les lourds escadrons blindés, la Démocratie directe le Parti Unique.



    Les nouvelles structures économiques sont « plates » très flexibles, mobiles géographiquement, et très, très difficiles à taxer, au contraire des grandes structures pyramidales d’autrefois. Et pourtant nous continuons à voir nos systèmes politiques organisés sous forme de pyramides gigantesques qui n’arrivent plus à se financer puisque la matière fiscale s’est organisée pour leur échapper. Il y a donc une contradiction gigantesque entre l’organisation de la Politique et les nouvelles structures économiques et nous allons donc avoir révolution politique sur révolution politique pour que la politique s’adapte à nouveau à l’économie. Et tout cela est déjà fort visible… (Voir Union Soviétique, Chine, et les déboires actuels de nos finances publiques)

    

La grande affaire des années qui viennent sera donc : comment allons nous nous débarrasser de ces dinosaures étatiques alors même qu’une majorité de la population vit à leurs crochets et continuent à voter pour le maintien de ces structures obsolètes puisque ces monstres ne peuvent plus imposer une valeur ajoutée qui est devenue complètement immatérielle et qui leur échappe?

    

Dans ma grande naïveté, il y a deux ou trois ans, quand j’ai écrit « l’Etat est mort, vive l’état, » je pensais que les contraintes liées à l’endettement allaient forcer ces pays à reformer leurs Etats, un peu comme la Suède depuis 1992.

    

Erreur funeste. Les politiques ont tout simplement pris le contrôle des banques centrales et ces banques centrales ont reçu l’ordre de financer les dettes étatiques en achetant directement les obligations émises par les gouvernements. Plus de différence entre les banques centrales et le Trésor Public, telle est la nouvelle donne. Les Etats ont nationalisé la monnaie.

    

Je n’ai aucune idée de ce que cela va nous amener à terme, inflation, déflation, protectionnisme, fin de la globalisation, appauvrissement général, ou que sais je d’autre ? De cela, personne n’a la moindre idée, et je préfère donc rentrer dans cette période en détenant des actifs émis par le futurs vainqueurs c’est à dire des actions des « sociétés de la connaissance » plutôt qu’en détenant des actifs qui n’ont aucune contre valeur dans une amélioration du système productif et donc ne « valent » rien, à terme.

    
Dans la Révolution précédente, il valait mieux être « long » les grands industriels et « short » l’aristocratie terrienne ».Aujourd’hui, à mon humble avis, il vaut mieux être « long » la connaissance et « short » le Social Clientélisme. Ou pour faire simple: Il faut vendre de la monnaie et acheter du capital (productif).
    
C.G. http://libeco.net

  • Guerre scolaire ou pas guerre scolaire ?

    La question du mariage homosexuel peut-elle ranimer les vieilles querelles républicaines visant à supprimer l'enseignement libre, querelles qui avaient pris fin en 1984 après deux manifestations monstres, à Versailles et à Paris ? Le problème n'est pas là. La vraie question, c'est : mais comment fonctionne notre démocratie ?
    « Ma responsabilité de ministre, vient de déclarer Vincent Peillon au titre de l'Education nationale, c'est de ne pas importer dans l’École des débats qui doivent avoir lieu dans la société ». Pour lui, manifestement l'Ecole est un sanctuaire. Rien ne doit filtrer de Llextérieur ! L’École (le prof qui prépare son cours) ne doit pas s'intéresser à ce qui fait vivre, à ce qui émeut, à ce qui inquiète les gens autour d'elle...
    Curieuse conception du Service public. Des personnes bien intentionnées décident alors de rafraîchir la mémoire du ministre et l'on ressort la visite dans une classe de Najat Vallot Belkacem, porte parole du gouvernement... C'était dans un collège du Loiret le 15 octobre dernier, une visite durant laquelle la parole de la Porte parole dans le sanctuaire laïc avait été tout sauf neutre : « Pourra-t-on marier des gens qui s'aiment même s'ils sont de même sexe ? » avait-elle demandé le plus sérieusement du monde. Réponse de la ministre de la condition féminine et porte parole du Gouvernement : « Ca va permettre plus d'épanouissement, plus d'égalité, plus de liberté dans la société. C'est une avancée ». Et dans une autre vidéo plus développée, elle expliquait même doctement : « C'est la même chose d'être hétéro et d'être homo. Non ce n'est pas extraordinaire ».
    En France, quand il y a le feu tout s'enflamme
    Rassurez-vous pourtant, ce n'est pas elle qui est visée par la sortie vertueuse de l'agrégé Peillon. C'est un certain Eric de La Barre, secrétaire général de l'enseignement catholique depuis 2007, qui fait les frais de la colère ministérielle. Motif : il a osé appeler les chefs d'établissement de l'enseignement catholique a « organiser des débats » sur ce grave sujet de société qu'est le « mariage pour tous ». Résultat : c'est sa propre circulaire qui « fait débat » au 20 heures. Sans doute, l’État voulait-il « faire un exemple ». Le président François Hollande a été jusqu'à prêté sa voix au ministre de l’Éducation nationale contre Eric de La Barre, malgré la découverte concomitante de l'intervention hautement politique et pas très neutre de Najat Belkacem, sa propre Porte-parole. Bref, comme d'habitude en France quand il y a le feu tout s'enflamme.
    Au jour d'aujourd'hui, il est bien difficile de dire si ces gesticulations diverses auront des conséquences. Eric de La Barre a déclaré en conférence de presse qu'il ne se reconnaissait « même pas une maladresse », car le rôle de l’École est d’encadrer un certain nombre de débats de société. Quand au cardinal Vingt-Trois, il est sortI tout sourire de la cérémonie des vœux à l’Élysée en déclarant que la Guerre scolaire, non vraiment il ne voyait pas. Une fois de plus on pourra dire sans doute : Beaucoup de bruit pour rien. Mais l'anecdote reste révélatrice du fonctionnement, point très démocratique, de notre chère République. C'est en cela qu'elle nous intéresse. Selon que vous vous inscrivez ou non je ne dis pas dans l'expression majoritaire mais dans l'idéologie dominante, vous avez droit ou non à la parole. Le droit qui a été contesté n'est pas celui de madame Belkacem à parler, à propos du mariage homosexuel d'épanouissement de la liberté et de l'égalité. Non : le droit qui a été contesté est celui d'Eric de La Barre a... en appeler au débat. L'appel au débat n'est pas autorisé chez ceux qui n'ont pas la position conforme la devise liberté, égalité... Au fond, de manière plus ou moins consciente de la part de nos élus on retrouve le vieux mot d'ordre révolutionnaire « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté » Il ne faut jamais oublier que la République, historiquement, ce n'est pas l'expression d’une majorité électorale de la population. C'est la manifestation, conformément à l'idéologie du Contrat social de Rousseau (1763) de l’unanimité présumée des citoyens en faveur de l'individualisme le plus total possible.
    Joël Prieur monde & vie 15 janvier 2013

  • Twitter : retour aux z’heures-les-plus-sombres-de notre-histoire…

    imgscan-contrepoints-2224-racisme-anti-blanc.jpgAprès diffusion, en octobre, de tweets jugés antisémites, le réseau social Twitter avait été assigné en référé par l’Union des étudiants juifs de France et plusieurs autres associations. Hé bien, le Tribunal de grande instance de Paris vient d’ordonner hier à Twitter de communiquer les données permettant d’identifier les auteurs de messages racistes ou antisémites !

    En un mot, la justice française incite à la délation, mieux, elle l’ordonne ! Le bien commun est-il en cause ? Non, évidemment. Cette mesure est donc frappée d’un caractère exclusivement idéologique qui la discrédite totalement : la loi est détournée, confisquée à des fins politiques !

    Car tout le monde sait parfaitement que l’accusation de racisme est un élément de langage qui vise aujourd’hui à disqualifier un adversaire politique. Ni plus, ni moins. A telle enseigne que ce mot ne recouvre plus aucune réalité sérieuse, tant il a été galvaudé : sont ainsi racistes, par exemple, ceux qui s’opposent à l’islam et à la structure philosophico-politique qu’il incarne. Sauf que l’islam n’est pas une race, précisément. Ceux qui s’opposent au Christianisme et à son enseignement sont-il également racistes ? Porter un jugement de valeur sur la portée d’une religion, d’une philosophie ou d’une politique sociétale n’a évidemment aucune mesure avec un comportement raciste.

    Disons-le, le racisme est sans doute aujourd’hui, dans le vocabulaire français, le concept le plus confus qui soit : il n’est donc pas étonnant qu’il soit l’instrument de toutes les manipulations intellectuelles et partisanes. Pour noyer son chien, ne faut-il pas d’abord l’accuser de la rage ?

    Car le racisme, s’il doit être défini sérieusement, est une doctrine qui introduit une hiérarchie entre les races : certaines seraient alors – ontologiquement ?- supérieures à d’autres. Position qui n’est tenu par aucun courant de nos jours.

    Nous revoilà donc revenus aux heures les plus sombres des procès staliniens : car c’est seulement à l’aune de la vulgate médiatico-politique que seront déterminés les comportements racistes. Qui donc ne consent pas à épouser les vues dictées par la doxa sera systématiquement soupçonné de dérapage. Odieuse arrogance d’un milieu qui, quoique concentrant tous les pouvoirs, ne représente pourtant guère plus que lui-même !

    JdR http://www.contre-info.com/

  • Une avancée du fiscalisme arbitraire en Europe

     

    130124

    On fait grand bruit autour de la subtile proposition de David Cameron développée le 23 janvier. En fin diplomate le premier ministre de Sa Gracieuse Majesté n'a pas manqué d'assortir son propos de conditions suspensives et autres clauses qui rendent totalement hypothétique la sortie négociée du Royaume-Uni hors de l'Union européenne. Personne ne peut ignorer que cette démarche, toute virtuelle, tend à récupérer au profit des conservateurs les voix du parti "Ukip", de Nigel Farage pour les élections de 2015. Ceci n'empêchera pas de constater en 2016 ou 2017 que, décidément la majorité des Anglais et les Écossais préfèrent demeurer dans l'Europe. En attendant, en 2014, les Continentaux, pour éviter le pire, auront bien sûr consenti de nouvelles concessions aux revendications londoniennes. Bien joué David.

    Le coq gaulois a réagi selon son habitude. On lui attribue pour cri national "cocorico" ; en vérité l'animal fait surtout "vroum-vroum", ce que confirment le petit sondage du Figaro et les 367 réactions de lecteurs. Nous le plaçons donc en médaillon de la présente chronique.

    Plutôt que de persister à mesurer, pour la millième fois depuis mille ans, la portée du bras de mer séparant le comté d'Artois du duché de Kent, on gagnerait à observer le contexte, dans lequel se place cette déclaration.

    Les institutions communautaires viennent en effet d'adopter le projet de TTF, taxe sur les transactions financières.

    Cinq pays s'y opposaient, parmi lesquels la Suède et, bien sûr, l'Angleterre. Cependant, ce 22 janvier le conseil des ministres des Finances, dernière instance consultée, a entériné le principe de cette mise en place. À ce projet adhèrent les gouvernements de 11 États-Membres sur 27.

    Les traités européens permettent de telles décisions fractionnelles. Il s'agira cependant de la première des "coopérations renforcées" dans le domaine névralgique de la fiscalité.

    Soulignons d'abord que cet impôt, au départ tout petit, est appelé à grandir selon une règle bien connue. D'origine gauchiste, il était proposé par Paris depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est applaudi par 70 associations. Le grand cerveau du parti socialiste Benoît Hamon, ministre de l'Économie solidaire, a le salue pompeusement comme "une taxe qui commence à dessiner ce qu'est le monde post-Lehman Brothers".

    Remarquons à peine que les détails techniques de sa mise en œuvre restent problématiques. Un journal économique parisien habituellement sérieux, indiquait au gré du même petit article consacré à cette nouvelle, à deux endroits différents :
    - "la taxe Tobin rapporterait 20 milliards par an"
    - et plus loin : "la TTF, selon la façon dont elle est définie, pourrait rapporter plus de 10 milliards d'euros".(1)⇓

    Deux appellations, deux chiffrages en un seul texte. Ça promet.

    Faut-il rappeler, une fois encore, que la novlangue fiscaliste envisage toujours ce qu'un impôt "rapporte" au Trésor Public, et non ce qu'il coûte aux contribuables et à l'économie ?

    Au sein des institutions mesurons surtout que la synarchie européenne vient de franchir, assez discrètement, un pas considérable. Elle a obtenu, sur un point de détail, sur un projet soutenu par tous les utopistes de la Planète, sur un dossier encore très vague, une avancée majeure acceptée par les représentants des États.

    On a liquidé sans trop de bruit, en effet, en ce début de semaine le principe d'unanimité en matière fiscale.

    Les commentateurs agréés ne semblent s'intéresser en ce moment qu'aux relations personnelles entre M. Hollande et Mme Merkel. On nous les dit en voie d'amélioration, à en croire "Gala" et "Point de vue images du Monde". Pendant ce temps, comme dans le célèbre "Gilles" de Watteau, le fond de la scène se transforme. Les deux gros États désignés pour les pivots du système continuent leurs ébats d'hippopotames légers pour la joie des spectateurs, tandis que la réalité met en place tranquillement sa grosse machinerie.

    Ainsi l'année 2012 a vu la prise d'une partie du pouvoir par Mario Draghi, forçant les statuts de la Banque centrale européenne.

    L'année 2013 commence avec l'avènement du social démocrate néerlandais Dijsselbloem, peu connu dans son propre pays, à la tête d'une Eurozone en rupture désormais affirmée avec les principes constitutifs de l'Union monétaire.

    Et tout le monde semble applaudir à l'avènement pratique de ces pouvoirs désormais arbitraires, sans que personne ne puisse nous dire où nous mènent tous ces habiles joueurs de flûte.

    JG Malliarakis  http://www.insolent.fr/

    Apostilles

    1. cf. Les Échos du 23 janvier. 
  • Minable : Hollande instrumentalise Florence Cassez contre les opposants au mariage gay !

    Tout est bon aux yeux de François Hollande pour ne pas donner leur juste place aux Français — ils étaient plus d’un million à manifester le dimanche 13 février à Paris — qui refusent la dénaturation du mariage et de la parenté. Il va jusqu’à instrumentaliser le retour de Florence Cassez !

    Merci au Salo Beige pour l’info

    L’habile timing de François Hollande

    Les porte-parole de La Manif pour Tous seront reçus vendredi 25 janvier à 18h30 par François Hollande.

    A 19h, ce dernier recevra Florence Cassez.

    Laquelle de ces deux rencontres fera le plus de bruit médiatique ?

     
  • - Zemmour : "L'Algérie est intouchable. Elle n'est plus la France, elle est plus que la France !"


    "La Chronique d'Eric Zemmour" : l'Algérie... par rtl-fr

  • QU’ILS ARRETENT DE NOUS POURRIR LA VIE !

    Ces thuriféraires de la Davos Goldman Sachs Idéologie (D.G.S.I) qui, de bulles en krachs et de crises en récessions, appauvrissent les peuples et se remplissent les poches. Du 23 au 27 janvier, ces « maîtres du monde » vont se réunir et actualiser leur politique de domination de notre planète et de partage des intérêts réciproques.

    Ces charlatans des droits-de-l’hommiste qui à longueur de journée nous gavent des heurts et malheurs des « sans-papiers », ces hors-la-loi qui encombrent nos rues et gangrènent notre quotidien.

    Ces médiocres élèves qui nous imposent un devoir de mémoire à géométrie variable, véritable gruyère qui ignore les 100 millions de victimes du marxisme putride, de Lénine à Mugabe ou de Mao à Castro.

    Ces adorateurs de la repentance unilatérale et exclusivement anticoloniale, nous inondent de leurs mensonges, pendant que les fils de l’Empire du Milieu dévastent aujourd’hui le continent africain.

    Ces eurocrates arrogants qui pondent des directives ineptes et nous obligent à proclamer des lois qui condamnent nos industries, au prétexte d’une « économie durable », d’un commerce « équitable », du principe de « précaution » ou encore de taxes sur la pollution. Dans la guerre commerciale que nous connaissons depuis 40 ans, cela signifie que nos gouvernements exigent des chefs d’entreprises qu’ils s’engagent dans une course de fond, mais …handicapés d’un sac de 50kgs sur le dos : on nage en plein délire !

    Ces gouvernants et ces pourriticards qui ignorent nos maux permanents (chômage, insécurité, immigration sauvage, rage taxatrice), mais nous étranglent d’impôts nouveaux afin de pouvoir continuer à gaspiller les deniers publics en entretenant leurs utopies multiculturelles, leurs bataillons de copains et de coquins à tous les échelons (communes, départements, régions, état, Europe) et surtout les privilèges qui s’y rapportent…

    Ces minorités perverties et décadentes qui réclament un « mariage pour tous » contre nature, alors qu’une foule de chômeurs attend « l’emploi pour tous ».

    Ces lobbies agissant contre notre identité, ennemis de notre civilisation et fossoyeurs de la culture gréco-romaine.

    Ces fraudeurs viscéraux et invétérés -réels voleurs de leurs concitoyens- qui profitent des avantages de l’Etat-Providence (écoles, hôpitaux, transports publics, pompiers, justice ou police), sans vouloir en payer le coût !

    Ces gourous nauséabonds qui régissent la « Pensée Unique », délivrent des certificats de « Politiquement Correct » et donnent des leçons de démocrasse à la terre entière.

    Ces laquais du Nouvel Ordre Mondial qui sèment le chaos et la destruction à travers le monde et s’érigent en prophètes pour désigner le Bien et le Mal, les Gentils et les Méchants comme on l’a vu en Yougoslavie, en Irak, en Afghanistan, en Lybie, en Egypte, et en Tunisie hier, ou à Bahreïn, au Yémen, en Syrie et au Mali maintenant …avant l’Iran demain ?

    Ces khmers verts qui nous imposent leurs dogmes de la « mobilité urbaine» fondée sur le vélo pour tous et la voiture pour personne. Ces écolos-nantis nichant dans les beaux quartiers voudraient nous forcer à l’achat d’une électricité « verte » dont le bilan carbone et le coût du KWh sont trois fois plus élevés que ceux du nucléaire ! Et ne parlons pas des impostures du réchauffement climatique, du trou d’ozone, ou des biocarburants…

    Ces ayatollahs du mondialisme « tous azimuts » qui ont squatté les organismes internationaux et conduisent l’Europe vers un cimetière industriel avec une vue imprenable sur un désert économique.

    Ces centaines de milliers de parasites sociaux -véritables sangsues financières-, qui vivent aux crochets des travailleurs (sans aucune contrepartie), alors qu’ils sont en majorité sains de corps et d’esprit, mais qui rouspètent en permanence, parce qu’ils veulent encore plus, toujours plus d’allocations ou d’aides diverses.

    Ces racailles qui attaquent les plus faibles de notre société et dont la mise hors d’état de nuire de 6.000 d’entre eux ramènerait la paix dans les cités et le silence dans les rangs.

    Cette pègre immigrée responsable de la majorité des délits et des crimes dont le rapatriement immédiat réduirait de 80% la rubrique « faits divers » et viderait les prisons.

    Ces banksters et leurs complices au Pouvoir, seuls responsables de la crise profonde que nous vivons et dont la place est derrière les barreaux, à l’exemple de 2 banquiers islandais condamnés en décembre à la prison ferme.

    Ces utopistes enragés qui stigmatisent en permanence leurs opposants populistes ou nationalistes aux prétextes qu’ils seraient « repliés sur eux-mêmes », qu’ils auraient « peur de l’autre », qu’ils seraient « égoïstes » et « intolérants » et qu’ils manqueraient de « solidarité » en désignant les immigrés comme « responsables de tous nos maux ».

    Que ces émules de Vychinski prennent garde et ne soient pas entrainés dans une véritable « tornade blanche » qui nettoierait les écuries du Régime !

    Ces éternels bobos-socialauds-marxistes qui nous menacent avec leur terrorisme intellectuel et pourchassent les esprits rebelles de leur Police de la Pensée.

    Ces fanatiques du laïcisme à tous les étages, qui ont vidé les églises pour remplir les mosquées, s’étonnent maintenant de l’islamisation triomphante qui s’incruste partout dans notre société en nous imposant ses modes de vie et ses croyances médiévales.

    Pieter Kerstens http://fr.altermedia.info

  • Selon Arte, la catastrophe du barrage de Fréjus serait un attentat du FLN

    La chaîne de télévision Arte a fait une révélation surprenante, passée inaperçue, dans un documentaire allemand diffusé mardi à 22 heures. Une information reprise jeudi par Emmanuel Berretta sur son blog du Point. Selon les services secrets d’Allemagne de l’Ouest, la rupture du barrage de Malpasset, qui a fait plus de quatre cents morts à Fréjus, le 9 décembre 1959, aurait été provoquée par un attentat du FLN.

    La version officielle, établie en France en 1971 par le Conseil d’Etat, privilégie la thèse de l’accident. Une faille située à la base du barrage, une roche pas assez homogène… (…)

    Mais d’après ce documentaire – réalisé par la chaîne régionale allemande WDR, et qui se fonde sur des archives des services secrets allemands, de la RFA et de la Stasi –, des activistes algériens du Front de libération nationale (FLN) seraient à l’origine de cet accident, un attentat, donc. Des historiens allemands ont trouvé des documents prouvant que l’agent ouest-allemand Richard Christmann aurait prévenu sa hiérarchie sur le lieu et la date de cet attentat, mais que les services du renseignement allemands auraient décidé ne pas prévenir leurs homologues français. (…)

    Le Monde

    La catastrophe du barrage de Malpasset ( vidéo) :

    La catastrophe a fait 423 victimes. Par ailleurs, la voie ferrée est détruite, 50 fermes sont soufflées, 1000 moutons sont morts et 80.000 hectolitres de vin sont perdus.

    Transenprovence

    http://www.fdesouche.com/

  • Trafic d'organes au Kosovo : l'UE entrave l'enquête (Lavrov)

    L'enquête sur le trafic d'organes au Kosovo piétine en raison de l'approche "non constructive" adoptée par l'Union européenne dans ce dossier, a déclaré mercredi à Moscou le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.

    "Nous nous heurtons à la position non constructive de l'UE qui a usurpé l'enquête et empêche son bon déroulement", a indiqué M.Lavrov.

    Un scandale a éclaté en décembre 2010 après la publication d'un rapport dénonçant un trafic d'organes humains au Kosovo. Le rapport a été rédigé pour l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE) par le rapporteur suisse Dick Marty.

    La préparation de ce document avait débuté en 2008, suite à la parution du livre de Carla del Ponte, ancienne procureure du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY), intitulé "La traque, les criminels de guerre et moi". L'ouvrage évoquait le sort d'environ 300 Serbes kosovars enlevés en 1999 et transportés en Albanie pour subir des prélèvements d'organes.

    Le rapport de Dick Marty accusait des personnes proches du premier ministre kosovar Hashim Thaçi d'être impliquées dans des meurtres commandités, des enlèvements et le trafic d'organes humains.

    Ces crimes font actuellement l'objet d'enquêtes menées par les autorités serbes et la Mission de l'Union européenne au Kosovo.

    Source du texte : RIA NOVOSTI

    http://www.theatrum-belli.com/

  • L’Angleterre bouscule le projet UE

    Le premier ministre britannique David Cameron a proposé hier la tenue d’un référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’UE d’ici 2017, s’il est réélu premier ministre en 2015 : « Ce sera « un référendum sur une question claire: in/out » (« dedans ou dehors ») et il interviendra dans la première moitié de la prochaine législature qui commence en 2015 », a dit le chef du gouvernement.

    « Quand nous aurons négocié un nouvel accord » sur les relations de la Grande-Bretagne avec l’UE, « nous offrirons aux Britanniques un référendum avec un choix très simple: rester au sein de l’UE sur cette nouvelle base ou en sortir complètement. Ce sera un référendum sur l’appartenance ou non à l’UE », a déclaré Cameron lors de ce discours-clé sur l’Europe.

    Ceci est objectivement une bonne nouvelle : le simple fait de mettre en avant cette option va relancer un utile débat sur le bienfondé de la funeste entreprise européiste et les ardeurs mondialistes de certains en prennent un coup.

    Hollande, président de la Ripoublique française, n’a pas perdu de temps avec sa très « démocratique » déclaration : « il n’est pas possible de négocier l’Europe » ni d’utiliser une telle consultation pour « la diminuer ».

    http://www.contre-info.com/