C’est dans les plus petits détails que l’on voit les grands changements. Et cela ne vous a pas échappé, puisque vous avez plébiscité, cette semaine, le bel article de Charles-Henri d’Elloy sur la disparition des chaussures chics. « C’est la promotion de la vulgarité ! Et chacun fait "comme il lui plaît" car maintenant tout est permis, plus personne ne se retourne devant les cheveux verts, rouges ou même de plusieurs couleurs à la fois ! » remarque Maurice Joly. Alors, est-ce à cause de la mode ou du laisser-aller généralisé ? Sans doute un peu des deux, « tout cela va de pair avec la montée de la violence, l’abaissement du niveau scolaire, la dégradation générale des services publics » affirme Tureverbere. Du côté de Charpenay, il faut y voir une leçon visible de l’Histoire contemporaine : « Les soixante-huitards nous ont laissé une descendance à leur image. »
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Dans vos commentaires, cette semaine : « Les soixante-huitards nous ont laissé une descendance à leur image »
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Toulouse : la justice bloque l’expulsion de la centaine de migrants “mineurs” qui occupent l’université Paul Sabatier, pourtant des tests ont révélé que la grande majorité de ces “mineurs” sont en réalité majeurs
Le tribunal administratif de Toulouse a levé vendredi la mesure d’expulsion qu’il avait prononcée en décembre contre les jeunes migrants qui occupent depuis un mois une aile du bâtiment 4R3 sur le campus de l’université Paul Sabatier.
C’est “une victoire” pour la centaine de mineurs non-accompagnés qui occupent depuis mi-décembre une aile du bâtiment 4R3 de l’Université Paul Sabatier. Ce vendredi 13 janvier, le juge des référés du tribunal administratif de Toulouse a finalement levé la mesure d’expulsion qu’il avait ordonnée le 29 décembre.
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[L’invité] Fabien Bouglé : « Cette loi d’accélération des éoliennes est une loi scélérate »
Fabien Bouglé, conseiller municipal de Versailles, est depuis dix ans un lanceur d'alerte écologiste. Il est l'auteur de Éoliennes : la face noire de la transition écologique (Rocher, 2019). Son dernier ouvrage : Nucléaire, les vérités cachées (2021).
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[Point de vue] Énergie renouvelable : le droit à l’absurdité écologique
Courant 2011 et 2012, à l’abord de certaines installations éoliennes de l’Hérault, plusieurs cadavres de faucons, appelés crécerellettes, furent découverts. En 2014, puisque l’énergie renouvelable rapporte un peu quand même, certains préfets décidèrent de prescrire l’installation et la pose d’un système de détection et d’effarouchement des oiseaux, le fameux « DTBird™ ». Parce qu’en anglais, ça fait bien plus sérieux. Mais, malheur, le DTBird™ s’avère inefficace et les oiseaux non assez effarouchés se retrouvent empalés. On découvrit alors 28 faucons morts.
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Les saltimbanques de l’intolérance
La chronique de Philippe Randa
Le festival musical Les Déferlantes devant se tenir l’été prochain à Perpignan, les groupes Louise Attaque et Indochine dont la venue était programmée, ont immédiatement menacé de ne pas s’y rendre à cause du maire Rassemblement national Louis Alliot.
Les dirigeant des Déferlantes ont donc préféré plier et chercher un autre lieu dans les Pyrénées-Orientales.
Il aurait été intéressant de connaître – en l’absence de ces deux groupes et leur remplacement que l’on peut supposer assez facile par d’autres chanteurs, peut-être de moindre notoriété, mais qui auraient sans doute saisi l’opportunité de se produire à cette occasion – quelle aurait été la réaction du public.
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Un livre sur la franc-maçonnerie entraîne des menaces pour son auteur
Depuis qu’elle a publié au début du mois d’octobre un livre critique sur son expérience parmi la franc-maçonnerie, Isabelle Duquesnoy a déjà reçu près de 200 messages sur son téléphone mobile, sa messagerie électronique ou via Facebook. « Toujours anonymes, il s’agit aux deux tiers d’insultes ou de menaces, je suis souvent traitée de renégate, pour le tiers restant, des félicitations. »
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Coupe de gueule de Pascal Praud après l'attaque de la gare du Nord : "Pourquoi le 20h de France 2 n'a pas fait un titre sur l'attaque ? Un OQTF qui a tenté de tuer des personnes qui étaient dans la gare, ça vient percuter leur idéologie" (Vidéo)
Alors qu'il présentait un nouveau numéro de "L'heure des pros" sur CNews, Pascal Praud a poussé un coup de gueule contre France 2 et tout particulièrement contre le journal de 20h de la veille :
"Hier, le journal de TF1 a ouvert avec l'attaque survenue à la gare du Nord. France 2 n'a même pas fait un titre là-dessus, parce que ça ne correspond pas à leur idéologie. Un OQTF qui a tenté de tuer des personnes qui étaient dans la gare, ça vient percuter leur idéologie", a-t-il débuté, en colère.
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Métissage, une question de survie ? La ville de Saint-Herblain lance un débat qui fait polémique
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Zone à faibles émissions : l’écologie (encore) au détriment des plus modestes
Z.F.E. Trois lettres qui n’évoquent rien pour une grande majorité de Français mais qui risquent pourtant de bientôt restreindre leur mobilité. D’ici le 31 décembre 2024, les métropoles de plus de 150.000 habitants devront mettre en place des zones à faibles émissions mobilité (ZFE) interdisant la circulation aux véhicules anciens considérés comme polluants. Une mesure que le groupe Rassemblement national à l’Assemblée entend bien abroger à l’occasion de sa niche parlementaire, ce 12 janvier.
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Les journalistes défendent-ils réellement la liberté d’expression ou seulement lorsqu’ils sont personnellement concernés ?
par H16
Le 15 décembre dernier, Elon Musk décidait de suspendre temporairement une poignée de journalistes de sa plateforme, Twitter. Ceci a immédiatement déclenché une suite de réactions virulentes qui ont éclairé de façon crue les biais des médias, des institutions politiques et… de Wikipédia.
Pour ce milliardaire qui avait pourtant claironné son attachement à la liberté d’expression, il semble étonnant de le voir suspendre plusieurs journalistes de sa plateforme. Un peu de contexte explique pourtant assez bien sa réaction : disposant d’un avion privé dont les déplacements ne sont pas connus publiquement, Musk a en effet expliqué ne pas vouloir voir sa position et ses mouvements pistés par certains activistes présents notamment sur Twitter, estimant que ces informations relèvent de sa vie privée et, plus important encore, peuvent mettre sa vie ou celle de ses proches en danger.