Réunis en commission mercredi pour examiner le projet de loi sur le séparatisme, les sénateurs ont adopté pas moins de 28 amendements modifiant les dispositions concernant le portefeuille du ministre de l’Education. Parmi les plus importants ? Celui réclamant la suppression pure et simple du scandaleux article 21, qui porte gravement atteinte à la liberté d’instruction en famille pourtant reconnue et protégée par notre Constitution.
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Cas d’école. Les sénateurs défendent la liberté d’instruction en famille (Présent)
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Réunions interdites aux blancs : J-M Blanquer pense que « c’est raciste », Retailleau veut une condamnation de l’UNEF pour « provocation à la haine raciale » (MàJ)
Réunions non-mixtes à l'UNEF: pour Jean-Michel Blanquer (@jmblanquer) , "cela nous mène vers des choses qui ressemblent au fascisme".@BrunoRetailleau : "La présidente de l'#UNEF reconnait que son syndicat a fait des réunions où les blancs sont interdits : je demande au garde des Sceaux de mettre en oeuvre les moyens pour la condamner" #le79InterLien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, lobby 0 commentaire -
La politique mondiale de confinement au nom d’une pandémie, scénario “planifié” par la Fondation Rockefeller et Global Business Network
Et si le scénario d’une politique mondiale de confinement au nom de la lutte contre une pandémie avait été écrit ? Vision “complotiste” ? Regardons les faits.
Le journaliste d’investigation Harry Vox avait, en 2014, présenté dans une vidéo un document émanant de la Fondation Rockefeller. Ce rapport, disponible uniquement en anglais date de… 2010 et est intitulé Scenarios for the Future of Technology and International Development.
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Les ONG immigrationnistes devant la justice italienne, par Olivier Bault
Libérée au début de l’été 2019 sur ordre d’un juge italien marqué à gauche, la militante allemande d’extrême gauche Carola Rackete, ancien capitaine du Sea-Watch 3 qui avait forcé le passage vers le port de Lampedusa avec son chargement de « migrants », fait aujourd’hui partie des signataires d’un appel en faveur de l’ONG italienne Mediterranea Saving Humans. Celle-ci fait l’objet d’une enquête du parquet de Raguse, en Sicile, à propos de la prise en charge rémunérée (pour un montant total estimé à 125 000 euros) le 11 septembre 2020, en vue de leur transfert vers l’Italie, de 27 candidats à l’immigration illégale en Europe qui avaient été récupérés par le navire-citerne danois Maersk Etienne. Les signataires de l’appel protestent contre « l’attaque politico-judiciaire » en cours contre les ONG comme Mediterranea Saving Humans.
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L'avènement de l'ethno-socialisme (rediff)
Dr. Pierre Krebs
Genève, 20 Janvier, 2013
Quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie, disait Jacques Prévert. Et il clignait de l’œil. Mais notre peuple à qui on a désappris les valeurs essentielles de la vérité et les règles élémentaires de la liberté ne comprend même plus les clins d’oeil et il se laisse hacher menu, chaque matin, dans la machine-à-mentir du Système quand il ne se couche pas à plat ventre, le visage dans la poussière, devant les idoles en matière plastique de Mammon.
Que faire alors ? interroge l’homme révolté.
Et le sage de lui répondre : Traque le mensonge et laisse éclater la vérité sur la place publique! – Fort bien. Seulement, lorsque la vérité a été dite et les mensonges oubliés, il reste encore les menteurs, rétorque l’homme révolté.
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Stanislas Berton : La guerre invisible de l'Etat profond contre la France
« Nous voici arrivés à l’heure fatidique où ce qui se joue n’est rien de moins que le destin de la France et l’avenir de notre peuple ». Alors que confrontés à l’effondrement de leur pays, de plus en plus de Français se demandent « que faire ? », Stanislas Berton révèle le processus de destruction méthodique de la France et de son peuple par une minorité d’idéologues tout en proposant des solutions concrètes pour neutraliser leur influence, sauver notre pays et restaurer sa grandeur. « La France retrouvée », un livre fondateur pour reconstruire une France fière, une France forte. En pensées et en surtout en actes.
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CÉSAR 2021 : ON A TOUCHÉ LE FOND ?
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Rire contre le racisme : la rééducation par France Télévisions
On le sait, la présidente de France Télévisions a une dent contre les mâles blancs, supposés sexistes, anti-LGBTQI et, bien sûr, indécrottablement racistes. Et leurs femmes aussi, peut-être, puisqu’elles acceptent de partager le quotidien de ces monstres… Alors, cette semaine, grâce à nos impôts, Mme Ernotte a mis le paquet avec une programmation spéciale autour du racisme, en préambule de la Journée contre la discrimination raciale prévue le 21 mars et de la Semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme, du 21 au 28 mars. Les masochistes pouvaient donc choisir leur première séance de rééducation sur France 2, ce mardi soir, avec « Rire contre le racisme ».
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Le Cinéma français et le politiquement correct avec J-F Fonlupt, J-R Lombard et Charles Gave.
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Sur le site officiel de l'Action française : écologisme : un délire sociétal, l’éditorial de François Marcilhac.
Après l’adoption récente de la proposition de loi visant à renforcer la lutte contre la maltraitance animale, qui, entre bonnes intentions et délire antispéciste, aura pour conséquence d’affecter des secteurs entiers de l’économie (tourisme, élevage, commerce) (et d’après leurs auteurs, ce n’est qu’une première étape), la mairie écologiste de Strasbourg, dans une même logique antispéciste, se préoccupe davantage du sort bienveillant à réserver aux rats et aux punaises de lit que de santé publique, tandis que la mairie écologiste de Lyon, prétextant la crise sanitaire, impose aux enfants des menus sans viande.
Encore une fois les bobos, par leur politique, ciblent les classes populaires, celles qui vivent dans les taudis infestés de rats et de punaises, et qui ne peuvent pas acheter de la viande à leurs enfants, ou n’achètent que de la viande pour animaux, lorsque les supermarchés consentent encore à en vendre. Mais qu’importe ? Nous savions déjà que délire sociétal et injustice sociale vont de pair. C’était le socialiste financeur de Hollande Pierre Bergé qui déclarait, en 2012 : « Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? » Ajoutant, avec un cynisme d’une totale abjection : « C’est faire un distinguo qui est choquant. »
Car l’abjection, précisément, n’a plus de limites, même celles, peut-être hypocrites, mais qui témoignaient encore d’un sens du Bien, de la bourgeoisie de jadis. Car c’est au nom même de la morale, voire de la sauvegarde de la Terre elle-même, c’est-à-dire au nom même du Bien, que la bourgeoisie actuelle poursuit son œuvre de destruction de la société. Et ils ont beau se chamailler, macroniens et écologistes ont conclu, en la matière, un pacte mortifère, ayant pour complices directs une gauche et une extrême gauche qui veulent aller encore plus loin sur tous les sujets (PMA, GPA, euthanasie, antispécisme, immigrationnisme, décolonialisme, « antiracisme », écologisme), et pour complice indirecte une droite qui s’est euthanasiée elle-même. Ainsi, dans l’attente que le texte sur la PMA pour toutes, l’extension de l’avortement jusqu’à la veille de la naissance et les manipulations génétiques sur les embryons soit définitivement adopté à l’Assemblée, celle-ci se penche sur deux autres projets d’une urgence absolue : l’inscription de la sauvegarde de la planète à l’article 1er de la Constitution, qui deviendra bientôt un inventaire à la Prévert et, bien évidemment, le projet de loi « portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets » : en clair, la traduction législative des propositions du machin citoyen pour le climat.
Car ce n’est rien comprendre à l’écologisme que de ne pas voir, qu’avant d’être un combat « pour » la planète, il est une cause sociétale, visant, de même que les autres causes sociétales évoquées plus haut, à la transformation des fondements la société ou, plutôt, à leur destruction. De mêmes défenseurs et une même logique les habitent : ce vieux rêve révolutionnaire de faire du passé table rase et d’imposer, par la contrainte, un homme « nouveau », voire bientôt « augmenté ». Peu importent alors les disputationes scolastiques sur le fait de savoir si l’inscription à l’article 1er de la Constitution que « [la France] garantit la préservation de l’environnement et de la diversité biologique et lutte contre le dérèglement climatique » emportera, ou non, une obligation de résultat — en séance publique, le rapporteur a évoqué une « quai-obligation de résultat », objet juridique non identifié… C’est un universalisme pathologique sur fond de volontarisme ubuesque dont témoigne surtout cet ajout à la loi fondamentale.
Il en est de même du projet de loi fleuve traduisant dans la loi les revendications téléguidées des 150 idiots utiles de la Convention citoyenne pour le climat… Ceux qui pensent que Macron s’est piégé lui-même en prenant le risque d’être désavoué, et donc humilié, par la Convention, qui l’a piètrement noté comme un mauvais élève, n’ont rien compris à la démarche de Jupiter. Laquelle ? Court-circuiter une revendication de démocratie directe par un machin à la légalité douteuse tout en donnant des gages à son électorat vert. Ce n’est pas seulement par ses insuffisances en matière de moyens (financiers) que le texte pèche, s’agissant par exemple de la rénovation thermique de l’habitat — nos bobos vivent dans des appartements ou des maisons bien chauffées et sans punaises de lit. — ou par son soutien idéologique au véganisme, jugé plus « durable » (à savoir écologique) qu’une alimentation normale. C’est avant tout par son indifférence totale à l’aménagement du territoire. Mais pourquoi en serait-il autrement ? Les bobos des métropoles parlent aux bobos des métropoles…
Il est arrivé à Marine Le Pen d’évoquer la démétropolisation… Un concept primordial. Car la métropolisation, elle a aussi, est une idéologie avant d’être une réalité économique et territoriale. Les Français l’attendent davantage sur ce terrain régalien que sur celui de son opposition « à titre personnel » à la chasse à courre…. D’autant que, lorsqu’on s’est officiellement déclaré à la candidature suprême, on n’a plus d’opinion « à titre personnel ». Du moins, si on a la dimension d’un homme, ou d’une femme, d’Etat.
François Marcilhac
https://www.actionfrancaise.net/2021/03/16/ecologisme-un-delire-societal/