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magouille et compagnie - Page 2148

  • Vigi-gender : soyons vigilants dans l'éducation de nos enfants

    Vous avez tous pu suivre la polémique lancée par le Ministre de l'Education Nationale cette semaine. Et il est bon de faire un petit point car à entendre notre Ministre de l'Education ce n'est qu'une rumeur. Alors reprenons les mensonges de Monsieur Peillon :

    - Le premier: l'ABCD de l'égalité !

    Il repose sur les concepts de genre sous prétexte d'égalité ! la lutte contre les stéréotypes est caractéristiques du genre et caricaturale : qui aujourd'hui oblige un garçon a jouer avec un pistolet et une fille a jouer à la poupée ? Qui reprimande son garçon quand il touche à une barbie et une fille à un marteau ? On nous fait croire que l'on vit il y a cent ans. Pourquoi ? On dit insidieusement à nos enfants qu'il n'y a pas de règle que chacun choisit ! Peillon veut-il imposer un stéréotype d'Etat ?

    Nous dénonçons ce mensonge !

    - Deuxième mensonge : les parents ont été informés

    FAUX ! Jamais une réunion d'information des parents n'a été organisée concernant l'ABCD de l'égalité ! On a même un syndicat enseignant qui appelle à ne pas le faire car "il n"y a pas d'autorisation à demander aux parents". La Refondation de l'Ecole selon Vincent Peillon se fait sans les parents ! et pourtant l'ABCD a été mis en place en novembre et il ne réagit que maintenant ? Parce que chacun de vous a été vigilant dans son école 

    Continuons !

    - Troisième mensonge: c'est le rôle de l'Ecole de lutter contre les stéréotypes !

    Encore une fois faux ! Jules Ferry le rappelle dans sa lettre aux instituteurs "vous êtes l'auxiliaire, et à certains égards le suppléant du père de famille" mais pas son remplaçant ! L'Ecole est là pour instruire, laissez les parents éduquer leurs enfants ! Chacun est libre d'agir pour le bien de son enfant ! Redonnons ses lettre de noblesse à l'institution qui instruit nos enfants ! Chacun son rôle ! Soyons complémentaires pour le bien de nos enfants ! Les enseignants sont mal à l'aise avec celà et le Ministère leur a interdit de communiquer sur ce qui se passe dans les écoles. Il faut soutenir les enseignants qui refusent le genre à l'Ecole.

    Vous avez entendu parler ces derniers jours de Vigi-Gender. Qu'est-ce que Vigigender ?

    - Une source d'info ! pour vous informer et vous permettre d'être au clair sur ce sujet, preuve à l'appui. Car dans ce combat, la caricature ne paye pas, et seul l'engagement de chacun dans les écoles permettra d'empêcher le genre d'infiltrer l'école !

    - Nous avons la chance d'agir dès le début, soyons dans la réaction dans certains cas et dans la prévention dans d'autres ! Vous êtes parents et vous avez le droit d'avoir votre avis et de réagir quoiqu'en dise le Ministre de l'Education Nationale ! La Déclaration des droits de l'homme le rappelle "les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants" !

    Une victoire uniquement médiatique de serait pas durable, les lobbys LGBT ne lâcheront rien sur cette question. Il nous faut être DANS les écoles pour établir des barrages sur le terrain.

    Pour cela rejoignez les comités vigi-gender qui travaillent à établir des relations durables dans chaque école pour permettre l'information de tous sur la réalité du genre (la majorité des parents ne sait pas de quoi on parle) et permettre une vigilance au plus près de nos enfants et dans la durée c'est important ! 

    Vous trouverez toutes les informations sur le site internet et auprès de vos référents dans votre départements. Maintenant, à chacun d'informer ses voisins, ses collègues redonnons leur sens aux mots homme et femme ! Défendons l'homme et la femme dans leur spécificité et complémentarité !

    Michel Janva

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Manif pour tous, renvoi de la loi (anti)famille : la gauche semble vaciller

    PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation) - Une première victoire de la Manif pour tous de ce dimanche : la gauche ne présentera pas cette année son projet de loi sur la famille

    C’est ce qui est ressorti hier des différentes déclarations, parfois contradictoires et comme souvent cafouilleuses, de nos ministres socialistes.

    Tout à commencé hier matin sur RTL. Manuel Valls a précisé que le gouvernement ne donnera pas son accord à des amendements parlementaires ouvrant l’accès à la PMA lors de l’examen du projet de loi sur la famille. Puis Matignon a annoncé que le gouvernement ne présenterait finalement pas son projet de loi sur la famille en 2014.

    Manuel Valls avait qualifié dimanche les manifestants de la Manif pour tous comme appartenant à « une droite conservatrice et réactionnaire ». Autrement dit, dans le jargon socialo trans genre : des gens infréquentables.

    La droite reste divisée sur la PMA et la GPA

    Au Front national, Marion Maréchal‑Le Pen, députée du Vaucluse, a défilé, mais son parti n’a pas appelé les manifestants à rejoindre le cortège. Quelques élus UMP ont également défilé comme Henri Guaino et Hervé Mariton.

    La droite libérale tente de récupérer le mécontentement des Français de la Manif pour tous notamment avec les interventions de Jean‑François Copé qui à déclaré « La prochaine grande manifestation sera l’élection municipale, l’occasion pour les Français de dire stop à François Hollande ».

    Les Français n’ont pas oublié que l’UMP lorsqu’il était au pouvoir avait déjà prévu la mise en place de la théorie du genre.

    L’Humanité, le journal le plus sponsorisé par nos impôts titre « La bourgeoisie lyonnaise en rose et bleu pour la Manif pour tous ».

    Ce journal reprend de manière exemplaire les propos méprisants et mensongers tenus par plusieurs ministres à propos des Français qui ont manifesté dimanche dernier. Ils accusent les manifestants « D’alimenter les fantasmes sur l’enseignement de la théorie du genre ou la procréation médicalement assistée et la gestation pour autrui ». On pourrait presque croire devant autant de mauvaise fois que la théorie du genre n’a jamais existé…

    http://fr.novopress.info/155270/manif-renvoi-loi-antifamille-gauche-semble-vaciller/#more-155270

  • Pas-de-Calais – Une soirée à thème porno qui parodie le christianisme

    C’est une tendance à la mode : des boîtes de nuit organisent des soirées à thème mêlant volontiers dans l’intitulé pornographie et blasphème.

    Dernier exemple en date signalé sur Facebook : http://www.cesar-net.com/agenda_detail.php?ref=1272 , la soirée « Porno Priest » organisée le samedi 8 février au Cesar Palace à Grenay, dans le Pas-de-Calais, avec la participation de Nikita Belluci, actrice pornographique.

    La croix sur l’affiche et l’utilisation du mot « Priest » indiquent bien une volonté de souiller des symboles chrétiens.

    Par le passé, dans des cas similaires, certaines boîtes de nuit avaient reçu suffisamment d’appels téléphoniques et de messages outrés via les réseaux sociaux pour changer rapidement l’intitulé de leur soirée, voire l’annuler.

    http://medias-presse.info/pas-de-calais-une-soiree-a-theme-porno-qui-parodie-le-christianisme/6006

  • La première dame et la reine

    Le feuilleton vaudevillesque qui s’est déroulé sous les yeux du monde entier et qui a mis en scène le président de la République, sa favorite officielle et sa maîtresse, a révélé bien des choses, et pas seulement sur la nature profonde d’un homme « dépourvu d’affect », selon des propos attribués à son ancienne compagne des années dernières.

    En fait, le plus intéressant est ce débat sur le rôle de première dame et sur sa nécessité ou son inutilité dans notre pays.

    La manière dont les médias ont, d’une certaine façon, tissé le linceul de la première dame et, au-delà, de son rôle près du chef de l’Etat, rôle non officiel et pourtant loin d’être négligeable (pour le meilleur comme pour le pire, d’ailleurs…), de cette fonction qui n’est reconnue par aucun texte de la République, n’est pas une manière heureuse ni judicieuse. Pour une fois, je reconnais au publicitaire Jacques Séguéla une certaine raison quand il affirme dans Le Figaro du lundi 27 janvier que « On assassine la fonction de première dame de France dans un esprit « bonnet phrygien » alors que cette fonction apporte de l’imaginaire à la République. » [...]

    Jean-Philippe Chauvin - La suite sur Nouvelle Chouannerie

  • La majorité des socialauds ont un cerveau malade

    Les idéologues fous qui nous gouvernent ont trouvé une nouvelle forme de censure du langage, destinée à plier les cerveaux à leur vision orwellienne du monde : désormais c’est l’expression « bon père de famille » qu’ils veulent éradiquer…

     

    La majorité écolo socialo qui fait mine de nous gouverner, a au moins le mérite de disposer d’une imagination sans limite quand il s’agit de faire diversion sur son incompétence face aux vrais problèmes. Ainsi, cette semaine, des élus EELV ont déposé un amendement à la loi immonde de Najat Belkacem sur l’égalité des chances, afin d’exiger la suppression de l’expression, « bon père de famille » du code civil.

     

    Après la tentative de suppression du mot mademoiselle (misogyne), après celle du mot race (raciste), après celle du mot quenelle (antisémite), après celle du mot école maternelle (misogyne) et du mot épiphanie (catholique, soit ce qui se fait de pire au monde), c’est au tour du bon père de famille de subir les foudres de la gauche plurielle et de sa volonté d’interdire carrément des mots.

     

    Alors, ne nous voilons pas la face, les écolos et les socialistes sont avant tout des politiciens : quand on est incapable de luter contre le chômage, contre le problèmes de logement ou d’insécurité, on se tourne vers des propositions démagogues, qui donneront des gages de « bonne moralité de gôche » et qui diviseront un peu plus les Français, les empêchant de s’inquiéter des vrais problèmes. Mais souvent la faiblesse et la peur des dirigeants les conduisent à la violence. Une violence symbolique et liberticide pour le moment…

     

    Une diversion, un coup de Com pour donner l’illusion qu’on est différent de la méchante droite, rien de plus. Malheureusement, avec ces manœuvres lâches et ineptes, ces fous sont en train de détruire toute forme de liberté d’expression. A refuser d’évoquer la différence, on en vient à la supprimer. Un monde indifférencié, où les humains auraient tous la même couleur, le même sexe, voilà ce que souhaitent secrètement ces adeptes de la théorie du genre et autre pourfendeurs de racistes, d’antisémites, d’homophobes, d’islamophobes, de misogynes…

     

    On sait bien que la manipulation du langage pour « diriger » les esprits est un marqueur d’un régime totalitaire.

    http://francelibre.tumblr.com/

  • Manif pour tous : des dérapages étonnants…

    PARIS (NOVOpress) - Il s’avère que des dérapages lors de la Manif pour tous le 2 février 2014 ont bien eu lieu. Mais pas en provenance des manifestants ! En effet, un certain nombre de responsables politiques, à différents échelons de l’État, des institutions et des partis PS et UMP ont littéralement pété les plombs.

    Il y a d’abord Manuel Valls, champion des points godwin, qui a déclaré au JDD que “Ce retour de la haine des Juifs, des médias, des politiques, évoque un parfum des années 1930… Oui, tous ces faits sont la preuve de la constitution d’un bloc des contestataires, d’une fronde des anti : anti-élites, anti-État, anti-impôts, anti-Parlement, anti-journalistes… Mais aussi et surtout des antisémites, des racistes, des homophobes… Tout simplement des anti-républicains. Le point commun avec les années 1930, c’est cet anti-républicanisme et la détestation violente dans les mots comme dans les actes de nos valeurs et de nos principes. Derrière tout cela, c’est la France qui est visée dans son idéal.”

     

    Puis vient Bruno Julliard, adjoint au maire de Paris, qui a retwitté un message appelant au meurtre des manifestants sur twitter avant de nier.

     

    Enfin, l’UMP n’est pas en reste, puisqu’un de ses membres, Mohamed Toubache-Ter « étudiant, Coordinateur National des Jeunes du Chêne. Membre du bureau départemental des Jeunes Populaires de Paris en charge du Pôle associatif » en appelle à l’extrême-gauche pour « nettoyer nos rues…», propos qui n’ont à ce jour pas fait de remous particuliers au sein de l’UMP.

    http://fr.novopress.info/155264/manif-derapages-etonnants/

  • Le gouvernement cherche à diviser les opposants et il est en passe de réussir !

    Hollande est toujours actuellement le président le plus impopulaire de la Vème République. La grogne fiscale continue de gronder sournoisement et les défenseurs de la famille sont toujours dans la rue. La seule chose que craint actuellement le gouvernement, c’est qu’une vraie coagulation prenne forme entre ses divers opposants qui s’allieraient dans un seul et même but : obtenir la démission de Hollande. Pour cela, le gouvernement socialiste cherche à semer la division.

    Ce dimanche, Claude Bartolone, le président de l’Assemblée Nationale déclarait à propos de la Manif Pour Tous : « Cette manifestation-là, elle correspond à un débat qui existe dans la société depuis longtemps. C’est une préoccupation des catholiques dans notre pays. De ce fait, je ne considère pas que ce soit une manifestation de même nature que celle qui a regroupé un certain nombre de fachos la semaine dernière ! » On voit tout de suite la manœuvre qui consiste à faire la distinction entre la Manif Pour Tous et Jour de Colère, donnant ainsi raison à Ludovine de la Rochère qui est restée en marge du 26 janvier. D’ailleurs, malgré les menaces de Valls, il n’y a eu aucun incident ni débordement permettant ainsi à la Manif Pour Tous de dire : « voyez on est pacifique, ne nous mélangez pas avec les autres ». Comment expliquer cela ? Il y a deux possibilités. Soit, la manifestation de dimanche avait une très bonne organisation (ndlr : sur twitter, certains manifestants ont remercié le cordon de sécurité d’avoir empêché les policiers en civil de s’infiltrer), soit la police est restée sage comme on le lui a ordonné. Il y a eu une douzaine d’arrestations préventives et quelques contrôles d’identité mais aucune garde-à-vue. On est donc loin des 300 interpellations du 26 janvier. Désormais, il n’y a plus aucune chance de voir un rapprochement entre Jour de Colère et la Manif Pour Tous. Tout aurait été bien différent s’il y avait eû des centaines des gardes-à-vue. Cela aurait poussé certains manifestants à se radicaliser. Au lieu de ça, Jour de Colère est isolé et apparait désormais comme un mouvement contestataire radical.

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  • Communiqué : Le Grand Journal de Canal + : l’amalgame et le mensonge comme modes d’information.

    A-t-on voulu nous faire payer la décision de ne pas laisser entrer l’équipe du Grand Journal de Canal + à notre réunion publique du 18 janvier ? C’est mesquin, mais possible. Comment Karim Rissouli peut-il affirmer « avoir été là » puisque les journalistes n’ont pu entrer ? L’extrait du discours d’Elie Hatem que le « journaliste » a présenté, ce 3 février 2014, aux téléspectateurs, a donc tout simplement été emprunté aux réseaux sociaux.

    Non content de traiter notre ami, candidat du Rassemblement Bleu Marine dans le IVe arrondissement de Paris, de « royaliste sulfureux », sans étayer le moins du monde ce propos injurieux, Karim Rissouli nous livre un « scoop », en vue de piéger Florian Philippot, vice-président du Front National, présent sur le plateau, en présentant Elie Hatem comme appartenant à l’Action française, « un mouvement d’extrême droite, royaliste certes, mais aussi pétainiste, antisémite, qui se revendique encore aujourd’hui de l’idéologie de Charles Maurras ».

    Un amalgame aussi grossier déshonore ceux qui le pratiquent et laisse perplexe sur leur professionnalisme.

    Tout d’abord, en qualifiant l’Action française d’extrême droite, M. Karim Rissouli tente sans originalité de la discréditer en recourant à une qualification républicaine que l’AF a toujours récusée. Méthode classique de diabolisation.

    Ensuite, en réduisant la doctrine maurrassienne à un aspect jadis incontestable mais présenté de manière tronquée (comme l’est la citation de Maurras présentée aux téléspectateurs), le Grand Journal ment sur une école de pensée qu’aucun historien des idées, même hostile, n’a jamais réduit à un antisémitisme historiquement daté et qui fut loin d’être partagé par l’ensemble des cadres de l’Action française (ainsi Jacques Bainville, qui déclarait « devoir tout à Maurras fors la vie », ne fut jamais antisémite).

    Surtout, en déclarant que l’Action française est « antisémite », le Grand Journal diffame ouvertement notre mouvement. Le journaliste serait du reste bien en peine de trouver une seule trace d’antisémitisme dans les publications actuelles : Journaux, brochures, livres. Ce mouvement a, depuis longtemps en effet, appliqué à la tradition maurrassienne elle-même, sous l’influence notamment de Pierre Boutang, cette démarche critique que Maurras revendiquait pour toute tradition.

    Enfin, après avoir rappelé la présence de militants d’Action française au Jour de Colère le 26 janvier, le journaliste pratique l’insinuation calomnieuse en affirmant qu’il est « impossible de dire si ce sont ces militants-là qui ont proféré les slogans qu’on a entendus, comme “Juif, casse-toi, la France n’est pas à toi” ou “Juifs, hors de France”. Ils étaient bien là ». (On sait que quelques groupes en fin de cortège se sont distingués par des cris antisémites alors que l’AF était bien plus loin). Il n’hésite pas alors à conclure son propos par un mensonge explicite : « Et d’ailleurs selon leur propre communiqué de presse, quinze d’entre eux ont été interpellés pour des violences sur des policiers. » Que M. Rissouli nous montre le communiqué de presse où nous affirmons que certains de nos militants auraient été arrêtés, le 26 janvier dernier, « pour violences sur policiers » et qu’il nous explique alors pourquoi aucun n’est passé devant les tribunaux. Les juges seraient-ils d’Action française, eux aussi ?

    Toutes ces affirmations délibérément malveillantes ou mensongères déshonorent à la fois le « journaliste » qui les a proférées et la rédaction d’un Grand Journal dont le parti-pris a viré, hier au soir, à la diffamation.

    Nous tenons à remercier M. Florian Philippot d’avoir lui-même employé ce mot pour désavouer la démarche du « journaliste » . Chacun sait que M. Philippot est issu d’une autre tradition que la nôtre et que nous avons à plusieurs reprises critiqué publiquement certaines de ses prises de position : son attitude sur le plateau n’en illustre que mieux son honnêteté intellectuelle et son indépendance d’esprit.

    L’Action française se réserve le droit d’engager toutes poursuites judiciaires qu’elle jugera fondées contre M. Karim Rissouli et la rédaction du Grand Journal.

    Le Secrétariat général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-Le-Grand-Journal-de

  • La gauche nauséabonde

    La dernière querelle sur la théorie du genre montre l’utilisation perverse des mots de la part des socialistes.
    Vincent Peillon a passé son temps de façon hypocrite à dire que la théorie du genre n’était pas enseignée à l’école mais était enseignée l’égalité.
    il a bien sûr ajouté (on ne peut pas y échapper) que c’étaient les valeurs de la république, pour la gauche, il ne reste plus qu’à s’agenouiller les mains jointes.
    Mais dans la nouvelle idéologie socialiste, égalité et théorie du genre sont plus que proches, l’égalité pouvant se comprendre - par exemple comme le fait que l’on dise aux petits garçons d s’assoir aux toilettes comme les petites filles (comme cela a été élaboré en Suède) !
    L’égalité n’est en fin de compte qu’un fourre-tout dans lequel peut tout mettre (y compris la théorie du genre). Vincent Peillon n’a pas rassuré grand monde.
    Toute cette affaire s’ajoute à toutes les propositions de Terra-Nova qui ne sont que l’ADN de la gauche française. Il ne s’agit plus de détruire la France, mais de remplacer son peuple, son histoire.
    C’est certes la conception d’intellectuels tordus, adeptes de la haine de soi, mais ce sont eux qui élaborent le programme socialiste en sous-main, qui doit s’appliquer de façon plus ou moins sournoise.
    Les électeurs socialistes qui votent PS croient encore que la gauche défend les pauvres comme au temps de Jaurès.
    Le feuilleton sentimental sur Hollande et sa dernière maîtresse a voulu être récupéré par la gauche qui nous présente maintenant Julie Gayet comme un sainte du cinéma, milieu pourtant où il n’y en existe pas beaucoup.
    Avoir été choisie comme favorite par le président nous est raconté comme la récompense d’une femme de gauche n’ayant fait que le bien autour d’elle. C’est sans doute la nouvelle conception de la méritocratie socialiste.
    En tout cas, Julie Gayet a décidé d’être la discrète maîtresse de « notre » président comme le fut Éva Braun.
    Patrice Gros-Suaudeau

  • Manif pour tous : le mauvais tour de Valls

    Pour avoir perdu toute mesure, M. Valls a dû manger sa casquette et a achevé de sombrer dans le ridicule.

    Il avait cru voir un bon coup à faire. C’était tentant. Il l’a tenté. Il l’a raté. Une semaine après que l’hétéroclite et inquiétant Jour de colère lui avait permis de ressusciter et d’exorciser le spectre du fascisme qui ne passera pas, Manuel Valls avait évoqué la menace d’un autre Dies Irae. Les incidents publiquement annoncés (et secrètement souhaités) par M. le ministre de l’Intérieur (et des Cultes) n’ont pas eu lieu. Le 2 février 2014 ne laissera pas dans l’histoire la même trace sanglante que le 6 février 1934.

    Si redoutable que soit la mobilisation des beaux quartiers, de la province profonde, de la France éternelle, si inquiétants que puissent être les messieurs en loden, les mamies plus familières de la messe que des barricades, les pères et les mères tranquilles, les mamans poussant leur poussette, les familles traditionnelles (un homme, une femme et leurs enfants), les drapeaux tricolores et les ribambelles de petites silhouettes bleues et roses, il était impossible, même à un reporter de France Inter, du Monde ou de Libération, de prétendre que cette foule pacifique qui défilait sous le ciel ensoleillé de l’Île-de-France mettait notre « fragile » République en danger.

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