Coup sur coup deux décisions de justice ont renforcé, dans une partie de l'opinion, le sentiment d'une clémence de la magistrature française envers les voyous et les criminels.
Le 14 avril, en effet, la Cour de cassation confirmait une décision d’irresponsabilité pénale concernant le meurtrier de Sarah Halimi. Cette innocente retraitée avait été torturée et défenestrée en 2017 par un drogué dont la bouffée délirante s'était investie sur l'appartenance juive de la victime.