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magouille et compagnie - Page 2144

  • Radio Courtoisie - Farida Belghoul (20140209)

  • Mnef : la lettre qui accuse le PS

    La Rédaction de Voxnr célèbre - elle aussi - la mémoire.
    Article publié le 13.09.2000

    UNE LETTRE extrêmement gênante vient d'être exhumée des archives de la Mnef. Ce document met notamment en cause Manuel Valls, l'actuel porte-parole de Lionel Jospin, et semble confirmer que les anciens dirigeants de la mutuelle étaient bien sous la coupe du PS et de ses courants, mais aussi des plus hautes autorités gouvernementales socialistes de l'époque. Une version que chacun s'est pourtant efforcé, jusque-là, de démentir.
    Cette fameuse lettre, parfaitement authentifiée, en date du 21 décembre 1990, à en-tête du Premier ministre, est donc signée de Manuel Valls, alors chargé de mission de Michel Rocard à Matignon et chef de file des jeunes rocardiens. Dans ce courrier adressé au « Président et Cher Ami » de la Mnef, Dominique Levêque, il regrette amèrement qu'un « des points dont nous avions convenu n'ait pas été mis à l'ordre du jour (...) Emmanuel Couet, vice-président de l'Unef-ID, n'est pas rentré au conseil d'administration » de la mutuelle. En conséquence, Manuel Valls présente sa démission de ce conseil et annonce une éventuelle mesure de représailles. « Je me réserve (...) la possibilité de réunir d'autres administrateurs afin d'étudier en commun leur propre retrait de cette instance. » En clair, si son exigence n'est pas satisfaite, Manuel Valls menace de faire partir tous les rocardiens de la Mnef, avant de conclure : « Je suis sûr que tu trouveras, en accord avec Olivier Spithakis (NDLR : le directeur général et véritable patron), les moyens de résoudre ce que je veux considérer comme un incident. » Le propos de Manuel Valls qui ne se présentait pas en son nom propre, mais bel et bien comme conseiller du Premier ministre, mérite quelques éclaircissements. Outre ce qui s'apparente à une forme de chantage sur les dirigeants de la Mnef pour obtenir l'embauche d'Emmanuel Couet (futur membre du cabinet de Catherine Trautman au ministère de la Culture), Manuel Valls semble accréditer l'idée qu'existait un lien de subordination direct entre Matignon, les cadres du PS et Olivier Spithakis. « La formulation de cette lettre est caricaturale, mais il était habituel de recevoir des courriers de la même veine », souligne, désabusé, un ancien haut responsable de la mutuelle étudiante.

    « Le message que je voulais faire passer était uniquement politique »

    Mais la lettre de Manuel Valls recèle une autre étrangeté. « Depuis des années, écrit-il en préambule au président de la Mnef, nos relations sont basées sur la confiance et le respect des dispositions arrêtées en commun avec moi-même et Alain Bauer. » Ce dernier, qui fut comme Manuel Valls rocardien avant de devenir jospiniste, a toujours entretenu des liens étroits avec la Mnef, au point d'être nommé par Spithakis, au milieu des années quatre-vingt-dix, à la direction d'une filiale. Souvent cité dans les affaires de la mutuelle sans jamais avoir été inquiété, Alain Bauer a été élu, en fin de semaine dernière, à la tête du Grand Orient, la première organisation maçonnique. Quelles étaient donc les mystérieuses dispositions arrêtées entre Manuel Valls, Alain Bauer et l'équipe d'Olivier Spithakis ? Si le nouveau grand maître du Grand Orient était, hier, injoignable, l'actuel porte-parole de Lionel Jospin a accepté de commenter cette lettre dont il nous a d'abord affirmé de ne pas se souvenir. « Le message que je voulais faire passer était uniquement politique, dit Manuel Valls. Je tenais à ce que la place des rocardiens au sein du conseil d'administration de la Mnef soit respectée par rapport aux autres courants. » Selon lui, aucun accord secret n'aurait donc été scellé avec la mutuelle. De même, l'ancien conseiller de Rocard devenu celui de Jospin réfute « tout lien de subordination entre la Mnef, le PS ou Matignon ». « La seule maladresse que j'ai commise est d'avoir écrit ce courrier sur du papier à en-tête du Premier ministre », a-t-il conclu, visiblement excédé. Il reste que cette lettre éclaire un peu plus les relations ambiguës qui unissaient la mutuelle étudiante et le Parti socialiste. Outre Manuel Valls, elle risque également de gêner Lionel Jospin, dont plusieurs de ses plus proches ont été emportés par l'affaire de la Mnef. Quant aux juges, ils pourraient rapidement se saisir de cette pièce tirée tout bonnement des archives de la mutuelle.

    Eric Decouty http://www.voxnr.com/cc/politique/EFAEAyuAkAqpafJxhK.shtml

    Source : Le Parisien : http://www.leparisien.fr/faits-divers/mnef-la-lettre-qui-accuse-le-ps-13-09-2000-2001625185.php

  • Nouvelle journée de retrait de l'école... lundi !

    Farida Belghoul invite tous les parents de France à faire savoir au gouvernement qu'ils refusent que leurs enfants soient rééduqués par l'enseignement de la théorie du genre. Après le succès de la première journée de retrait des enfants de l'école, qui a affolé le gouvernement, la deuxième est programmée demain, lundi 10 février :

    "La première JRE a rendu célèbre notre action pour sauver la pudeur et l’intégrité de nos enfants. Malgré toutes les calomnies, nous avons gagné la première bataille : le site de la Ligne Azur vient de se retirer de l’internet ; de nombreux documents officiels faisant la promotion de l’idéologie du genre ont disparu comme par miracle eux aussi des sites gouvernementaux.
    De plus, grâce à la JRE, la présence de la théorie du genre dans les classes apparait jour après jour comme une réalité bien qu’elle soit qualifiée de « folle rumeur » par le Ministère et ses media. Des personnalités de plus en plus nombreuses confirment que l’idéologie du genre, sous couvert notamment de l’ABCD de l’égalité, est d’ores et déjà bel et bien en œuvre dans les programmes scolaires, à titre expérimental, et sera généralisée à partir de la rentrée de septembre 2014."

    Civitas apporte son soutien à cette initiative et nous invite à nous mobiliser !

    Louise Tudy

  • La France, numéro un mondial des demandes de suppression de tweets

    La France représente l’immense majorité des demandes adressées à Twitter.
    Seraient-ce là les premiers résultats prometteurs des mesures engagées par le ministre Valls pour « protéger la liberté d’expression sur internet ?»
    Polémia
    Au second semestre 2013, les autorités et les associations françaises ont découvert Twitter. C’est ce que l’on pourrait penser lorsqu’on se penche sur les statistiques publiées, jeudi 6 février, par le réseau social.
    Au premier semestre de l’année 2013, les autorités françaises ont déposé seulement trois demandes de suppression de contenu auprès de Twitter. Au second semestre, ce chiffre est multiplié par 100 : entre le 1er juillet et le 31 décembre 2013, 306 demandes ont été adressées à Twitter, visant un total de 146 comptes.
    La France compte pour 87% des demandes
    Tout aussi surprenant, les demandes de suppression de contenu émanant de la France représentent 87 % du nombre total de requêtes similaires dans le monde. C’est donc essentiellement à la France que l’on doit le rebond du nombre mondial de demandes de retrait, de 60 au premier semestre à 365 au second.
    La France représente l’immense majorité des demandes adressées à Twitter
    Le nombre de demandes de retrait de contenus, par pays

    Inde                                                                  6
    Royaume-Uni                                                     8
    Russie                                                             14
    Autres                                                              19
    France                                                           306

    (Source : TWITTER                                  Le Monde)
    La France plus discrète pour les autres types de demande
    Le chiffre de 306 comprend les requêtes provenant des autorités administratives ainsi que de certains partenaires de Twitter (comme SOS-Homophobie en France), qui peuvent signaler de manière prioritaire des contenus qu’ils estiment illégaux. Twitter déclare par ailleurs avoir satisfait environ un tiers des demandes de l’Etat français, aboutissant au retrait de 144 tweets.
    Avec trois demandes de retrait faites par la justice, la France ne sort pas particulièrement du lot, même si le faible nombre de requêtes de justice au niveau mondial – 13 – rend difficile toute comparaison.
    Enfin, avec 57 demandes d’informations liées à ses utilisateurs, la France est le quatrième pays le plus demandeur auprès du réseau social, loin derrière les Etats-Unis (833 demandes). Cependant, lorsqu’on rapporte ce chiffre au nombre total d’utilisateurs réguliers du réseau social, on note que France et États-Unis jouent dans la même cour : 0,25 demande pour 10 000 comptes en France et 0,17 aux États-Unis.
    Martin Untersinger  Le Monde .fr 7/02/2014
    http://www.polemia.com/la-france-numero-un-mondial-des-demandes-de-suppression-de-tweets/

  • Alain Finkielkraut : « Une partie de la gauche a perdu la raison et la mémoire »

    EXCLUSIF - Alain Finkielkraut réagit en exclusivité pour FigaroVox à la lettre envoyée au CSA par deux membres du PS après sa prestation dans Des Paroles et des Actes.

    Après l’émission, Des Paroles et des Actes ce jeudi 6 février, deux membres du conseil national du PS, Mehdi Ouraoui, ancien directeur de cabinet d’Harlem Désir et Naïma Charaï, présidente de l’Agence national pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (ACSE) ont saisi le CSA.

    Dans une lettre envoyée à son président, ils qualifient l’intervention d’Alain Finkielkraut « d’inacceptable » et « dangereuse ». Ils s’inquiètent précisément de l’usage par le philosophe de l’expression « Français de souche », « directement empruntée au vocabulaire de l’extrême droite ».

    « Je suis totalement abasourdi. Hier soir, lors de l’émission Des paroles et des actes, j’ai dit que face à une ultra droite nationaliste qui voulait réserver la civilisation française aux Français de sang et de vieille souche, la gauche a traditionnellement défendu l’intégration et l’offrande à l’étranger de cette civilisation. La gauche en se détournant de l’intégration abandonne de fait cette offrande. Manuel Valls a expliqué que nous avions tous trois -lui-même, David Pujadas et moi - des origines étrangères et que c’était tout à l’honneur de la France. J’ai acquiescé mais j’ai ajouté qu’il «  ne fallait pas oublier les Français de souche ». L’idée qu’on ne puisse plus nommer ceux qui sont Français depuis très longtemps me paraît complétement délirante. L’antiracisme devenu fou nous précipite dans une situation où la seule origine qui n’aurait pas de droit de cité en France, c’est l’origine française. Mes parents sont nés en Pologne, j’ai été naturalisé en même temps qu’eux en 1950 à l’âge de un an, ce qui veut dire que je suis aussi Français que le général de Gaulle mais que je ne suis pas tout à fait Français comme lui. Aujourd’hui, on peut dire absolument n’importe quoi ! Je suis stupéfait et, je dois le dire, désemparé d’être taxé de racisme au moment où j’entonne un hymne à l’intégration, et où je m’inquiète de voir la gauche choisir une autre voie, celle du refus de toute préséance de la culture française sur les cultures étrangères ou minoritaires. L’hospitalité se définit selon moi par le don de l’héritage et non par sa liquidation. »

    Le Figaro

    [Vidéo] Et via FdeSouche, la réaction de Mediapart et de Cécile Duflot : caricatural !

    Regarder également Zemmour sur l’intégration

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Alain-Finkielkraut-Une-partie-de

  • François Falletti : une pierre dans le jardin de Christiane Taubira…

    Entretien avec Philippe Bilger

    Le procureur François Falletti a dénoncé dans une lettre adressée à Christiane Taubira le fait d’avoir été poussé à quitter son poste contre son gré. Un « scandale », comme le prétend l’UMP ?

    Il ne s’agit pas du procureur Falletti mais du procureur général Falletti : c’est important. C’est celui qui dirige le parquet général de la cour d’appel de Paris. Plusieurs observations. Il faut noter que du temps a passé depuis le mois de mai 2012, date de l’élection de François Hollande et de la nomination de madame Taubira au poste de garde des Sceaux, et il est très rare qu’un pouvoir politique – de droite ou de gauche – laisse si longtemps en place le procureur général de Paris et le procureur de Paris (actuellement François Molins), qui sont à la fois des postes judiciaires mais surtout des fonctions à forte tonalité politique. Sur ce plan-là, Christiane Taubira a été très habile puisqu’elle a considéré que les serviteurs judiciaires du quinquennat de Sarkozy pouvaient demeurer en place sans risque. De fait, ils n’ont pas démérité aux yeux de la gauche. Cette affaire est donc plutôt révélatrice d’un progrès au regard des postes les plus politiques dans la magistrature.

    Par ailleurs, il est quand même surprenant qu’à quelques mois de sa retraite (juin 2015), on ait décidé de prendre acte d’une différence de sensibilité politique entre Falletti et la gauche judiciaire car cette incompatibilité, à supposer qu’elle soit réelle, existe depuis le mois de mai 2012… Ça n’était donc pas une nouveauté.

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  • Quand un communiste commence à s'inquiéter des manifestations

    L'éditorial du staliniste Patrick Le Hyaric, directeur du journal moribond l’Humanité, député au Parlement Européen et abonné aux moult manifestations gauchistes, est un sommet de loghorrée remplis de stéréotypes. Lisez plutôt :

    "Républicains, progressistes, humanistes, le moment est venu de réagir et de nous mobiliser. Des forces aux habits noirs prospèrent dans les fentes de la crise et défilent, depuis trois semaines consécutives, dans les rues de nos villes. Sans grandes réactions. Ces forces occupent les nouveaux moyens de communication que sont les réseaux sociaux et y déversent les venins du mensonge, des rumeurs et des contrevérités. Elles appellent au grand bond en arrière, contre les valeurs de la République et toute idée de progrès. De ce mouvement baptisé « jour de colère » raciste, antisémite et xénophobe à l’opposition au droit à l’avortement, du passage au rejet « du mariage pour tous » au « jour de retrait de l’école », qui n’est rien d’autre qu’une attaque contre l’école publique et ses enseignants, au combat contre la supposée « familiphobie » du gouvernement, après les immondes séquences de Dieudonné, ce que le pays compte de plus réactionnaire occupe le haut du pavé, dans la rue et dans les médias.

    Oui, il est temps, il est grand temps de se lever.

    Ces mouvements rassemblent une myriade de groupes intégrés aux mouvances de l’extrême-droite, pénétrant les franges de la droite qui vont de l’UNI à l’Action française, du GUD à Jeunesse nationaliste. De plus en plus portés par des journaux comme « Valeurs Actuelles » et le « Figaro », ils ont table ouverte à la radio et à la télévision et se retrouvent dans le nouveau réceptacle lepéniste, baptisé « rassemblement bleu-marine ».

    Le ventre de la violente crise sociale, avec son cortège sans fin de chômage, de précarité au travail, de mal être et de mal vivre, les enfante en ce moment, ici et dans toute l’Europe. Elle nourrit la désespérance et avec elle les vieilles rengaines du rejet de l’autre, de la haine et les poisons de la réaction. [...]

    Cette galaxie de droite extrême et d’extrême droite, défile ensemble, entraînant derrière elle une multitude de personnes aux idées courtes, réunies dans « un simplisme populiste identitaire », colportant rumeurs et mensonges,  vitupérant des slogans racistes, homophobes, antisémites, islamophobes, antiparlementaires ou contre les journalistes. [et caetera

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/02/quand-un-communiste-commence-%C3%A0-sinqui%C3%A9ter-des-manifestations.html

  • Communiqué : La grande offensive

    Nous ne reviendrons pas une fois de plus sur la nullité du gouvernement qui n’est que la représentation ultime d’un régime dont la légitimité laisse les Français de plus en plus nombreux dans la perplexité.

    Alors, le système aux abois lance une offensive tous azimuts contre ce qu’il voudrait faire passer pour une progression aussi dangereuse qu’inexorable de la « peste brune » Il s’agit d’abord de désigner les ennemis de la République avant de mettre en place une terreur visant tous les opposants qualifiés de contre-révolutionnaires en 1794, et de fascistes antisémites aujourd’hui. Le genre d’accusation qui constitue une quasi exécution sommaire, justifiant dans la conscience des élites « Alpha » qui nous gouvernent de s’affranchir de l’Etat de droit. On l’a vu avec la condamnation de nos militants qui sifflèrent Hollande le 11 novembre, qui ont pris « plus cher » que des agresseurs de vieilles dames. Il est plus grave en République idéologique de penser à rebours du Marais, que de commettre des délits de droit commun.

    La manifestation « Jour de colère » a permis de cristalliser cet élan répressif. Toute la presse s’en est donné à cœur joie et certes, on a pu voir, malheureusement, ça et là quelques excès et débordements, plus dans les cris et les paroles du reste que dans les actes.

    Et puis, ce qui inquiète ceux qui nous « gouvernent », c’est le côté black-blanc-beur d’une manif bleu-blanc-rouge. Pourtant ils ont tout fait pour ça, depuis la fameuse coupe du monde de foot où, les larmes aux yeux, ils contemplaient la liesse de la nouvelle France cosmopolite. Alors oui, il y a eu des slogans en marge, condamnables. Contrairement à ce que veulent faire croire certains média, à l’AF nous rejetons toutes formes de racisme y compris l’antisémitisme que nous jugeons purement épidermique, malsain et dénué d’intelligence. En revanche, nous dénoncerons toujours avec fermeté, toutes menées et tentatives d’influence qui détourneraient l’Etat du bien commun au profit d’intérêts sectoriels de communautés, lobbies et autres groupes d’intérêts.

    Les Français sont à bout ! Il faudrait, si le pouvoir en plus de son inefficacité abyssale n’était pas sectaire, essayer de renouer les fils du dialogue, essayer de comprendre ce qui choque et désespère de nombreux Français, plutôt qu’en plus du chômage et de la pression fiscale, asséner des réformes « sociétales » qui visent à accélérer l’atomisation de la société. Ainsi le peuple cédant la place à une multitude d’individualistes jouisseurs et dépressifs, il n’y aura plus de risques d’insurrection puisqu’il n’y aura plus de peuple.

    Gageons que nous n’en sommes pas déjà là.

    La colère, qui s’empare de ceux qui ont encore un niveau de conscience, étant mauvaise conseillère, il fuse en effet des cris de haine, d’intifada qui pourraient se changer en plus graves violences. Nous savons que cela est dangereux et le pouvoir imbécile de se pourlécher les babines en trouvant là que le dossier est assez lourd pour saisir une occasion prochaine de broyer cette foule détestée. Car, ne nous faisons pas d’illusion, depuis la Commune, les révoltes populaires ont toujours été écrasées par la République, laquelle sait se donner les moyens avec sa police, ses magistrats voire même son armée, relayés par les média, d’en finir.

    On sait que derrière tout ça, Bruxelles est à la manœuvre, les yeux fixés sur l’horizon du mondialisme. Toute l’Europe est en souffrance. Quand on pense qu’en Allemagne on condamne à la prison les parents qui refusent de laisser leurs enfants assister aux cours d’indifférenciation des sexes et qu’en Suisse on impose des « Sexbox » en maternelle. Du reste la nouvelle et surprenante offensive de l’ONU contre le Vatican ne serait-elle pas une réplique à la dénonciation par le Pape de l’actuel ordre économique mondial ?

    Si nous voulons combattre cette caste internationale et apatride qui cherche à asservir les peuples, nous devons nous organiser, car nous disposons de forces dans le pays et dans le monde capables de renverser la tendance mortifère qui cherche à s’imposer.

    La France aura un rôle primordial à jouer dans cette révolution universelle. Refusons de tomber dans les pièges qui nous sont tendus et organisons la riposte de l’intelligence face à la barbarie institutionnalisée.

    L’Action française sera toujours de ce combat là.

    Olivier Perceval, Secrétaire Général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-La-grande-offensive

  • Impôts – Suppression du quotient conjugal – Individualisation de l’impôt sur le revenu, quel impact ? – Décryptage

    « Le système du quotient conjugal repose sur un principe critiquable : la mise en commun des ressources d’un couple » dixit le rapport Lemière,  préconisant  la suppression du quotient conjugal  remis en décembre 2013 à la ministre des droits des femmes Najat Vallaud Belkacem.

    Autrement dit, ce rapport, propose par là d’envisager l’individualisation de l’impôt sur le revenu des couples mariés et pacsés.

    C’est à dire la remise en cause par idéologie de toute la politique familiale.

    Quels arguments pour une telle idée ?

    «Toucher au quotient conjugal a surtout une fonction symbolique» pour tenter de  s’opposer à  «une vision conservatrice de la division sexuée du travail domestique et professionnel» disent les auteurs du rapport.

    Dans un but « d’égalité » et de « parité », il s’agit, de la bouche même des rédacteurs de ce rapport,  de «lever un frein à l’emploi des femmes». 

    Comment fonctionne le quotient conjugal aujourd’hui ?

    Il est nécessaire tout d’abord de rappeler que les couples mariés sont soumis à une imposition commune. Ce qui veut dire que  leur impôt sur le revenu est calculé d’après ce système du quotient conjugal.

    En deux mots, c’est la moyenne des revenus des conjoints qui détermine leur niveau d’imposition.

    En effet, on additionne les revenus des deux conjoints, avant de diviser le résultat en deux parts égales puis d’appliquer à chacune des parts le barème de l’impôt  pour enfin multiplier le résultat par deux.

    A ne pas confondre avec le quotient familial qui, lui, découle du même principe mais concerne les enfants. Les enfants apportent au foyer fiscal une demi-part chacun puis une part à partir du troisième. On se rappelle que depuis ce 1er janvier, le gouvernement a plafonné à 1500€ par demi-part le coup de pouce consenti au foyer fiscaux via le quotient familial. Cette mesure devrait impacter près de 15% des familles et leurs rajouter parfois plus de 1000€ d’impôts supplémentaires par an.

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    Pour eux, le chômage n'existe pas si des femmes ne travaillent pas, c'est la faute aux hommes....