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magouille et compagnie - Page 1662

  • BFMacron ou la grosse artillerie anti-Marine…

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    Le ton, sur cette chaîne, a changé du tout au tout depuis que les sondages confirment la montée en puissance de Marine Le Pen.

    Si ce n’est pas un mot d’ordre, ça y ressemble beaucoup. La coïncidence serait trop forte pour qu’elle en soit vraiment une. Nous savons que tous les grands candidats du cénacle (sauf Marine Le Pen) ont derrière les bureaux rédactionnels parisiens des hommes à eux, et pas des moindres. Mais c’est le dernier-né de la galaxie politique qui semble faire la course en tête dans ce domaine. On a la nette impression que certains médias ont reçu récemment l’ordre de passer à la vitesse supérieure pour appuyer le chouchou en perte de vitesse dans les sondages et attaquer la candidate du FN.

    Pour l’instant, on laisse Fillon à ses affaires sans trop l’enfoncer car Macron aura besoin d’une partie de ses voix au deuxième tour en cas d’élimination. C’est donc sur Marine que converge le feu destructeur médiatique, puisque c’est là que se trouve le plus grand danger pour le système.

    Même si Le Monde de Pierre Bergé, Xavier Niel et Matthieu Pigasse caracole en tête du peloton anti-Marine Le Pen, il semble qu’au sein de la presse dite indépendante, celui qui vire en tête avant la dernière ligne droite est bien « BFMacron ».

    Le ton, sur cette chaîne, a changé du tout au tout depuis que les sondages confirment la montée en puissance de Marine Le Penpour le premier tour des élections présidentielles. On prend soin d’inviter Florian Philippot, qui est chargé de monter au front télévisuel pour donner le change de l’impartialité, mais on l’attend au virage en invitant, non pas des contradicteurs soucieux de débattre, mais des bombes télévisuelles chargées de lui exploser à la figure. David Doucet, rédacteur en chef des Inrocks, en est la dernière illustration la plus flagrante. Titillé par une Nathalie Levy qui avait, pour l’occasion, retourné sa veste de journaliste de service pour endosser celle de procureur anti-Marine, il n’a eu de cesse de déstabiliser Philippot, qui est resté d’un calme olympien. On couvre le meeting de Marine Le Pen à Nantes mais on s’astreint, non pas à essayer de décortiquer ses propos, mais à la détruire dans les analyses post-meeting.

    L’establishment parisien a sorti sa grosse artillerie pour défendre un homme du sérail bancaire. L’ex de chez Rothschild se sent pousser des ailes puisqu’un de ses appuis, Matthieu Pigasse, vient, lui, de chez Lazard Frères et parle le même langage. Pour couronner ce tout béni par la finance internationale, il faut savoir que la nouvelle coqueluche des affaires, le Franco-Israélo-Marocain Patrick Drahi – dont la société SFR a une participation de 49 % dans NextRadioTV, maison mère de BFM TV et RMC -, doit un retour d’ascenseur à Emmanuel Macron, qui lui a ouvert beaucoup de portes et facilité quelques prises de participations.

    La boucle du noyautage télévisuel est bouclée…

    http://www.bvoltaire.fr/jeanpierrelenoir/bfmacron-grosse-artillerie-anti-marine,316260

  • M. Cazeneuve, seriez-vous coupable de collusion avec les casseurs ?

    Le témoignage d’un policier, paru ce lundi sur le site Breiz-info, accuse très précisément le gouvernement d’avoir laissé faire les casseurs.

    Le témoignage d’un policier, paru ce lundi sur le site Breiz-info, accuse très précisément le gouvernement d’avoir laissé faire les casseurs, en totale impunité, pendant deux jours dans les rues de Nantes où Marine Le Pen avait invité ses électeurs à venir l’écouter au Zénith. Le résultat n’a pourtant pas été à la hauteur de ce que pouvaient espérer M. Cazeneuve et ceux qui se sont ouvertement prononcés pour la victoire de M. Macron. Malgré l’attaque en règle de plusieurs bus amenant les militants au rassemblement mariniste, la salle était pleine.

    Pendant deux jours, la ville a donc été livrée à quelques centaines de jeunes antifas et autres extrémistes. Les forces de police et de gendarmerie avaient pourtant été dépêchées en nombre pour faire face aux hordes de casseurs. Mais on les a vues reculer dès que les ninjas cachés sous leurs cagoules s’avançaient vers eux. Malgré les dizaines de grenades lacrymogènes, au bout de 48 heures, on comptait seulement huit interpellations, qui se sont terminées par quatre misérables gardes à vue.

    De la vaste rigolade, car en face, il y eut onze blessés dont un gendarme brûlé au second degré par un cocktail Molotov. 

Le policier a témoigné sous anonymat, tout en précisant que ses collègues et lui ne vont pas tarder à dire ce qu’ils ont sur le cœur à visage découvert, tant ils sont écœurés.

    « 

J’ai honte de ma hiérarchie. Honte de ce gouvernement, honte de la préfecture et de toutes ces personnes planquées derrière des bureaux et leur idéologie malsaine. Cela fait des mois, des années, que les mêmes manifestations se déroulent à Nantes. Les noyaux durs des zadistes sont identifiés nominativement. Les noyaux durs des groupes d’extrême gauche sont identifiés… Mais le fait est que rien n’est fait, en plein état d’urgence, pour les empêcher de nuire. »

    
Et d’accuser non seulement le gouvernement mais aussi la Justice, qui n’applique pas la loi :

    « On pourrait faire des arrestations préventives si la Justice le permettait, profitant des nouveaux pouvoirs légaux apportés par l’état d’urgence. On pourrait aussi, pour la plupart des manifestations qui ne sont pas déclarées, arrêter tout le monde dès le début, placer en garde à vue toute la troupe et faire en sorte que les personnes armées ou les meneurs écopent de peines de prison ferme. La loi le prévoit. Il suffit de l’appliquer.

    Selon lui, ces manifestants sont souvent des gamins qui profitent du mythe du Black Bloc pour faire peur : « Il ne faut pas que les gens se fient aux images : derrière les uniformes noirs et les masques à gaz, il y a parfois des gamins, très jeunes. » Ce jeune policier explique aussi que l’utilisation du gaz lacrymogène est inefficace et « qu’il ne sert pas à grand-chose si ce n’est à énerver tout le monde ». Et d’ajouter que lui et ses coéquipiers sont pourtant formés aux techniques d’encadrement et d’arrestations massives : « Il suffit d’entourer les 300 fauteurs de trouble. Et d’arrêter massivement. Nous aurions trouvé des armes, et tous les leaders qui s’étaient réunis dès le vendredi soir sur Nantes. »

    « On va nous rétorquer la crainte des dérapages et des violences policières. Mais à partir du moment où vous êtes avec une arme, cagoulé, dans un cortège bien spécifique, c’est que vous cherchez quelque chose, non ? »

    

Sa conclusion exprime le ras-le-bol de ces policiers que Cazeneuve et son inexistant ministre de l’Intérieur envoient au casse-pipe à chaque manif sans qu’ils puissent ni se défendre ni faire respecter la loi.

    « Le laisser-faire des manifestations d’ultra-gauche, c’est la même chose que lorsqu’on vous apprend que mes collègues ne vont plus dans certains quartiers perdus. C’est politique. C’est de la frousse. C’est du renoncement. C’est de la lâcheté. Et cette responsabilité, c’est ma hiérarchie, ce sont les gouvernements successifs, et donc l’État, qui la portent. »

    http://www.bvoltaire.fr/florisdebonneville/m-cazeneuve-seriez-coupable-de-collusion-casseurs,316374

  • LES SANGLOTS LONGS DES PHOTOS CHOCS

    Pieter Kerstens 

    Depuis des décennies, les journalistes de tout bord et les photographes chassant le sensationnel nous ont proposé une pléthore de clichés abominables destinés à faire pleurer Margot et influencer son jugement.

    Kim, Omayra, Elian, Angélica, Loubna, Léonarda, Aylan, etc…

    Publier en « scoop » des photos de fillettes et de garçons blessés ou décédés relève de la manipulation des esprits pour conduire l’opinion vers une attitude plus « souple » ou mieux encore, afin de créer une réelle adhésion au but recherché. C’est bien P.Robert, photographe de guerre, qui avait déclaré : «  La dictature de l’émotion permet de faire l’économie des vraies questions. »

    Notre devoir de mémoire nous rappelle la photo de Pham Thi Kim Phùc (Viet-Canadienne), 9 ans brûlée au napalm le 8 juin 1972, courant dans les rues dévastées du village de Trang Bang, à 60 kilomètres de Saïgon. Ce cliché de Nick Ut fera le tour du monde et vaudra à son auteur d’obtenir le prix Pulitzer.

    L’opinion mondiale était ainsi préparée à accueillir les futurs boat people

    Puis, en 1985, une télévision colombienne diffusa durant 60 heures un reportage montrant l’agonie de Omayra Sanchez, 13 ans, prisonnière de la boue du volcan Nevado del Ruiz et sa lutte contre la mort filmée en direct…

    Exploiter l’innocence des enfants est crapuleux. Politiser et utiliser comme moyen de chantage des situations impliquant des mineurs est une ignominie. J’en veux pour exemple ce que j’ai vécu à La Havane le 12 juin 2000 : une manifestation monstre regroupant plus de 500.000 enfants et étudiants des écoles, lycées et universités de la seule province de la capitale, pour réclamer le retour d’Elian Gonzales.

    Cette histoire fit le tour du monde, occupa la presse internationale pendant plusieurs mois et finalement le fils pu retrouver son père à Cuba, lequel refusa à plusieurs reprises l’asile politique offert par les USA. Par ailleurs les tribunaux fédéraux américains lui avaient aussi donné raison et ordonné le rapatriement de l’enfant dans sa ville natale de Matanzas.

    Plus, encore plus et toujours plus d’invasions migratoires.

    Durant l’été 2007, les lobbies immigrationniste n’ont pas chômé et en Belgique, la saga de la petite équatorienne Angélica avait fait pleurer Margot dans sa chaumière durant des semaines et provoqué une crise diplomatique imbécile. Comment une mère sud-américaine et sa fille avaient-elles pu vivre durant 5 ans à quelques kilomètres de la Capitale de l’Europe, sans visa, sans titre de séjour et totalement hors-la-loi ?

    Essayez donc de faire la même chose en Suisse, au Qatar, aux Seychelles, en Chine, au Mali ou à Cuba.

    Une telle situation était évidemment la conséquence du laxisme et de la décadence de gouvernements successifs, manipulés par les pressions et le chantage permanent des sectes droits-de-l’hommiste et des ennemis de l’identité et de la civilisation européenne.

    Depuis Maastricht en 1999 (Traité qui allait nous amener le mieux-vivre et le bien-être permanent) et les accords de Schengen, nos frontières sont devenues de vraies passoires et année après année, les saisies de cocaïne, de cannabis et autres drogues ou produits de contrefaçons ne cessent d’exploser !

    Nous avons été les témoins d’un afflux sans cesse grandissant d’individus jeunes, masculins et en bonne santé, amenés chez nous par des filières mafieuses qui se livrent à la « traite humaine » en surfant sur la vague émotionnelle et la sensiblerie des populations européennes soumises au poids des mots et au choc des photos !

    Il faut avoir vécu et constaté l’empressement des touristes obèses de la plage de Corralejo à Ténériffe à apporter de l’eau, des casse-croûtes et des couvertures aux africains débarquant de leurs pateras (équipées de 2 moteurs 100cv Yamaha, de GPS, de nourrices de carburant et de paniers de fruits, au départ de Saint-Louis du Sénégal, ndlr) pour le croire !

    Et quelles furent les arrière-pensées des instigateurs de la photo du cadavre du petit Aylan, prise sur une plage de Bodrum en Turquie, au printemps 2015, anticipant un tsunami d’immigrés déferlant en Europe ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Corruption des élus : L’action Française dénonce « Vos fraudes sont nos impôts ! »

  • Quand la presse française et américaine inventent une déclaration de Trump

    Source : OJIM – « Quand la presse française et américaine inventent une déclaration de Trump »

    Bien connue pour son suivisme vis-à-vis des médias américains, la presse française a à nouveau sauté sur une occasion d’égratigner Donald Trump… au risque de se ridiculiser.

    Lundi 19 février, Le Monde et Libération (entre autres) publiaient deux articles au titre racoleur, estimant que Donald Trump avait « inventé un attentat en Suède ». Car outre-Atlantique, la polémique fait rage. Lors d’un rassemblement en Floride dimanche, le président américain a vu ses propos déformés par les grands médias (qui lui sont majoritairement hostiles).

    Ces derniers ont en effet prêté au Président des propos, qu’il n’a pas tenu en ces termes exacts, l’accusant d’avoir inventé un attentat survenu la veille du meeting, en Suède. L’affaire, largement relayée, a créé toute une polémique allant jusqu’à faire réagir les autorités suédoises. Voici ce que Trump déclarait ce jour-là : « You look at what’s happening last night in Sweden,» Mr Trump said. «Sweden. Who would believe this? Sweden. They took in large numbers. They’re having problems like they never thought possible. » À aucun moment il n’est question d’attentats, mais simplement de « problèmes ».

    D’ailleurs, Le Monde et Libération ont eux-mêmes traduit par : « Regardez ce qui se passe en Allemagne, regardez ce qui s’est passé hier soir en Suède. La Suède, qui l’aurait cru ? La Suède. Ils ont accueilli beaucoup de réfugiés, et maintenant ils ont des problèmes comme ils ne l’auraient jamais pensé. » Là aussi, pas de traces d’un quelconque attentat. Et pourtant… « Quand Donald Trump invente un attentat en Suède », titre Libération, qui précise plus bas que le président « a laissé la Suède perplexe, voire goguenarde, lors d’un discours prononcé samedi où il devisait sur la crise des réfugiés et l’insécurité dans le monde, et a évoqué un attentat commis dans le pays scandinave — qui n’a en fait jamais eu lieu ».

    De son côté, Le Monde titrait : « Donald Trump invente un acte terroriste en Suède. » Plus bas, le quotidien du soir ajoutait : « Pour étayer son propos, Donald Trump a même voulu en fournir la preuve séance tenante : la Suède, pays particulièrement accueillant, vient de subir un attentat, dit-il. » C’est en tout cas la version qui était disponible en ligne lundi en début de matinée. Mais à 11h26, la phrase avait été modifiée en : « Pour étayer son propos, Donald Trump a même voulu en fournir la preuve séance tenante : il a sous-entendu que la Suède, pays particulièrement accueillant, venait de subir un attentat. » Le Monde a-t-il l’ombre d’un doute ? Le titre n’a pas été modifié pour autant.

    Durant la campagne électorale, une large majorité des médias américains a tout fait pour dénigrer, diaboliser et freiner le candidat républicain afin d’empêcher son élection et faire triompher Hillary Clinton. Quelle ne fut pas leur surprise le soir de l’élection du diable en personne… Désormais, ces mêmes médias semblent concentrés sur une autre mission : pourrir au maximum l’administration et l’action de leur Président, ce qui est tout de même assez incroyable.

    En France, c’est encore pire, l’hostilité ne se justifiant que de très loin. Pendant la campagne, nos médias se sont montrés d’une extrême partialité pour une élection pourtant étrangère. Cette fois, ils se sont contentés de surfer sur la polémique en suivant aveuglément leurs confrères américains, montrant que la claque de novembre dernier ne leur avait pas servi de leçon. Bien peu déontologique, surtout pour un médias, Le Monde, qui s’est depuis peu érigé en autorité morale du journalisme, auto-proclamé chasseur de « fake news » avec son tristement célèbre Décodex…

    http://fr.novopress.info/

  • L'hypocrisie du Syndicat de la Magistrature

    Le Syndicat de la Magistrature a dénoncé hier :

    "Les manœuvres de déstabilisation de la justice, elles, ne connaissent pas de trêve ! La version polie parle de « retenue » ou de « pause » tandis que la version outrancière recycle, dans un discours plaqué, le « gouvernement des juges », les « cabales d’Etat » et fantasme les atteintes à la séparation des pouvoirs. Ceux qui les invoquent se croient autorisés à détourner à leur profit les principes démocratiques, non sans les dégrader sévèrement.

    Rétifs à l’égalité devant la loi, certains membres de la classe politique prétendent se construire une immunité pénale et c’est par l’intimidation qu’ils veulent l’imposer. Que l’autorité judiciaire ose faire son travail, enquêter sur les infractions à la loi pénale qui lui ont été dénoncées, constitue pour eux un crime de lèse-candidat.

    Au mépris affiché pour la justice viennent de s’ajouter des menaces édifiantes : après avoir refusé de se rendre à sa convocation, Marine Le Pen promet, si elle accédait au pouvoir, de demander des comptes aux policiers et aux juges en guise de représailles.

    En démocratie, la loi est la même pour tous et l’autorité judiciaire est chargée de son application, en toute indépendance, dans le respect des règles procédurales et des droits de la défense. N’en déplaise à certains, la séparation des pouvoirs n’est pas l’impunité organisée au profit des élus et de ceux qui aspirent à l’être.

    Ces attaques délétères contre la justice et la démocratie doivent cesser : il est grand temps que la retenue change de camp."

    Sic. En matière de retenue, le Syndicat de la Magistrature a sans doute oublié son « mur des cons », sur lequel sont affichées, dans le local du SM, les photos de diverses personnalités publiques - hommes politiques, intellectuels ou journalistes, majoritairement de droite - de hauts magistrats ou de syndicalistes policiers. On y trouve également des photos de divers parents de victimes, dont le père d'Anne-Lorraine Schmitt, violée et tuée par un récidiviste. Le 17 février 2014, la présidente du Syndicat de la magistrature, Françoise Martres, est mise en examen pour injures publiques. En septembre 2015, elle est renvoyée devant la justice pour « injures publiques ». Elle se pourvoit en cassation contre cette décision. Le 29 novembre 2016, la Cour de cassation rejette son pourvoi.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Tous les coups sont permis

    Réalisés après l’annonce du ralliement de François Bayrou à Emmanuel Macron, les nouveaux  sondages Kantar Sofres Onepoint pour LCI et Odoxa-Dentsu Consulting pour France 2 diffusés  hier,  indiqueraient  que si le premier tour de l’élection présidentielle avait lieu ces prochains jours, François Fillon, avec 19 à 20% des voix serait éliminé du second tour au profit  du candidat préféré de Bruxelles, de  la finance internationale et  des cénacles mondialistes, Emmanuel Macron (25%). Ce dernier ne semble pas pâtir, et cela peut tout de même surprendre, de ses bourdes et de la vacuité de plus en plus visible de son discours.  Marine Le Pen maintient sa première place et continue même  à progresser  avec 27% des voix.  Dans ce climat de fin de règne et de dynamique nationale, il n’y a rien d’étonnant à ce que le Système multiplie les attaques, tous azimuts,  contre le camp national et patriotique. On le voit bien sûr avec les persécutions judiciaires orchestrées contre le FN par certaines instances bruxelloises et relayées en France par le pouvoir socialiste. Hier à Nantes, Marine a d’ailleurs appelé solennellement  les magistrats à « ne pas contrecarrer la volonté du peuple ». « L’Etat de droit est le contraire du gouvernement des juges.  Les magistrats sont là pour appliquer la loi, pas pour l’inventer, pas pour contrecarrer la volonté du peuple, pas pour se substituer au législateur ».

    Parallèlement aux attaques contre le FN dans l’affaire dite des assistants parlementaires, une nouvelle offensive a été lancée ces derniers jours avec la mise en examen  du dirigeant de la société Riwal, Frédéric  Châtillon,  prestataire de service du FN.  Certes, ce n’est pas une surprise, le 22 février lors de son passage au JT de TF1, Marine avait prévenu les Français que  les coups bas, les manips médiatiques ne faisaient que commencer… Car il s’agit  de tout faire pour porter au pouvoir  le « candidat des assurances »  ou celui  « des banques et des médias » relevait encore la présidente du FN  hier. «  Voyez avec quel zèle les puissances d’argent prennent ouvertement parti pour Emmanuel Macron, comme Pierre  Bergé  qui met son journal Le Monde à son service… »

    Les supplétifs du Système que sont les milices d’extrême gauche sont également entrées dans la danse, chargées par le pouvoir  de créer un climat anxiogène de violences autour de la campagne du FN et des déplacements de sa candidate. Le but poursuivi est assez limpide:  faire peur aux Français en brodant sur le thème plus ou moins  subliminal  du voyez ce qui vous attend si Marine gagne la présidentielle… ». Ce fut la cas cette fin de semaine avec la mise à sac du centre-ville de Nantes lors de la manifestations organisée notamment à l’appel  de  l’Union démocratique bretonne (UDB) et des zadistes de Notre-Dame des Landes. «11 policiers et gendarmes ont été blessés et contusionnés». Parmi eux, un gendarme a été brûlé au deuxième degré aux jambes. Il a été hospitalisé », a précisé un communiqué de la  gendarmerie.

    Hier, un bus transportant des frontiste a été attaqué par des zadistes sur la RN137,  à proximité de Notre-Dame-des-Landes, la route ayant été coupée pour empêcher l’arrivée au Zénith de Nantes où Marine a tenu une réunion qui a battu tous les records d’audience sur cette terre de l’ouest  réputée rétive au vote FN… Le ministre de l’Intérieur Bruno Le Roux a «condamné avec la plus grande fermeté les violences commises»;  ce qui ne mange pas de pain mais ne lève pas les interrogations légitimes sur le maintien de l’autorisation accordée  à cette manifestation d’extrême gauche, - a fortiori en plein état d’urgence-,  dont il était évident qu’elle serait le théâtre de débordements et d’exactions.

    La palme de l’hypocrisie pourrait être aussi  attribuée  à François Fillon qui dans un communiqué a accusé  « solennellement le Premier ministre et le gouvernement de ne pas assurer les conditions d’un exercice serein de la démocratie », « ils portent une très lourde responsabilité en laissant se développer dans le pays un climat de quasi-guerre civile qui ne peut que profiter aux extrêmes ».  Mais le candidat de la droite libérale s’est aussi signalé en établissant un parallèle particulièrement malhonnête entre l’action des milices d’extrême gauche et la réunion publique de M Macron à Toulon le 18 février  « perturbé » dit-il  (pacifiquement) par un rassemblement de Pieds Noirs et de militants FN protestant contre les propos scandaleux de l’ex ministre de l’Economie sur la colonisation.

    Si Bernard Cazeneuve fut un ministre très inefficace dans la lutte contre la délinquance et très peu apprécié par les policiers et gendarmes lors de son passage place Beauvau, il entend utiliser son nouveau costume de ministre de l’Intérieur pour lutter lui aussi activement contre le Front National. Le site de BFMTV souligne que M. Cazeneuve  « va mettre à profit ses dernières semaines à Matignon pour enchaîner les déplacements thématiques contre le Front National. » « Ma responsabilité est de tout faire pour démontrer aux Français que les propositions du FN sont des impasses dissimulées derrière des mensonges », affirme-t-il dans le Journal du dimanche.  « Pour moi la priorité c’est le rassemblement pour faire barrage au Front National» précisant qu’il se déplacera en province  (avec l’argent des contribuables ? s’interroge Bruno Gollnisch) pour  «  souligner les dégâts causés par le FN »,  «le « populisme dangereux et mortifère » comme il la affirmé pareillement dans Le Parisien.

    Populisme dont il pourrait après tout aussi faire le reproche  au  Parisien qui a eu le front de faire état que la famille de Théo, ce jeune homme sérieusement blessé après un contrôle de police le 2 février àAulnay-sous-Bois, « est au coeur d’une enquête financière pour abus de confiance et escroquerie. Les interrogations portent sur une somme de 678 000 euros»,  perçue « entre janvier 2014 et juin 2016 par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi, dit contrat aidés» (une usine à gaz socialiste parmi d’autres). «Une affaire qui embarrasse les autorités, et ce jusqu’au plus haut sommet de l’Etat».

    Toutes choses qu’un François Hollande s’est bien gardé de dire aux Français quand, devant les caméras, il tressait des louanges à la famille de Théo  Luhaka ou pire encore peut-être, dont il n’était même pas au courant en allant au chevet du jeune homme, omettant de se rendre à ceux des policiers blessés dans les manifs d’extrême gauche ces derniers mois. Nous l’avons dit, pour fustiger les Français qui entendent rester eux mêmes,  « cette putain de France »  décrite comme  « raciste », dixit Oulaya Amamra sacrée meilleur espoir féminin à la cérémonie des Césars pour  son rôle dans le film Divines (sic), toutes les arnaques et tous  les coups s(er)ont permis.

    https://gollnisch.com/2017/02/27/tous-les-coups-sont-permis/

  • Me Frédéric Pichon : « La gauche, depuis 1793, est intrinsèquement totalitaire »

    8808-20170225.jpgMe Frédéric Pichon, président du Collectif des avocats libres et avocat de Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine, qui fait l’objet de multiples poursuites judiciaires, a accordé un entretien au quotidien Présent sur la restriction de la liberté d’expression en France. Il demande l’abrogation des « lois liberticides » comme la loi Pleven. C’est cet entretien, réalisé par Louis Lorphelin, que nous publions ci-dessous.

    Présent : En quoi l’éventuelle condamnation de Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine et convoquée le 1er mars prochain devant la 17e chambre, serait-elle un cap franchi dans la restriction de la liberté d’expression en France ?

    Me Frédéric Pichon : Jusque-là, la loi Pleven n’était censée réprimer que la provocation à la haine supposée contre les personnes à raison de leur religion ou de leur race. On pouvait en revanche critiquer les religions. Mme Tasin est poursuivie pour avoir critiqué l’islam. On franchit donc un cap dans cette affaire puisque c’est la possibilité même d’émettre des avis critiques sur l’islam qui pourra être poursuivie. Ce qui est particulièrement grave.

    Vous parlez de l’arsenal juridique comme du « harcèlement » et « d’une arme de guerre contre toute pensée alternative. » N’est-ce pas un peu fort ?

    Lorsque votre client est convoqué quatre fois dans la même semaine chez les policiers ou dans le bureau du juge, je n’hésite pas à appeler cela du harcèlement ou de l’intimidation. Quand on perquisitionne votre client pour une caricature de Mme Hidalgo, ça n’est pas tellement Charlie. Lorsqu’on menace une cliente qui habite au fin fond de la Normandie de la faire venir de force dans le bureau du juge pour une caricature de Cazeneuve, je dis qu’on perd le sens de la mesure.

    D’autant que, encore une fois, le parquet n’était pas obligé de poursuivre dans certains cas puisque ce sont des plaintes simples qui ont été déposées. Or, en matière de presse, seule une plainte avec constitution de partie civile ou une citation directe peut lancer l’action publique. En choisissant de poursuivre sur la base de plaintes bancales sur le plan juridique, la section AC4 du parquet, qui pourtant connaît parfaitement le droit de la presse, agit en connaissance de cause.

    Vous parlez d’un « deux poids deux mesures » dans le processus judiciaire, et d’une collusion entre la justice et certaines associations. Pouvez-vous nous en dire plus ?

    Il suffit de voir la jurisprudence qui concerne le racisme anti-français et anti-chrétien et la comparer avec les autres types de discrimination pour s’en rendre compte. Quand Jean-Paul Agon ou Anne Lauvergeon se sont vantés d’avoir fait de la discrimination positive, non seulement ils n’ont pas été condamnés, mais la 17e chambre a même condamné l’Agrif (association qui lutte contre le racisme anti-français et anti-chrétien) pour procédure abusive. A l’inverse, il suffit que la Licra fasse le moindre signalement pour que le Parquet, tel un bon élève, engage immédiatement des poursuites permettant ainsi d’économiser des frais de consignation aux « ligues de vertu ».

    Quelles seraient les solutions pour un débat plus serein en France ?

    La solution n’est pas judiciaire. Ça n’est pas en cassant le thermomètre que l’on va arrêter la fièvre. Une société multiculturelle est une société multiconflictuelle. Or, je crois à la phrase de Saint-Exupéry : « Aimer, c’est regarder ensemble dans la même direction. »

    Pour construire un véritable avenir, il faudrait que la France n’ait pas peur de son ombre, qu’elle assume fièrement son passé, qu’elle l’enseigne aux nouveaux arrivants en imposant le respect. Or, la gauche n’a cessé de dévaloriser notre histoire aux yeux de ces populations nouvelles. Comment imposer le respect, quand Macron déclare que la colonisation française a été un crime contre l’humanité ?

    Qu’est-ce qui justifie aujourd’hui, selon vous, le maintien de ces lois liberticides ?

    La gauche, depuis 1793, est intrinsèquement totalitaire. Quant à la droite libérale, elle reste sur une posture défensive lorsqu’elle ne prend pas les devants de peur de passer pour réac ou ringarde. C’est sous la droite que la plupart des lois liberticides ont été votées.

    Il y a derrière tout ça un manque réel de courage politique. A cela s’ajoute le puissant poids politique des lobbies que peu d’hommes politiques ont le courage de dénoncer. Il faut donc changer de paradigme et abolir ces lois.

    Entretien paru dans le quotidien Présent

    http://fr.novopress.info/

  • Tout faire pour barrer la route à Marine Le Pen : même la violence

    Il est grand temps que les patriotes se réveillent et réagissent.

    Onze policiers et gendarmes ont été blessés, et des dégradations importantes en centre-ville ont été commises à l’occasion de heurts, parfois extrêmement violents, qui ont émaillé la manifestation organisée à Nantes, samedi après-midi, contre la venue de Marine Le Pen. À l’appel de la CGT et de l’Union syndicale solidaires et des jeunes communistes, environ 2.000 personnes s’étaient rassemblées pour protester contre la tenue du meeting prévu, ce dimanche, par la candidate du Front national à l’élection présidentielle.

    Selon un scénario désormais bien connu, à peine le cortège de la manifestation parti, plusieurs centaines d’individus, cagoulés et casqués, appartenant à l’extrême gauche, s’en sont rapidement pris aux forces de l’ordre ainsi qu’au mobilier urbain, aux magasins et aux édifices publics, lors de véritables batailles rangées. Si de tels comportements ont souvent été observés par le passé lors de la tenue de réunions ou de rassemblements du Front national, ils prennent désormais une autre signification et une tout autre dimension.

    En effet, il apparaît clairement qu’après avoir « neutralisé » le candidat de la droite parlementaire à l’élection présidentielle en usant des moyens les plus détestables, les forces socialo-gauchistes farouchement opposées à une possible victoire de Marine Le Penen mai prochain – et des forces de droite d’un façon générale – ont décidé de la combattre par tous les moyens. Sur le terrain judiciaire tout d’abord, en lançant juges et policiers aux basques de celle qui fait la course en tête dans les sondages depuis maintenant plusieurs mois.

    C’est ainsi qu’après avoir saturé l’espace médiatique avec l’affaire Penelope, c’est maintenant au tour des assistants parlementaires du FN à Bruxelles d’occuper des pans entiers de l’actualité.

    Comme cela a été le cas pour François Fillon, il s’agit d’appliquer le constat cher à Voltaire selon lequel : Médisez, médisez, il en restera toujours quelque chose. »

    C’est ensuite en coupant l’herbe sous le pied de la présidente du parti frontiste lors de ses déplacements à l’étranger, afin qu’aucun dirigeant européen ne la reçoive. Par ces manœuvres méprisables et ignominieuses, la gauche encore au pouvoir entend ainsi discréditer la réelle dimension politique de Marine Le Pen aux yeux des Français. Enfin, jouant sur toutes les peurs, et afin d’accréditer la thèse selon laquelle l’arrivée au pouvoir de la candidate du FN serait synonyme de chaos, voire même de guerre civile, des manifestations (telle celle de Nantes) sont subtilement orchestrées et manipulées dans l’espoir de voir un maximum d’électeurs renoncer à leur vote en faveur de la dirigeante frontiste.

    Tous ces procédés, dignes des pratiques mises en œuvre par les partis extrémistes au pouvoir dans certains pays lors de la première moitié du 20e siècle, sont profondément antidémocratiques. Ils sont destinés à occulter les nombreux échecs de ceux, droite et gauche confondues, qui gouvernent la France depuis plusieurs décennies. Ils veulent se substituer aux programmes de gouvernement ineptes et voués au fiasco, de politiques qui ne visent plus que leurs intérêts personnels. Ils entendent, enfin, tromper les Français et diriger leur choix électoral, fût-ce au prix de la tromperie et du déshonneur.

    Face à de telles méthodes, il est grand temps que les patriotes se réveillent et réagissent. Si un sursaut, qui ne sera possible que dans l’union des droites, n’intervient pas rapidement, le changement qui était promis et tant attendu en mai prochain sera définitivement compromis.

    http://www.bvoltaire.fr/olivierdamien/faire-barrer-route-a-marine-pen-meme-violence,316216