
Mercredi, le chef de l’Etat a prononcé devant les eurodéputés réunis à Strasbourg le traditionnel discours marquant le lancement de la présidence tournante de l’UE, que la France exercera jusqu’au 30 juin. Une intervention, à vrai dire, sans grande surprise, puisque Emmanuel Macron y a une fois de plus manifesté son européisme absolu, en défendant un projet qui ne fera qu’accentuer encore un peu plus la mainmise de Bruxelles sur notre pays. Des propositions dont la toxicité n’a cependant pas échappé à une partie de l’opposition, droite nationale en tête, qui n’a pas hésité à interpeller le président en plein Parlement européen.






