La Lettre de l'Expansion nous informe que nous ne sommes pas sortis de la politique politicienne (cliquer pour agrandir) :
magouille et compagnie - Page 2011
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Les manoeuvres de Nicolas Sarkozy
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Libération d’Esteban Morillo
Une libération qui intervient deux mois et demi après celle de Samuel Dufour, un autre suspect. Esteban Morillo, principal suspect dans la mort du gauchiste à particule Clément Méric de Bellefon, le 5 juin 2013 à Paris lors d’une rixe entre « natios » et « antifascistes », Esteban Morillo a été remis en liberté mardi par la cour d’appel de Paris. Il reste mis en examen pour “violences volontaires en réunion et avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner” et sera soumis à un contrôle judiciaire strict qui lui interdit notamment de quitter son département de résidence. Depuis un an, ses avocats avaient plusieurs fois demandé, en vain, sa remise en liberté.
Impossible de résumer cette affaire dans le cadre de ce kiosque. On pourra en lire un exposé factuel et complet sur Wikipédia. Il en ressort que les « antifas » ont délibérément provoqué les « natios », avec la claire volonté d’en découdre. Une vidéo découverte quelques jours après les faits, mais pour l’instant non publique [pourquoi ? ], montrerait même Méric de Bellefon agressant Esteban par derrière, ce dernier ne faisant que se défendre. Cette affaire a été l’occasion pour le pouvoir socialiste de dissoudre plusieurs mouvements de la mouvance nationaliste.
Mais naturellement, pas touche aux mouvements d’extrême gauche, que le régime socialiste utilise volontiers comme réserves de tontons macoutes… Dès le lendemain, 6 juin, Manuel Valls, à l’époque ministre de l’intérieur, exprimait sa « totale détermination à éradiquer cette violence qui porte la marque de l’extrême droite ». Pour le coprésident du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon « la violence sauvage qui a assassiné Clément Méric n’est pas fortuite » et met en cause « une culture méthodiquement inculquée et entretenue par des groupes d’extrême droite » liés, selon lui, au Front national. Quant au Premier ministre Jean-Marc Ayrault il déclarait vouloir « tailler en pièces les groupes d’extrême droite », mais, ajoutait-il, « de façon démocratique » !
Quand même, quand même… Le Conseil des ministres du 10 juillet 2013 prononce la dissolution de Troisième Voie et des Jeunesses nationalistes révolutionnaires, les JNR, ainsi que de l’association Envie de rêver, au motif que « ces trois entités propagent une idéologie incitant à la haine et à la discrimination envers les personnes à raison de leur non-appartenance à la nation française et de leur qualité d’immigrés » Le 24 juillet 2013, à l’issue du Conseil des ministres, Valls annonce également la dissolution de L’Œuvre française. Un an plus tard, le 30 juillet dernier, le Conseil d’État valide la dissolution des JNR et de Troisième Voie, mais ne retient pas le motif d’incitation à la haine invoqué par le décret du gouvernement. Quant à la dissolution de l’association Envie de rêver, elle est jugée illégale et est annulée, l’État étant condamné à lui verser 2 000 euros au titre de ses frais de justice. Superbe opération de diversion, donc, mais qui a fait flop…
A force de proclamer urbi et orbi que les méchants skinheads ou encore les Dieudonné, Soral, Varg Viekernes, mettent « la République en danger », le pouvoir socialiste a fini par se couvrir de ridicule. Les faits sont têtus, disait Lénine. Les Français jugent l’action du gouvernement non sur ces pitoyables moulinets, mais sur sa capacité à juguler la crise qui frappe le pays. Or là, le constat est sans appel. Depuis l’élection de François Hollande à la présidence de la République, plus de 500 000 chômeurs supplémentaires ont été recensés et les Français ont fini par comprendre que le pouvoir n’était pas en mesure de faire face à la dégradation accélérée de la situation économique du pays. Pour l’exécutif, c’est la descente aux enfers selon le dernier baromètre du Figaro Magazine — TNS Sofres, publié jeudi. Les Français qui lui font encore « tout à fait confiance » ne sont plus que 1 % ! Record absolu d’impopularité : aucun président de la 5ème République n’était tombé aussi bas.
http://fr.novopress.info/174442/liberation-desteban-morillo/
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Le père Guy Gilbert bénit les "sans-dents"... sans son dentier
Lu ici :
"C'est une tradition au Cap d'Agde : le père Guy Gilbert, le curé des loubards, bénit chaque année la foule des Brescoudos et de leurs motos. Connu pour son franc parler, il s'en ait pris à l'ex-couple présidentiel dans un discours plutôt "mordant".
"Merci pour ce moment", a-t-il débuté. "Si vous divorcez ou vous vous séparez de votre mec, ne faites pas un roman de cela !" Avant de conclure : "Moi, je suis un sans-dents, la preuve, regardez !" Et il a enlevé son dentier.
Il a ensuite recommandé : "Pensez d'abord à votre famille, n'abandonnez pas vos enfants, occupez-vous d'eux et surtout pensez que le temps perdu ne se rattrape jamais". Le père Guy Gilbert a ajouté " Je suis un sans-dents mais je ne suis pas vieux : le 12 septembre, je fêterai mes 79 ans."
CAP d'AGDE - PRECHE GUY GILBERT AGDE MERCI POUR... parHerault-Tribune -
Manifestation des "sans-dents" devant l'Elysée, VIOLENCE avec la POLICE
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La République s’en prend aux administrateurs d’une page Facebook antiradars
Tout ce qui menace la collecte de l’impôt est un danger pour la démocratie. C’est ainsi que « la justice » s’attaque à 15 personnes qui seront entendues devant le tribunal correctionnel pour s’être «soustraites à la constatation des infractions routières»… Du jamais vu !
Lu sur20 Minutes: Chaque jour, des centaines de milliers d’automobilistes sont avertis de la présence du moindreradar de vitesseou képi sur Facebook, en toute impunité. Mais en Aveyron, le procureur s’attaquera à l’une de ces pages antiradars mardi à Rodez, lors d’un procès inédit.
«Tu vois une camionnette bleue, unradar, des motards… viens le signaler». Se revendiquant comme «le seul groupe utile» sur Facebook, la page «qui te dit où est la police en Aveyron», comme elle s’appelle, compte plus de 10.000 membres. Créé en 2012, le groupe assure ne «nuire en aucun cas aux forces de l’ordre». Les messages sur des « »poulets » au rond-point…» y côtoient des «attention test alcoolémie» mais aussi des avertissements sur des bouchons ou des accidents.
«Entre 600.000 et 800.000 membres sur Facebook»
Les groupes du genre sont légion. Ils réunissent «entre 600.000 et 800.000 membres sur Facebook», assure l’avocat Rémy Josseaume, expert en droit automobile. Mais en Aveyron, le procureur de la République de Rodez, Yves Delpérié, en a fait son cheval de bataille. «Je suis réveillé toutes les nuits, car des gens se tuent sur la route. C’est lamentable que certains préviennent de l’installation des radars», expliquait-il récemment à la presse locale.
Mardi à Rodez, 15 personnes seront ainsi entendues devant le tribunal correctionnel pour s’être «soustraites à la constatation des infractions routières». Huit prévenus sont également poursuivis pour «outrages» après avoir qualifié les gendarmes sur la page Facebook de noms d’oiseaux parfois peu amènes. «J’ai décidé de réprimer les gens qui cherchent à échapper à la loi», expliquait le procureur Delpérié.
«Aide à la route»
Sauf que pour Rémy Josseaume, avocat de neuf des prévenus, aucune loi n’est violée. Certes, l’article R 413-15 interdit les «détecteurs de radars» et prévoit une amende de 1.500 euros et un retrait de six points sur le permis. Mais, selon l’avocat, le groupe sur Facebook ne peut pas être assimilé à un «détecteur de radars».
La réglementation avait fait frémir les vendeurs de boîtiers «d’aide à la route», comme le français Coyote, qui revendique 2,8 millions d’utilisateurs en Europe.Ces sociétés se reposent sur leurs membrespour mettre à jour le boîtier en signalant la présence de «zones de danger», un euphémisme dont Coyote avoue lui-même qu’il avertit d’une «zone d’accident connue comprenant ou non un radar fixe».
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Bien sûr que François Hollande aimait les riches, mais les vrais !
L’expression lamentablement méprisante de François Hollande à l’égard des pauvres, qu’il qualifierait (paraît-il) de « sans-dents », ne surprendra que les naïfs.
Parmi ceux-ci, tous les gens de droite qui avaient poussé des cris d’orfraie quand le candidat Hollande s’était avisé de dire qu’il « n’aimait pas les riches ».
Indignation doublement stupide.
D’abord parce que ce n’était pas vrai. Issu lui-même d’un milieu aisé, Hollande fréquente bien entendu plus de gens fortunés que de « sans-dents », comme tous les hommes politiques d’un certain niveau, de gauche ou de droite – nous serions même tentés de dire surtout de gauche : il suffit de compter dans les gouvernements socialistes les membres du Bilderberg ou du Siècle, plus nombreux encore que du temps de Sarkozy. Il y a peu de risques qu’il déteste ces gens-là.
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Le projet Wikipédia – de fausses informations et de la propagande dans l’encyclopédie en ligne
Ex: http://www.horizons-et-debats.ch
L’annonce que des encyclopédies renommées telles l’Encyclopaedia Britannica qui 244 ans après sa parution, n’est plus publiée depuis 2012, ou le Brockhaus allemand, paru depuis le milieu du XIXe siècle et dont l’édition imprimée sera suspendue cette année, a choqué beaucoup de gens. La cause en est Wikipédia, une encyclopédie en ligne qui au cours d’une dizaine d’années s’est répandue de telle façon que les ouvrages d’imprimées référence n’étaient plus assez demandés. Pour des raisons financières, ils n’ont plus subsisté.
rt. Dans son ouvrage «Die Akte Wikipedia. Falsche Informationen und Propaganda in der Online-Enzyklopädie», paru en juillet dans la maison d’édition «Kopp-Verlag», Michael Brückner s’est penché sur la question de savoir qui est Wikipédia et comment elle fonctionne.
L’auteur constate que l’influence de Wikipédia sur le plan mondial est immense et ne cesse d’augmenter. De plus en plus de gens interrogent Wikipédia en ligne au lieu de consulter une encyclopédie. L’article Wikipédia apparaît le plus souvent au premier plan lors d’une recherche sur Internet. – Là, on se rend compte du caractère arbitraire du classement des moteurs de recherche comme Google. Dans le domaine privé mais également public, dans les écoles ou le domaine scientifique, les articles Wikipédia sont de plus en plus utilisés et acceptés en tant que sources.
Dans le secteur des médias, la pression économique oblige les journalistes à renoncer à leurs propres recherches et à se servir d’informations qu’ils trouvent sur Wikipédia. Ainsi, les informations de Wikipédia sont colportées sans une once d’esprit critique. Brückner retrace dans sa publication les trajectoires des articles Wikipédia. Tout en présumant que les auteurs ont principalement de bonnes intentions, il fait remarquer que tout un chacun peut écrire un article et en améliorer ou supprimer d’autres. Maintenant, une hiérarchie propre à Wikipédia se met en place. Elle n’est pas déterminée par les experts mais par le niveau hiérarchique dans le système de Wikipédia. Cette hiérarchie est déterminée en partie par la durée de l’engagement chez Wikipédia. Par conséquent, les articles provoquent souvent des conflits. Dans le domaine politique tout dépend de la vision du monde des «administrateurs». A l’exemple d’un article sur la «Preussische Allgemeine Zeitung», Brückner démontre que Wikipédia travaille de manière politiquement unilatérale et fait preuve d’intolérance. Le journal «Preussische Allgemeine Zeitung» a été immédiatement mis dans le coin de l’extrême droite – malgré son opposition claire et nette. Les auteurs de l’article Wikipédia se sont appuyés de plein gré sur des publications d’extrême gauche reflétant sans doute leur propre point de vue. Il n’était pas possible de corriger cette présentation. A l’aide d’autres exemples, l’auteur montre comment les articles sont manipulés. Personne n’est consulté avant la publication en ligne, même pas celui qui est concerné. (cf. encadré Horizons et débats).
Vu la propagande actuelle dans le contexte de l’Ukraine, le livre de Michael Brückner est d’autant plus actuel. La «Neue Zürcher Zeitung» a confirmé le 22 juillet, que rien qu’entre 2002 et 2010, 9000 articles de Wikipédia ont été modifiés par le Congrès des Etats-Unis. Un procédé national analogue a été signalé de la part d’Israël, de la Russie, de l’Irlande, du Canada, de l’Australie et de la Norvège – mis à part les grands groupes internationaux. Ce ne sera que la pointe de l’iceberg.
La tentative de recueillir des connaissances via Internet et de les rendre accessibles au public est en fait intéressante. Le problème que les articles de Wikipédia ne répondent pas aux normes scientifiques pourrait être résolu. Etant donné l’influence croissante de Wikipédia, il est urgent de se pencher sur cette problématique. Wikipédia n’est pas soumis à un contrôle scientifique ni démocratique. Des mesures s’imposent.
Chacun qui accède à ce service devrait au moins être conscient des risques qu’il court et savoir que les articles de Wikipédia ont souvent une fonction propagandiste.
Avec sa publication, Bruckner aborde un immense problème qui se présente à l’ère d’Internet et dont la portée ne nous est pas vraiment claire. L’exigence d’une représentation conforme à la vérité qui est la base d’une encyclopédie, se perd chez Wikipédia. Cependant les encyclopédies sérieuses constituent une base importante pour le débat public. Si elles sont dépassées et que Wikipédia les remplace, un débat objectif, sur de nombreuses questions, sera extrêmement difficile. •
Michael Brückner. Die Akte Wikipedia. Falsche Informationen und Propaganda in der Online-Enzyklopädie. Kopp-Verlag, Rottenburg, juillet 2014. ISBN 978-3-86445-123-2
Zeit-Fragen/Horizons et débats, le VPM et Wikipédia
rt. Wikipédia n’offre pas d’articles sensés au sujet de Zeit-Fragen/Horizons et débats. Au lieu de recevoir des informations, l’utilisateur est renvoyé à un lien menant à l’Association pour la connaissance psychologique de l’homme (VPM). L’utilisateur n’y apprend rien concernant Zeit-Fragen/Horizons et débats: ni que ces journaux sont édités par une coopérative, ni que Zeit-Fragen paraît déjà depuis 1993 et Horizons et débats depuis 2000. Ni le travail rédactionnel reposant sur le droit international humanitaire, ni le large éventail politique que Zeit-Fragen/Horizons et débats représentent ne sont considérés.
L’article Wikipédia au sujet de l’Association pour la connaissance psychologique de l’homme (VPM), cite des mensonges non vérifiés, supprime des faits essentiels et manque de tout sérieux. Une image réaliste de l’association ne peut en résulter, ce qui est probablement voulu. L’utilisateur de Wikipédia n’apprend donc rien concernant Zeit-Fragen/Horizons et débats.
A supposer qu’un utilisateur d’Internet veuille s’informer objectivement, il faut constater que les soi-disant «informations» de Wikipédia ne font que renforcer les préjugés. L’accès à une information objective est intentionnellement rendu plus difficile. Ceci est un exemple du caractère explosif de Wikipédia sur le plan politique.
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Une rentrée scolaire marquée par l’autoritarisme
PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation)
La réforme des rythmes scolaires se fait contre l’avis des Français, négative à 53 % au lieu de 47 % il y a un an. C’est une réforme qui clive et divise les Français car elle est approuvée par les sympathisants socialistes et rejetée par ceux qui se sentent de droite.La réforme des rythmes scolaires, c’est aussi un tour de vis fiscal. Pour la ville de Lyon, la mise en place de loisirs obligatoires d’Etat pour les jeunes correspondra à une dépense de 16 millions d’euros. Les allocations familiales payeront 20 % de la dépense, au lieu de se consacrer à leur mission principale. La ville la moitié et l’Etat presque rien. Les parents devraient payer en moyenne 12 € par mois pour les activités que la municipalité aura définies pour leurs enfants.
Cette réforme est aussi une occasion de voir à l’œuvre l’autoritarisme du gouvernement. Pour Najat Belkacem, nouvelle ministre de l’Education nationale : « La loi s’appliquera partout et il n’y aura pas d’exception ».
Maire d’une petite commune du sud des Yvelines, Janny Demichelis ne voulait pas appliquer la réforme. Elle en estimait le coût à mille euros par enfants et par an et manquait d’intervenants. « Allez faire venir un professeur de musique pour trente minutes de cours ». Elle craignait aussi des fermetures de classes au profit de l’enseignement privé qui n’applique la réforme que dans 10 % des cas. Les instances de l’Etat, la sous‑préfecture, la préfecture, l’académie et la gendarmerie l’ont convaincue de rentrer dans le rang.
La nomination de madame Najat Vallaud-Belkacem a aussi été l’occasion d’un accroissement de la surveillance des opposants. Famille chrétienne révèle que des responsables locaux de la Manif pour tous ont reçu des coups de fil de la Sécurité intérieure, ex‑Renseignements généraux. Ils voulaient savoir s’ils comptaient se rapprocher d’associations opposées à la réforme des rythmes scolaires. Cela montre que le gouvernement craint la convergence des révoltes pour défendre la famille.
En réponse, le site, le Salon Beige, lance une pétition, “Ni Peillon, ni Najat : liberté éducative pour les parents”.
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Une rentrée scolaire marquée par l’autoritarisme
PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation)
La réforme des rythmes scolaires se fait contre l’avis des Français, négative à 53 % au lieu de 47 % il y a un an. C’est une réforme qui clive et divise les Français car elle est approuvée par les sympathisants socialistes et rejetée par ceux qui se sentent de droite.La réforme des rythmes scolaires, c’est aussi un tour de vis fiscal. Pour la ville de Lyon, la mise en place de loisirs obligatoires d’Etat pour les jeunes correspondra à une dépense de 16 millions d’euros. Les allocations familiales payeront 20 % de la dépense, au lieu de se consacrer à leur mission principale. La ville la moitié et l’Etat presque rien. Les parents devraient payer en moyenne 12 € par mois pour les activités que la municipalité aura définies pour leurs enfants.
Cette réforme est aussi une occasion de voir à l’œuvre l’autoritarisme du gouvernement. Pour Najat Belkacem, nouvelle ministre de l’Education nationale : « La loi s’appliquera partout et il n’y aura pas d’exception ».
Maire d’une petite commune du sud des Yvelines, Janny Demichelis ne voulait pas appliquer la réforme. Elle en estimait le coût à mille euros par enfants et par an et manquait d’intervenants. « Allez faire venir un professeur de musique pour trente minutes de cours ». Elle craignait aussi des fermetures de classes au profit de l’enseignement privé qui n’applique la réforme que dans 10 % des cas. Les instances de l’Etat, la sous‑préfecture, la préfecture, l’académie et la gendarmerie l’ont convaincue de rentrer dans le rang.
La nomination de madame Najat Vallaud-Belkacem a aussi été l’occasion d’un accroissement de la surveillance des opposants. Famille chrétienne révèle que des responsables locaux de la Manif pour tous ont reçu des coups de fil de la Sécurité intérieure, ex‑Renseignements généraux. Ils voulaient savoir s’ils comptaient se rapprocher d’associations opposées à la réforme des rythmes scolaires. Cela montre que le gouvernement craint la convergence des révoltes pour défendre la famille.
En réponse, le site, le Salon Beige, lance une pétition, “Ni Peillon, ni Najat : liberté éducative pour les parents”.
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Encore un exemple de l’exemplarité des politiques républicains
Flamby a mis fin jeudi aux fonctions du secrétaire d’État au Commerce extérieur, Thomas Thévenoud, « à sa demande » selon un communiqué de l’Elysée. Les raisons de cette démission sont liées à un problème fiscal. Selon Itélé le député n’aurait pas fait de déclarations d’impôts depuis 3 ans.
C’est le même homme qui était vice-président de la commission d’enquête sur l’affaire Cahuzac !