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magouille et compagnie - Page 1663

  • LES MYSTÉRIEUX FINANCEMENTS DE M. MACRON

    400 000 euros pour le meeting de campagne à Lyon, 20 000 euros par mois pour le QG parisien, 50 salariés à temps plein, un baryton de l'opéra de Paris pour travailler la voix du candidat, des contrats passés avec l'agence de stratégie électorale Liegey Muller Pons, des déplacements en cascade y compris à l'étranger...

    Une campagne, ça coûte cher, très cher. Emmanuel Macron le sait, lui qui pourrait se voir opposer une plainte pour avoir dépensé des fonds publics à son profit quand il était ministre de l'Économie : selon les journalistes Frédéric Says et Marion L'Hour (Dans l'enfer de Bercy, éd. JC Lattes), l'homme a employé à lui seul et en huit mois seulement 80% des frais annuels de représentation du ministère afin de préparer sa campagne présidentielle. Il s'est aussi appuyé à temps plein sur trois collaborateurs parlementaires censés n'être détachés qu'à mi-temps. Une paille, par rapport aux dépenses actuelles.

    Qui finance En Marche ? Longtemps discrète sur l'origine de ses fonds, l'équipe de communication tente aujourd'hui de déminer le terrain. Le mouvement serait ainsi rémunéré par 18 000 donateurs, affirme son secrétaire général. Mais seuls 3% d'entre eux assureraient l'essentiel des dons avec des apports supérieurs à 4 000 euros. Le discours officiel du mouvement d'Emmanuel Macron est simple : c'est un parti politique à part entière qui ne peut recevoir plus de 7 500 euros par personne. Contactée par Politique magazine, la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a confirmé l'existence d'un parti dénommé « En Marche ». « Une association loi 1901 a été inscrite à la Commission et elle répond aux critères pour financer ce que l'on définit comme un parti politique », nous explique-t-on. Le président de cette association est Emmanuel Macron, et la structure a été inscrite auprès de la Commission le 20 février 2016, quand l'homme était encore ministre de l'Économie...Les rumeurs courent à son sujet. Lors de sa création, ladite association était domiciliée à l'adresse personnelle de Laurent Bigorgne, le directeur de l'Institut Montaigne. Or, ce lobby libéral favorable à l'Union européenne et à l'immigration est directement financé par les plus grandes multinationales européennes et américaines et certaines banques de Wall Street.  

    Politique magazine mars 2017 -  Consulter ... S'abonner ...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Alexandre Del Valle : "l'Occident se trompe d'ennemi"

    Première partie d'un entretien avec Alexandre Del Valle à propos de son livre Les Vrais ennemis de l'Occident :

    Vous considérez que l'Occident se trompe d'ennemi. Pourquoi?

    6a00d83451619c69e201b8d26f4ba3970c-200wi.jpgNous faisons depuis plusieurs décennies une incompréhensible erreur stratégique sur l’ennemi comme sur l’ami, avec de très graves conséquences partout dans le monde ! Les ennemis de l’Occident sont objectivement ceux qu’il désigne comme des amis alors que la Russie, désignée comme le pire ennemi, est en réalité un allié potentiel. En réalité, l’ennemi n’est pas celui qui est différent de nous, qui ne nous convient pas, ou qui est dictatorial chez lui ou y défie nos valeurs. L’ennemi est celui qui, au sens militaire et stratégique du terme, s’en prend 1°/ à notre population, 2°/ notre territoire et 3°/ à notre gouvernement, institutions et donc valeurs fndamentales. De ce fait, l’islamisme est un véritable ennemi, à ces ennemis totalitaires des démocraties occidentales que furent le nazisme et le communisme, car il répond à toutes les caractéristiques fondamentales de l’ennemi (qui menace nos valeurs qu’il subvertit et combat, nos institutions qu’il veut remplacer par la Charià, notre population qu’il veut retourner ou tuer et notre territoire qu’il veut conquérir à terme au nom du Califat), et il veut donc s’imposer chez nous de façon tantôt violente, tantôt subversive. Quant au terrorisme, il n’est pas l’ennemi en soi: ce n’est qu’un mode d’action, un moyen actionné par nos véritables ennemis totalitaires. Ces ennemis véritables qui actionnent et forment les terroristes jihadistes et d’autres, sont les pays ou entités transnationales (Organisation de la Coopération islamique, OCI ; Ligue islamique Mondiale LIM) et Etats totalitaires wahhabites comme l’Arabie Saoudite et le Qatar, sans oublier le Pakistan, la Turquie néo-ottomane et les Frères musulmans, qui promeuvent tous d’une certaine manière un projet de conquête global. Nos ennemis ne sont donc pas les pays ou gouvernements que nous avons combattus ou renversés à tort depuis la fin de la guerre froide (ex-Yougoslavie, Irak baathiste, Libye, Syrie de Bachar, etc).

    Il n’est pas inutile de lister sur les dernières décades l’ensemble de toutes les erreurs stratégiques auxquelles ces erreurs de jugement fondamentales ont conduit, avec des résultats objectivement contraires à nos intérêts et des conséquences géopolitiques absolument catastrophiques partout dans le monde, depuis l’Afghanistan jusqu’à la Syrie, en passant par le Pakistan, la Turquie, le Kosovo, l’Irak, la Tchétchénie, la Libye, l’Ukraine, la Géorgie, etc.

    Lorsque l’Occident laisse l’islamisme subversif et prosélyte totalitaire proliférer sur notre sol par compromission avec les pôles de l’islamisme qui sont ses propagandistes et appuis externes, mais qu’en même il temps il tente de répandre au nom du « droit d’ingérence » son modèle universel-libéral dans les pays musulmans ou ailleurs par l’interventionnisme, l’arrogance et la guerre, il fait d’une pierre deux coups-erronés : 1°/ il est trop tolérant chez lui avec l’islamisme mais en même temps 2°/ il discrédite ses propres valeurs à l’extérieur en les mêlant avec une entreprise impériale ! Nous avons donc tenté de répandre chez les autres des valeurs que nous avons trahies et laisser menacer sur notre propre sol, notamment dans nos « banlieues de l’islam » de non-droit et de non-France… 

    L’Occident fait l’inverse de ce qu’il devrait faire : il impose son modèle ailleurs mais il ne le défend pas chez lui !

    Oui, exactement. Ceci peut paraître fou, et très incohérent, mais ce n’est là que le résultat logique du destin des « sociétés ouvertes » qui se sont ouvertes sans réciprocité à tous les vents y compris à ceux portés par leurs pires ennemis géocivilisationnels, à savoir l’islam conquérant et revanchard néo-califal. Le concept de « société ouverte » vient de Karl Popper qui précisait qu’une société ouverte « ne peut pas s’ouvrir à ses ennemis sinon elle va à sa propre perte », ce que Popper a nommé « le paradoxe de la tolérance » et développe de façon brillante et si actuelle dans son ouvrage politique de référence : « La Société ouverte et ses vrais ennemis ». Ce « paradoxe de la tolérance » n’a hélas pas été compris par nos élites qui se contre-fichent du devenir ou de la périssabilité de notre civilisation judéo-chrétienne et qui ne croient qu’au pouvoir des sondages, des médias et de l’économie. Ainsi, lorsque le célèbre milliardaire philanthrope mondialiste-immigrationniste islamophile antisioniste et anti-russe Georges Soros se prétend héritier de Popper en promouvant la mort des nations chrétiennes, la fin des frontières et l’islamisation de l’Europe, il a en réalité trahi son maitre Popper dont il a repris l’expression (sa Fondation s’appelle « Open Society »), car dans sa haine de l’Etat-nation occidental que défendait Popper, Soros - qui finance le Collectif contre l’Islamophibie, les ONG de défense de clandestins et les No-Borders - ne parle jamais du danger des ennemis de nos démocraties et de la nécessité de leur résister, bien au contraire, les adeptes du cosmopolitiquement correct comme lui font primer la haine de soi occidentale et la xénophilie qui en découle sur l’instinct de défense collective et de survie de nos démocraties. Soljénitsyne avait raison de dénoncer cet occident repentant « capitulard » dont les bombes atomiques ne serviront à rien si ils renient leurs racines et identité et aident leurs ennemis déclarés…

    Comment définiriez-vous l'Occident?

    Globalement, il y a deux Occident au moins… et ces deux sont totalement opposés. Il faut revenir aux fondamentaux : l’Occident au sens non identitaire (« Mc World »), qui nie son identité judéo-chrétienne et européenne au profit d’une idéologie mondialiste et « cosmopolitiquement correcte », a pour but de détruire toutes les identités nationales et traditionnelles pour assoir son Village Glolbal. Ainsi défini, l’Occident est une entité néo-impériale anti-identitaire et se définit non plus de façon culturelle et civilisationnelle mais en fonction 1. De son appartenance à l’OTAN ; 2. Son adhésion au libre échangisme et son essence consumériste 3. Son messianisme des droits de l’Homme et de l’individualisme hédoniste. 

    Inversement, si l’Occident était encore une entité civilisationnelle, ce qu’il est en réalité dans son essence originelle et dans ses masses non privilégiées, on le définirait comme une entité géocivilisationnelle européenne marquée par la pensée gréco-romaine et le message humaniste judéo-chrétien. Cet Occident là, façonné par le christianisme héllénisé, n’a rien à voir avec le premier qui se construit contre lui, et il considèrerait évidemment la Turquie néo-ottomane, l’Arabie Saoudite, le Qatar, les Frères musulmans et la Ligue islamique mondiale (OCI, etc) non pas comme des alliés/amis, contrairement à Mc World et à l’OTAN, mais comme de véritables ennemis géocivilisationnels puisque ceux-ci veulent islamiser-conquérir l’Europe et le monde. 

    En fait, le but des eurocrates de Bruxelles et des promoteurs anglo-amériains de Mac World est de faire de cet Occident riche et moderne le laboratoire de leur nouvelle tour de Babel. C’est là qu’entre en scène le terrorisme psychologique du « cosmopolitiquement correct » : pour créer cette identité planétaire néo-impériale consumériste et déracinée, l’Occident-McWorld a culpabilisé jusqu’à la pathologie masochiste l’Occident chrétien-blanc-européen sommé de se fondre dans l’immigrationnisme et le multiculturalisme au nom d’une tolérance et d’une repentance toujours à sens unique. 

    Mac World a l’audace de croire qu’en faisant venir en Europe des immigrés par millions, notamment des immigrés musulmans, ceux-ci seront happés par le consumérisme et peu à peu désislamisés par l’hédonisme car Mac World est foncièrement matérialiste et il sous-estime la puissance des idées, la foi, et la recherche d’absolu. Mac World orchestre l’islamisation de l’Occident sans même le désirer mais uniquement pour détruire l’identité de l’Occident avec cette « culture Benetton ». Les forces antichrétiennes et de la haine de soi ont parfaitement compris par ailleurs que favoriser une immigration et un prosélytisme radical islamique sur le sol européen et occidental peut contribuer à détruire cette civilisation judéo chrétienne qu’ils détestent autant que les islamistes. En ce sens l’islamophilie est une sorte de haine de soi qui consiste à aimer ceux qui nous détestent le plus, ce qui est logique si on se déteste soi-même.

    A suivre 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/03/alexandre-del-valle-loccident-se-trompe-dennemi.html

  • François Fillon et Marine Le Pen s’en prennent aux agissements illégaux de l’exécutif

    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    La prochaine sortie du livre intitulé « Bienvenue place Beauvau, Police : les secrets inavouables d’un quinquennat » a révélé aux Français le réseau d’information entre la police, la justice et l’exécutif. Cependant, ce réseau semble dépasser le simple renseignement.

    François Fillon et Marine Le Pen ont donc reproché à l’exécutif ses agissements qualifiés d’illégaux

    François Fillon et Marine Le Pen sont actuellement en proie à des affaires judiciaires qui les gênent dans leur campagne. François Fillon accuse l’exécutif de collusion avec la presse, s’appuyant sur des fuites des enquêtes judiciaires. Il s’insurge également contre la remontée des informations judiciaires au cabinet du président de la République, qu’il qualifie de « cabinet noir ». Marine Le Pen dénonce le viol du secret de l’instruction. Elle s’interroge aussi sur l’opportunisme du calendrier judiciaire destiné à contourner le débat sur le fond.

    Ces accusations auraient été démenties par les auteurs

    Un des auteurs, Didier Hassoux, a démenti l’existence d’un cabinet noir. Mais c’est plutôt l’expression qui est dénoncée. Pourtant, les termes « cabinet noir » apparaissent bien à la page 24 du livre, pour discuter son existence. Les auteurs cherchent aussi à minorer leurs propos, en indiquant que sous le quinquennat précédent, la même méthode était déjà employée.

    François Hollande, pris à partie, joue les vierges effarouchées

    François Fillon a directement accusé François Hollande et demandé l’ouverture d’une enquête. François Hollande quant à lui affirme son innocence et élude les questions sur le cabinet noir. Il appelle son accusateur à plus de dignité, de respectabilité. En intervenant dans la campagne, il prend d’ailleurs le risque de rassembler l’électorat de droite autour de Fillon. Pour finir, le service de renseignements financiers Tracfin, accusé dans le livre, dément également toute fuite d’information.

    https://fr.novopress.info/

  • Macron n’est pas du centre, il est d’extrême gauche !

    Les gens sont crédules. Spécialement ceux de droite. Il suffit qu’Emmanuel Macron ait dit qu’il n’était « ni de gauche ni de droite » pour qu’ils le croient !

    Il est, soit dit en passant, assez significatif du changement d’époque de voir qu’il y a quelques années, c’était les gens de droite qui, honteux, se disaient apolitiques pour se faire accepter, et qu’aujourd’hui, ce sont au contraire les gens de gauche qui jouent ce jeu, comme si s’afficher de gauche était devenu infamant.

    Car, n’en doutons pas, Macron est de gauche. Il l’est même, sur la plupart des sujets, plus que Hollande.

    Hollande n’a combattu que mollement l’immigration illégale, mais il n’a pas félicité Angela Merkel pour l’admission d’un million de réfugiés, vrais et supposés ; Macron lui, l’a félicitée, ce qui laisse imaginer qu’il est prêt à l’imiter.

    Hollande a fait le mariage homosexuel, Macron envisage la GPA.

    Hollande a bien instauré le 19 mars, anniversaire des accords d’Évian, fête nationale mais il n’est jamais allé jusqu’à qualifier la colonisation de « crime contre l’humanité ».

    Hollande a fait la réforme du collège, fatale à la transmission de l’héritage, mais il n’a pas dit qu’« il n’y pas de culture française ».

    Hollande ne faisait pas, comme Macron, des discours à l’étranger en anglais ; il est vrai qu’il le parle très mal !

    Sous Hollande, comme sous Sarkozy d’ailleurs, la lutte contre les discriminations homme/femme, Français/immigrés, homo/hétéro, la défense intégriste de l’environnement (éoliennes) ont pris une place que beaucoup trouvent excessive et même oppressive quand elle conduit à poursuivre en justice ceux qui s’écartent de la pensée unique. Sur presque tous ces sujets, Macron en rajoute une couche. Il veut même, dans la lignée de son maître à Sciences Po, Richard Descoings, introduire la discrimination positive sous la forme d’« emplois francs » réservés aux jeunes des banlieues (au moins de certaines). On peut s’attendre, en ces matières, à un climat encore plus oppressif.

    Si Macron l’emporte, la pensée unique qui domine les médias va aggraver son emprise : les dissidents comme Éric Zemmour seront encore plus sévèrement pourchassés.

    Hollande « n’aimait pas les riches » et Macron se propose de supprimer l’ISF et de réduire l’impôt sur les bénéfices. Mais il fallait, là aussi, toute la bêtise de la droite pour croire Hollande sur parole et, tombant dans le panneau, lui répondre en faisant l’éloge des riches. Hollande, un des meilleurs amis de François Pinault ! Macron veut supprimer l’ISF, mais sur les patrimoines financiers seulement. Les patrimoines fonciers se verront, en compensation, beaucoup plus lourdement imposés. L’impôt foncier à la charge des seuls propriétaires aura aussi à financer l’abrogation de la taxe d’habitation que tout le monde paye.

    Oui, Macron poursuivra en pire la politique de Hollande. Non, il n’est pas du centre, il est d’extrême gauche, la seule vraie aujourd’hui : l’extrême gauche sociétale. Ceux qui ne le comprennent pas ignorent la nouvelle alliance propre à notre temps : celle de la finance internationale ultralibérale avec l’extrême gauche sociétale (LGBT, No Borders, etc.) tandis que, sur le plan économique, la finance s’allie aux assistés de toutes sortes (migrants compris) que la même finance multiplie en licenciant et en encourageant l’immigration. Tout cela au détriment des classes moyennes qu’il s’agit d’écraser encore car elles ont le défaut, pour les mondialistes, d’être porteuses d’un héritage de valeurs qu’ils veulent détruire.

    http://www.bvoltaire.fr/macron-nest-centre-dextreme-gauche/

  • Contre-attaque trumpienne : Devin Nunes déclenche « Obamagate »

    Obama, dont les proches disaient qu’il allait « maintenant » intervenir dans le discours public, est resté coi.

    Cela fait plus de quatre mois que Soros, Pelosi et leurs sicaires « maïdanisent » Donald Trump. Des centaines de millions investis, destinés à convaincre l’opinion que le président Trump sera de toute façon déposé.

    Les fuites sur les rencontres (légales) du général Flynn avec l’ambassadeur de Russie avaient ainsi causé la perte de celui qui prévoyait un coup de balai dans le secteur du renseignement et de l’espionnage, et qui prônait une association géostratégique avec deux anciens empires : la Russie et la Turquie. Fuites qu’Obama avait favorisées en modifiant, la veille de son départ, les règles de partage des données entre les agences de renseignement (afin de compliquer toute enquête ultérieure sur les fuiteurs). Effectivement, ça fuitait comme à Gravelotte ! Puis l’attaque du 1ermars – au lendemain du remarqué discours de Trump au Congrès – visa le ministre de la justice Jeff Session. Accusé de traîtrise pour avoir rencontré l’ambassadeur russe dans le cadre de ses fonctions sénatoriales, il dut sauver sa peau en acceptant de se désister dans toute enquête de son ministère portant sur « les ingérences russes ». Le FBI en roue libre…

    Or, depuis le 4 mars, plus de fuite majeure ! Obama, dont les proches disaient qu’il allait « maintenant » intervenir dans le discours public, est resté coi.

    Et pour cause : par une série de pirouettes twittoresques, Trump accusait, le 4 mars, Obama de l’avoir mis sur écoute, en questionnant la légalité. Dénégations de l’entourage d’Obama sur un ton rappelant le juridisme clintonien, suivies d’une massive campagne médiatique présentant le président comme un menteur. 

    Un « menteur » qui a su faire oublier l’affaire Session pendant un mois et qui a neutralisé (les fuiteurs devenant nerveux) sa mise à mort prévue le 20 mars dernier, lors de la première session publique du House Intelligence Committee de la Chambre des représentants, en présence des patrons du FBI et de la NSA précisément. La réunion « bipartisane » a, certes, permis à Comey (FBI) de « révéler » que la campagne Trump était sous enquête depuis juillet 2016, a fait comprendre qu’il n’avait aucune intention de mener une enquête sur l’illégalité des fuites anti-Trump et que les accusations de Trump sur ses écoutes par Obama n’étaient pas fondées. Ce ne fut pas la catastrophe prévue, mais tout de même, ce fut un coup dur pour Trump qui passait officiellement au statut d’accusé pour les mois à venir.

    Or, deux jours après, Devin Nunes, le président dudit House Intelligence Committee (!) change la donne. Il organise une série de conférences de presse (dont une à la Maison-Blanche), explique qu’il dispose de « sources » en provenance de lanceurs d’alerte semble-t-il écœurés par le comportement de leurs hiérarchies. Qui allèguent que les agences de renseignement (donc Obama) auraient potentiellement détourné la loi en trouvant des moyens légaux d’utiliser l’appareil d’État pour détruire un opposant politique, leur permettant de ratisser des informations sur Trump et son entourage, informations sans importance pour la sécurité nationale mais constitutive d’un terreau de rumeurs potentielles, et surtout sans rapport avec la Russie. Nuance importante : ici, le ministre Jeff Session peut agir en pleine capacité et lancer une enquête indépendante au sein de son ministère avec convocation d’un grand jury, tout en mettant Comey au pas… pour lancer le cas « Obamagate » et associés. Vastes perspectives…

    http://www.bvoltaire.fr/contre-attaque-trumpienne-devin-nunes-declenche-obamagate/

  • Cabinet noir: Marine Le Pen confirme que Hollande « instrumentalise » contre les candidats qui s’opposent à Macron. Analyse

    Interrogée après sa visite à Vladimir Poutine, lors d’une conférence de presse, Marine Le Pen a réagi de Moscou vendredi aux accusations de François Fillon à l’encontre de François Hollande, sur un cabinet noir dirigé contre lui:

    «Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je vais laisser Monsieur Fillon se bagarrer avec le président de la République qui, semble-t-il, n’a rien d’autre à faire que de mener bataille contre les candidats s’opposant à Monsieur Macron, c’est-à-dire Monsieur Fillon et moi-même».

    « La présidente du parti souverainiste français est persuadée que la justice est «en grande partie instrumentalisée par le pouvoir politique». Les autorités s’en servent pour «tenter de priver le peuple français du débat légitime auquel il a le droit» au moment où les Français vont faire «un choix essentiel, un choix de civilisation».

    «Je pense que les Français jugeront assez durement la manière dont cette campagne présidentielle a été perturbée par cette instrumentalisation politique», a-t-elle conclu.  

    L’Elysée déblaye la route pour Macron

    Il n’est pas nécessaire, en effet, d’attendre de quelconques révélations de journalistes archi-discrédités pour savoir que l’Elysée court-circuite par tous les moyens les deux candidats qui barrent la route d’Emmanuel Macron à l’Elysée, c’est-à-dire François Fillon et Marine Le Pen. Qu’on appelle cela cabinet noir ou non, ce n’est pas ce qui importe. Il suffit d’observer :

    L’Elysée coordonne les attaques menées par les magistrats du Parquet National Financier et par la presse aux ordres. En effet les magistrats du PNF ont tous été nommés en 2013 par l’ex-ministre de la Justice, Christiane Taubira, ex-indépendantiste guyanaise mais toujours activiste, et par François Hollande lui-même. Parmi eux, des membres du Syndicat de la Magistrature, autres activistes. Quant à la presse elle a été, soit achetée par l’ex-ministre Macron en échange de SFR au magnat de la presse Patrick Drahi qui contrôle notamment BFMTV et TMC-RMC, soit verrouillée par le combattant LGBT, Pierre Bergé, propriétaire du Groupe La Vie – Le Monde. Mais ce n’est pas tout, nous le verrons plus loin.

    François Hollande n’est-il pas allé jusqu’à convoquer à l’Elysée un conseil anti-FN pour faire barrage à Marine Le Pen ?

    « François Hollande a convié à déjeuner cinq chercheurs spécialistes du Front national. Autour de la table, il y avait les politistes Nonna Mayer (grande figure de Sciences Po, dont les enquêtes de terrain font autorité depuis trente ans) et Alexandre Dézé, les historiens Olivier Dard et Nicolas Lebourg et le philosophe Jean-Claude Monod. » apprenait-on dans l’Obs.

    Quels complots ont-ils hourdis ensemble contre la candidate souverainiste? En dehors du PNF et des medias mainstream, pourquoi une partie de la police ne serait-elle pas, elle aussi, aux ordres ? N’a-t-on pas vu une certaine police politique en action lors de la Manif pour tous ? Il n’y aurait rien de surprenant qu’il y ait des écoutes téléphoniques des candidats, comme le soupçonne François Fillon, des écoutes qui perturbent d’autant moins François Hollande qu’il ne s’est même pas fendu d’une protestation lorsque lui-même et les services de l’État français ont été révélés sous écoutes des Américains, ni lorsqu’il s’est révélé que les candidats avaient été sous écoute américaine lors de la campagne de 2012, peut-être était-ce à son propre profit, d’ailleurs ? Probablement n’a-t-il fait que renvoyer l’ascenseur lorsqu’il a ouvert les QG militaires sur notre sol au haut commandement américain de l’OTAN en 2014, parachevant le démantèlement de la souveraineté défensive française commencée sous Sarkozy? Les écoutes des deux principaux adversaires d’Emmanuel Macron seraient un bon moyen pour les poursuivre en justice à tout propos, les magistrats du Parquet National Financier étant aux ordres et la police étant aux ordres du Parquet…

    De la théorie du complot au complot

    Alors, bien sûr, face à l’évidence le Système crie au complotisme ou à la victimisation. François Fillon nagerait dans le complotisme! Bon moyen de semer le doute dans l’esprit des électeurs face à une bien réelle conjuration menée au sommet de l’Etat avec la complicité d’une poignée de magistrats hyper-politisés et reconnaissants, et une presse verrouillée aux ordres.

    Mais que dire des théories du complot sans cesse agitées par l’Oligarchie contre la Russie ?  Répondant à la question d’un journaliste lors d’une conférence de presse, Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, a qualifié de «fake news» l’information selon laquelle François Fillon aurait été payé pour organiser des réunions entre Vladimir Poutine et des hommes d’affaires. Une attaque parmi une pluie d’autres qui cherchent à déstabiliser le candidat et ses électeurs.

    Fausses nouvelles et contrôle planifié de l’information

    Et c’est, en effet, un grand projet de fausses nouvelles et de contrôle de l’information qui a été lancé à grande échelle et très officiellement en février dernier:

    « Dans un communiqué de presse daté du 6 février 2017 à Paris, Google a annoncé un partenariat entre Google News Lab et First Draft pour « indiquer aux citoyens français, ce qui est digne de confiance dans leurs fluxs de médias sociaux, dans leurs recherches sur le web et leurs consommation de nouvelles générales durant les prochains mois ». »

    Le « projet CrossCheck, en collaboration avec Facebook, travaillerait avec les médias à travers la France pour surveiller les nouvelles concernant l’élection française. »

    « Avec l’élection présidentielle française qui approche, les journalistes de France et d’ailleurs travailleront ensemble pour trouver et vérifier les contenus du public circulant en ligne, que ce soit des photos, des vidéos, des mèmes, des commentaires et des sites d’actualité. » « Les partenaires de CrossCheck utiliseront les déclarations collectives dans leurs propres articles, les émissions de télévision et les contenus des médias sociaux. »

    Google News Lab a annoncé que la liste des partenaires comprend l’AFP (Agence France-Presse), BuzzFeed News aux É.-U. – qui a inventé la fausse histoire de sexe avec urine sur Trump et des prostituées il y a un mois –

    France Médias Monde (par les Observateurs de France 24), France Télévisions, Global Voices, Libération, La Provence, Les Echos, La Voix du Nord, Le Monde (Les Décodeurs), Nice-Matin, Ouest-France, Rue89 Bordeaux, Rue89 Lyon, Rue89 Strasbourg, Storyful et StreetPress. » Et que serait la conspiration sans Georges Soros?

    Comme aux USA contre Donald Trump, et contre le Brexit, le Grexit et contre toutes les velléités nationales, le système oligarchique mondialiste et ses officines déploient leur pouvoir de nuisance contre les peuples. Les présidentielles françaises sont au carrefour de ces deux civilisations qui s’affrontent. Emmanuel Macron a été choisi très ostensiblement par l’Oligarchie de la haute banque et du capitalisme international pour servir leurs intérêts. Hollande qui les a servi durant cinq ans entend imposer à la France son successeur qui est aussi leur représentant, et pour cela il importe d’écarter ceux qui lui font barrage.   

    http://www.medias-presse.info/cabinet-noir-marine-le-pen-confirme-que-hollande-instrumentalise-contre-les-candidats-qui-sopposent-a-macron-analyse/71537/

  • La finance « charia-compatible » enseignée à l’université Paris-Dauphine !

    La finance islamique, ou le cheval de Troie du prosélytisme de la charia en France et terreau d’un communautarisme déjà fièrement revendiqué.

    L’université Paris-Dauphine a présenté le 2 mars dernier à Marseille et en partenariat avec la Kedge Business School (KBS) une « certification gestion d’actifs islamique et assurance Takaful » venant compléter son master « Finance islamique » déjà lancé en 2009 .

    Pincez-nous… On rêve ? Un diplôme « Finance islamique » délivré par une université française et, qui plus est, publique, et c’est le sacro-saint principe de laïcité qu’on assassine !

    Pour faire simple pour les simples d’esprit, qui, comme beaucoup, l’ignoreraient encore : la finance islamique repose sur des préceptes issus de la loi coranique qui règlent le monde des affaires en interdisant, notamment, la spéculation, l’usure et l’intérêt ou les investissements dans les secteurs qualifiés d’ « illicites » (armement, alcool, porcs, pornographie ).

    C’est donc pour sauver vos âmes de mécréants, qui seraient tentées de spéculer, que nos étudiants français, pourront désormais apprendre à gérer en bons mahométans et selon les principes du droit musulman.

    Bernard Palanque, responsable du centre d’expertise « Économie et Finance Autrement – Pays émergents » de la Kedge Business School nous l’explique :

    « Au-delà de l’aspect purement pratique d’acquisition de compétences sur la finance islamique, ses fondements, ses spécificités et ses marchés, il s’agit de susciter chez nos étudiants une interrogation plus philosophique sur ce que pourrait être une autre éthique de la finance. Cette réflexion est plus que jamais nécessaire après que la crise de 2008 a montré le risque que faisait courir au monde une finance hors de contrôle. »

    De là à comprendre que la crise de 2008 aurait pu être évitée si l’on avait appliqué les principes de la loi islamique, il n’y a qu’un verset …

    Christine Lagarde, alors ministre de l’Économie, s’était déjà montrée favorable à l’établissement d’institutions financières islamiques en France pour des raisons de « pragmatisme ». Elle allait même devant les caméras d’OummaTV, jusqu’à garantir la technique du “ mourabaha ” pour contourner la règle des intérêts dans la finance non « charia-compatible ».

    Faut-il en arrondir, des angles, et en tordre, des principes, pour arriver à concevoir, dans une France asphyxiée de principes laïcards, que l’on permette à une faculté française et publique d’enseigner la finance en adéquation avec la loi du Coran, celle de la charia et du droit musulman !

    C’est aussi comprendre que le principe de laïcité ne tend qu’à favoriser la prise de pouvoir de l’islam sur une terre de France, née fille aînée de l’Église, mais en perpétuelle allégeance et prête demain à voiler sa Marianne.

    La charia véhicule des règles que nos démocraties réprouvent au sujet de la place de la femme, des châtiments corporels, ou de la polygamie, en violation intégrale des principes de notre République et de la Déclaration des droits de l’homme, sous le silence bienveillant et complice de notre caste politico-médiatique.

    Notre soumission s’arrêtera t-elle à quelques arrangements portant sur le domaine précis de la finance islamique, parce qu’elle représente un marché de 700 milliards de dollars ? Du burkini au compte épargne islamique, il n’y a qu’une loi, celle de la charia, un tout qui régit le quotidien comme le religieux du monde musulman. Imaginer la limiter à la finance c’est ajouter la naïveté à l’imbécillité.

    Déjà, en France, des banques islamiques voient le jour, permettant aux musulmans de pratiquer des crédits islamiques ou une épargne islamique. Swiss Life a lancé il y a quelques années, le contrat halal , « Salam-Epargne & Placement » un plan d’épargne qui repose sur une soixantaine de fonds charia-compatibles internationaux et sur des Sukuk (le mot désigne dans le droit musulman un certificat d’investissement conforme à la charia.)

    La finance islamique, ou le cheval de Troie du prosélytisme de la charia en France et terreau d’un communautarisme déjà fièrement revendiqué.

    http://www.bvoltaire.fr/finance-charia-compatible-enseignee-a-luniversite-paris-dauphine/

  • En Marche vers le suicide social !

    Alors qu’Emmanuel Macron est omniprésent dans le paysage médiatique français et semble bien être le candidat choisi par le système pour les prochaines élections présidentielles, certains citoyens refusent ce scénario et veulent révéler le « vrai visage » du banquier aux dents longues. Dans ce but, ils viennent de lancer le collectif « Tout sauf Macron ! ». Rencontre avec Pierre Charron, l’un des fondateurs de ce mouvement.

    Paris Vox : Vous êtes le fondateur du collectif « Tout sauf Macron », pouvez-vous nous présenter celui-ci ainsi que les motivations qui vous ont poussé à lui donner naissance ?

    Pierre Charron : Comme beaucoup de Français j’ai été stupéfait de la croissance politique et médiatique d’Emmanuel Macron, celui qui, encore hier, était le Judas de François Hollande est devenu le messie de la quasi-totalité de la classe médiatique, et le grand favori pour succéder au pire président de la Ve République. Seulement voilà, on ne devient pas le favori à la succession d’un président rejeté comme jamais, tout en étant son successeur idéologique et politique. Très vite, on s’est rendu compte que le personnage Macron était retravaillé par les médias, et qu’a l’aide d’un matraquage médiatique, beaucoup ont oublié qui il est. Pire, à en croire les journalistes, il n’a quasiment pas d’opposition et serait devenu le rempart à l’obscur duo Fillon-MLP ou au démagogique duo Hamon-JLM. Il était donc grand temps d’intervenir dans le débat public et d’apporter quelques rectificatifs… Notre succès sur les réseaux sociaux nous a montré que nous avions raison.

    « Tout Sauf Macron », ce sont des citoyens non-encartés et à l’origine en retrait de cette campagne qui sont résolus à ne pas laisser François Hollande (à travers son héritier) être réélu.

    PV : Pourquoi cibler plus particulièrement Emmanuel Macron ? Que lui reprochez-vous par rapport aux autres candidats ?

    PC : De ne pas avoir d’idées claires et fixes, de porter l’héritage de tout ce qui rate depuis des décennies dans ce pays, d’incarner le camp de ceux qui ont trahi et menti. La liste de ses soutiens est juste à pleurer de rire.

    PV : Quand vous dites « Tout » sauf Macron, c’est vraiment « tout », de Jean-Luc Mélenchon à Marine Le Pen ?

    PC : C’est assez clair. Tout sauf lui. L’immobilisme, n’est pas admissible, et la persévérance dans une voix qui nous enfonce est diabolique. Au moins avec Mélenchon, nous n’aurons pas l’air d’être soumis aux grandes puissances mondiales ou à l’Allemagne… Plus sérieusement, ce cas de figure parait peu probable. Mais il n’est pas question de se soumettre au “vote utile” ou au “vote de dépit” que le système cherche à imposer à travers Macron.

    PV : Quels sont les moyens d’action et les objectifs de votre collectif, comment comptez-vous peser dans la campagne ?

    PC : Prévention, sensibilisation, militantisme. Notre site internet toutsaufmacron.com propose une brochure, rédigée et argumentée par des contributions de qualité. Je vous invite vivement à la réclamer. De plus, nous publions des contenus, écrits et visuels, régulièrement sur les réseaux sociaux, et relayons une certaine actualité, que les médias (majoritairement acquis à la cause de Macron) ne mentionnent que très peu. La multitude des potentielles « affaires Macron » le démontre bien, au moment où Fillon et Marine Le Pen sont attaqués intensivement sur ce terrain alors que lui est préservé.

    PV : Un dernier mot pour nos lecteurs ?

    PC : Quelque chose de frappant : cette élection est capitale pour notre pays et son avenir, les sujets sont aussi nombreux qu’importants. Et pourtant on ne parle de rien, ne débat sur rien, et à 37 jours de la présidentielle, personne n’a le sentiment d’approcher d’une échéance politique importante. En 2005, les gens se sont emparés du sujet de l’UE, et un débat national a transcendé la population : le résultat de ce référendum a douché les attentes de la classe médiatico-politique. Peut-être que cette année, il est volontaire de ne parler de rien et de transformer la campagne en empoignade judiciaire violente. Ne vous y trompez pas…

    Source Paris Vox cliquez ici