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SELON LA PRESSE FRANÇAISE MAINSTREAM, ET DE MANIÈRE UNANIME, LES « RÉFUGIÉS » AURAIENT BOOSTÉ LA CROISSANCE ALLEMANDE EN 2016. POURTANT, UNE ÉTUDE OFFICIELLE DE L’OFFICE FÉDÉRAL ALLEMAND AUX MIGRATIONS ET AUX RÉFUGIÉS DÉMONTRE QUE LES RÉFUGIÉS REPRÉSENTENT BIEN AU CONTRAIRE UNE CHARGE NETTE NON SEULEMENT LOURDE, MAIS QUI PLUS EST DURABLE POUR L’ÉCONOMIE ALLEMANDE.
immigrés clandestins en partance pour l’Allemagne, gare de Vienne, septembre 2015.
Qu’il s’agisse du Monde, de RTL, des Échos ou de La Tribune, la presse française de gauche comme de droite est unanime et ne connaît ni nuance ni pluralisme des opinions sur ce sujet : l’arrivée des réfugiés a dopé la croissance allemande, qui a ainsi bénéficié d’un coup de pouce de 0,25% pour atteindre les 1,9%. C’est une information de source sûre, puisque provenant de l’Office Fédéral allemand de la Statistique (Statistisches Bundesamt / Destatis) – l’équivalant de notre INSEE. Hourrah ! La preuve est faite ! Quelle aubaine !
Face aux deux impératifs que constituent le libre fonctionnement de notre démocratie et l’exercice de la justice, il était important de choisir.
Convoquée par la police dans le cadre de la procédure diligentée par la justice au sujet des assistants du Front national au Parlement européen, Marine Le Pen a refusé de déférer. La candidate à l’élection présidentielle a, en effet, considéré que « cette période [la campagne électorale] ne permettait ni la neutralité ni la sérénité nécessaires au fonctionnement correct de la justice ».
Cette décision, courageuse, ne peut qu’être approuvée. En effet, l’immixtion de l’appareil judiciaire dans le processus démocratique que connaît actuellement notre pays, notamment du fait de l’affaire Fillon, démontre l’incompatibilité évidente qui existe entre les déroulements simultanés de ces deux processus. D’abord parce que, au nom du principe de la séparation des pouvoirs, il apparaît comme extrêmement choquant que le juge puisse devenir l’arbitre d’une consultation électorale majeure comme l’est une élection présidentielle.
En effet, la séparation des pouvoirs exécutif, législatif et de l’autorité judiciaire est un des marqueurs fondamentaux de notre démocratie représentative. Elle est, en théorie au moins, l’assurance qu’aucun d’entre eux ne prendra le pas sur l’autre, et que l’exercice de la démocratie sera ainsi protégé d’un retour à l’absolutisme sous quelque forme que ce soit. Force est, cependant, d’admettre que l’actuelle organisation de notre système judiciaire, qui voit le rattachement des magistrats du parquet au ministre de la Justice – donc à l’exécutif -, n’est pas sans poser de sérieuses questions.
De ce fait les procédures qui sont à ce jour conduites contre Marine Le Pen et François Fillon peuvent-elles faire l’objet de suspicions légitimes, puisque aucune forme de connivence entre le pouvoir en place et la justice ne peut être formellement écartée.
Par ailleurs, cette confusion des genres, qui jusque-là ne porte préjudice qu’à une partie bien ciblée de la classe politique – par ailleurs longtemps considérée comme favorite dans la course à l’Élysée -, est largement entretenue par des médias qui sont tout sauf indépendants. Idéologiquement et financièrement inféodés au pouvoir en place, la presse, à quelques exceptions près, a fait le choix d’intervenir systématiquement comme témoin à charge. Usant de la faculté qui est la leur, au nom d’une information qui fait souvent fi de la présomption d’innocence, les médias, par la fréquence de leurs interventions et les orientations délibérées de leurs communications, portent intentionnellement préjudice à des acteurs politiques soigneusement choisis.
Le temps de l’élection n’est donc pas le temps du procès pénal. Si la justice avait voulu faire son travail, elle n’avait qu’à le faire plus tôt. En effet, les affaires qui sont aujourd’hui dévoilées sont connues depuis longtemps et auraient pu faire l’objet d’investigations bien en amont de la campagne présidentielle. Par ailleurs, la nature des affaires soulevées, qui relèvent de la pratique politique, ne requiert en rien des actes d’enquête urgents. Ainsi, la précipitation judiciaire observée dans le cas de l’affaire Penelope, ainsi que les convocations policières à grand spectacle organisées à l’attention de la présidente du Front national, ne peuvent que susciter des interrogations quant aux buts réellement poursuivis.
Face aux deux impératifs que constituent le libre fonctionnement de notre démocratie et l’exercice de la justice, il était donc important de choisir. Marine Le Pen s’est déterminée. François Fillon aurait été bien inspiré d’en faire autant.
Sous prétexte de calmer le jeu, la passivité et la complaisance affichée du pouvoir envers la « cause » des banlieues en général et de Théo en particulier ne font que conforter les émeutiers. Pendant que la guérilla urbaine s’étend, le PS, s’appuie sur la bien-pensance et rêve de présidentielles.
À feu et pas encore trop à sang, mais pour combien de temps ? Les banlieues dites « populaires » en novlangue (comprendre à fort taux de population immigrée ou d'origine immigrée) sont la proie d'émeutes de plus en plus violentes. L'étincelle qui a mis le feu aux poudres, c'est l'arrestation musclée de Théo, 22 ans, le 2 février à Aulnay-sous-Bois. Interpellation durant laquelle le « jeune » raconte avoir subi un viol à coups de matraque par l'un des policiers, déchirure à l'anus et 60 jours d'incapacité totale de travail (ITT) à l'appui de son récit.
S'en suivent plusieurs journées de manifestations à Aulnay puis à Bobigny, « en marge » desquelles pillages, destructions, affrontements violents avec la police se succèdent et font tache d'huile en Seine-Saint-Denis. Les habitants n'attendent évidemment pas les conclusions de l'IGPN, la police des polices, pour se lancer dans leur vendetta, pas plus que la presse, d'ailleurs, qui relaie com-plaisamment la version de Théo. « Je me mets contre le mur, tranquillement, et là un des policiers vient et m'assène un coup », explique-t-il. « Je l'ai vu avec sa matraque il me l’a enfoncée dans les fesses, volontairement. »
Une guerre civile de basse intensité
Plus étonnant (?), le silence du ministre de l'Intérieur (rappelons à nos lecteurs qu'il se nomme Bruno Le Roux) et la visite de François Hollande au chevet du blessé pour appeler au calme. Appel, appuyé par celui de Théo, qui ne sera pas entendu.
La présence du « président » auprès de la victime atteste aux yeux de tous la culpabilité de la police, qui a apprécié le déplacement d'un Hollande, absent au chevet des flics brûlés vifs dans leur voiture à Viry-Châtillon.
D'ailleurs, les bœufs-carotte, pourtant réputés intraitables, concluent à une blessure involontaire de la part du flic matraqueur. Celui-ci décrira l'interpellation du trafiquant de drogue, très violent « Il se débattait, portait des coups de poing à tout va… » Un peu plus loin, il explique qu'« il continuait de piétiner le gardien de la paix D qui se trouvait toujours dos contre sol » et que c'est à ce moment qu'il assène à Théo des coups de matraque dans les jambes, ne s'expliquant pas la provenance de sa blessure à l'anus.
Anus qui va donc servir d'étendard aux casseurs d'Île-de-France et de province, qui régulièrement font reculer la police sous le nombre et la violence de leurs assauts, lesquels s'apparentent bien souvent à de la guérilla urbaine. Car si les émeutes sont encore inorganisées, malgré les tentatives de l'ultra-gauche d'infiltrer et de coordonner le mouvement, elles ne sont qu'un nouvel épisode de cette guerre civile de basse intensité qui voit s'affronter les « territoires perdus de la République » et les forces de l'ordre.
L'anus de Théo
Les jeunes considèrent d'ailleurs ces dernières comme une simple bande rivale qu'il convient de chasser de son territoire, à coups de cocktails Molotov et de « Allahu Akbar », souvent entendus dans les vidéos prises sur le vif et qui témoignent que la dimension ethnico-religieuse se mêle à la simple délinquance dans ces affrontements.
Le « pouvoir », lui, gère la situation à sa manière. Il minimise et temporise. Parle de « quelques dizaines de casseurs », alors que les rapports de police font état de centaines d'émeutiers. « S'il y a des manifestations, il n'y a pas l'autorisation de casser », tance Hollande le 14 février. Un truisme que n'aurait pas renié Macron. L'explication semble évidente le PS est tétanisé à l'idée de déplaire à son électoral fétiche, minorités ethniques, bobos et gauchistes. Il s'en voudrait à mort d'encourir les foudres de la bien-pensance journalistique - qui ne découvre la vraie nature des « jeunes » que quand leurs voitures brûlent - et artistique, qui signe des appels indécents de complaisance communautariste dans Libé ou réclame justice pour Théo aux Victoires de la Musique. Alors, il demande aux associations antiracistes comment éteindre le feu qu'elles ont alimenté.
L'effet Penelopegate est passé par là, la bulle Macron semble se dégonfler et Hamon peut envisager l'impossible, une qualification au second tour, donc une très probable victoire à la présidentielle. L’Élysée vaut bien de laisser brûler une ou deux banlieues... au risque de répéter le scénario de 2005.
La famille de Théo est au coeur d'une enquête financière pour abus de confiance et escroquerie. Les interrogations portent sur une somme de 678 000 euros.
C’est une affaire qui embarrasse les autorités, et ce jusqu’au plus haut sommet de l’Etat. La famille de Théo, et Théo lui-même, se retrouvent au coeur d’une affaire financière. Selon nos informations, une enquête a été ouverte par le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour « suspicion d’abus de confiance et escroquerie » en juin dernier, soit bien avant le viol présumé du jeune homme lors d’une interpellation brutale, le 2 février dernier, à Aulnay-sous-Bois.
Cette enquête, confiée au Service départemental de la police judiciaire (SDPJ) de Seine-Saint-Denis ne remet évidemment pas en cause les violences policières présumées subies par Théo.
Tout commence courant 2015 par un contrôle de l’Inspection du travail d’Ile-de-France concernant l’association Aulnay Events dont le président est Mickael Luhaka, l’un des frères de Théo. L’association est censée avoir embauché 30 salariés, formés pour être animateurs de rue. Le but d’Aulnay Events ? Lutter contre la violence dans le département... L’association aurait reçu, entre janvier 2014 et juin 2016, 678 000 euros de subvention d’Etat par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi, dit contrat aidés.
Mickael Luhaka se défend d’avoir employé des salariés fantômes
S’agit-il d’employés fantômes ? Lors du contrôle de l’Inspection du Travail aucun élément matériel probant n’a pu être produit par les dirigeants de l’association pour étayer la réalité des emplois. Par ailleurs, plus de 350 000 euros de cotisation sociales, notamment URSSAF, n’ont pas été réglées. Entre temps, l’association a mis la clef sous la porte. D’où un signalement en avril 2016 de l’Inspection du Travail auprès du procureur de la République de Bobigny.
Toujours selon nos informations, les investigations des policiers du SDPJ 93 auraient montré que huit membres de la famille Luhaka, tous habitant à Aulnay-sous-Bois, ont perçu de l’association plus de 170 000 euros par virement, dont 52 000 euros sur le seul compte de Théo. Contacté par « Le Parisien », Mickael Luhaka se défend d’avoir employé des salariés fantômes, précisant avoir recruté en CDI plus d’une trentaine de salariés, dont les membres de sa famille. Il confirme avoir été interdit bancaire, tout comme son frère.
Tout à l’Ouest de l’Europe se dressait autrefois un beau pays… mais ça, c’était avant ! Avant que la Nation ne soit envahie par des extra-Européens violents, haineux et dépourvus de tout respect pour les institutions et les valeurs de la République. Avant que l’État ne soit mis en coupe réglée par une racaille politicienne et sectaire, manipulée par d’étranges spéculateurs qui ont parié sur le déclin irréversible de la race européenne.
Effectivement, le règne de Bouffon Premier se termine plus mal encore qu’il n’a débuté… c’était pourtant difficile. Mais, n’écoutant que sa malfaisance et sa jeune maîtresse, il est parvenu à ridiculiser un peu plus encore ses crétins de compatriotes qui l’avaient hissé à un niveau, hélas sans aucune mesure avec ses faibles capacités.
Rappelez-vous ! Son règne commence par une rixe provoquée par un groupe de gauchistes s’attaquant à un homme isolé qui a le malheur d’avoir les cheveux courts et d'aimer son pays. Une baffe et l’un des assaillants, un peu trop léger pour jouer au lutteur de foire d’autant qu’il est convalescent d’une maladie gravissime, tombe sur le trottoir et meurt d’hémorragie cérébrale. Il y a légitime défense, mais, voilà, les gauchistes sont les nervis d’un curieux ministre de l’Intérieur et l’assailli, devenu bien malgré lui meurtrier par accident, est enfermé quinze mois en prison.
La bouffonnerie a dégénéré en drame et un groupe d’innocents est jeté en pâture à l’opinion publique : « pour sauver la Ripoublique », on démantèle plusieurs organisations populistes, qui n’étaient pour rien dans l’affaire. Le règne commence par une énorme supercherie médiatique et la mort absurde d’un jeune étudiant qui avait mieux à faire qu’à singer les gros bras.
On vit une ambiance de fin de règne, à la fois désastreux et ridicule. Pour fêter ce non-événement, on ne trouve rien de mieux qu’une série d’émeutes raciales, après qu’un quarteron de policiers, agacés ou abrutis, ait malmené un honorable rejeton de l’immigration africaine… un « Subsaharien », comme l’on dit de nos jours, pour éviter d’annoncer la couleur de peau, comme si elle était une tare.
On brûle des voitures, on casse des vitrines, on gueule des slogans de haine contre les Blancs et les forces de l’ordre, enfin l’on empêche les enfants et les adolescents d’entrer dans les établissements scolaires. Bouffon Ier peut être fier de lui : même ses plus mauvais prédécesseurs – et il y avait de la concurrence – n’ont pas été aussi ridicules.
Ni surtout aussi nuls. Car, en cette fin de règne lamentable, la France compte plus de 5 millions de chômeurs des trois catégories A, B et C ; la Dette publique atteint des records, à l’instar de la violence urbaine et du racisme dirigé contre les Blancs, ces autochtones qui sont pourtant encore majoritaires dans ce qui fut un beau pays.
Mais il n’était beau que parce que l’on y était patriote et travailleur. Ohé, les idiots de Français ! Quand allez-vous cesser de dormir, de rêvasser entre deux tiercés et autant de bières ?
C’est en 2017 que le changement est possible. Il est même urgent ! Car, au train où vont l’immigration extra-européenne (l’officielle et l’illégale) et la natalité des hôtes non désirés par la Nation – qui n’a jamais été consultée sur l’immigration africaine et proche-orientale -, on ne sait trop ce que sera le rapport démocratique des forces dans cinq ans. La démocratie n’est que la loi du nombre. Pas celle de l’intelligence, du travail, de la valeur, de la qualité. Rien que la toute-puissance de la quantité.
Bouffon Ier s’en va ! Évitons d’élire Bouffon II… car, dans les séries à épisodes les remakes sont souvent pires que la première époque. Plus lamentable que Bouffon actuel, on a du mal à le concevoir. Pourtant, au prodige d’inefficacité pourrait succéder un prodige de la super-nuisance ! Il serait judicieux d’y penser et de démontrer aux spéculateurs qu’ils se sont trompés en nous jugeant « finis ».
"[...] quand on parle d’homophobie, les Français entendent qu’il y a eu insulte, rejet, haine vis-à-vis d’une personne ou d’un groupe de personnes homosexuelles. Cela n’a jamais été le cas à La Manif Pour Tous Mais, pour disqualifier le mouvement, ses opposants ne cessent pas de parler d’homophobie : c’est en fait, depuis le premier jour, leur seul et unique « argument », tellement pratique pour éviter et fuir toute confrontation d’idées et débat de fond.
En fait, ils accusent d’homophobie toute personne ou organisme qui n’est pas d’accord avec les associations militantes LGBT, quel que soit le sujet, banal ou grave, qu’il s’agisse de concepts ou de revendications aussi radicales que minoritaires dans la société. J’indique, au passage, que ces associations ont à elles toutes quelques milliers d’adhérents à peine, ce qui signifie qu’elles ne représentent pas l’ensemble des personnes LGBT, loin s’en faut.
[...] Caroline Mécary avait ainsi qualifié, le 16 octobre dernier sur BFM TV, tous les présidents des partis de droite de « belle brochette d’homophobes » ! Lancer cette accusation à tort et à travers banalise des actes rares, mais parfois réels malheureusement. Quelle erreur !
[...] Avec les propos d’Emmanuel Macron sur l’humiliation subie par les sympathisants de La Manif Pour Tous, la falsification a franchi un pas supplémentaire, et même un pas de géant :
D’abord parce qu’Emmanuel Macron, en dépit de tout ce qu’ont subi ces sympathisants – dénis, mépris, insultes – y compris de François Hollande et Manuel Valls –, gaz lacrymogène, interpellations, violences, etc, se voit littéralement interdit de l’évoquer ! Il y a de quoi s’inquiéter de l’état de notre démocratie et de la liberté d’expression. L’ancien ministre de l’économie ne fait d’ailleurs que relayer les avis du Défenseur des droits qui, à plusieurs reprises, a souligné les dérives des forces de l’ordre et l’usage disproportionné de la force face aux manifestants paisibles et aux familles de La Manif Pour Tous.
Par ailleurs, suite aux propos d’Emmanuel Macron, des déclarations homophobes ont été évoquées ou publiées par quelques personnalités et médias comme étant de La Manif Pour Tous. Certains ont même repris une insulte homophobe originaire d’un fait divers de la fin des années 90 et qui, si elle concernait réellement La Manif Pour Tous, aurait suscité une énorme polémique… Seulement presque 4 ans après le vote de la loi Taubira, il est très facile de réécrire l’histoire, de prétendre tout et n’importe quoi, d’inventer et de fantasmer : le public oublie, confond et ne réalise pas qu’on cherche à le berner !
[...] Cela n’a rien de nouveau bien-sûr. C’est ainsi, que le 2 février 2014, des militants d’associations LGBT étaient venus manifester avec La Manif Pour Tous avec de faux panneaux, fabriqués par eux-mêmes, portant des slogans homophobes… avec les couleurs et logo de La Manif Pour Tous. Nous les avions pris sur le fait au bout de quelques minutes et ils avaient raconté l’échec de leur manipulation ensuite sur internet, même pas gênés ! Il faut dire que le raconter en ligne a pour avantage d’avoir laissé à disposition des internautes leurs faux panneaux…
De cette incroyable malhonnêteté, il résulte que ceux qui prétendent défendre les personnes homosexuelles sont eux-mêmes à l’origine de la diffusion de propos ignobles, infâmants, haineux. Et ce sont eux qui, montrant tous ceux qui défilent, disent aux personnes homosexuelles : « vous voyez, ces gens-là vous détestent ! » Ils font eux-mêmes souffrir les personnes concernées. C’est tragique.
Quant à l’humiliation, quant au mépris des pouvoirs publics, quant aux violences à notre égard, nous n’en parlons quasiment jamais. Nous ne faisons pas de la victimisation notre porte-étendard, contrairement à d’autres. Devrions-nous rappeler les 700.000 pétitions jetées à la poubelle alors qu’elles étaient parfaitement conformes à la loi organique, comme l’a reconnu le tribunal administratif de Paris un an plus tard ? Devrions-nous rappeler les insultes quotidiennes sur les réseaux sociaux et les menaces par téléphone, SMS et lettres anonymes qui ont conduit à mettre les dirigeants de La Manif Pour Tous sous protection policière ? Devrions-nous rappeler les multiples décisions judicaires qui ont été rendues, attestant des injures et violences, parfois graves, subies par des militants de la Manif pour Tous ? Faut-il rappeler tous les jours qu’il n’y en a pas eu une seule condamnation de La Manif pour Tous pour un propos ou un agissement infractionnel ?
Mais notre combat est ailleurs, notre priorité est d’une autre nature : ce qui nous importe avant tout, c’est le respect de l’altérité sexuelle, de l’intérêt supérieur de l’enfant, de la société. Sujets dont se fichent manifestement certaines personnalités.
Cependant, la falsification de l’histoire, arme de guerre psychologique et politique, nous ne pouvons l’accepter non plus. Rien ne nous fera taire, ni les mensonges, ni la malhonnêteté, ni les menaces. Les prochains mois seront décisifs pour l’avenir de notre société et la vie quotidienne des familles de France. Comme nous l’avons toujours dit, « on ne lâche rien ! »"
Si une preuve était encore nécessaire que l’élection à la présidence de Marine Le Pen est prise très au sérieux dans le monde, la présentation de son programme de politique étrangère le 23 février, l’a apportée. C’est devant un parterre d’une cinquantaine de représentants de pays étrangers et une foule de journalistes du monde entier qu’elle l’a développé durant une heure. Parmi les délégations de nombreux ambassadeurs de pays d’Asie notamment. Une démonstration que la presse française quasi-unanime a tout simplement boycotté, car elle démontre que l’accession à la présidence de la fille de Jean-Marie Le Pen prend de plus en plus de crédit sur la scène internationale, où elle fait naître l’espoir d’un nouvel ordre mondial multipolaire.Le gros médias mainstream aux mains des magnats cosmopolites et apatrides de la presse préfère se focaliser sur les manigances d’une « Justice » aux ordres.
La candidate à la présidence a fait un discours d’une heure dans lequel elle a fustigé une diplomatie française couchée et soumise à des diktats étrangers, accusant la diplomatie occidentale en générale de se voiler la face face aux réalités, conduite seulement par des idéologie mondialistes.
Elle a déploré l’invasion de l’Irak et la «dissolution» de son armée comme «une faute» et a pris pour appui le le récent rapport parlementaire britannique consacré aux responsabilités dans l’invasion de ce pays qui «place au premier plan l’ignorance des réalités et la méconnaissance du terrain». De même en ce qui concerne le soutien occidental «aux islamistes supposés modérés en Syrie» qui «a été et demeure une erreur». Faisant le lien avec les mouvements migratoires de masse, elle a jugé«irresponsable de ne pas voir dans ces grands mouvements de populations une problématique géopolitique majeure et même dans certains cas une menace pour la paix et l’équilibre du monde».
Photo extraite de la vidéo de Russia Today
«Indépendance et équilibre» et Haute trahison
Marine Le Pen présidente de la République annonce donc un virage à 180° sur la politique moyen-orientale de la France et fonde son projet international sur deux piliers : «l’indépendance et l’équilibre». Pour donner du poids à cette ambition elle entend que la dissuasion nucléaire «joue tout son rôle» et que le budget de la Défense soit inscrit dans la Constitution et chiffré à 2% du PIB pour atteindre 3% en fin de quinquennat.
Dans le cadre d’une politique multipolaire, le mot-clef de son orientation, elle veut faire du principe de non-ingérence un des fondements de sa diplomatie. Marine Le Pen a regretté que la France se soit engagée dans «des guerres qui ne sont pas les siennes, pour des intérêts qui ne sont pas les siens et qui sont contraires aux objectifs fixés par les Nations unies». Elle a cité l’exemple de l’agression de la Libye ou de l’agression indirecte de la Syrie. La potentielle présidente s’est montrée très accusatrice envers la diplomatie française du gouvernement de François Hollandepour ses livraisons d’armes aux «rebelles» qui ont bénéficié en partie à l’Etat islamique et qui ont «peut-être tué des Français».
Celle qui caracole en tête des sondages a trouvé stupide la décision du pouvoir socialiste de couper les relations avec les services de renseignement syriens. «Combien d’attentats auraient pu être évités ?», s’est-elle interrogée. Elle s’est étonnée de l’incompétence des services de renseignement français qui «ont servi des intérêts étrangers ce qui s’appelle de la haute trahison».
L’Union européenne pointée du doigt
«En Europe aussi, il est temps d’en finir avec une Union européenne tentée par la fusion qui détruit l’Europe des nations». Elle a jugé que Bruxelles se trouvait «à rebours de l’Histoire, mise en congé du monde» et que «partout la globalisation naïve est battue en brèche, partout c’est le patriotisme économique qui triomphe». «Il faut en finir avec ce monstre bureaucratique […] L’Union diminue la France, elle la sépare du monde. Je ne me résous pas à voir la France diminuée, dépendante, séparée», ajoutant que l’Union européenne allait rejoindre «le musée des constructions idéologiques sans lendemain». «Que Mme Merkel, M. Schulz ou les autres commissaires le veuillent ou non, nous bâtirons une autre Europe», a-t-elle pronostiqué. La candidate la mieux placée dans les sondages entend «remettre à plat les traités européens et engager résolument la France dans la construction d’une Europe des nations libres».
Les USA de Donald Trump, un espoir
Qualifiant les Etats-Unis, d’ «allié» qui s’était comporté en «adversaire». Elle a évoqué une «surchauffe stratégique» et des «dérives dans l’expression de la force»notamment au Moyen-Orient: Irak, Libye, et Syrie avec des «jeux dangereux» avec les groupes terroristes.
Elle attend donc «un changement de logiciel» avec l’arrivée de Donald Trump au pouvoir. Changement qui sera «positif pour le monde mais également pour les Etats-Unis». «Je salue son réalisme et sa volonté de changement» a déclaré Marine Le Pen. L’OTAN n’en a pas été quitte, avec sa « structure anchronique« . Elle souhaite que la France quitte son commandement intégré afin de «rétablir l’indépendance» de ses forces.
«Arrimer la Russie au continent européen»
Pour Marine Le Pen présidente, la Russie est considérée comme un «élément décisif de l’équilibre des forces qui peut pacifier la mondialisation». Ce pays, selon elle, a été«maltraité par l’Union européenne et une France vassalisée» rappelant notamment l’épisode de l’annulation de la vente des Mistral sous pression américaine dans le sillage de la crise ukrainienne. Interpelant la Russie, elle a rappelé que les Russes n’ont pas oublié le pillage des ressources de leur pays par de jeunes consultants frais et moulus de l’école de Chicago qui l’ont organisé dans les années 90 avec leurs complices oligarques russes qui gravitaient dans l’entourage de Boris Eltsine. «La Russie n’est plus l’URSS» a-t-elle lancé, le pays a «payé le tribut le plus lourd lors du dernier conflit mondial avec 25 millions de morts». La France de Marine Le Pen entend contribuer à «arrimer la Russie au continent européen» afin de ne pas la pousser vers l’Asie.
Des liens particuliers avec l’Afrique
«Non ingérence ne veut pas dire indifférence» a souligné Marine Le Pen qui a assuré que les pays africains proches de la France par leur histoire trouvent en elle un allié naturel prêt à les aider et, si nécessaire, à intervenir militairement comme c’est le cas aujourd’hui au Mali ou en Centrafrique.
Réitérant son souhait de mettre un terme à l’immigration de masse, elle a affirmé que les étudiants africains seraient les bienvenus en France tant qu’ils accepteraient de retourner dans leurs patries d’origine une fois leurs cursus terminés. Quant aux Français d’origines africaines, Marine Le Pen assure qu’ils jouiront des mêmes droits que tout citoyen français et bénéficieront de «la priorité nationale» en matières d’emploi et de logement. Dans ce cadre elle souhaite le retour d’un «ministère de la Coopération» dédié en partie aux relations avec l’Afrique.
À défaut d’être roi, il se veut faiseur de roi. À défaut de Juppé, il fait de Macron son prince.
Le 15 janvier, François Bayrou confiait au JDD : « J’ai trois portes devant moi et je n’en ferme aucune : soutenir François Fillon, rejoindre Emmanuel Macron, être candidat. » Depuis, il a fermé la porte Fillon : pas question de soutenir un candidat sali dans le Penelopegate.
Il ne lui restait donc plus que deux choix : soutenir Macron ou se présenter lui-même pour la quatrième fois. Jean Lassalle, qui le connaît bien, était persuadé qu’il serait candidat : « C’est dans son ADN. Il veut être président de la République, il sera candidat et moi aussi », avait-il déclaré sur i>Télé.
Ce mercredi, François Bayrou a rompu le suspense. Il a décidé d’offrir une alliance à Emmanuel Macron. Il pose ses conditions : une véritable alternance, une loi de moralisation de la vie publique, une séparation de la politique et de l’argent, une représentation à l’Assemblée de toutes les sensibilités politiques.
Pourtant, il recevait de nombreuses pressions pour se présenter. Mais devant la gravité de la situation, il estime devoir faire un « geste d’abnégation » qui est aussi « un geste d’espoir ». Il fait passer l’intérêt de la France avant le sien. Il se sacrifie ! Avec Macron, il va pouvoir réaliser par procuration ce dont il rêve depuis tant d’années : « le projet de dépassement des clivages ».
L’objectif de François Bayrou est donc clair. N’ayant aucune chance d’être lui-même dans le couplé final, il décide de peser sur l’ordre d’arrivée. Il rejoint donc le camp d’Emmanuel Macron où, pense-t-il, il se trouvera en meilleure compagnie qu’à droite.
Il se met en marche.
D’aucuns jugeront que, finalement, il manifeste une certaine cohérence. En 2012, il avait appelé à voter François Hollande. Cette attirance pour Macron est cependant récente. En septembre 2016, il l’avait accusé d’être le candidat de la finance : « Il y a la séparation de l’Église et de l’État. Moi, je suis pour la séparation de l’État et de l’argent », lançait-il.
Mais c’était avant la primaire de la droite et du centre, quand son ami Alain Juppé était le favori des sondages. Aujourd’hui, il a choisi Emmanuel Macron. Il révèle, ainsi, une facette de sa personnalité qui n’est pas la plus sympathique : son opportunisme dissimulé derrière de bonnes intentions. « Voilà un beau fruit de la direction d’intention », pourrait lui dire Pascal, qu’il a certainement lu.
À défaut d’être roi, il se veut faiseur de roi. À défaut de Juppé, il fait de Macron son prince.
Le benjamin des candidats n’a pas mis longtemps à accepter cette alliance. Lui qui veut incarner le renouveau, qui revendiquait hier « l’immaturité et la jeunesse politique », reçoit, en l’occurrence, le soutien d’un vieux cheval de retour.
Bientôt dans nos kiosques, dans la catégorie « presse féminine » : 100 conseils pour porter le burkini cet été ! ou Niqab ou Hidjab : 20 questions pour décider ! C’est en tous cas la crainte qui agite une grande partie de nos sphères de connaissances à tous. Nul doute que les différents candidats qui se proposent de présider la république vont aller de leurs petits commentaires pour défendre une laïcité menacée, diront-ils, par les fondamentalismes. Manière pour eux de parler du problème sans toutefois oser prononcer le mot islam, ce qui est d’une rare tartufferie.
Il est de bon ton, ou du moins est-ce dans les habitudes, chez les légitimistes, de conspuer la Loi de 1905 et d’estimer que celle-ci est une aberration, une négation de l’identité profonde de la France.
Permettez-moi d’en douter et allez, je vous prie, jusqu’au bout de l’article. Vous pourrez me vouer à la damnation éternelle une fois les présentes lignes achevées.
Que nous propose la Loi de 1905 ?
Ni plus ni moins que la garantie du libre exercice et de l’expression du culte par chacun sous réserve que cela ne cause pas de troubles à l’ordre public[1]. La république n’est pas exempte de quelques fulgurances, parfois. Vous pouvez librement prier le chapelet, annoncer l’Evangile, processionner en pleine rue : la Loi de 1905 réaffirme ces droits fondamentaux, demandant seulement que ces activités, si légitimes, ne perturbent point l’ordre. Vous avez même le droit d’essayer de convertir votre voisin de métro.
Si l’on observe bien, cette loi de 1905 est porteuse d’une vision de la pluralité religieuse. Il s’agit de séparer l’Etat de la religion : à l’Etat on doit obéir indépendamment de son appartenance religieuse. « Rendez à César ce qui est à César, à Dieu ce qui est à Dieu » disait le Christ. Les amateurs d’Histoire reconnaitront peut-être dans cette réflexion quelques éléments communs à l’Edit de Nantes d’Avril 1598[2] ! En effet, l’édit de Nantes en permettant aux protestants de pratiquer leur culte dans certaines places du royaume, en ne leur coupant plus l’accès aux offices de manière systématique, évite que les « réformés » soient exclus de l’Etat. Cependant, pour éviter le retour des affrontements religieux, ce qui est un des soucis principaux de l’édit, la pratique religieuse est réglementée dans une forme que le bon sens avait déjà fait exprimer. Il faudrait attendre cependant la « paix d’Alès », texte curieusement oublié, en 1629, pour que les places de sureté -et le risque de sédition- soit aboli tout en préservant l’exercice du culte protestant ET catholique.
La Laïcité de 1905 s’accompagne dès l’origine d’une félonie : le vol caractérisé du patrimoine ecclésial. Cela prouve-t-il que le principe de laïcité soit mauvais en lui-même ? Cela prouve tout au moins que la république est d’une profonde malignité car se moquant éperdument de la concorde et, si l’on se penche un peu sur la question, ces confiscations témoignent d’un manque de sens politique des catholiques de l’époque qui, faute d’avoir créé les associations cultuelles nécessaires, n’avaient pas les moyens légaux pour défendre le patrimoine ecclésial : ils donnèrent ainsi le bâton qui servit à les battre. Tendance malheureusement par trop commune chez les catholiques de tous les temps.
Enfin le Prince s’est prononcé sur la Laïcité, dernièrement, dans son entrevue pour KTO :
«[La Laïcité] Au lieu de faire une sorte de respect pour toutes les religions, est devenu une attaque contre la religion. Je pense qu’il faudrait justement respecter le fait que chacun puisse avoir sa religion, et respecter les autres bien sûr ! »
Dans le fond, cette laïcité qui devient un paravent pour parler de l’Islam et -vieil anticléricalisme oblige !- de catholicisme sans les nommer est une perversion par la république de ses propres principes : on ne peut donc rien confier aux républicains sans qu’il en fasse aussitôt une terrible erreur.
Si progrès de l’Islam en terre de France il y a, ce n’est pas tant parce que la république est laïque que du fait d’une timidité des chrétiens à convertir et garder la Foi vive chez les français.
Quand on est catholique il faut se battre pour que le Christ établisse son règne dans les cœurs alentours et, ayant gagné les cœurs, dans le monde. Bien trop souvent on voit des chrétiens qui, confiant dans la Providence jusqu’à l’excès oublient que les principaux outils de cette Providence c’est eux. Ils attendraient presque que de multiples miracles convertissent la France d’un seul coup… Mais comment cela pourrait-il se faire si nous n’annonçons pas publiquement cette Foi ? Or 1905 nous permet d’être prosélyte et de prier en public. Utilisons cette Loi plutôt que ne nous cacher derrière pour expliquer la déchristianisation de la France ! Utilisons les armes de l’adversaire, soyons : « Rusés comme des serpents et purs comme des colombes » (Mt 10-22) plutôt que stupides comme un sanglier blessé et aussi seuls qu’un pangolin.
La plupart des candidats voudraient qu’on remplace la Laïcité par un laïcisme, c’est-à-dire une négation de la liberté religieuse qui serait alors reléguée à l’espace strictement privé. Cette négation de ce pour quoi nos Rois se battirent est, bien sûr, une menace profonde, inique. Trop souvent nous confondons ce laïcisme néfaste avec une laïcité qui n’est ni plus, ni moins que ce que nous en faisons.
Réfutons le laïcisme qui voudrait nous priver d’exprimer notre Foi et que certains candidats, prompts à priver les Français de leurs coutumes et traditions, voudraient voir disparaitre et assumons une véritable laïcité qui, si nous nous en donnons les moyens, permettra que la France soit fidèle aux promesses de son baptême ! Roman Ungern.
Les nouvelles émeutes qui ont enflammé les banlieues dites « sensibles », à la suite des blessures subies par un homme rebelle à son interpellation, provoquent divers commentaires qui, tous, se cantonnent à des hypothèses convenues.
Et pourtant, les décennies passent, l’argent coule à flots (politique de la ville, constructions d’infrastructures culturelles et sportives, subventions aux associations de tout poil), mais rien n’est résolu. Ces hypothèses seraient-elles erronées ?
Pourquoi y a-t-il des « banlieues sensibles » ?
Peut-être à cause d’un phénomène que nos criminologues, sociologues, journalistes, politiciens ou simples Français de souche n’osent pas évoquer. J’entends l’hypothèse selon laquelle il est impossible d’établir un ordre public et social stable lorsque l’on s’éloigne trop de l’homogénéité ethnique. Des décennies de gauchisme intellectuel et de décadence américanomorphe ont ruiné la liberté de l’esprit. Au surplus, l’ordre moral subséquent s’est caparaçonné de lois qui rendent l’hypothèse délicate à développer sinon même à énoncer.
Avant la révolution intellectuelle et morale de 1968, avant la subversion anarchisante des droits de l’homme, le général De Gaulle pouvait dire benoîtement devant Alain Peyrefitte en 1961 :
C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.
(…) Les musulmans vous êtes allés les voir ? (…) Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français (…) Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français.
De Gaulle définissait ainsi à grands traits le tissu ethnique français.
La pérennité d’un ordre public et social est-il possible dans le chaos ethnique ?
La question est bien celle qui doit être posée et pourtant les responsables français de toute sorte n’osent pas même l’évoquer : est-il possible de maintenir un ordre public et social stable sans un minimum d’homogénéité ethnique ? Personne n’en parle ; même une Marine Le Pen ou un Xavier Raufer restent, au mieux, dans le non-dit et l’implicite.
Cette homogénéité ethnique relative était celle des banlieues des grandes métropoles françaises jusque dans les années soixante du siècle dernier, calmes et ordonnées quoique beaucoup plus pauvres que la Seine-Saint-Denis d’aujourd’hui gavée d’argent public.
Les banlieues des grandes villes japonaises, par exemple, elles, restent calmes et apaisées. Pourquoi ? Nous connaissions la même urbanité dans la conurbation parisienne de mon enfance…
Si l’hypothèse soulevée ici se vérifiait, la solution serait, certes, pénible et longue à accomplir (cessation de toute immigration extra-européenne, remigration, répression). Il faudrait de la clairvoyance et du courage…