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magouille et compagnie - Page 1664

  • La manipulation de François Fillon et du Figaro sur le « solde migratoire »

    Lors de L’Emission Politique hier, François Fillon a été interpellé par le maire FN d’Henin-Beaumont sur l’immigration. Pour tenter d’alléger son bilan d’environ 200 000 titres longs séjours délivrés chaque année sous le quinquennat de son gouvernement, François Fillon a rétorqué qu’il faut mieux prendre le chiffre du solde migratoire de 140.000. L’auditeur moyen se trouvait peut-être rassuré, sans savoir que les émigrations retranchées concernent surtout les natifs français diplômés cherchant du travail à l’étrangerLe Figaro a sauté sur l’occasion pour faire un procès en falsification de chiffres envers Steve Briois.

    Dans son livre « Assimilation, la fin du modèle français » (éditions du Toucan, 2013) la directrice de recherche à l’Institut national d’étude démographique (INED), organisme d’état, Michèle Tribalat, fait litière de cet artifice utilisé pour tenter de camoufler l’immigration massive. Après un chapitre technique remplit de chiffres officiels, elle conclut :

    Malgré l’imbroglio qui caractérise la statistique sur l’immigration étrangère en France, ses difficultés d’ajustement aux évolutions et les freins mis à l’exploitation la plus judicieuse possible d’un appareil statistique très déficient, il semble que, comme dans d’autre pays européens, le solde migratoire global combine un solde négatif des natifs ou des nationaux et un solde positif des immigrés ou des étrangers. C’est pourquoi il apparait si faible en France. Toute argumentation fondée sur le solde migratoire global- estimé par l’Insee comme un résidu de l’équation démographique annuelle- pour relativiser l’importance de l’immigration étrangère est donc irrecevable. Sa pratique est néanmoins courante comme on va le voir dans le prochain chapitre » (page 51) 

    Ce qui est étonnant, c’est que Le Figaro défend l’utilisation du solde migratoire… alors qu’il invite très souvent la démographe Michèle Tribalat dans ses colonnes en lui reconnaissant son expertise ! Ou comment se prendre les pieds dans le tapis. 

    Mais plus gênant encore pour François Fillon, Claude Guéant, son propre ministre de l’Intérieur, parlait lui aussi des 200 000 titres longs séjours sans utiliser ce solde trompeur, pour évoquer le caractère massif de l’immigration :

    Il est évident que les étrangers extra-européens, une fois ayant obtenu le précieux sésame du titre de séjour automatiquement renouvelable tous les dix ans, ouvrant le droit à la panoplie d’aides (RSA, Allocations, scolarité, CMU…) n’ont nullement envie de retourner dans leurs pays d’origine en crise (Maroc, Algérie, Tunisie, Turquie etc.).

    Pour en savoir plus sur le bilan migratoire du précédent gouvernement de droite, télécharger le dossier complet Bilan migratoire gouvernemental 2002-2012 de l'Observatoire de l'islamisation.

    Source : l'Observatoire de l'islamisation.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/03/la-manipulation-de-fran%C3%A7ois-fillon-et-du-figaro-sur-le-solde-migratoire-.html

  • Orly, Londres, Anvers : La logique terroriste de l'islam

  • Le Freespeechbus, contre l'idéologie du gender, dérange les extrémistes LGBT

    Depuis début mars, un bus de l’association HazteOir parcourt les routes d’Espagne en rappelant les simples caractéristiques physiques d’un garçon et d’une fille. Une façon comme une autre de lutter contre l’idéologie du genre… mais l’association est accusée d’homophobie et d’incitation à la haine – le bus a été violemment caillassé à Pampelune mardi.

    Le même bus, mis en place par le National Organization for Marriage, a été vandalisé à New York :

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    Brian Brown explique dans cette vidéo en anglais l'intérêt de cette campagne (à laquelle Le Salon Beige participe).

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    Ou comment un simple bus parvient à déranger les militants LGBT. Toute la presse étrangère en parle

    Ignacio Arsuaga, président de l’association HazteOir, (« Fais-toi entendre », en espagnol), explique à Anne Isbeth dans Présent :

    "Notre campagne, « The Bus of Freedom » (Le bus de la liberté), fait référence à l’existence, dans dix communautés autonomes ou régions d’Espagne, de lois faisant la promotion d’un modèle affectif et sexuel particulier, spécifiquement de l’idéologie du genre, pour tous les élèves de toutes les écoles. Il est évident que ces lois violent le droit fondamental des parents à éduquer leurs enfants conformément à leurs convictions et leurs valeurs.

    Pourquoi faire cette campagne maintenant ?

    La campagne a débuté en novembre avec la sortie du livre Savez-vous ce qu’ils veulent enseigner à votre enfant à l’école ? Les lois d’endoctrinement sexuel en font partie. Début mars nous avons lancé « The Bus of Freedom » parce que ces lois dont nous parlons vont être renforcées l’an prochain. Donc, ces mois sont décisifs pour informer la société espagnole de ce problème, spécialement les parents."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Commission européenne cherche à créer en Pologne un précédent dangereux

    Un conflit et un projet de réforme où le commissaire Timmermans prend parti pour l’opposition sans être citoyen du pays ni même en connaître la langue.

    Le socialiste hollandais Frans Timmermans ne baisse toujours pas les bras. Comparaissant mercredi devant la commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures du Parlement européen, il a affirmé vouloir que le Conseil de l’Union européenne, et donc les ministres des nations membres de l’UE, s’occupent de la situation de la démocratie et de l’État de droit en Pologne.

    Parmi les domaines dans lesquels Timmermans souhaite exercer des pressions sur Varsovie, il y a notamment le conflit autour du Tribunal constitutionnel polonais entre la majorité parlementaire du parti conservateur Droit et Justice (PiS) et son opposition libérale. Il y a aussi le projet de réforme du Conseil national du pouvoir judiciaire (Krajowa Rada Sądownictwa), selon lequel ce sera désormais le Parlement, et non plus les juges, qui en choisira les membres. Un conflit et un projet de réforme où le commissaire Timmermans prend parti pour l’opposition sans être citoyen du pays ni même en connaître la langue.

    Certes, Timmermans a aussi affirmé ne pas vouloir dès maintenant engager une procédure de sanction au titre de l’article 7 du traité de l’Union européenne (qui suspendrait, entre autres, les droits de vote de la Pologne au sein des institutions européennes), dont il estime qu’elle serait contre-productive pour le moment. Bien évidemment, car pour engager une telle procédure, il faut l’unanimité (hormis le pays incriminé) et la Commission sait déjà que la Hongrie s’y opposera, et sans doute aussi plusieurs autres pays.

    Mais le commissaire voudrait que les États membres de l’Union l’assistent dans ses pressions et fassent fléchir le gouvernement polonais.

    Les traités européens ne prévoient l’application de la Charte des droits fondamentaux que dans le domaine d’action des institutions de l’Union européenne ? Qu’à cela ne tienne, M. Timmermans nous explique que, sans respect de l’État de droit dans un pays membre, ces traités de l’Union européenne ne peuvent pas s’appliquer correctement et que, donc, toute atteinte supposée à l’État de droit à l’intérieur d’un des pays de l’Union européenne entre dans sa sphère de compétence. Par le biais du Hollandais Frans Timmermans, la Commission européenne cherche donc à créer un dangereux précédent qui lui permettrait de décréter en toute occasion et de manière arbitraire quels sont les gouvernements nationaux qui respectent leur propre État de droit et quels sont ceux qui ne le respectent pas. Une manière, pour la Commission européenne, de se transformer en une sorte de Cour constitutionnelle suprême dont les verdicts, s’ils sont appuyés par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), pourront s’imposer aux législateurs nationaux.

    Pourtant, si les électeurs polonais décident, comme Timmermans, que le gouvernement du PiS a bien violé l’État de droit, ils pourront le sanctionner dans les urnes. S’ils estiment que l’actuelle majorité parlementaire menace la démocratie en cherchant, conformément à ses promesses électorales, à réformer l’institution judiciaire polonaise dans son ensemble, ils se choisiront une autre majorité en 2019. Mais que pourront-ils faire s’ils estiment majoritairement que c’est la Commission européenne qui a eu tort dans ce dossier ? Rien. Et c’est là toute la différence entre une démocratie et une dictature.

    http://www.bvoltaire.fr/commission-europeenne-cherche-a-creer-pologne-precedent-dangereux/

  • Les Etats-Unis et la Grande Bretagne ont financé et continuent à aider le terrorisme

    Ex: http://www.europesolidaire.eu

    Après l'attentat de Westminster, qui en laisse présager d'autres analogues, faut-il rappeler que pendant des années, l'alliance entre les Etats-Unis et la Grande Bretagne a financé et entrainé, avec la collaboration de l'Arabie saoudite, des monarchies pétrolières et de la Turquie, des milliers d'extrémistes islamique en Syrie, Iraq et Libye. Il n'est pas certain que ceci ne se poursuive pas discrètement, même si dans le même temps ces pays annoncent vouloir dorénavant « éradiquer » l'Etat islamique.
    Pourquoi cette bienveillance ? Parce que ces terroristes continuent à mener une guerre dans tout le Moyen-Orient contre Bashar al Assad et l'influence qui ont prise récemment, à la demande de ce dernier, la Russie et l'Iran. Les intérêts pétroliers et géostratégiques occidentaux se croient menacés par Damas et Moscou, sans admettre que dans la lutte globale contre le djihadisme, la Syrie et la Russie mènent une lutte efficace contre l'internationale terroriste islamique qui les menace encore plus qu'il ne menace l'Europe et l'Amérique.

    Des mesures de protection dérisoires

    Pour se défendre contre de nouveaux attentats terroristes, Theresa May promet des mesures de protection telles que l'interdiction de portables et tablettes sur certaines lignes aériennes. Mais dans le même temps la Grande Bretagne continue à refuser la mise en place de cartes d'identités au prétexte qu'elles menaceraient les libertés publiques. Il en a résulté qu'il a fallu des heures à Scotland Yard pour identifier le terroriste de Londres, un certain britannique nommé Khalid Masood, 52 ans.

    Il y a plus grave. La Grande Bretagne comme la France disposent de fichiers de milliers d'individus ayant travaillé avec l'Etat islamique, les fiches dites S en France. Plus de 3.000 Britanniques seraient inscrits sur une liste de surveillance anti-terreur établie par le service de renseignement MI5. Mais comme ils ne sont pas encore passé à des actions violentes identifiées, on se borne à continuer à les surveiller épisodiquement au lieu de les mettre en détention, fut-ce à titre provisoire. Ceci est dérisoire, vu les faibles moyens dont dispose la police et les complicités dont ces individus disposent dans les quartiers dits sensibles – sans mentionner en Angleterre le nombre de communes ayant été autorisées à pratiquer la shariaa qui se révèlent de véritables pépinières de terroristes en puissance.

    On objectera que les attentats seront de plus en plus le fait de candidats au suicide pour Allah, convertis discrètement dans certaines mosquées ou sur les réseaux sociaux islamistes, sans avoir fait parler d'eux auparavant. Peut-être, mais il n'empêche que de nombreux autres sont connus des services de police et que rien n'est fait pour les empêcher de nuire.

    Mais que faire, dira-t-on ? Créer des milliers de places de prison, alors que l'administration pénitentiaire manque déjà de personnel ? Pourquoi pas ? Lorsqu'un pays est en guerre, il trouve les moyens de se défendre. D'autres mesures seraient possibles, mais nous ne les évoquerons pas ici.

    Dans l'immédiat, le quotidien Sun de Rupert Murdoch a réclamé une augmentation massive de la police armée, tandis que le Daily Mail dénonce comme de plus en plus pervers le refus de donner aux autorités le droit d'écouter les communications électroniques. Mais ceci ne se fera pas. Rappelons que Rupert Murdoch est considéré en Angleterre comme un dangereux fanatique de droite, de même que l'est encore Marine Le Pen en France.

  • La Vérité sur les Attaques Terroristes de Londres (VOSTFR)

  • Le Front national réclame aussi une enquête sur le « cabinet noir »

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    Marine Le Pen est convaincue d'être, avec François Fillon, une cible privilégiée du gouvernement hollandais.

    Au moment où Marine Le Pen rencontrait officiellement Vladimir Poutine, pour la première fois, jeudi, à Moscou, le Front national a réagi sur l'affaire du «cabinet noir» de l'Élysée, dénoncée par François Fillon.

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  • Les basses manoeuvre politiques de François Hollande

    Dans Bienvenue Place Beauvau, Police: les secrets inavouables d'un quinquennat, 3 journalistes (dont deux sont du Canard enchaîné) décrivent le résultat de leur enquête et ce n'est ps beau à voir :

    6a00d83451619c69e201bb0986ed08970d-200wi.jpg"La machine policière française est opaque et sclérosée. Hollande et ses ministres, faute de vouloir et de pouvoir la transformer en profondeur, ont tenté de s'en servir à des fins politiques. Pour qui veut contrôler les affaires, le ministère de l'Intérieur est en effet un lieu stratégique, grâce aux grandes oreilles des renseignements et aux yeux aguerris des flics en tous genres. Pourquoi la légalité est-elle si souvent bafouée chez ceux qui sont précisément censés faire régner l'ordre ? Le Président a-t-il un cabinet noir ? Faut-il être franc-maçon pour réussir dans la police ? Qui mettra un terme à la guerre sans merci que se livrent les diverses officines de renseignement ? Comment la gauche s'est-elle accommodée des réseaux mafieux corses ? Quel est le poids du FN dans la police ? Dans le plus grand secret, les auteurs ont mené leurs investigations durant plusieurs années. Ils ont interviewé des centaines de témoins (ministres, conseillers spéciaux, patrons de police, agents de renseignement, gardiens de la paix...), ont écumé les commissariats, fouillé le ministère, épluché les dossiers les plus confidentiels pour livrer cette enquête percutante et mettre en lumière le plus cuisant échec du quinquennat qui s'achève."

    Extrait utilisé hier soir par François Fillon pour accuser le chef de l'Etat :

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    François Hollande aurait, depuis l'Elysée, coordonné une cellule pour mettre hors-jeu Nicolas Sarkozy, visé, lui et son entourage, par treize affaires.

    «Depuis l'arrivée de Hollande au pouvoir, c'est comme si une malédiction judicaire s'était abattue sur son prédécesseur». «Pour orchestrer les affaires judiciaires il existe une mécanique complexe aussi efficace que redoutable. Hollande a su en tirer profit». 

    Hollande lui-même a été prolixe à ce sujet, confiant devant dix-neuf députés socialistes, le 17 février 2014 : “Sarkozy, je le surveille, je sais tout ce qu’il fait”. Un routard de la police judiciaire évoque en effet la constitution de “blancs”, c’est-à-dire d’informations récoltées clandestinement, et qui remonteraient “en haut lieu”. Nicolas Sarkozy a été mis en écoute…

    Manuel Valls, aurait été dans la viseur de l'actuel président, notamment dans la diffusion d'une rumeur de liaison entre le premier ministre et Najat Vallaud-Belkacem. Mais aussi la publication d'un livre, en octobre 2016 qui déstabilise un de ses amis, Jean-Marie Le Guen, alors qu'il caresse l'idée de se présenter à la présidentielle.

    «Manuel Valls croit voir partout l'ombre maléfique de Hollande. Son entourage en est totalement persuadé: le château fomente des coups bas contre lui».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Café Histoire de Toulon, mercredi 29 mars : « La catastrophe écologique vue par les alter-cathos ».

    Le Café Histoire de Toulon annonce la prochaine causerie du mercredi 29 mars 2017 devant les Amis du Pub Le Graal. Cette causerie, animée par Luc Richard, portera sur le thème :  La catastrophe écologique vue par les alter-catholiques

    Chrétiens et écologistes peuvent-ils œuvrer ensemble face à une société de consommation dévastatrice des écosystèmes et des communautés humaines ?  Pour passer du Global au Local, il leur est nécessaire de regarder en face la catastrophe écologique. Pour les y aider, Luc Richard a dirigé le livre collectif  La catastrophe écologique, fruit pourri du capitalisme,  fruit d’une journée de réflexion organisée par l’Observatoire Socio-Politique diocésain de Toulon et la revue LIMITE, en écho à l’encyclique Laudato Si.  

    Le Grall, Pub associatif des missionnaires de la Miséricorde (adhésion 1 €)
    377 avenue de la République , 83000 Toulon
    La soirée pourra se poursuivre autour d’une pizza (Participation aux frais)
    Contact : cafehistoiredetoulon@gmail.com

    Signalons en outre le texte passionnant de la causerie du mois de janvier 2017, de Danièle Masson, agrégée de Lettres classiques sur Eric Zemmour et le fait religieux.

    A lire ci-après. Café Histoire de Toulon  Danielle Masson.pdf

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Ils ont osé demander 6 mois de prison avec sursis et 21.000 euros contre Pierre Cassen

    Christine Tasin Riposte laïque cliquez ici

    Ce fut un procès, une fois de plus, surréaliste, celui qui s’est déroulé hier au Palais de Justice de Paris.

    Suite à un signalement de la Stasi française (traduisez la Dilcra) deux articles de Maxime Lépante publiés sur Riposte laïque en juillet dernier, après la boucherie de Nice et une attaque à la mâchette en Allemagne, étaient dans l’oeil de Moscou. Maxime Lépante n’ayant pu être identifié, c’était le directeur de publication qui devait répondre de ces textes.

    Or le site RL étant géré par une association suisse, Riposte laïque suisse, et son directeur de publication au moment des faits étant américain, il avait paru aux policiers et juges chargés de l’enquête préalable qu’il était plus simple et plus sûr de convoquer Pierre Cassen, fondateur du site accusé d’être le « vrai » directeur de publication, pour en faire une victime expiatoire, tant tous les Tubiana, Jakubowicz-Goldman et Sopo de France et de Navarre réclamaient du sang, le sang d’un islamophobe, pour se laver du traumatisme généré par Maxime Lépante.

    Chez ces gens-là, ni Nice, ni l’attaque au couteau en Allemagne ne suscite de traumatisme ni d’envie de se venger.

    Chez ces gens-là, on souffre d’une maladie orpheline, on ne ressent de compassion que pour l’islam et les musulmans.

    Ce fut un procès haut en couleurs, un combat homérique, une bataille qui dura près de 5 heures… Entrés au tribunal à 13 heures, nous en sortîmes à 21. Ouf !

    Les bons ? Notre avocat, maître Pichon qui, à son habitude, démontra avec brio les vices de procédure, les abus de procédure, le vide et le ridicule des arguments des Ligues de Vertu ; Pierre, qui, serein, avec fermeté et courtoisie, répondit à toutes les questions, expliquant, démontrant l’absurdité de l’accusation.

    Les méchants ? Le Procureur, une caricature ambulante qui a passé son temps à se ronger les ongles (doit pas être bien heureuse de ce qu’elle fait, cette femme) et les représentants des associations anti-racistes, au nombre de… 6 (à tout seigneur tout honneur, cher Pierre, les charognards veulent faire la peau aux lanceurs d’alerte sur l’islam et ils ne pouvaient pas manquer l’occasion !). Précisons que ces dernières s’étaient signalées au dernier moment.

    Au centre, les juges, avec le Président, qui a mené avec patience, courtoisie et intelligence le questionnement et les débats. On ne sait pas de quel bord est Fabienne Siredey-Garnier, on ne sait pas si, au final, elle votera pour ou contre la relaxe de Pierre, mais il faut saluer son professionnalisme et son (au moins apparente) objectivité. Elle avait dû travailler des heures à préparer ce procès et cela se voyait (contrairement à l’ignoble avocate de la Licra qui a avoué arriver pour remplacer une collègue et ne pas connaître le dit dossier…). Au centre encore, une salle remplie par les nôtres, venus soutenir Pierre et voir de leurs yeux l’effarant fonctionnement de la justice française, à l’heure même où un attentat musulman se déroulait à Londres… Les nôtres frémissaient, j’entendais des exclamations chuchotées en écoutant les basses attaques des méchants, j’en ai vu les larmes aux yeux plusieurs fois quand Pierre parlait et notamment lors de sa fabuleuse prise de parole finale.

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