
Qu’ils soient à Poitiers, à Bordeaux, à Lyon, à Strasbourg ou ailleurs, les élus écolos sont touchés les uns après les autres par un variant français du virus de la connerie. Sans vaccin ni traitement connu.
On les croyait matures et responsables. On les pensait capables enfin de gérer de grandes villes voire de gouverner bientôt le pays. Mais voilà que les élus écologistes à la tête de grandes métropoles sont tour à tour frappés par un étrange virus qui les rend fous. Fous à lier.