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magouille et compagnie - Page 2145

  • Gender : Eric Zemmour répond à ses contradicteurs

  • Révélation sur un mensonge : Najat Belkacem aura-t-elle l'honneur de démissionner ?

     

    C'est une bombe que révèle l'hebdomadaire Valeurs Actuelles ce soir :

    V"Après avoir menti aux Français sur la théorie du genre à l’école, Najat Vallaud-Belkacem, ministre déléguée des Droits des femmes, tente désespérément de se raccrocher aux branches en faisant signer aux partenaires sociaux, une tribune rédigée…par son propre cabinet !

    [...] Il est proposé à des organisations de plusieurs sensibilités (CFDT, FO, CGT, CFTC, Medef entre autres), de cosigner un texte, défendant les ABCD de l'égalité. Les ABCD, très critiqués depuis le succès de La Manif Pour Tous du dimanche 2 février, ont pour but d'inculquer aux enfants la théorie du genre, de manière déguisée. [...]

    Valeurs actuelles a pu consulter ce document. Il ressort de son étude que ce texte n’est pas l’œuvre des partenaires sociaux, mais qu’il a été rédigé par un proche conseiller de la ministre : Thierry Breton, chargé de l'égalité professionnelle à son cabinet. En outre, la dernière relecture du texte a été supervisée par Jérôme Teillard, directeur adjoint du cabinet de Najat Vallaud-Belkacem !"

    Voici ce texte de propagande :

    "« Nous ne ferons pas l’égalité dans l’emploi sans un apprentissage de l’égalité à l’école ! »

    NIl n’est pas habituel pour nous de prendre la plume sur une question dont beaucoup nous considère éloignés, celle de l’éducation à l’égalité à l’école.
    Notre attachement à l’Ecole de la République est celui de tous les citoyennes et citoyens de ce pays. L’école est le lieu des apprentissages ; c’est aussi le creuset où se fonde le « vivre ensemble » indispensable à la cohésion sociale, où se transmettent les valeurs auxquelles nous sommes tous  attachés, la liberté, l’égalité, la fraternité.
    Et, soyons clairs, la transmission d’une culture de l’égalité ne peut se faire, aujourd’hui comme hier, sans aborder la question de l’égalité entre les filles et les garçons, l’égalité entre les femmes et les hommes.
    Ce n’est évidemment pas une question de théorie. C’est une nécessité démocratique mais c’est aussi un impératif pour lutter et annuler des inégalités professionnelles.
    En tant que responsables d’organisations syndicales et d’organisation patronales, nous sommes mobilisés pour réduire les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes qui perdurent sur le marché du travail. Par le dialogue social, sous l’impulsion de la loi, nos organisations s’engagent pour supprimer les écarts de salaire, les différenciations injustifiées de parcours professionnels, pour lutter contre des représentations dépassées qui renvoient femmes et hommes à des activités hiérarchisées et enferment encore trop souvent les femmes entre plafond et parois de verre.
    L’égalité sur le marché du travail ne se fera pas de manière isolée. Elle est complémentaire et solidaire d’un progrès de toute la société, d’une société dans laquelle les responsabilités entre femmes et hommes sont mieux partagées.
    C’est à la société dans son ensemble de se mobiliser. Et l’Ecole joue évidemment un rôle fondamental. Inutile de croire qu’un jour nous pourrons supprimer les écarts de salaire et le plafond de verre, si l’apprentissage de l’égalité ne commence pas dès le plus jeune âge. Inutile d’imaginer que nous pourrions faire la mixité des métiers si nous ne donnons pas confiance à nos enfants, si nous ne leur expliquons pas que tous les horizons professionnels sont possibles, que tous les métiers sont ouverts, que toutes les responsabilités peuvent être assumées, à égalité.
    Parce que nous voulons réussir l’égalité professionnelle, parce que la transmission d’une culture de l’égalité dès le plus jeune âge est une nécessité et qu’elle contribuera à la compétitivité de notre économie, nous soutenons l’esprit et la démarche des ABCD de l’égalité."
  • Théorie du genre – La vidéo du défi lancé par Civitas à Vincent Peillon déjà vue par plus de 100.000 Français

  • Manifestation pour la dissolution des femen : ce sera place Vauban

    ACommuniqué de l'Agrif :

    " Pour des raisons absolument pas crédibles, la préfecture de police de Paris est revenue sur l’attribution de l’esplanade des Invalides pour notre manifestation. Elle nous a fait d’autres propositions totalement inacceptables pour des raisons évidentes. Elle nous a finalement accordé la place Vauban avec promesse d’un élargissement d’horaires permettant à partir de 18h une dispersion qu’elle s’engage à pouvoir se faire sans difficulté. L’Agrif appelle donc tous les manifestants à se rassembler devant sa tribune dès 14h 45 ce samedi 8 février, place Vauban."

    Ce sera une manifestation statique ponctuée de discours.

    Concernant la demande de retrait du timbre FEMEN, vous pouvez rejoindre la page Facebook dédiée.

    Michel Janva

  • « L’officier de police veut me pousser à avouer ce que je n’ai pas fait, je ne cède pas. »

    Dimanche 26 janvier aux alentours de 18h. La manifestation « Jour de colère » s’achève, les organisateurs appellent à la dispersion.
    Je n’ai même pas le temps de sortir saucisson et cacahouètes que j’avais apportés pour l’apéro que les CRS envoient les premières salves de grenades lacrymo après avoir bouclé la place Vauban. La réaction est immédiate : se sentant pris au piège, des centaines de manifestants jusque-là pacifiques courent dans tous les sens, certains se replient face aux gaz lacrymo, d’autres tentent de forcer les barrages de CRS pour échapper à la nasse mise en place par la préfecture de police. De mon côté, j’ai perdu de vue mes amis dans la panique générale et, voulant ne pas me mêler à un groupe particulièrement excité, je me rapproche des lignes de CRS malgré les gaz. Isolé, je suis une proie facile ; aussitôt un groupe de policiers en civil m’a sauté dessus et tiré derrière le cordon de CRS avant même que je comprenne ce qui m’arrive. C’est alors que je subis un véritable passage à tabac : coups de poing, de pied et… de matraque ! Alors que n’ai fait preuve d’aucune rébellion, les agents se défoulent sur moi. J’ai mal partout et particulièrement au bras gauche, j’ai le cuir chevelu ouvert et du sang coule sur mon visage, il est 18h30…
    On me fait attendre dans un fourgon cellulaire avant de me conduire dans un bus de la police où je tombe des nues lorsque j’apprends que je suis interpelé pour « violences sur agent dépositaire de la force publique ». Je refuse de signer le PV d’interpellation. Je suis ensuite conduit au commissariat du 5e où je suis assez rapidement mis en cellule avec neuf autres personnes dont deux journalistes qui n’en reviennent pas d’être là non plus. Les heures passent, interminables. On discute, on essaie de dormir malgré le froid et les deux couvertures pour dix. Nous sommes appelés chacun notre tour pour faire notre déposition. 4 heures du matin : c’est mon tour, j’apprends que je suis soupçonné « d’avoir lancé des projectiles sur les forces de l’ordre », lesquels, je ne sais pas mais, de toutes façons, je conteste ces allégations. 11 heures du matin : après avoir réclamé une bonne dizaine de fois un médecin, je finis par en voir un mais il est trop tard pour faire les points de suture qui auraient été les bienvenus. J’ai toujours très mal au bras gauche.
    Lundi après-midi : je suis à nouveau convoqué devant un officier. Je comprends alors que j’ai de réels problèmes : il veut me pousser à avouer ce que je n’ai pas fait, je ne cède pas. Il m’annonce alors que ma garde à vue va être portée à 48 heures car les policiers que j’ai blessés sont à l’hôpital et ne pourront être là que le lendemain pour une confrontation ! Je suis raccompagné à ma cellule et commence sérieusement à broyer du noir : je suis visiblement accusé de quelque chose de grave et je ne sais pas de quoi, puisque je ne l’ai pas commis ! Je pense alors au film « L’Aveu » de Costa-Gavras, histoire de bien me plomber le moral. Pour ne rien arranger, mes camarades d’infortune me quittent un à un : certains pour la liberté, d’autre pour une comparution immédiate (qui se tiendra finalement le lendemain après-midi).
    Ma deuxième nuit passera plus rapidement : des siestes interrompues par le passage de compagnons de cellule illustrant la France d’après : un dealer sénégalais, des vendeurs de Touw’ Effèle (sénégalais aussi), un Algérien arrêté pour conduite en état d’ivresse et des Géorgiens camés. A minuit, nouvelle visite chez un médecin : celui-ci me met trois jours d’ITT et bande mon bras gauche qui me fait souffrir. Mardi matin, 9 heures : confrontation avec les policiers que j’ai soi-disant blessés. Bien entendu, je n’ai blessé aucun des deux et cela apparaît dans leur déposition. On en vient donc à confronter nos versions. Je résiste aux intimidations et autres pressions policières grâce à la présence de mon avocat, Maître Pichon. Fin de la confrontation, j’ai appris au moins une chose : je suis accusé d’avoir renvoyé une grenade lacrymo sur les CRS. Ensuite, re-cellule puis transfert au dépôt, énième fouille, puis cellule individuelle, entretien avec mon avocat, encore un long moment en cellule avant mon audience qui se tient à 22 heures… Finalement, celle-ci est renvoyée au 11 mars ! D’ici là, j’ai la chance de ne pas être placé en préventive. 23 heures : je respire enfin l’air de la liberté, accueilli par ma femme et mes amis. Un accueil qui réchauffe le cœur après la cinquantaine d’heures éprouvantes que je viens de passer. Ça aurait pu s’arrêter là mais trois jours plus tard une radio de mon bras gauche révèle que j’ai une fracture du cubitus. Oui, les policiers m’ont bastonné au point de me casser le bras ! Me voilà plâtré pour un mois, avec trente jours d’ITT en poche pour la contre-attaque !

    Solidarité pour tous

    http://www.oragesdacier.info/

  • stéréotypes

    Il y a peu un reportage dans une maternelle touchée par le programme ABCD, nous montrait deux bambins de quelque trois ans en train de baigner, apparemment sans grande conviction, chacun une poupée dans une baignoire en plastique. L’amusant était d’ailleurs qu’une des poupées était noire et l’autre de type asiatique. A l’évidence on voulait les convaincre que malgré les stéréotypes, des garçons pouvaient jouer à la poupée. Visiblement les gamins, pas très convaincus, agissaient sur ordre.

    Des stéréotypes chez des enfants de trois ans, mais où vont ils chercher ça ? Ils les auraient acquis où et quand ? Il n’empêche les institutrices très excitées avaient l’air convaincues de la menace et de la nécessité de réagir.

    On ne peut qualifier ça que de lavage de cerveau, et laver le cerveau d’enfants de maternelle, c‘est grave, genre totalitaire, Goebels n’est pas loin.

    On me dira que j’ai des fantasmes et que tout ça c’est anodin et pour le bien des enfants qui pourront apprécier plus tard les joies des « tâches ménagères (qui) ne sont pas sans noblesse. »

    Peut être mais avec un ministre qui veut remplacer la religion catholique qui s’oppose à tout « progrès », par une religion qui défende les valeurs de la république, je me méfie. D’autant que l’autre, la jeune Najat Belkacem, me semble un mauvais exemple question stéréotype, car, à la voir toujours pomponnée, elle doit en passer du temps chez son coiffeur et devant son miroir. Autre chose que Mélenchon qui n’a pas du suivre en son temps le programme ABCD.

    Il n’est que de feuilleter la presse féminine, on voit bien que ces dames n’ont pas les mêmes préoccupations  que les lecteurs de l’ Equipe, de Paris Turf et de l’Auto Journal.

    Ce qui est remarquable avec les socialistes c’est qu’ils veulent faire le bonheur de gens qui ne leur ont rien demandé. Croit-t-on que la préoccupation actuelle du menu peuple est le mariage pour tous, la libéralisation de l’avortement et les langues régionales ? Au contraire comment peut-t-on faciliter l’avortement dans un pays qui se dépeuple, pousser les mères de famille au travail avec trois millions de chômeurs, et enseigner le ch’ti quand personne n’écrit plus correctement le français.

    Il est faux de prétendre que l’égalité c’est l’identité : il est bien évident que les hommes et les femmes n’ont ni les mêmes aptitudes ni les mêmes appétences : si une fille, veut être policière, il me semble évident qu’elle ne rendra pas les mêmes services qu’un homme. C’est ce que l’on peut constater d’ailleurs, les patrouilles sont maintenant de trois au lieu de deux autrefois, la norme étant maintenant deux hommes et une femme. Par contre je le dis tout net, j’aime mieux me faire soigner par une infirmière, les femmes sont beaucoup plus douces, patientes et gentilles.

    Il faudrait quand même se préoccuper de certains domaines monopolisés par les femmes, l’enseignement d’abord et surtout la justice – 80% de filles à l’Ecole de la Magistrature - car être jugé par une femme ou par un homme, pour certains délits et crimes, n’est pas indifférent.

    Du reste la libération de la femme n’a guère eu de conséquences bénéfiques sur la société, multiplication des divorces, des familles monoparentales ou recomposées, enfants livrés à eux mêmes et pas élevés. Quand on voit ce qui se passe dans les établissements scolaires de « quartiers sensibles », on se dit que c’est plus à ce niveau qu’il y aurait lieu de reprendre en main l’enseignement du « vivre ensemble » et de la discipline.

    http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com/

  • Le statut de « beau-parent », arme de dilution de la famille

    À la Une des journaux, le statut du « beau-parent » est revenu récemment sur le devant de la scène avant de disparaître – pour l'instant – avec la loi Famille finalement repoussée par le gouvernement. Mais l'idée fait son chemin, et comme l'euthanasie, comme l'avortement, comme toutes ces lois subversives, elle reviendra d'une façon ou d'une autre. Publié dans le dernier numéro de L'Homme Nouveau, cet article fait le point sur le sujet. À lire et à conserver pour préparer l'avenir. La famille n'est pas un lien d'expérimentation.  

    Un phénix dangereux

    Tel le phénix qui renaît de ses cendres, le statut du « beau-parent », maintes fois annoncé, chaque fois contesté, chaque fois abandonné, réapparaît encore comme soi-disant nouveauté dans les annonces du gouvernement.

    Rien de nouveau sous le soleil, et la même histoire se répète. On part d’un constat imaginaire selon lequel la vie quotidienne dans les familles recomposées serait très compliquée, à cause du droit. Cela sert de prétexte pour annoncer avec solennité des mesures qui existent déjà, pour remédier à ces problèmes imaginaires, le tout en officialisant au passage le statut du « beau-parent », comprenez l’adulte non parent impliqué dans l’éducation de l’enfant parce qu’il vit avec le père ou la mère de ce dernier.

    Lire la suite

  • Farida Belghoul sur Meta TV – Libre Antenne du 31 janvier 2014

  • L’AGRIF : Par-delà le refus de la barbarie « Femen », le sens profond de ce samedi 8 février.

    L’AGRIF, bien sûr, selon sa vocation exige du gouvernement la dissolution du groupuscule de haine raciste anti-chrétienne des Femen.

    Mais, au-delà, appeler et participer en masse à sa manifestation, c’est promouvoir une ligne cohérente de défense bien sûr de la famille, socle de notre vie individuelle et sociale, mais aussi,...

    ...très prioritairement, du respect de la vie innocente, valeur fondamentale et universelle de toute civilisation pleinement humaine.

    Cela implique des exigences concrètes dans l’ordre politique et de l’écologie humaine que les partis actuels d’une gauche de plus en plus nihiliste et génocidaire piétinent mais que les partis d’une droite, par trop anémiée et souvent idéologiquement subvertie, méprisent ou ne prennent guère réellement en compte.

    Voilà pourquoi notre manifestation de samedi dans la fraternité chrétienne et l’Amitié Française s’inscrit dans une claire volonté d’appel à un renouveau politique pour que soient enfin défendues sans restriction les valeurs de la vie, de la personne humaine, des communautés et des libertés protectrices. [...]

    La suite sur le site de l’AGRIF

  • La reculade sur la loi famille était manigancée

    Lu sur France Catholique :

    "Ainsi donc, au soir d’une nouvelle grande Manif pour tous, on apprend que le gouvernement renonce à présenter son projet de loi Famille, après qu’il avait fait savoir plus tôt dans la journée qu’il s’apprêtait à refuser tout amendement sur la PMA et la GPA...

    On voit bien des raisons possibles à une telle reculade. Mais il faut admettre qu’on n’y comprend goutte.

    Ce débat sociétal arrangeait jusqu’à présent la gauche parce qu’il divisait une droite sans conviction et mettait en particulier (mais pas seulement) l’UMP face à ses cruelles contradictions morales. Est-ce que maintenant le risque de division allait atteindre la gauche elle-même ? Oui sans doute à entendre quelques porte-parole des Verts en particulier. Il est certain que pour un François Hollande "président normal", qui avait prétendu vouloir une société apaisée, il était temps de mettre la pédale douce... Mais pourquoi ne s’en est-il pas rendu compte plus tôt ?

    Une autre hypothèse est que tout cela était prévu, manigancé, dès le premier jour. J’invite nos amis à lire l’essai de Philippe Arino (L’homophobie en vérité) qui a eu quelques éclairs de génie à ce sujet. Quand on voit comment les choses se passent aujourd’hui, on se dit qu’il est peut-être le seul à avoir vu clair depuis plusieurs mois.

    François Hollande se permet une habileté pour démobiliser un adversaire décidément trop mobilisé à quelques semaines des élections municipales et européennes. En fait, cela ne change sans doute rien sur ses objectifs profonds. La GPA n’est-elle pas déjà sur les rails grâce à la circulaire Taubira "régularisant" l’état civil des enfants commandés à des mères-porteuses à l’étranger... La PMA n’est-elle pas déjà inscrite dans la jurisprudence européenne (sur le mode de la "non-discrimination") à partir du moment où le mariage pour tous est passé dans la loi française ? Loi Famille ou non, la démolition de la famille est en bonne voie.

    Le seul problème de cette stratégie machiavélique, c’est que les militants socialistes ne sont pas tous assez subtils pour la comprendre. Alors il faut la leur expliquer pour les calmer. Et c’est le tout aussi peu subtil Valls qui s’en charge. Du coup la manœuvre est mise à nu devant tout le monde. Oui ce gouvernement, qu’il avance ou qu’il recule... se moque ouvertement du monde... Combien de temps cela peut-il durer, même avec la complicité de quasiment tous les médias ?"

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